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MID MORNING SHOW [ Top santé ]
Thème : Roles of allied health professionals in public health Pamela Patten reçoit Rizwan Chumroo, Physiothérapeute, ce mercredi 05 novembre 2025 à partir de 10 heures 📞Vos appels au 213 77 77 🔴Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaîne 10 📲Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV.

Catégorie

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Éducation
Transcription
00:00The Mid-Morning Show, on top FM.
00:22Merci de votre fidélité, merci de nous rejoindre en live à Lois-Odi.
00:26Nous avons le plaisir de retrouver Rizwan Chambro, physiothérapeute et aussi là, moi j'ai dit, au GMN, au Président Allied Health Professionals Council.
00:37Bonjour Rizwan.
00:38Bonjour Pamela, bonjour à la télé-directeur de top FM.
00:41Alors, au cas où vous expliquez-nous un petit peu, ce council-là, c'est quoi exactement?
00:44Alors, le council, le Allied Health Professionals Council, il y a assez nouveau.
00:49Pour nous expliquer un petit peu, nous avons compris le contexte, ça veut dire, par exemple, le Medical Council qui regroupe tout bas de médecins.
00:55C'est-à-dire, pour quatre exercices de travail comme médecin Maurice, vous avez besoin d'enregistrer à le Medical Council.
01:01Le Allied Health Professionals Council, il regroupe majoritairement les professionnels de santé.
01:06Par exemple, nous avons un physiothérapeute, égothérapeute, nous avons un clinical scientist.
01:11Il y en a plusieurs, encore, vous m'entendez en détail.
01:13Oui, Mabokadé, il y a oublié de définir un petit peu ça, il y a différents postes.
01:16Alors, le but de ce council-là, c'est de créer un acte au Parlement qui protège le public.
01:26Parce que le problème à Maurice, c'est qu'ils ont trouvé le constat, c'est qu'il y a beaucoup de gens qui ont des « professionnels ».
01:34Mais je n'ai pas la qualification qui est pour qu'il y ait des « dîmes ».
01:39Mais en faisant ça, je peux mettre sa personne à risque et être capable même de faire des dommages assez conséquents.
01:46D'accord, c'est-à-dire que le gouvernement vient avec la loi-là,
01:49c'est-à-dire qu'il y a 18 professions, c'est-à-dire qu'on est obligé d'enregistrer avec le council pour qu'il y ait des « médecins ».
01:56C'est-à-dire qu'on trouve qu'il y a quelqu'un qui a la liste, c'est qu'il y a un « website » de EHPC,
02:01qu'on est là, quand on rentre par rapport à professionnel, on rentre, on trouve la liste des « noms ».
02:07Ça aussi est qu'il y a une qualification voulue pour qu'il y ait des « exerces » le métier.
02:12Parce qu'il y a pour autant qu'il nous protège les patients.
02:16Parce qu'il y a trouvé dans le passé, qui peut-être qu'il y a un petit peu en détail aussi,
02:21qu'il y a des gens qui ont gagné un peu de professionnels, mais ils ont fait des affaires qui ne sont pas bien.
02:24Par exemple, nous avons fait souvent cause de l'AVC, « stroke ».
02:30Il y a des gens qui ont fait des « professionnels », mais ils ont fait des « serings »,
02:34ils ont fait des « sans-cailler », ils ont fait des gens sur la tête.
02:37Alors, la personne n'a aucune qualification, même le médecin, il n'y a pas pour faire ça.
02:42Il y a des gens qui ont fait des « professionnels de santé », ils peuvent faire des « bêtises » comme ça.
02:46Alors, le council, il y a pour régulariser et protéger en priorité la santé publique.
02:54Donc, il est important de créer un tel council.
02:56Exactement.
02:57C'est bien important, il y a ça, mais maintenant, là, nous avons encore une phase d'adaptation,
03:01parce qu'il y a une « banquetteuse » qui nous a mis en place pour régulariser et conscientiser le public aussi
03:07par rapport à la nécessité d'arguerter un professionnel qui enregistrer.
