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Cérémonie de commémoration de l'armistice de 1918

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Transcription
00:00En hommage aux victimes civiles, fusillées pour détention de pigeons,
00:05aujourd'hui, nous nous rassemblons pour rendre hommage à un moment tragique de notre histoire,
00:11souvent ignoré, mais profondément marquant.
00:16Celui des fusillés civils pour détention de pigeons.
00:21A Le Cato-Cambrésie, plusieurs civils ont été fusillés par des accusations sans preuve.
00:28Mais dans le but de maintenir l'ordre pendant la guerre.
00:33Parmi eux, des hommes simples, des pères de famille, des travailleurs,
00:39qui n'étaient pas des espions, mais des victimes d'une époque de confusion.
00:44En leur rendant hommage aujourd'hui, nous affirmons que leur sacrifice ne sera jamais oublié.
00:50En mémoire des victimes civiles innocentes, fusillées par les Allemands,
00:56les 24 et 27 novembre 1914 pour détention de pigeons.
01:02Je vais vous citer leur nom.
01:04M. Delof Marcellin, mort pour la France.
01:11M. Lallier Henri, mort pour la France.
01:16M. L'homme Vital, mort pour la France.
01:19M. Gosse Joseph, mort pour la France.
01:23Mme Lenin Clémence, épouse M. Gosse, morte pour la France.
01:29M. Donc les élèves vont nous rappeler le nom des anciens élèves du lycée, mort pour la France.
01:37M. A vous.
01:39M. Basquin Alcide, mort pour la France.
01:44M. Boulogne Albert, mort pour la France.
01:47M. Cousin André, mort pour la France.
01:49M. Cathlin Lucien, mort pour la France.
01:52M. Deon Henri, mort pour la France.
01:54M. Delattre Léon, mort pour la France.
01:57M. Desmarais Fernand, mort pour la France.
01:59M. Desailly Emile, mort pour la France.
02:02M. Deuxième Ernest, mort pour la France.
02:05M. Rubé Fermat, mort pour la France.
02:07M. Dupont Marcel, mort pour la France.
02:10M. Leblanc Maurice, mort pour la France.
02:12M. Le Duc Emile, mort pour la France.
02:15M. L'homme Vital, mort pour la France.
02:17M. Le Maire Victor, mort pour la France.
02:19M. Maronnier Maurice, mort pour la France.
02:22M. M. Crette Eugène, mort pour la France.
02:24M. Bauré Gaston, mort pour la France.
02:27Cotier, Georges, mort pour la France. Cotier, Léon, mort pour la France. Robert, Maurice, mort pour la France. Roussy, Désiré, mort pour la France. Servant, Robert, mort pour la France. Ferrin, Abel, mort pour la France. Ake, Bernard, mort pour la France. Bastien, Léon, mort pour la France.
02:46Némo, Raymond, mort pour la France. Romaine, Robert, mort pour la France. Robert, Marcel, mort pour la France. Desbovis, André, mort pour la France. Déorme, Émile, mort pour la France. Hermaine, Paul, mort pour la France. Manuel, Albert, mort pour la France.
03:08Fain, Fernand, mort pour la France. Roussy, Charles, mort pour la France. Botteleur, Raymond, mort pour la France. Vaillant, Gaston, mort pour la France.
03:20Petric, Roger, mort pour la France. Gladel, Louis, mort pour la France. Goris, François, mort pour la France.
03:28Aux enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé, contre nous de la tyrannie, l'étendard sanglant élevé, l'étendard sanglant élevé.
03:49Entendez-vous, dans les campagnes, l'égir, c'est féroce, cela. Ils viennent jusque dans nos bras, églanger nos fils et nos campagnes.
04:06Aux âmes citoyens, formez vos bataillons. Marchons, marchons, marchons, grâce à un pur, un breuve de sillon.
04:36Sous-titrage Société Radio-Canada
05:06Sous-titrage Société Radio-Canada
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07:56Merci, chers enfants, pour votre présence et celle de vos enseignants.
08:02Mesdames, Messieurs, commémoration de l'armistice de 1918.
