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  • 12/01/2024

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Transcription
00:00 [Musique]
00:15 La boucle de l'Alekié comprend quatre phases à savoir Enambeyala, Okolavil pour la première phase.
00:22 La seconde phase va d'Okolavil à Evodula.
00:26 La troisième phase quant à elle s'étend d'Ekekam à Munathile.
00:30 La quatrième et dernière phase se situe entre Enambeyala et l'échangeur d'Okolbisson.
00:36 Les travaux sur la première session avancent à un rythme normal
00:40 d'où cette reconnaissance de l'élite et de la classe politique.
00:44 En tant que natif de l'Alekié, je ne peux qu'être satisfait.
00:50 Le chef de l'État, à travers ses multiples sources d'informations,
00:57 a été au courant que cette route, qui est un véritable fonds de commerce pour les populations de l'Alekié,
01:05 qui sont essentiellement agricoles, s'était fortement dégradée.
01:11 Cette route date de 1097.
01:14 Cela fait, je crois, 26-27 ans aujourd'hui.
01:18 Elle n'a pas fait l'objet d'une maintenance scrupuleuse.
01:24 Elle s'est donc fortement dégradée.
01:26 C'était un cadeau que le chef de l'État avait fait à l'Alekié pour sa fidélité,
01:32 pour sa loyauté, pour son soutien.
01:35 Le chef de l'État, qui a ses multiples sources d'informations, a été au courant.
01:40 Vu les relations particulières qu'il y a eu à l'Alekié au chef de l'État,
01:44 il a bien voulu ordonner la réhabilitation de cette route.
01:48 Et non plus en bicouche, comme la dernière fois.
01:52 Cette fois-ci, c'est avec de l'asphalte.
01:54 Passez par là, vous voyez l'épaisseur.
01:57 Elle est partie pour durer cette route-là.
02:00 Elle est aménagée.
02:01 Je crois que l'Alekié tient là un très bon cadeau de la part du chef de l'État.
02:07 Nous tenons, premièrement, à exprimer notre gratitude à son excellence.
02:13 Le président, chef de l'État, M. Paul Bia,
02:21 pour son engagement continu envers le développement des infrastructures routières au Cameroun.
02:32 En tant que maire de la commune de Kola,
02:39 nous sommes ravis de constater l'avancement des travaux de la boucle de l'Alekié.
02:48 Cette route essentielle qui traverse notre commune.
02:54 Même l'autorité traditionnelle n'est pas restée insensible à ce geste du chef de l'État.
03:00 Le chef de l'État a bien marqué sa fidélité
03:05 par rapport à la confiance que nous avons en lui.
03:10 En mentionnant ce projet, il a une fois de plus montré
03:15 à quel point il tient à cœur le bien-être des populations,
03:19 de l'arrondissement et de tout le département de l'Alekié.
03:22 Nous avons d'abord accueilli la nouvelle avec beaucoup de plaisir, beaucoup de joie.
03:29 Mais ce qui nous attriste un peu maintenant, c'est parce que les travaux n'avancent pas comme on nous l'avait dit.
03:40 Mais nous remercions le président Bia pour ses gestes faits pour nous.
03:48 Nous sommes d'abord très contents de cette route.
03:52 C'est vrai que le projet a beaucoup duré, mais comme ça s'est réalisé déjà, nous sommes très contents.
03:58 En ce qui concerne la route en elle-même, elle est la bienvenue dans notre localité
04:05 parce que ça va nous permettre de voyager dans de très bonnes conditions.
04:10 Après la construction de la boucle de l'Alekié, les peines des populations seront rapidement effacées.
04:17 La partie concernant Zamangoué à Goulbisson est très difficile.
04:25 Il y a des nids de poules un peu partout, il y a de la poussière qui pose des problèmes d'hygiène, de santé.
04:32 Donc les populations vont face à beaucoup de difficultés pour se déplacer sur cet axe-là.
04:38 Actuellement, les véhicules tombent régulièrement en panne
04:42 parce que la route est vraiment très déplorable, dans un état déplorable.
04:48 Depuis que les travaux ont commencé, il y a beaucoup de poussière.
04:55 Lorsque les populations voyagent pour aller à Yaoundé,
05:00 elles se retrouvent déjà couvertes de poussière.
05:05 Elles sont sales. Nous pensons que lorsque la route serait terminée,
05:09 on ne se serait plus face à ce genre de situation de déraxement.
05:15 Même les frais de transport qui ont doublé à cause du mauvais état de la route seront également réduits.
05:22 Lorsque la route se dégrade, c'est comme ça que le transport aussi augmente.
05:29 Nous sommes partis de 500 à 700. De 700, nous sommes aujourd'hui à 1000 fonds.
05:35 Partons de Kola Yaoundé. Nous pensons que lorsque cette route sera complètement achevée,
05:42 nous allons redescendre sur le tarif officiel de 500.
05:48 Les populations de la Liké étant pour la majorité agricoles,
05:52 ces dernières pourront désormais acheminer leurs produits d'échange dans les grandes métropoles sans problème.
