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  • il y a 2 heures
Transcription
00:00Il y a 20 ans, ça aurait eu les mêmes messages.
00:03Je me serais attendu, tu vois,
00:04un message sur les réseaux sociaux.
00:06Il y a un petit message sur le deepfake
00:08qu'il y a, qu'il y a ajouté.
00:09On a discuté avant, mais même ça,
00:12je me dis, est-ce que c'est si pertinent
00:14que ça ? Est-ce que ça rentre dans...
00:16En fait, le truc, c'est qu'il pose,
00:18mais il n'en fait rien.
00:20C'est-à-dire qu'il te dit juste qu'on ne peut plus rien croire.
00:22Mais bon, bah, merci.
00:24Mais en fait, je crois que j'ai compris.
00:26Le truc qu'il fait, c'est qu'il y a
00:28un côté absurde dans ses films et tout.
00:30Donc, un peu comme s'il y a un mélange théâtral.
00:32Et je pense que c'est le but recherché,
00:34qu'on soit dans l'absurde. Il y a des côtés qui sont
00:36hyper... Ça sort de nulle part par deux fois.
00:38Il y a des scènes comme ça, d'un coup,
00:40on voit un truc et on se dit, mais c'est quoi le rapport
00:42avec la scène précédente et tout ?
00:43Et en fait, c'est clairement le but.
00:45C'est un peu pas de nous choquer, mais de nous faire
00:48réfléchir sur la moralité, sur ce qui
00:50est normal et ce qui n'est pas,
00:52ce qui a du sens, ce qui n'en a pas.
00:54Genre, je ne sais pas.
00:56Ils le disent,
00:57c'est Georges Brolin, le personnage qui joue le producteur.
00:59En gros, ils disent, c'est le colisée,
01:01ce qu'on a là. Ils veulent distraire la population
01:04de la violence pour qu'elle ne se révolte pas.
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