08:08Nous sommes réunis aujourd'hui, comme chaque année, en ce 11 novembre, pour honorer la mémoire de celles et ceux qui ont donné leur vie pour la France.
08:18Lors de la première guerre mondiale, mais aussi pour saluer tous les soldats morts pour notre pays dans d'autres conflits.
08:28Le 11 novembre 1918, à 11 heures du matin, les armes se sont tuées, après plus de quatre années de guerre, de boue, de sang.
08:39Alors, malgré la peur, malgré la souffrance, ils ont tenu, ils ont tenu, pour leur pays, pour leurs camarades, pour leurs idées, qui se faisaient de la liberté, de l'honneur et de la patrie.
08:53Le 11 novembre 1918, ce fut la fin d'un cauchemar et le début du deuil, car si la victoire fut bien réelle, elle fut chèrement payée.
09:04Plus de 1,4 million de soldats français morts pour la France.
09:09Des millions de blessés, de mutilés, les gueules cassées, marquées à vie dans leur chair.
09:21Derrière ces chiffres, il y a des noms, des visages, des familles brisées, des villages dévastés.
09:28Aujourd'hui, nous leur rendons hommage à ces soldats courageux, que l'on appelait les poilus, souvent très jeunes.
09:35Ce 11 novembre, que notre hommage soit à la hauteur de leur courage.
09:41Un appel à ne jamais oublier, aujourd'hui, en déposant une germe, en observant une minute de silence, nous affirmons notre reconnaissance aux morts.
10:05Une minute de silence.
10:35Merci.
10:52Rapport aux pieds.
10:54Nous sommes réunis ce jour afin de célébrer les événements de la guerre 1914-1918 et surtout de l'armistice.
11:04Et c'est pour cette raison qu'aujourd'hui, je vais plutôt retracer une histoire vraie qui s'est déroulée à cette époque.
11:10Cet épisode a lieu le 12 juillet 1915 dans les tranchées à proximité de la Neuse et de Bertin.
11:19Il faut reconnaître que le langage employé est un peu lourd.
11:22Il a été écrit dans les tranchées, donc c'est vraiment un peu très lourd.
11:27Il est texté du livre « Le journal d'un poilu de la guerre 1914-1918 » vécu par M. François Arnollet, sur les propos suivants.
11:37Dans la soirée du 11, nos sapeurs font exploser entre les lignes une mine destinée à l'ennemi.
11:46Mais celle-ci n'éclata malheureusement qu'à 3 ou 4 mètres des tranchées allemandes,
11:51avec une telle ampleur qu'elle provoqua également la destruction d'un dépôt d'explosifs voisins,
11:57confiés à la garde des chasseurs à pied et auxquels on n'avait pas pensé.
12:01Résultat, 20 chasseurs sautent en l'air avec le dépôt.
12:06Des Allemands sautés par les mottes de terre détachés par l'explosion.
12:10Et dont plusieurs viennent également assommer les hommes jusque dans nos tranchées.
12:15Et enfin, on se retrouve avec un entonnoir de 6 mètres de profondeur,
12:2015 mètres de diamètre, à 3 ou 4 mètres de la première ligne allemande.
12:25Et à 15 mètres environ de la nôtre.
12:27Le général de division ordonne s'occuper l'entonnoir pour donner au génie le temps d'aménager des boyaux de communication.
12:36Sans quoi les Allemands s'empareront de l'entonnoir s'il n'aurait été créé tout en leur plus grand profit.
12:43Plusieurs détachements de chasseurs y sont envoyés comprenant des hommes de 41 à 44 ans.
12:49L'ordre est formel et précis.
12:51En outre que l'affaire ne doit pas rester locale et ne dégénérer à aucun prix en attaque générale.
12:58Ce qui explique qu'une seule section a été engagée à la fois alors qu'elle était manifestement insuffisante pour une telle opération.
13:11La position de nos hommes dans l'entonnoir ne tarde pas à devenir intenable sous l'appui de grenades et des bombes que leur lance l'ennemi.