03:12Ça, il est bien important.
03:13Oui. Alors, nous nous faisons comme thème « roles of allied, justement, health professionals in public health ».
03:19Alors, justement, comment nous expliquons ça, le « ban rôle » ?
03:26Alors, l'important, nous comprend l'importance des « samans professionnels » là, dans le secteur public.
03:33C'est-à-dire « public health », c'est-à-dire « public health », c'est-à-dire la santé.
03:38Dans la santé, c'est-à-dire le rôle des « samans professionnels » là, premier, nous pouvons faire « ban diagnostic ».
03:42Parce qu'il y en a beaucoup d'entre nous qui font « ban diagnostic », nous fais « ban traitement »,
03:46nous fais « la réhabilitation » et nous fais aussi « health promotion », c'est-à-dire promouvoir la santé, prévention, etc.
03:51Une petite idée, pour vous de comprendre, c'est-à-dire qu'il y a des causes diagnostiques.
03:55Par exemple, nous réponsons tout le temps pour le cas de l'AVC, vous y comprenez bien.
03:59Un patient, il y a un AVC, il arrive à l'hôpital.
04:02Le médecin est là, et il dit qu'il doit faire un « MRI ».
04:06Là, il y a un professionnel de santé qui rentre en jeu, c'est un « medical imaging technologist ».
04:11C'est lui qui peut faire ça et scanne-la.
04:13C'est-à-dire qu'il y a un appareil, il y a un appareil, il y a un radiologue, il y a un film.
04:17Le médecin-là, il doit, par exemple, faire une analyse dix ans.
04:20Fini dix ans, il y a cinq ans dix ans, il y a un « medical lab technologist » avec le « clinical scientist ».
04:26Il peut faire, par rapport à ce qu'il nous demandait, il peut donner le résultat.
04:30C'est-à-dire qu'il analyse dix ans, il peut regarder, est-ce qu'il y a une inflammation, est-ce qu'il y a un caillot, etc.
04:35Il peut travailler tout ça, là, il y a un résultat de la médecin.
04:37Ça, c'est un professionnel de santé qui travaille dans le background, mais ne pas valoriser.
04:42Parce que sans ces résultats, le médecin n'est pas pour gagner le « reading ».
04:47Qui type de traitement pour donner le patient ?
04:50Donc, il y a une profession qui représentait…
04:54Exactement.
04:55C'est-à-dire qu'il y a une analyse pour nous comprendre, il y a peut-être qu'il y a un « pinpoint » en deux.
04:59Par exemple, il y a un « ergothérapeute », « occupational therapist ».
05:02Il y a un « orthopedic technician ».
05:05Il y a un « orthopedic » qui fait une prothèse.
05:06Il y a un « orthopedic » qui fait une prothèse, il y a une prothèse, il y a une fois les pieds, etc.
05:10Ça, c'est dans le travail.
05:11Il y a un physiothérapeute, une personne, un « podologue » qui fait les pieds, etc.
05:16C'est très important.
05:17C'est-à-dire qu'il y a un traitement, il sert, il y a un « insolent », etc.
05:20Il y a un « sports therapist ».
05:22Par exemple, si un sportif est blessé, etc., il faut récupérer, retourner au terrain.
05:27Alors, il y a un « audiologist » qui fait les oreilles, les « hearing aids ».
05:33Il y a un « orthopedic » qui fait un petit peu le « swallowing », causer, etc.
05:37après une attaque, souvent, ou souvent, les enfants qui veulent avoir une difficulté pour apprendre, etc.
05:41pour intervenir.
05:42Il y a un « diététicien » qui fait l'aspect par rapport à un « malade », il faut dire ça.
05:48Le « nutritionniste » qui fait un type de puissance globale.
05:50Il y a un « immun » qui fait un « health promotion », qui fait un « health promotion », qui fait un « health promotion », qui fait un « santé », comment manger, etc.