05:58 Les problèmes de santé, vous voulez vous déplacer pour un hôpital de la ville,
06:02 étant déjà malade, les secours augmentent les risques.
06:06 Les vivres que vous avez écoulés dans les marchés de Yaoundé,
06:12 généralement les véhicules refusent parce que l'état de la route est vraiment déplorable.
06:19 Il y a beaucoup de perturbations que l'état de la route actuel crée au niveau des populations.
06:25 Je crois que c'était vraiment une idée géniale du chef de l'état de mettre la main dessus pour soulager ces difficultés.
06:33 Les hommes et les femmes de l'arrondissement de Mounatélé nourrissent l'espoir de voir la troisième phase qui s'étend dès que KAM à Mounatélé démarre.
06:43 Nous avons hâte que ce travail arrive à Mounatélé, pour le bonheur de l'arrondissement du département de la Liké.
06:51 Le magistrat municipal de Kola dit être en pourparlers avec les responsables en charge de l'exécution des travaux
06:59 pour un éventuel recrutement de certains jeunes de sa municipalité.
07:04 Nous sommes résolument engagés à saisir cette opportunité qui nous a offert par la mise à disposition des moyens pour les travaux de cette infrastructure routière.
07:19 Nous sommes en discussion avec le directeur de l'entreprise à qui nous avons demandé s'il pouvait recruter quelques jeunes de notre localité pour bénéficier de cette opportunité.
07:43 La route va passer, elle va continuer, parce que c'est une route qui va jusqu'à Evodoula et Mounatélé.
07:54 Cette route concerne trois arrondissements.
07:59 Nous voulons également bénéficier des travaux de notre voirie qui sont connexes à ce projet.
08:08 Pour le ministre Benoît Ndansoumet, la bienveillance du chef de l'Etat est une reconnaissance à la fidélité des fils et filles de la Liké.
08:17 Je peux vous demander si vous connaissez un seul projet de cette nature qui a été réalisé au Cameroun avant même qu'il n'y ait une inscription budgétaire.
08:30 Dès que le chef de l'Etat a été au courant, dès qu'il a été informé par ses multiples sources que les populations de la Liké souffrent à cause du mauvais état de cette route,
08:43 il a ordonné tout de suite sa réflexion.
08:46 Et les travaux, l'entreprise a été désignée de gré à gré, tout de suite, parce que s'il fallait passer par les appels d'offres, ça allait prendre du temps.
08:56 Les travaux ont démarré par une affectation spéciale de ressources et ce n'est que la suite qui a été budgétisée au cours de 2023 et 2024.
09:10 Le démarrage s'est fait sur la base d'une dotation spéciale affectée par le chef de l'Etat.
09:17 Je peux vous donner cette information pour démarrer les travaux.
09:20 Regardez le budget de 2022, il n'y a pas un radis sur cette route.
09:25 Je ne connais pas un seul projet au Cameroun qui, entre la phase où le chef de l'Etat a l'information et le moment du démarrage de l'exécution du projet,
09:39 dans un temps aussi réduit, il n'y a que la relation particulière qui lie la Liké au chef de l'Etat qui peut justifier une telle débat.
09:49 Le membre du gouvernement a renchéré, il n'y a plus aucune raison de douter.
09:53 Le message est que pour ceux qui sont encore dans un état de scepticisme, rien ne justifie ce qu'on entend encore parmi certaines élites qui disent
10:05 "La Liké est en arrière, elle n'a pas ceci, elle n'a pas cela".
10:09 Je vous ai décrit tout à l'heure comment ça s'est fait.
10:12 Combien de projets se sont réalisés de cette manière-là et à un tel rythme au Cameroun ?
10:18 Il nous avait appelé dans son discours à Monatélé en 2004 "mes amis fidèles et loyaux".
10:27 Moi j'ai retenu le discours ce jour-là, j'étais encore chargé d'émission départementale à la Liké.
10:34 "Mes amis fidèles et loyaux".
10:36 Lorsque le chef de l'Etat, dont on connaît la discrétion, la retenue, la réserve, se permet un tel qualificatif vis-à-vis d'une population,
10:45 je crois qu'avec un peu de bonne foi, on doit pouvoir reconnaître qu'il y a un lien particulier entre cet homme-là et nous.
10:54 Tout ce que je peux dire à mes frères et sœurs de la Liké, c'est que ne nous égarons pas.
11:02 Voilà l'homme à qui nous devons préserver et conserver notre confiance, comme ça a toujours été le cas jusque-là.
11:14 Nous devons rester derrière lui. Notre fidélité a payé, notre loyauté va continuer à payer.
11:22 D'ici quelques mois, les 75 kilomètres qui constituent la boucle de la Liké seront bitumées à la satisfaction des populations.
11:32 "Je vais chercher là-bas une vie meilleure.
11:38 Paysans, étudiants, chanteurs ou demoiselles, tu peux toujours pourrir, faire un bonheur rêver.
11:48 Chercher dans ton bonheur, dans la vie quotidienne, chaque instant, chaque jour, là où tu es à passer.
11:57 Je vais ça y en vais, y en deviendra pas, je vais."