13:20Les blessés par grenade ou par bombe qui essaient de quitter l'entonnoir pour regagner nos tranchées sont abattus par les bases ennemies dès qu'ils cessent d'être protégés par la lèvre de l'entonnoir.
13:31Ils se retrouvent en terrain découvert étant une cible facile.
13:35Fort heureusement, les Allemands n'avaient pas installé de mitrailleuses pour balayer le terrain car ce passage fort serait absolument impossible à traverser.
13:47Beaucoup de militaires sont tués ou succombent à leurs blessures.
13:50C'était un enfer à vivre et énormément de soldats ne sont pas rentrés dans leur famille.
13:55En fortifiant sa propre frontière autour de Metz, l'Allemagne y avait édifié un immense camp retranché où partaient toutes les attaques contre les lignes françaises de la Meuse.
14:08Il faudra une attaque de grand style menée par les Américains en septembre 1918 pour faire disparaître cette profonde entaille maintenue durant quatre ans par les Allemands dans les lignes françaises.
14:19L'épisode cité ici n'est que l'un des aspects de la guerre sans merci livré entre les belligérants.
14:27Toutes les familles françaises, les Allemands, allemandes ont été touchées par cette maudite guerre en abandonnant à leur patrie beaucoup de leurs enfants et marines.
14:37Je vous remercie de m'avoir écouté.
14:38Message de Catherine Gautrin, ministre des Armées et des Anciens Combattants, associée à Mme Alice Ruffaut, ministre déléguée auprès du ministre des Armées et des Anciens Combattants.
14:54Le 11 novembre, la France écoute peintre son cœur.
14:59Elle se recueille devant les noms de ceux qui ont donné leur vie pour que nous vivions libres.
15:07Elle se rassemble pour commémorer la détoile, mais aussi célébrer la fête.
15:15C'était il y a 107 ans, je tourne vers les jeunes, plus d'un siècle.
15:21Au fracas des armes succédait le silence des plaignes défastées, tout proche de chez nous, de Champagne, des vallées de la Meuse, des forêts d'Argonne, mais aussi au cathode en Brésil, je fais un attitif,
15:39où on a eu plus de 7000 soldats anglais tués ou gravement blessés.
15:46Ce silence portait le poids immense de ceux qui étaient morts.
15:50Durant 4 années, dans des grandes batailles, couchés dessus le sol ou ensevelis sous la bouche.
15:591,4 million de soldats tombés au champ d'honneur, autant de familles mortes, 4 millions de blessés et de mutilés.
16:12Et parmi ceux-ci, apparemment indemnes, combien de nuits ont été hantées dans leur esprit et dans leur mémoire.
16:22Chaque année, devant ces monuments de nos communes, nos générations se rejoignent.
16:30C'est l'exemple même ici au cathode en Brésil.
16:33Unis dans cette mémoire, nous rendons visible l'idéal qui nous tient debout.
16:39Le sens que nous avons donné à notre histoire, le projet collectif que nous poursuivons ensemble par-delà les tragédies.
16:48Pour construire un ordre tel que la liberté, la sécurité et la dignité de chacun soit garantie,
16:58selon les mots-mêmes du général de Gaulle en 1941.
17:02En lui, s'incarne le sacrifice aussi de tous les morts pour la France, hier et d'aujourd'hui,
17:12jusqu'à ceux qui, loin de chez eux, sont tombés en Indochine, en Algérie, dans les Balkans, en Afrique,
17:22mais aussi en Afghanistan ou au Levant.
17:24En lui se mêlent aussi, sous le visage de l'Arc de Triomphe, des visages venus de tous horizons.
17:34Ceux des fusillés marins bretons, des tirailleurs sénégalais, munis dans le même héroïsme à Dismude.
17:44Ceux tombés à Verdun et sur les plages de Provence,
17:48ceux des francs-tireurs et partisans et des résistants du réseau Alliance,
17:53ceux de ces combattants venus d'Afrique, du Pacifique, des Amériques, mais aussi d'Asie,
18:01qui recolvent désormais dans le sol de la France, sous les croissants, les étoiles,
18:09ou les croix des carrés militaires.