05:56Il faut intervenir.
05:57Il y a un « counsellor ».
05:59Il y a un « counsellor » qui est extrêmement important parce que c'est un « mort » qui est accru à Maurice.
06:05Mais il est bien important pour les « counsellors » parce qu'ils ont un rôle important.
06:08Par exemple, les enfants dans les écoles, avec tous les fléaux,
06:12qui sont importants qu'ils aient un « counsellor », même avec le « drug commission » qui peut venir, etc.
06:17Il y a un « counsellor » qui peut, là, pour avoir un « immun » là, pour conseiller.
06:21Parce que ce n'est pas un problème social, émotionnel.
06:25Ils aient un « immun » qui m'ont guider.
06:27Ça, c'est un type de rôle de « counsellor » aussi.
06:29Oui.
06:30Mais vous êtes assez professionnels ?
06:33Pour l'instant, nous avons pour mettre la réalité devant, nous, nous n'avons pas assez.
06:40Oui, nous avons encore un « psychologue », nous avons un « psychothérapeute », un « psychomotricien », un « chiropracteur », un « ostéopathe », un « clinical scientist », un « medical imaging technologist » et un « medical lab technologist ».
06:53Ça, c'est le truc qu'il y a.
06:55Et dans chacun, il y a une « scarcity ».
06:57Nous sommes assez professionnels.
07:00Alors, tout ça…
07:00Dommage ?
07:01Oui.
07:01Malheureusement, c'est une filière que les jeunes, qui sont capables à l'apprendre.
07:12Mais ce n'est pas fait.
07:12Mais le truc, c'est qu'il n'y a pas assez de « awareness ».
07:15Il n'y a pas assez de « awareness ».
07:16Ils encouragent davantage.
07:17Exactement.
07:18Ils ne veulent pas exposer à tout ça.
07:20La majorité, quand nous cause le domaine médical, nous connaissons le « docteur ».
07:24On a besoin du médecin.
07:26Oui, bien sûr.
07:26Nous avons tous les professionnels en « background » qui font un travail en parallèle.
07:32C'est-à-dire, par exemple, nous avons l'AVC.
07:35Nous avons des professionnels qui travaillent dans l'analyse du sang, l'imaging, etc.
07:39Mais quand ils finissent avec l'AVC, le physiothérapeute rend l'enjeu, l'ergothérapeute, le psychologue…
07:44Mais c'est tout un suivi, là.
07:45Exactement.
07:46C'est-à-dire, c'est puridisciplinaire.
07:49Le « allied health care council », c'est un council qui englobe majoritairement des professionnels
07:54qui travaillent dans un team.
07:56Un multidisciplinary team parce qu'il est important qu'ils nous communiquent avec
08:01l'autre collègue pour être capable d'avoir un peu plus de bienfaits aux patients.
08:06Ça, c'est un type.
08:06La loi qui est érigée par le gouvernement à l'époque, c'était plus pour englobe
08:11banne professionnelle qui est une insimilité parce qu'ils nous travaillent pour le bénéfice
08:16du patient.
08:17Comment ça va être professionnel-là qui va contribuer pour la prévention et promotion
08:25de la santé publique ?
08:27Alors, je vais donner un exemple pour nous comprendre.
08:29Par exemple, il y a un nutritionniste qui lui a un rôle par rapport à la health promotion
08:35parce qu'il nous connaît qu'il a malbouffe un petit peu à Maurice et ça peut cause
08:40d'une information un petit peu à la pré-diabétique.
08:42qu'il a une étude par rapport à le nombre d'enfants qui paie monse-force-food et qui
08:48prône faux-d'habit, gazeuse qu'il a.
08:50Alors, c'est un type.
08:51Le rôle d'un nutritionniste qui est alderman de l'école explique un type aussi.
