- il y a 2 heures
DB - 17-11-2025
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00:45:26d'être Jean-Rispin, populisme pas mort, mon chien.
00:45:34Mon beau chien, toi, au moins t'es chouette.
00:45:38Et quand je regarde tes bons gros yeux,
00:45:41c'est pas possible, t'es pas une bête.
00:45:44Tes yeux sont pleins de cœur, mon pauvre vieux.
00:45:47Oui, je les sais, tu comprends, ma pomme,
00:45:50quand je lève le poing contre tes seins.
00:45:52Ah oui, t'es plus humain qu'un homme,
00:45:54ce que t'es humain, ce que t'es humain.
00:45:56Tu l'as compris, qu'elle est partie,
00:45:58en me fouchant tout pour m'embêter.
00:46:00Elle me fout en l'air la fin de ma vie,
00:46:02tient que ça, c'est une saleté.
00:46:04Médor, au moins toi, t'es fidèle,
00:46:06et tu veux partager mon sort,
00:46:08tu vois bien, t'es plus humain qu'elle,
00:46:10c'était une sienne.
00:46:12Pardon, Médor.
00:46:14Médor.
00:46:24Et alors dix ans plus tard, Victor Brossard, mon vieux,
00:46:26vous écrivez alors, en 1920,
00:46:28cette admirable chanson enfantine
00:46:30qui est encore dans toutes nos mémoires.
00:46:32Si, si, si.
00:46:34Mon petit, ouah ouah,
00:46:38c'est un beau toutou, madame, mon petit, ouah ouah,
00:46:43il est à moi, il est à moi,
00:46:45et je vous le donnerai pas.
00:46:48Non.
00:46:50Quelle pureté, hein.
00:46:52En 1936, Victor Brossard,
00:46:54votre grand ami Charles Trenet,
00:46:56invente la chanson de rythme positivement,
00:46:58et vous écrivez alors, toujours dans sa grande ombre,
00:47:01Hop Médor.
00:47:03C'est le gars qui a pas beaucoup d'idées dans sa tête et tout.
00:47:06Hop Médor.
00:47:07Repsaute la variée.
00:47:08Hop Médor.
00:47:09Va voir mon amour.
00:47:10Va court vol portable.
00:47:11Berger.
00:47:12C'est un corps plein de peines d'amour.
00:47:13Et depuis, on dit de mamie,
00:47:15c'est une fille qui hâte du chien.
00:47:17C'est vrai que pour toute ma vie,
00:47:18un berger,
00:47:20un berger,
00:47:21un berger,
00:47:22un berger.
00:47:27En 1945, Victor Brossard, vous devenez patriote,
00:47:29il est temps,
00:47:31et vous écrivez alors,
00:47:34cette bouleversante marche des chasseurs d'Afrique,
00:47:36qui est encore dans toutes nos mémoires.
00:47:38Hourra,
00:47:40nous montons à l'attaque,
00:47:43entraînés par le tambour,
00:47:46et derrière,
00:47:48le drapeau qui claque,
00:47:50le regard fier passe.
00:47:52Médor.
00:47:54C'est la fidélité.
00:47:56Médor soldat ou une vie de chien.
00:47:58Son petit cœur bat dans la fournaise,
00:48:02son trembler comme un vrai soldat.
00:48:05Il a vraiment l'âme française.
00:48:08Quand il y a des Français qui ne l'ont pas.
00:48:12Quand il y a des Français qui ne l'ont pas.
00:48:16Et quand, le soir, un soldat veille,
00:48:18auprès du bivouac ont doré,
00:48:22sur un tambour,
00:48:24sommeil.
00:48:28Il est couché en chien de fusil.
00:48:32Il est couché en chien de fusil.
00:48:36Enfin Victor Brossard,
00:48:38jusqu'à la fin de votre carrière,
00:48:40vous écrirez des chansons,
00:48:42encore et toujours des chansons,
00:48:44mais des chansons faciles,
00:48:46des chansons qui rapportent,
00:48:48et qui galopent dans les plaines,
00:48:56avec un vaste sombrero,
00:49:02qui trotte-trotte à Peralene,
00:49:05dansent la samba brésilienne,
00:49:08derrière un cheval au galop,
00:49:13qui dansent ses maîtres au cœur des filles,
00:49:16l'amour brûlant des Hidalgos,
00:49:19qui venge l'honneur des familles,
00:49:21dont la petite queue frétille,
00:49:23c'est Medoro, le chien gaucho.
00:49:27C'est Medoro, c'est Medoro,
00:49:31c'est Medoro, le chien gaucho.