18:12Ceux aussi incorporés, et aujourd'hui le président de la République leur rend des hommages,
18:18les forces absinthiens et mauseillans, bourris dans le drame intime de leur conscience.
18:24Ceux qui croyaient au ciel, et ceux qui n'y croyaient pas.
18:29Sur ce soldat de tous les âges de Triomphe, ce soldat inconnu et de toutes les origines,
18:35la flamme du souvenir ne s'est jamais éteinte.
18:38Il y a 100 ans, en 1925, était organisé au Saint-Valide le premier atelier de confection du Bleuet de France.
18:51Deveilleux aujourd'hui le symbole de la solidarité avec le monde vos 20 ans.
18:57Cette petite fleur qui poussait dans les tranchées témoigne surtout de la force de l'âme de la nation.
19:05Force d'âme pour rappeler les commémorations du 80e anniversaire des départements de la Libération et de la Mitoire,
19:15dans une époque d'un autre, où nous réapprenons que l'intermédicule.
19:22Assistant depuis Londres, au périple qui me pesait sur la survie humaine de la France,
19:27la philosophe, Mme Simone Veil, offrait en 1942 une définition du papillotisme
19:36que chacun pouvait faire la sienne.
19:40Le sentiment d'une tendresse poignant,
19:43par contre une chose belle, précieuse, mais fragile et périssable.
19:49Ce papillotisme demeure une nécessité vitale.
19:56Cette espérance que symbolise déjà dans le ciel de Reims,
20:01le 11 novembre 1918,
20:04les tours restaient debout de la cathédrale martyr.
20:08Le 8 juillet 1962,
20:11sous ses voutes à Reims reconstruits,
20:13était scellé la réconciliation franco-allemande
20:17pour que l'Europe vive au libre et en paix.
20:21Car là sera toujours l'espérance de la France,
20:25fidèle aux écrits, sacrifiée de ses anciens,
20:29à ses valeurs, à ses promesses,
20:31avec la conscience de sa vocation universelle
20:34au service de la paix.
20:37Vive la République, vive la France.
20:39J'ai plaisir, au nom du ministre, par délégation,
20:44de remettre cette médaille
20:46de la jeunesse des sports,
20:49mais surtout de la vie associative,
20:52pour l'engagement de M. Cardon
20:54en tant que président d'association patriotique.
20:59Si aujourd'hui, un devoir de mémoire,
21:02ou plutôt le souvenir du passé,
21:05existe dans nos villages,
21:06c'est grâce à des hommes de valeur comme lui.
21:09qui sont autour de vous,
21:11qui sont toujours présents,
21:13et qui éniment notre République, notre ville.
21:17Merci à toi pour ton engagement.
21:19Et félicitations.
21:20Je suis profondément honoré de recevoir aujourd'hui
21:34la médaille de la jeunesse des sports
21:38et de l'engagement associatif.
21:41Cette distinction me touche sincèrement.
21:44Je tiens à remercier chaleureusement
21:48M. le maire,
21:50le conseil municipal,
21:52ainsi que les élus locaux, départementaux
21:56et régionaux,
21:58pour leur présence et leur soutien constant
22:01au monde associatif.
22:04Je veux aussi adresser une pensée particulière
22:08aux associations de notre canton
22:11et tout spécialement aux associations patriotiques
22:16dont l'engagement,
22:18la fidélité,
22:20le dévouement au service de la mémoire
22:22et des valeurs républicaines
22:24forcent le respect.
22:26Cette médaille,
22:29je la reçois avec humilité,
22:33mais aussi comme le symbole
22:34d'un travail collectif,
22:37d'un engagement partagé
22:39et d'une passion commune
22:41pour le service des autres.
22:45Merci à toutes celles
22:47et ceux qui m'ont accompagné
22:49pour encourager et faire confiance.
22:52Je vous dédie cette distinction
22:55car c'est aussi la vôtre.
22:59Je vous remercie.