08:55Le gouvernement fait, le ministère fait beaucoup de campagnes de sensibilisation
08:59que le nutritionniste vient de causer comment manger sainement.
09:02Ça dit extrêmement important.
09:03Ça, c'est le health promotion.
09:04Par exemple, moi, en tant qui visuothérapeute, il me fait beaucoup le health promotion aussi
09:07parce qu'on nous explique Jim Moon aussi par avoir une maladie, par exemple, le stroke.
09:12Comment nous avons évité?
09:14Par exemple, la posture.
09:16Comment assisez-vous, qui a une précaution nous apprend?
09:19Là, c'est une autre health promotion qui est là.
09:21Alors, chacun de ces domaines, les professionnels, est là, il y a des psychologues aussi.
09:27Par exemple, quand nous sommes conscients de le burn-out, ça peut faire des group sessions.
09:31On voit dans les firmes privées ou même publiques que nous avons un psychologue qui vient
09:36et qui vient d'indiquer le mental health, qui est un grand aspect avec une société
09:40qui pérenne ce travail, travaille émotionnellement, stressful, etc.
09:44Le rôle de la prévention de la psychologue montrait un petit peu comment nous gênerait
09:49l'émotion, comment nous gênerait le support familial, etc.
09:54C'est-à-dire qu'il est assez élogique par rapport à l'aspect health promotion.
09:58Alors, quand on peut causer là, c'est, moi pensez, c'est tout un travail d'équipe.
10:03Donc, il est important que ce travail d'équipe là, sur place, non seulement dans l'hôpital,
10:09mais dans le centre de santé, dispensaires.
10:12Il est extrêmement important.
10:14Souvent, quand il y a un petit peu malheureux, le Panko, Bien, Gaha, Aouenessa, Maurice.
10:20On a tous ces professionnels-là dans les hôpitaux, même dans le secteur privé aussi, on a.
10:27Mais, il n'est pas assez valorisant le professionnel-là.
10:32Parce que le public ne connaît pas exactement les pensées.
10:36Le Panko minimise un petit peu le travail du médecin.
10:40Il fait ce travail, il y a un travail de diagnostic qu'il y fait, etc.
10:43Mais, tout ça professionnel-là, il y apporte à plus, apporte de qualité de vie dans des patients.
10:51Par exemple, il ne finit stabilisé.
10:53Par exemple, vous pourrez prendre l'AVC pour vous comprendrez bien.
10:56Il y a un stroke, il ne finit de finir, il ne finit stabilisé.
10:59Mais, dis-moi, là, vous avez marcé.
11:01Il vous a carré à la toilette.
11:02Bien sûr, oui.
11:02Il vous a carré à l'auto.
11:03Il vous a carré à toute sa activité.
11:05Alors, là, nous, il y a un professionnel qui rentre en jeu pour accompagner sa patient-là
11:09dans sa phase de réhabilitation-là, pour lui qu'il n'y ait pas de régain sur l'autonomie,
11:13et que c'est l'indépendance.
11:14Et, vous pensez, vous pouvez dire, il n'en manquait.
11:18Donc, nous, vous encouragez, nous venez de faire une scène,
11:20comme vous pouvez dire, les résultats et les chiffres vignent,
11:22je ne sais pas trop qu'on ne connaît avec qui vous pouvez aller.
11:25Exactement.
11:26C'est, vous encouragez.
11:27Oui, ça s'intipait le rôle aussi du Council,
11:29qu'il est en train de faire aussi là,
11:31c'est nous guettant avec les institutions locales aussi,
11:37pour les réhabilitations, mais dans les guidelines qui sont set par le Council.
11:43Parce que, pour nous être, par exemple, un physiothérapeute,
11:45il y a des compétences qui nous ont besoin.
11:47Pour être un psychologue, il y a des compétences qui nous ont besoin.
11:50Alors, le Council aussi, il y a un rôle, c'est le set-up,
11:53ça, on appelle un National Competency Framework,
11:56qui peut limiter toutes les compétences qu'il a.