00:49:37Et pendant ce temps,
00:49:46sans nouvelles d'Antoine,
00:49:48Sophie cherche à se consoler.
00:49:50Elle tente de prendre goût au tuba d'Albert,
00:49:52ce qui ferait bien plaisir au papa,
00:49:54mais son petit air malheureux indique clairement
00:49:56qu'elle persiste à préférer les instruments à cordes.
00:50:01de la samba brûlant des Hidalgos.
00:50:04C'est Medoro, le chien gaucho.
00:50:06de la samba brûlant des Hidalgos.
00:50:08de la samba brûlant des Hidalgos.
00:50:09de la samba brûlant des Hidalgos.
00:50:11Ils me font marrer avec leur violon.
00:50:24Le seul instrument qu'ils causent au chœur,
00:50:25c'est le tuba.
00:50:30Ils font marrer avec leur violon.
00:50:37Le seul instrument qu'ils causent au cœur, c'est le tuba.
00:50:43Ne faut pas lui en vouloir, ma petite Sophie.
00:50:46Les jeunes gens d'aujourd'hui ne savent plus parler d'amour.
00:50:49Et pourtant, tous les poètes au clair de lune
00:50:54Depuis des siècles font rimer
00:50:57Blonde avec monde pour une fortune
00:51:00Amour toujours aimé, pas mais
00:51:04Car elle si vraie, c'est rosé que l'on
00:51:07Et ben moi je veux changer toutes ces choses
00:51:10Je ferai rimer s'il me plaît
00:51:14Amour avec chapeau
00:51:16Toujours avec balai
00:51:19Je veux aimer ce soir
00:51:23Un jeune homme aux yeux verts
00:51:27Ah, si ses yeux étaient noirs, ça ferait un plus beau verre
00:51:30Je veux le cœur en fièvre
00:51:33L'embrasser sur les joues
00:51:36Je devrais dire les lèvres, mesdames, chacun son goût
00:51:39Tant pis si c'est un crime, je me fous de la rime
00:51:42Je veux le cœur en fièvre
00:51:44L'embrasser sur les joues
00:51:47Je veux jusqu'à demain
00:51:51Lui caresser les pieds
00:51:54Je devrais dire les mains, ce serait le plus régulier
00:51:57Tant pis si c'est un crime, je me fous de la rime
00:52:00Je veux jusqu'à demain lui caresser les pieds
00:52:03C'est poète, quel manque d'imagination
00:52:07Il suffit que Margot soit brune pour qu'on l'emmène au clair de lune
00:52:14Mais si ses cheveux sont châtains, alors là ça se passe au petit matin
00:52:19Et si la pauvre fille est blonde
00:52:23On l'expédie au bout du monde
00:52:26Nous deux le soir, avec Gaston
00:52:30Nous ne faisons jamais de verre
00:52:33Et nous nous en foutons
00:52:35Pourtant, on est heureux
00:52:38Sous un ciel toujours gris
00:52:42Pourquoi pas toujours bleu ?
00:52:44Parce qu'on habite Paris
00:52:46Il a conquis mon coeur
00:52:48Avec ses yeux, hein, de travers
00:52:51Avec ses yeux vainqueurs, ça ferait un plus beau vers
00:52:55Tant pis si c'est un crime, je me fous de la rime
00:52:57Il a conquis mon coeur
00:52:59Avec ses yeux de travers
00:53:01Mais la fin du poème
00:53:05La fin sera quand même
00:53:06Sera toujours la même
00:53:08On se dira
00:53:09Je t'aime
00:53:13Et puisque c'est un crime
00:53:16Gardons les vieilles rimes
00:53:18À la fin du poème
00:53:22Je lui dirai
00:53:24Je t'adore
00:53:27Sous-titres par Jérémy Diaz
00:53:29Sous-titres par Jérémy Diaz
00:53:59Sous-titres par Jérémy Diaz
00:54:29Sous-titres par Jérémy Diaz
00:54:59Sous-titres par Jérémy Diaz
00:55:29Et partout, les foules enthousiastes se déchaînent
00:55:56Pour donner à ses admirateurs
00:55:59L'impression de luxe indispensable à une si grande carrière
00:56:02Antoine est affublé maintenant
00:56:04D'une dame encombrante et bruyante
00:56:06La chanteuse Zulma Ringardini
00:56:09Ex-princesse Carburinesco
00:56:11Ex-princesse Carburinesco
00:56:13Ce n'est pas un succès
00:56:24C'est un triomphe
00:56:25Regardez il y a des félicitations
00:56:28Des invitations, des invitations, des projets, des contrats, des voyages, des galas dans le monde entier
