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  • il y a 17 ans
Un réalisateur de porno underground est obsédé par l’idée de repousser les limites de ce qui n’a jamais été filmé. Il délaisse le spectacle du sexe pour celui de la violence et de la torture, jusqu’à commettre un meurtre devant la caméra. La plongée dans l’horreur la plus abjecte devient inéluctable.

Totalement culte, longtemps objet de rumeurs folles, dont celle le désignant comme un authentique snuff, LAST HOUSE ON DEAD END STREET est aussi radical que précurseur dans son approche de l’horreur. Se référant à ORANGE MECANIQUE comme aux massacres perpétrés par Charles Manson et ses disciples, le film installe dès les premières minutes une atmosphère glauque à couper au couteau, jusqu’à son final abominable devenu célèbre, qui préfigure tous les débordements gores à venir, de CANNIBAL HOLOCAUST jusqu’à HOSTEL I et II.
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