11:58Là, quand l'université a envie de faire une course,
12:01il vient, il m'appelait par rapport à sa compétence,
12:03et il rentre la course.
12:04Là, on peut travailler avec plusieurs institutions,
12:07une université publique, même privée, à Maurice,
12:10pour essayer de lancer un cours,
12:12parce qu'on a un besoin accru des professionnels,
12:16qui dans le public, qui dans le privé.
12:17Parce que le nombre, même avec l'ageing population,
12:21nous avons grandi, mais nous avons besoin de professionnels pour les autres.
12:25Parce que souvent, on est en Indien, je n'ai pas besoin de l'édo,
12:29je n'ai pas besoin de l'édo, je n'ai pas besoin de faiblesse.
12:32Vous comprenez ?
12:32Alors, c'est pour accompagner, je n'ai pas besoin de rétire,
12:34comment on nous réagir, je suis actif.
12:36Tout ça, là, c'est des professionnels qui sont là pour accompagner le public.
12:41Et qu'est-ce que c'est la même profession que vous trouvez plus en demande ?
12:45Bon, pour être franc, moi, bien sûr, c'est 18, là,
12:48même si moi j'ai dit en plus, là, les nurses aussi.
12:51Là, moi, je ne vais pas tomber sur moi, mais c'est moi,
12:53on en a accru de nurses aussi à Maurice.
12:57Alors, tout ça, c'est la même professionnel.
12:58Là, c'est qu'on disait comme un health professional, même, in a way.
13:02Il est important pour un, comment on dit,
13:04pour un système hospitalier, qui est le public, qui est le privé,
13:08mais aussi, il est important à tous ces maillons.
13:11Parce que le médecin, tout seul, il n'est pas vous capable de gérer le tout.
13:16Parce que le burden qu'il y a, parce que ça a une spécialité inéluée.
13:20Par exemple, si je prends un audiologiste,
13:25il comprend un petit peu le hearing,
13:27c'est-à-dire qu'il connaît comment vous réadaptez, pour rétender,
13:29même si il n'a pas résoré qu'il nous connaît,
13:30ça, c'est un audiologiste qui a fait ça.
13:33Mais le médecin, il n'est pas vous connaît,
13:35il connaît un hearing problème, il est réveillé,
13:37et un audiologiste,
13:39un dimune, par exemple, il n'a pas eu un problème pour causer,
13:43là, nous parlons d'un autophoniste,
13:44un speech therapist,
13:45qui est pour dire comment on est capable de faire pour communiquer avec le patient,
13:49ou soit comment on redéveloppe ce son, etc.
13:52Il y a une procédure de comment nous réévaluer
13:55et comment nous faire le traitement voulu.
13:57Alors, chacun a une spécialité dans lui-même,
13:59mais c'est moi,
14:01à l'heure de dé,
14:02c'est le patient qui doit sortir,
14:04et nous protéger sa passion-là,
14:06Albert Mandimoun,
14:07qui comprend de la santé.
14:09Parce que si,
14:10je n'ai pas une conscientisation par rapport à qui est professionnel,
14:15et qui n'est pas professionnel,
14:17mais le public ne peut pas vous connaître.
14:18D'accord, ça,
14:19le gouvernement met des mécanismes en place,
14:20et c'est un des mécanismes qu'il mettait.
14:22Il y a encore un nouveau,
14:23parce que c'est 2017,
14:24il y a encore,
14:25il y a encore le rodage,
14:27mais c'est moi,
14:28il y a pas mal de structuration
14:30qu'il peut apporter
14:31pour valoriser un type de professionnel
14:34et protéger le public.
14:37D'accord,
14:37alors laissez-le faire une pause,
14:38au cas de chaque mon téléphone,
14:39nous,
14:39l'ordre 213-77-77.
14:41Top FM,
14:44Mid-Morning Show.
14:45Mid-Morning Show.
16:16L'info 19h
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