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  • il y a 19 minutes
Marine Le Pen, présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée, était l’invitée du Face-à-Face de ce mardi 2 décembre sur RMC et BFMTV. Elle a notamment été interrogée sur l'agression de Jordan Bardella dans le Tarn-et-Garonne.

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Transcription
00:00C'est grave, c'est très grave, c'est pas grave, je vous ai pas entendu vous exprimer dessus.
00:04Non mais c'était un symptôme en réalité, c'est un symptôme d'une violence en politique
00:07que commence à subir tout le monde et que nous, nous subissons depuis 30 ans.
00:11Ça fait 30 ans que ça dure.
00:13Et à l'époque d'ailleurs, ça ne scandalisait personne.
00:16Parce que dans notre pays, les gens sont plus scandalisés en fonction de qui vous êtes
00:22qu'en fonction de ce qu'on vous a fait.
00:24Moi j'ai des milliers d'images de nos militants agressés, les bus attaqués dans les meetings
00:30et à chaque fois c'est la même chose, c'est l'extrême gauche.
00:33Est-ce qu'on va le dire ou est-ce qu'on va pas le dire en fait ?
00:36De manière quasi systématique, les violences en politique sont le fait de l'extrême gauche.
00:41Ce sont eux qui empêchent la tenue des conférences de presse par la violence.
00:45Personne d'ailleurs n'en appelle à la liberté de la presse dans ces cas-là.
00:47Ce sont eux qui essayent d'empêcher la tenue des meetings.
00:50Ce sont eux qui s'introduisent dans les meetings pour y semer la perturbation.
00:54Ce sont eux qui font des contre-manifestations en permanence,
00:58qui vous empêchent de faire des marchés, etc.
01:02Donc c'est à eux qu'il faut demander des comptes maintenant.
01:05Et c'est à eux qu'il faut dire la violence en politique c'est non.
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