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  • il y a 11 heures

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Transcription
00:00Pardon de le dire, il faut les deux.
00:03Qu'est d'Orsay ? La diplomatie, elle fait de la diplomatie,
00:06c'est-à-dire elle parle sur le ton d'un diplomate et tout.
00:09Et nous, nous, la société, je ne dis pas la société, je déteste ça,
00:13les médias, le monde sportif, tiens, on n'a pas entendu tout le monde dans le monde sportif.
00:18C'est-à-dire, par exemple, quelqu'un comme, alors je prends l'icône des icônes,
00:22si je peux dire, Zinedine Zidane, aurait pu s'exprimer,
00:25sachant qu'un mot de sa part, évidemment, est escruté.
00:27Il n'aurait pas pu s'exprimer, mais il aurait eu le devoir de s'exprimer,
00:31le devoir, l'obligation morale de s'exprimer.
00:33Pour appeler à la libération de Christophe Lennon ?
00:35Je l'ai entendu sur d'autres thèmes, quand il s'agissait de prendre ses distances
00:38avec la droite ou l'extrême droite, comme ils disent, là ils l'entendaient.
00:41Bien sûr qu'il faut le dire, attendez, il n'y a pas assez de joueurs.
00:44On peut citer des joueurs qui sont exprimés sur l'affaire Naël,
00:48qui s'est passé en France, mais vous dites qu'eux égards à ses relations avec l'Algérie,
00:51son fils d'ailleurs qui joue en Algérie, il devrait s'exprimer sur le sport de Kler.
00:56Ils ont le poids, l'autorité, ils sont à l'abri de tout.
01:01Personne ne va s'en prendre à lui, personne, et sûrement pas le gouvernement algérien.
01:05C'est une icône, c'est à ce moment-là qu'il faut dire un certain nombre de choses.
01:10Et puis vous savez, on a tous été roulés dans la farine,
01:12pardon de vous le dire dans cette histoire-là, une fois de plus,
01:14parce que moi je n'ai rien dit après la libération de Boilem,
01:19et lui non plus, vous avez dit Boilem sans ça.
01:21Nous l'avons tous constaté, c'est un ami proche.
01:23Voilà, il n'a rien dit, et il s'est eu sur une part...
01:27Il n'a rien dit ou on lui a dit de rien dire, monsieur Ménard ?
01:30Non, je pense qu'il n'a rien dit, justement, pour Christophe Glez,
01:34en se disant, comme on pensait tous qu'il fallait rien dire et tout,
01:37vous avez vu, tout le monde en a joué profil bas en disant,
01:41allez, s'il ne faut rien dire pendant un mois, c'était le procès, c'était hier,
01:45donc on ne va rien dire.
01:46Et Boilem sans salle a commencé, l'a dit lui-même, il a dit,
01:49je ne dirai pas tout, je prends la licence parce qu'il y a ça.
01:52De nouveau, il nous roule dans la farine.
01:54De nouveau, c'est une gif pour le gouvernement algérien.
01:57Moi, je vais arrêter de me taire, j'avais mis des banderoles pour Boilem sans salle,
02:02je mettrai des banderoles pour Boilem.
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