Passer au player
Passer au contenu principal
Passer au pied de page
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Favori
Partager
Ajouter à la playlist
Signaler
Yoann Usaï - Mieux protéger nos écoles face aux risques d'attentats : Les écoles bientôt bunkerisées ?
Europe 1
Suivre
04/04/2024
Aujourd'hui dans "Punchline", Yoann Usaï et ses invités reviennent sur la sécurité des écoles en France.
Retrouvez "Punchline" sur : http://www.europe1.fr/emissions/punchline
Catégorie
🗞
News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
CNews et Europe 1.
00:02
Punchline, 18h-19h,
00:07
Yoann Usahi sur CNews et Europe 1.
00:10
18h-19h, de retour en direct sur CNews et sur Europe 1.
00:18
Nous poursuivons nos débats dans Punchline.
00:20
Cet après-midi était organisée une nouvelle réunion
00:23
autour des ministres de l'Éducation nationale et de l'Intérieur
00:26
pour parler de la sécurisation des collèges et lycées.
00:29
Une liste d'environ 200 établissements a été définie
00:32
pour lesquels des travaux sont à prévoir au plus vite
00:35
dans un contexte que l'on connaît.
00:37
L'attentat d'Arras avec une intrusion dans l'établissement,
00:40
le passage au niveau Vigipirate urgence attentat.
00:43
Exemples de travaux récents dans un lycée du Mans
00:46
avec Michael Chahou.
00:48
L'installation est en place depuis le 17 février dernier.
00:52
Une grille de 2,50 m de haut entoure totalement
00:55
la longue façade du lycée Yourson Art du Mans.
00:58
Seuls deux portillons où il faut badger permettent d'entrer.
01:01
Coût de l'opération, 260 000 euros,
01:04
pris en charge par la région Pays de Loire.
01:07
Un projet très attendu par Sophie Perriot-Pasquet,
01:10
proviseur adjoint.
01:11
Ça change qu'on est plus en sécurité.
01:13
Avant on avait pignon sur rue,
01:16
les élèves arrivaient directement dans le hall de l'établissement
01:19
par la porte d'entrée.
01:20
Là on a quand même maintenant un sas de protection
01:24
pour pouvoir faire en sorte qu'il n'y ait pas d'intrusion directe,
01:28
que tout le monde puisse badger pour rentrer de manière sécurisée.
01:33
Depuis 2016, la région Pays de la Loire a investi 14 millions d'euros
01:37
dans la sécurité des 116 lycées dont elle a la charge.
01:40
Benoît Barret est le conseiller régional référent sur ce dossier.
01:44
Ça peut être de la vidéoprotection,
01:45
ça peut être des alarmes anti-intrusion,
01:48
ça peut être également des visiophones.
01:50
Nous avons pris à bras le corps ce sujet
01:52
parce qu'au Pays de la Loire,
01:54
on n'a pas de problème avec la notion même de sécurité.
01:57
Les éducateurs au contact quotidien des lycéens
02:00
s'interrogent quant à l'impact d'un climat
02:02
toujours plus anxiogène sur les élèves,
02:04
alors même que l'on vient de passer au niveau le plus haut du plan Vigipirate.
02:09
Eugénie Bastier, ces murs qui sont de plus en plus hauts
02:12
autour de nos établissements scolaires, des collèges, des lycées,
02:16
c'est aussi symbolique parce que ça dit quelque chose,
02:19
notre mode de vie me semble-t-il,
02:21
qui est en train de changer,
02:22
et de s'adapter au contexte d'insécurité,
02:24
de menaces permanentes liées au terrorisme islamiste, etc.
02:28
Oui, je pense qu'il y a plusieurs choses.
02:30
Il y a effectivement un niveau d'insécurité qui monte dans notre pays.
02:33
Effectivement, on n'a pas voulu mettre des frontières autour de notre pays,
02:36
donc on met des barrières et des portiques partout à l'intérieur de notre pays.
02:38
On entoure les écoles de barrières pour pas que les camions passent, etc.
02:45
Je trouve ça assez triste.
02:46
Et il y a une deuxième chose, il y a une montée de l'insécurité,
02:48
il y a aussi une montée de notre intolérance à l'insécurité.