00:56:33Mais c'est un triomphe signé Crabouchnic
00:56:36Dites-moi, chère petite madame, là-haut encore, toute la foule la clame depuis 10 minutes après la fin du concert
00:56:43Je vous demande seulement une chose, s'il vous plaît
00:56:46Soyez aimables et ne pas trop les fatiguer
00:56:49Vous êtes si bavarde
00:56:50Mon dieu, mon dieu, mon dieu
00:56:52Mon dieu, mon dieu
00:56:54Oh, moins d'avarde
00:56:56Oh, non
00:56:57Je ris de voir si belle en ce miroir, là
00:57:08Je ris de voir si belle en ce miroir, là
00:57:12Oh, dieu, que bijou
00:57:17Et ce rêve charmant qui déblouit
00:57:21Mous-surveille
00:57:24J'avais sa vie de fleur et fils
00:57:28Pareil
00:57:29C'est voilà, mon tonton
00:57:39Tu viens de reposer dans notre chaux d'intimité
00:57:43Ah, tu es mon bel artiste
00:57:45Et je suis ta grisette
00:57:47Oui, on m'appelle
00:57:50Milly
00:57:52Mon nom
00:57:54Et Lucie
00:57:56Et que ça vous l'avez vu
00:58:00Tiens, tu sais qu'on ne m'a pas encore livré ma cape de Zibeline
00:58:03Alors moi, pour le dîner dans l'ambassade
00:58:05Mais je n'aurais plus que mon vieux manteau de vison de l'an dernier
00:58:08Et pourquoi je me suis
00:58:10Seule, chez moi, je me fais la dînette
00:58:13Je vais plus à la maïs
00:58:15Mais je prie le bout d'yeux
00:58:18Et je vis toujours seule haïtue
00:58:21Entre les murs de ma chambre
00:58:23Tiens, faut que je te dise
00:58:25Je change de palace
00:58:26Ah, bah écoute tout de même
00:58:28Il n'y a pas dans le mien
00:58:30Tu sais quoi ?
00:58:31Ce sale à manger pour les chiens
00:58:32Alors mon pauvre petit chichu
00:58:33C'est sa mine toute déconfite
00:58:34Ce petit péquinois vexé
00:58:36Comme toi
00:58:37Tu n'as pas dormi de la nuit
00:58:39Oh, le pauvre wou wou série
00:58:42Pas le moindre petit mémé
00:58:44Alors il va avoir encore son complexe d'infériorité
00:58:46Et je le traînerai encore chez le psychanalyste
00:58:49Oh, le petit chéri
00:58:50Ah !
00:58:51Pourquoi tu me risais-tu ?
00:58:55Au souffle
00:58:56Et des fois un temps
00:58:58Ding, ding, ding, ding, ding, ding
00:58:59Chéri
00:59:00Quel voyage merveilleux nous allons faire tous les deux
00:59:02Grâce à ta touriste et à la fin
00:59:04Samedi, Londres
00:59:06Dimanche, Berlin
00:59:07Lundi, Madrid
00:59:08Et mercredi, Agnière
00:59:10Ouah !
00:59:11C'est trop beau
00:59:12En douze jours
00:59:13Douze représentations
00:59:14Seize cocktails
00:59:15Et neuf enregistrements
00:59:17Une vraie scapade d'amoureux
00:59:19Non ?
00:59:20Mais oh !
00:59:21Mais oh !
00:59:22Mais à propos
00:59:23Non mais ce que tu sais
00:59:24Ce que m'a dit
00:59:25Ton imbécile d'un prétario
00:59:27Que j'étais bambarde
00:59:29Oh !
00:59:30Le village à nous
00:59:32C'est plus ce qu'il n'a pas
00:59:33Autour de lui
00:59:34Un petit chéri de ski comme moi
00:59:36Qui suit ton petit voiseau
00:59:38Et vous attend
00:59:40Excusez-moi si je me mêle de cette affaire, mais ça me fait de la peine de voir où nous en sommes.
00:59:57Voyez-vous, Antoine Plantin, à la gloire, la fortune, mais il n'a pas le bonheur, il est affligé de cette encombrante cantatrice.
01:00:04Il n'a pas le bonheur, vous le savez bien, l'argent ne fait pas le bonheur.
01:00:06Alors je crois que ce qu'il faudrait, c'est qu'on essaye d'arranger les choses maintenant, et que pour vous faire plaisir à tout le monde, il retourne là-bas épouser Sophie.
01:00:14Malheureusement, l'affaire est mal engagée, je vous l'avoue, car Sophie, dépitée de ne pas voir revenir Antoine, va sans doute se décider à épouser Albert, qui lui ressemble comme un frère.