23:01De la patrie,
23:04le jour de gloire est arrivé
23:07Contre nous de la tyrannie
23:12Les tendres sanglantes et levées
23:16Les tendres sanglantes et levées
23:20Entendez-vous dans les campagnes
23:24Les juges de référence sur le corps
23:28Ils viennent jusque dans nos droits
23:32Dégorgez nos fils et nos compagnes
23:36Aux dames citoyens
23:40Aux dames citoyens
23:42Bataillons
23:43Marchons
23:45Marchons
23:46Marchons
23:48Marchons
23:49Marchons
23:50En bus
23:51La guerre est finie ! L'armée 6 se signait le 11 novembre 1910 !
24:01Oui ! Oui ! Oui ! La guerre est finie !
24:11Extrait de Mathieu, soldat anglais, 11 novembre 1910 !
24:16La guerre est finie ! L'armée 6 se signait le 11 novembre 1910 !
24:21Heureusement que les Américains sont arrivés pour nous donner un coup de main !
24:25Je suis si heureux !
24:26Je pars à Armantier, rejoindre Marguerite !
24:29A ma dernière permission, je les demandais en mariage !
24:32Elle a dit oui ! Nous partirons ensemble dès que possible !
24:35J'ai hâte de te la présenter, petit frère !
24:37Les parents vont l'adorer ! A très vite !
24:41La guerre est finie !
24:46A la maison, mon père, comme si rien ne s'était passé, nous prendons ses bras avec maman !
24:52J'ai été terminé pour lui la guerre !
24:54Il est donc que resterait que des souvenirs et que je lui enterrais à jamais ! Il a pu gagner la guerre !
25:00Extrait de Lucien, soldat français !
25:02Les cloches sonnent à deux volets ! La guerre est finie !
25:05Les groupes ont encore été à charmer ces derniers mois !
25:10Et les blessés à fond ! Certains ont été casés, d'autres défigurés ! Quel malheur !
25:15Qui est responsable ?
25:17Je suis jaillée à l'idée de tout retrouver ! Mais quelle tristesse ! Quel malheur !
25:20Cette guerre a été horrible ! Je me tente de vous serrer dans mes bras !
25:24Lucien !
25:30On chante le monde, le temps et se rite !
25:34Les guerres au Seigneur, les mères de mon cœur seront tous en paix !
25:44Les peines au Seigneur, la folie en tête ! Et les amours à l'œuvre du Seigneur !
25:57Quand nous chante le monde, le temps et se rite !
26:03S'il fera bien mieux que les mères de mon cœur !
26:08C'est l'estimé qu'à coup, le temps et se rite !
26:14Nous l'ons s'en batteux !
26:17De vivre dans les mères !
26:19Des poids dans nos rêves !
26:26Sur les eaux d'amour, on rote le fameux !
26:32Le planche pour d'un frère, en bout de sang.
26:39Rétire les marques pour le temps des souris,
26:44au vent de poêle, pour l'un des vents.
26:52Le planche pour le temps des souris,
26:56s'il nous a fait peur,
26:59pour l'écharpe à l'amour, les vignes et les pères.
27:07Moi qui ne rampe pas les pères de frère,
27:12je ne te dirai pas sans souffrir un jour.
27:20En vous en souffrir, au temps des souris,
27:25pour l'écharpe à l'amour, les vignes et les pères.
27:31Le planche pour le temps des souris,
27:37pour l'écharpe à l'amour,
27:40pour l'écharpe à l'amour,
27:42pour l'écharpe à l'amour,
27:43pour l'écharpe à l'amour.
27:45Le planche pour le temps des souris,
27:51pour l'écharpe à l'amour,
27:53pour l'écharpe à l'amour.
27:57Le planche pour le temps des souris,
28:03pour l'écharpe à l'amour,
28:05pour l'écharpe à l'amour,
28:07pour l'écharpe à l'amour.
28:09panique pour l'écharpe des souris,
28:21pour l'écharpe à l'amour.
28:21Applaudissements.
28:51Applaudissements.
29:21Applaudissements.
29:51Applaudissements.
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