02:52
Les deux sont concomitants, c'est-à-dire que nous sommes aussi extrêmement...
02:56
Nous demandons aussi beaucoup, nous n'acceptons aucun risque.
03:00
C'est aussi la société dans laquelle on vit.
03:01
On est une société qui demande d'être protégée.
03:03
Non, mais c'est vrai.
03:04
Sur l'intolérance à l'insécurité...
03:05
Si, c'est vrai.
03:06
Regardez, pendant le Covid, on a demandé à l'État de nous protéger à tout prix.
03:10
Bien sûr.
03:11
S'il y a une chose que les Français peuvent exiger de l'État,
03:13
c'est de les protéger...
03:15
C'est une obligation constitutionnelle qui est dans la DHC, par exemple.
03:17
Ce que je veux dire, c'est que le régalien,
03:19
qui est par exemple la maîtrise des frontières, n'est pas appliqué.
03:22
On met des barrières partout.
03:23
Et on a aussi une intolérance à tous les risques.
03:28
On le voit aujourd'hui.
03:29
On met des barrières partout.
03:30
Pour moi, le risque sécuritaire, ce n'est pas du tout pareil
03:33
que le risque de tomber malade.
03:35
Réellement, parce que là, pour le coup, il y a des vrais leviers d'action.
03:38
Et pour moi, c'est l'État qui porte une immense responsabilité.
03:41
Vous avez raison sur le contrôle des frontières extérieures.
03:44
Mais ensuite, je pense qu'on ne peut pas dire que l'État, là-dessus,
03:49
porte une...
03:50
Les gens ne veulent pas prendre le risque de l'insécurité.
03:53
Surtout vu les drames qu'on a eus.
03:55
On peut pas se ramasser contre un des écoles en bouc.
03:58
Pas tous ensemble, s'il vous plaît.
04:00
Louis de Racknell.
04:01
Surtout qu'il y a toujours un...
04:02
Louis de Racknell.
04:03
Là où je vous rejoins, c'est que philosophiquement,
04:05
c'est la question qu'on se pose, c'est quelle société on veut,
04:07
dans quelle société on veut vivre.
04:09
Est-ce qu'on veut vivre dans une société où il y a toujours plus de police ?
04:13
C'est très bien à court terme.
04:15
Mais est-ce que c'est un choix ?
04:16
Vous dites "est-ce qu'on veut ?"
04:17
Mais est-ce que nous avons le choix, réellement ?
04:19
Parce que cette insécurité, elle gagne du terrain au fil des années.
04:22
Parce que la sécurité n'est pas assurée à l'extérieur des frontières,
04:25
parce qu'il n'y a pas de répression,
04:26
parce que les sanctions pénales ne sont pas suffisamment fortes,
04:28
parce que l'immigration n'est pas maîtrisée,
04:30
eh bien la conséquence, c'est qu'on est obligé de créer des petites principautés,
04:33
des petits États, des petites enclaves,
04:35
où globalement, si on schématise,
04:36
les gens qui ont des moyens, peuvent se protéger,
04:38
vont habiter dans des villes où il y a des polices municipales,
04:41
parce que ça coûte cher d'employer des polices municipales,
04:43
ça coûte cher de les armer, ça coûte cher de les former.
04:46
Et globalement, vous voyez bien,
04:48
les gens qui n'ont pas les moyens vont habiter dans des villes
04:50
où il n'y a pas de police municipale,
04:52
où il n'y a pas les moyens de mettre des portiques de sécurité devant les écoles.
04:56
Et en fait, je pense que c'est même,
04:58
pour tous ceux qui n'ont que le mot "république" à la bouche,
05:00
c'est globalement, on est en train de dériver
05:02
vers une privatisation de la sécurité,
05:05
qui normalement, est un bien public.
05:07
Mais s'il y a bien une chose qui est publique,
05:09
c'est la question de la sécurité.
05:11
Aujourd'hui, le principe de l'impôt,
05:13
le principe de base, c'est quand même,
05:15
c'est qu'on délègue la question de la police et de la justice
05:19
à l'État pour nous protéger.
05:21
Et donc en fait, si ce principe est entravé,
05:23
c'est tout le contrat social qui est entravé.