01:00:24Il y a quand même une chance, elle lit les journaux, elle sait qu'Antoine a beaucoup de succès, et avant d'épouser Albert, le mariage a lieu demain,
01:00:30avant d'épouser Albert, elle lui envoie une carte postale sur laquelle elle lui écrit des choses charmantes et qu'elle signe Sophie.
01:00:36Le courrier arrive, va vite, à travers la France, le courrier est là, le courrier pour M. Plantin, merci !
01:00:43Voilà, s'il vous plaît, le courrier du maire.
01:00:46Merci !
01:00:48Voilà, ça y est, il arrive, il prend la carte postale, il la lit, il se souvient, il est ému, il faudra un peu de musique.
01:01:00Un peu de musique, un peu de musique, pour lui rappeler celle qu'il est.
01:01:10Oh, c'est joli ce petit père-là ! Qui est-ce qui joue du piano ici ?
01:01:14Oh, c'est charmant ça !
01:01:19Eh bien, t'entends, chérie ! Eh bien, mon toutou !
01:01:26Eh bien, que faites-vous, mon toutou !
01:01:32Eh bien, quoi ? Vous avez un bal masqué ? Et vous vous habillez en pauvres !
01:01:37Suivie, hein ? Tiens ? Qu'est-ce que c'est que ce petit père-postale ?
01:01:50Sophie ! Une dame qui a né malheur, sans doute !
01:01:56Car les vrais amoureux, ceux qui vivent à deux,
01:02:15Le roman merveilleux dont l'heure avait pleuré,
01:02:21N'ont rien qu'une chanson
01:02:27Qui les suit sans façon
01:02:31Tout au long, tout au long
01:02:36De la vie
01:02:39Au soir d'une vie remplie des joyeuses sonorités,
01:02:49De l'honnêteté et du labeur,
01:02:51Je suis heureux de fêter, ce soir,
01:02:53Le mariage de ma fille Sophie
01:02:55Et du bon tuba Albert Plantin.
01:02:58Albert est digne de notre famille,
01:03:01Il a du souffle, il a du coffre,
01:03:03Et souvent, il joue juste.
01:03:05Chef, je suis heureux en ce beau jour
01:03:10De vous dire la joie que nous ressentons toujours
01:03:12A souffler sous votre baguette
01:03:14Et de plus à tout très, chef, qu'en ce beau jour,
01:03:17Je fais mon devoir !
01:03:19Je répare la traîtrise de mon frère Antoine
01:03:22Qui abandonna pour toujours sa patrie, sa famille
01:03:26Et celle qui l'aimait !
01:03:31Tiens ! Antoine ! Mon frère !
01:03:35Antoine revenu !
01:03:38Oui, oui, c'est moi le frère !
01:03:41Oui, Géon !
01:03:42Oui, c'est moi qui ai truqué ton violon !
01:03:45Pour que tu sois ridiculisé
01:03:47Aux yeux de Zève Femme !
01:03:49Oui, oui, épouse Sophie !
01:03:52Elle est digne de toi !
01:03:54Je suis un misérable !
01:03:56C'est l'ombre rouge là de toi et chère !
01:03:58Personne n'aura l'inpertinence de vous le dire !
01:04:01Mais tout cela manque considérablement de réalisme !
01:04:04Eh bien oui, on dirait un peu une comédie musicale !
01:04:06Mais alors qu'est-ce qu'on fait ?
01:04:07Mais marier d'où ces enfants ?
01:04:09Mais il n'en est pas question !
01:04:10Avec le violon n'est pas possible !
01:04:12Mais il n'est pas possible !
01:04:13J'ai dit non !
01:04:14Vous avez de la chance que je sois la fête !
01:04:17Eh bien, puisque vous voulez les marier, marions-les !
01:04:19Marions-les !
01:04:21Tant pis, il y aura deux pupitres de violon dans l'Orphéon !
01:04:23Après tout, ce n'est pas une si grave histoire !
01:04:26Marions-les que la fête commence !
01:04:28Je crois que dans ces cas-là, on invite tout le monde à danser !
01:04:40C'est parti !
01:04:41C'est parti !
01:04:42C'est parti !
01:04:43C'est parti !
01:04:44C'est parti !
01:04:45C'est parti !
01:04:46C'est parti !
01:05:16C'est parti !
01:06:16C'est parti !
01:06:17C'est parti !
01:06:48C'est parti !
01:07:18Alors, nous fûmes très heureux et nous eûmes quelques enfants !
01:07:28C'est parti !
01:07:58C'est parti !
01:08:28C'est parti !
01:08:58...
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