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  • il y a 3 heures
Après le drame qui a coûté la vie à trois personnes à Alès, dont deux mineurs ce matin, les questions autour du protoxyde d’azote refont surface. Une enquête publiée en octobre dernier réalisée par Vinci Autoroutes donne des chiffres accablants sur la consommation de ce fléau.

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00:0010% des moins de 35 ans ont déjà consommé du protoxyde d'azote lors de soirées,
00:06selon une étude réalisée il y a deux mois par Vinci Autoroute.
00:09Et parmi eux, une personne sur deux en a pris en conduisant.
00:13Plus connue sous le nom de gaz hilarant,
00:15ces bonbonnes utilisées dans le domaine médical ou alimentaire
00:18sont détournées à des fins récréatives, non sans risque.
00:229% des moins de 25 ans ont déjà été passagers d'une voiture
00:26dont le conducteur était sous l'emprise de protoxyde.
00:286% en ont déjà pris en conduisant
00:31et 6% en ont déjà consommé avant de prendre le volant.
00:35Des chiffres qui montrent une faible conscience des risques.
00:3910% des jeunes de 16 à 24 ans considèrent
00:41que la prise de protoxyde d'azote en conduisant n'est pas dangereuse
00:45et 11% d'entre eux pensent qu'être passagers d'une voiture
00:48dont le conducteur a pris du protoxyde n'est pas dangereux non plus.
00:53Le fléau du gaz hilarant s'identifie aussi sur l'espace public.
00:57Plus d'un Français sur trois en a déjà vu
00:59et plus de la moitié des moins de 35 ans qui en consomment
01:02reconnaissent en avoir déjà abandonné sur la voie publique.
01:06– Sous-titrage Société Radio-Canada
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