05:25
Et donc, vous allez vous retrouver, certes,
05:27
avec des vigiles partout,
05:29
vous allez habiter dans des impasses privées,
05:31
si vous avez les moyens, et puis si vous êtes pauvres, tant pis pour vous.
05:33
Et c'est ça que je trouve terrible.
05:35
- Bon, Pina, ce que vient de décrire la Louis de Raguenel,
05:37
c'est ce que certains appellent
05:39
une sud-américanisation de la société.
05:41
- Mais la sud-américanisation de la société,
05:44
comme dit très justement Louis,
05:46
elle ne concerne que les riches.
05:48
Les autres, ils se font enlever, ils se font tuer.
05:50
Et les autres, c'est le bétail sur lequel s'abat l'insécurité.
05:54
Mais si on revient sur le cas des écoles,
05:56
regardez ce qu'on écrit.
05:58
"Écoles bientôt bunkerisées",
06:00
sauf que ce que vous voyez, ce n'est pas un bunker.
06:02
Pourquoi ? Parce que si vous voulez vraiment protéger
06:04
un endroit, déjà, vous ne le vitrez pas.
06:06
Là, si vous voulez vraiment vous attaquer à une école,
06:10
on voit bien que les barrières ne sont pas très dissuasives,
06:13
que si c'est un attentat, par exemple, terroriste,
06:16
vous pouvez tout à fait tirer.
06:18
Les vitres n'empêchent absolument rien.
06:20
Nous ne sommes absolument pas dans un pays sécurisé.
06:23
Nous n'avons pas fait ce choix-là.
06:25
Nous avons, au contraire, fait le choix de la transparence,
06:27
de l'ouverture sur la rue, de la fluidité.
06:30
- C'est en train de changer, me semble-t-il, quand même.
06:32
- Oui, mais ça change...
06:34
- Ça change en rajoutant une clôture.
06:38
Je peux vous dire que si les choses doivent devenir
06:40
de plus en plus dures, ça ne suffira pas.
06:42
Donc la question n'est clairement pas à ce niveau-là
06:45
qu'on doit jouer, qu'on doit agir.
06:47
- Laure-Alice Bouvier.
06:48
- Oui, je rejoins tout à fait ce que dit Céline Pinard.
06:50
C'est-à-dire qu'on s'est quand même aperçus
06:52
qu'on a eu de nombreux drames qui sont arrivés
06:54
et qui ont eu lieu à l'extérieur aussi des frontières de l'école.
06:57
Soit à l'intérieur, parce qu'on a eu des élèves radicalisés,
07:00
soit à l'extérieur, Samuel Paty,
07:02
le même qui s'est passé avec la jeune Samara.
07:05
Donc on a quand même un vrai problème.
07:07
Moi, vraiment, ce que je déplore, vraiment,
07:09
c'est un, l'absence de budget qu'on donne à la justice
07:13
et qu'on donne à la police pour protéger,
07:14
parce qu'encore une fois, Louis l'a très bien rappelé,
07:16
c'est une obligation de l'État,
07:18
la sécurité des personnes et des biens.
07:20
C'est dans la Déclaration des droits de l'homme
07:22
et du citoyen de 1789.
07:23
C'est une obligation constitutionnelle.
07:25
Et puis aussi, c'est bien joli, à chaque fois
07:27
qu'il y a des affaires médiatisées qui défraient la chronique,
07:31
de faire des lois, comme pour Samuel Paty en 2021,
07:34
comme pour le harcèlement scolaire en 2022,
07:36
mais ces lois, on ne les applique pas.
07:38
Donc il s'agirait de vraiment faire appliquer
07:40
les lois sur le harcèlement, sur le voile,
07:43
sur la protection des enseignants.
07:45
- Eugénie Bastié ?
07:47
- Non, non, mais je suis...
07:48
Pour revenir sur le débat qu'on a eu tout à l'heure,
07:50
je suis évidemment d'accord pour que c'est la mission principale
07:52
de l'État régalienne d'assurer la sécurité des élèves
07:56
et des enseignants, c'est une évidence.
07:58
Et on est un peu frappés, d'ailleurs, de voir le décalage
08:00
la semaine dernière à l'Assemblée.
08:02
Vous aviez des lois qui étaient votées
08:04
contre la discrimination capillaire et sur le congé mensuel,
08:06
avec la tragédie qui se passe dans nos établissements scolaires.
