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Transcription
00:00– Déjà, pour faire oublier, le régime algérien,
00:03pour faire oublier qu'il a pillé ce pays aux immenses richesses,
00:06il n'y a pas 36 solutions, il faut attiser la haine contre la France.
00:09C'est une forme de diversion qu'il pratique très régulièrement.
00:13Ensuite, moi, pour le reste, je suis sur la ligne d'Henri Guénaud,
00:16et même je l'étais avant, moi je pense que l'affaire Christophe Gleize
00:18ou l'affaire Boilems-en-Salle aurait justifié une rupture de nos relations diplomatiques.
00:24Parce que je le pense pour une raison très simple,
00:26c'est qu'avec l'Algérie, on a tout essayé, on a essayé le dialogue,
00:29on a essayé la bonne volonté, on a essayé un petit peu de hausser le ton,
00:32on a tout essayé, sauf le courage.
00:34Voilà. Et un jour, il faudra essayer le courage.
00:37Il y a des choses qui ne sont pas admissibles.
00:39Mais je précise tout de suite que, selon moi,
00:42nous ne sommes pas dans un état d'hostilité envers l'Algérie en tant que telle,
00:47c'est envers un régime.
00:48– Le régime. Et c'est ce que dit M. Driancourt, d'ailleurs.
00:51– Voilà, il faut toujours le rappeler, parce que vous êtes toujours soupçonné en disant
00:55« Non, non, vous avez entièrement raison ».
00:56– Nous n'avons rien contre le peuple algérien, nous n'avons rien contre l'Algérie en tant que telle,
00:59nous avons tout contre ce régime qui ne cesse de nous désigner comme des criminels,
01:03qui ne cesse de nous humilier.
01:04Il faut changer de ton, et je pense que la rupture des relations diplomatiques
01:07serait une bonne chose, et la suspension immédiate, évidemment, de tous les visiteurs.
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