08:09
Et le principal problème aujourd'hui
08:11
qui devrait se poser à l'école en France,
08:13
c'est celui du niveau qui est catastrophique.
08:14
On ne peut même pas se poser cette question,
08:16
parce qu'on n'a même pas...
08:17
La sécurité vient éclipser cette question
08:19
du niveau qui est catastrophique.
08:21
On n'arrive même pas à transmettre dans ce lieu.
08:23
Et là, on en arrive même à ne pas pouvoir
08:26
assurer la sécurité minimale des enseignants et des élèves.
08:29
C'est absolument catastrophique.
08:30
- Céline Bina ?
08:31
- Je me souviens du moment des attentats
08:33
où il y avait des exercices qui étaient organisés dans les écoles.
08:36
Et de mon fils qui revient, il était petit,
08:38
il devait avoir 8, 9 ans.
08:40
Et il revient et il me dit "Mais maman, les adultes,
08:42
ils étaient sûrs qu'ils sont vraiment intelligents,
08:44
donc je suis assez surpris, je me dis "Mais pourquoi ?"
08:46
Il me dit "Non, parce qu'en fait,
08:47
pour se protéger contre les attentats,
08:49
il faut qu'on se mette sous notre bureau,
08:51
sauf que tout le mur est vitré."
08:53
Et en fait, le gamin avait compris de lui-même
08:55
que l'histoire était complètement absurde.
08:58
Et c'est un petit peu ce qui est en train de se passer ici.
09:00
- Et on voit effectivement qu'il y a une véritable inquiétude aussi
09:03
des parents d'envoyer parfois leurs enfants
09:06
dans des établissements scolaires
09:08
qui sont parfois non sécurisés.
09:10
Il se passe de plus en plus de drames dans ces établissements.
09:12
- Oui, et puis souvent...
09:13
- Les enseignants, les parents d'élèves,
09:15
sont effectivement extrêmement inquiets,
09:16
d'où le fait que ces établissements demandent plus de sécurité.
09:19
- Et souvent, la violence ne vient pas des intrusions,
09:21
elle vient de la violence elle-même
09:23
des élèves accueillis à l'intérieur.
09:25
- De plus en plus jeunes d'ailleurs,
09:27
parce qu'on a vu des élèves de 8 ans ou 10 ans
09:29
qui amènent des couteaux pour poignarder,
09:31
dans l'optique de poignarder leurs enseignants.
09:33
C'est quand même terrible.
09:34
- Mais ce qui est très choquant, je trouve,
09:35
c'est que de plus en plus,
09:36
on assiste à un transfert de responsabilité.
09:38
C'est-à-dire que, normalement, c'est à l'État de gérer ça.
09:41
C'est-à-dire que s'il y a des problèmes d'insécurité,
09:43
c'est-à-dire que ce sont les conséquences
09:45
d'une mauvaise gestion politique,
09:47
politique sécuritaire, politique familiale,
09:49
tout ce que vous voulez.
09:50
Et donc, en fait, vous assistez...
09:52
Maintenant, ce sont les responsables de supermarchés
09:54
qui sont responsables pénalement
09:56
de la sécurité de ce qui se passe à l'intérieur de leurs murs.
09:58
Ce sont les directeurs d'établissements qui sont responsables.
10:00
Et l'État finit par échapper à ces responsabilités.
10:03
Et moi, c'est ce que je trouve très choquant.
10:06
Ça me fait penser à l'affaire du proviseur de la semaine dernière,
10:09
ou même Samuel Paty, où vous avez Nicole Belloubet...
10:11
- Oui, c'est Maurice Travel.
10:12
- L'État n'est pas responsable.
10:14
Mais en fait, on ne demande pas à des responsables publics
10:17
de simplement organiser des mises en place
10:20
de signalements et de remontées d'informations.
10:22
Il y a toute la dimension de l'entrave,
10:24
la dimension de...
10:26
Comment est-ce qu'on règle les problèmes de sécurité ?
10:29
Comment est-ce qu'on expulse ?
10:30
Comment est-ce qu'on incarcère ?
10:31
Comment est-ce qu'on prive quelqu'un de sa liberté ?
10:33
C'est ça, la mission de l'État.
10:34
Et ça, pour le coup,
10:35
ce n'est pas les directeurs de supermarchés,
10:37
les directeurs d'établissements scolaires
10:39
qui peuvent avoir un levier ou une prise là-dessus.
Recommandations
1:49:49
|
À suivre
L'Heure des Pros Été (Émission du 21/08/2025)
CNEWS
aujourd’hui
0:59
Alain Jakubowicz : «C'est ça la vrai France, la France qui a résisté»
CNEWS
aujourd’hui
1:31
Alain Jakubowicz : «On ne va pas baisser les bras face à ces décérébrés»
CNEWS
aujourd’hui
1:27
58 bébés tortues nés sur une plage varoise
BFMTV
aujourd’hui
0:37
Les images impressionnantes de l'autoroute A11 inondée par les fortes pluies près de Chartres
BFMTV
aujourd’hui
0:39
“La France insoumise n’a qu’une obsession: diviser le pays”: Valérie Hayer (Renew Europe) réagit à la motion de censure déposée par LFI dès la rentrée
BFMTV
aujourd’hui
2:50
Le préfet du Val-d'Oise annonce porter plainte contre le député LFI Aurélien Taché qui a affirmé que "La police tue partout" ! - Thomas Portes soutient (bien sûr) son collègue Insoumis
Jeanmarcmorandini.com
aujourd’hui
1:14
Haute-Savoie : Colère après des tags "Free Palestine" ont retrouvés peints sur des voitures appartenant à des personnes de confession juive en vacances dans la station de Châtel
Jeanmarcmorandini.com
aujourd’hui
0:20
Regardez la publicité pour le savon Sanex, interdite, car elle "véhicule un stéréotype racial selon lequel "la peau noire poserait problème et la peau blanche serait supérieure"
Jeanmarcmorandini.com
aujourd’hui
26:06
Mort de Jean Pormanove : comment expliquer le manque d’empathie et l’attrait pour ces vidéos morbides et dégradantes ?
Europe 1
aujourd’hui
1:24
Vitrines endommagées, policiers blessés... À Aurillac, une nuit de violence en marge du festival de théâtre de rue
Europe 1
aujourd’hui
0:58
Cadavres dans la Seine : un deuxième homme en garde à vue
Europe 1
aujourd’hui
2:01
Mort de Jean Pormanove en direct : les spectateurs ont une «coresponsabilité», estime le psychologue Jean-Pierre Bouchard
Europe 1
aujourd’hui
1:12
Trafic de stupéfiants : «Si ça brasse autant d'argent, c'est qu'il y a des millions de consommateurs», affirme Jérôme Fourquet
Europe 1
aujourd’hui
12:25
La justice ordonne d'assouplir le traitement d'un nouveau détenu à Vendin-le-Vieil
Europe 1
aujourd’hui
18:28
Barbecue, piscine, aide aux courses : la France sous le pouvoir stupéfiant des narcotrafiquants qui tentent d’acheter la paix sociale
Europe 1
aujourd’hui
1:43
Inquiétude à Bayeux : des défenseurs du patrimoine refusent que la célèbre tapisserie soit prêtée aux Anglais
Europe 1
aujourd’hui
5:55
L’orto di Venezia, le potager de Venise
Europe 1
aujourd’hui
4:17
Terminator 2 : le virage manqué de Billy Idol
Europe 1
aujourd’hui
3:31
Beaujolais : la carte postale d'Olivier de Lagarde
Europe 1
aujourd’hui
4:53
Elsa Esnoult et Jean-Luc Azoulay
Europe 1
aujourd’hui
3:57
La chapelle Saint-Gildas à Pluméliau-Bieuzy
Europe 1
aujourd’hui
10:46
Reconnaissance d'un État palestinien : «Ça peut être perçu comme une conséquence des attentats du Hamas et légitimer le terrorisme», souligne Jean-Louis Thierot
Europe 1
aujourd’hui
3:07
La Patate Feest à Esquelbecq
Europe 1
aujourd’hui
4:24
Été 1991 : le premier JT de Claire Chazal, le début de «Combien ça coûte» et le tube «Saga Africa» de Yannick Noah
Europe 1
aujourd’hui