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  • il y a 1 semaine
Imaginez la scène : un athlète en pleine santé, Gabriel McKenna, soulève une charge comme il l'a fait mille fois. Mais cette fois-ci, quelque chose claque. Pas une simple déchirure musculaire, non : une blessure si profonde qu'elle ouvre la porte à un cauchemar médical. Une fasciite nécrosante – cette infection dévorante surnommée "la maladie mangeuse de chair" – s'installe dans son bras. En quelques heures, des bactéries voraces détruisent ses tissus, transformant un muscle fier en une masse nécrosée, noire et puante. Les médecins n'ont plus le choix : il faut amputer. En tant que médecin, je vous raconte cette descente aux enfers, où une simple séance de musculation se transforme en combat pour la vie. Une histoire qui devrait glacer le sang de tout sportif.

Plongez dans les mécanismes terrifiants de cette infection foudroyante. Comment une simple déchirure musculaire peut-elle déclencher une réaction en chaîne aussi dévastatrice ? Je vous explique pourquoi la fasciite nécrosante tue 1 personne sur 4, comment elle dévore les tissus à une vitesse effrayante, et pourquoi chaque minute compte pour sauver un membre... ou une vie. Mais cette vidéo est aussi un appel solennel : apprenez à reconnaître les signes avant-coureurs (douleur insupportable, peau qui noircit, fièvre soudaine), découvrez les erreur à ne jamais commettre après une blessure musculaire, et comprenez pourquoi certaines infections ne pardonnent pas. L'histoire de Gabriel n'est pas qu'un accident : c'est un avertissement pour tous les sportifs. Parce qu'entre une déchirure banale et l'amputation, il n'y a parfois que quelques heures. Ne laissez pas l'ignorance vous coûter un bras.

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Musique utilisée pour le générique :
Keziah Kyser ft. Prince of Falls – Don’t Know How It’s Like

Catégorie

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Sport
Transcription
00:00Les amis, l'heure est grave, imaginez que vous êtes à la salle de sport tranquillement en train de vous entraîner
00:06et d'un coup vous perdez connaissance et quand vous vous réveillez à l'hôpital, il vous manque la moitié de votre corps.
00:13Ça paraît complètement invraisemblable et pourtant c'est une histoire vraie qui est arrivée à un jeune pratiquant de musculation âgé de 29 ans.
00:22Et cette histoire, je l'ai vue en passant sur mon fil d'actualité puisque cette vidéo nous résume son histoire.
00:30Je vais vous faire mon meilleur voice-over et vous allez voir que même si l'histoire est vraie, il ne faut clairement pas croire tout ce que l'on voit sur les réseaux sociaux.
00:39La musculation a failli le tuer. Il adorait aller à la salle de sport et était très actif mais cela lui a coûté la moitié de son corps, littéralement.
00:48Comment une séance de musculation pouvait-elle conduire à la perte de son bras ?
00:52Gabriel McKenna était un jeune homme australien qui faisait ce qu'il aimait le plus de la musculation.
00:58Son entraînement avait bien démarré jusqu'à la dernière répétition.
01:03Il l'avait fait des centaines de fois mais cette fois il allait faire une erreur qui allait presque le tuer.
01:08Gabriel a soulevé un alter de 50 kg et a démarré un biceps curl.
01:14D'un seul coup, il y a eu un crack suivi d'un cri.
01:17Pour Gabriel, le sport était plus qu'un entraînement, c'était un mode de vie.
01:21Mais jamais il ne se serait préparé au drame qui allait suivre.
01:26D'un seul coup, il a perdu connaissance et quand il s'est réveillé à l'hôpital, il ne se rappelait de rien puisqu'il avait été dans un coma pendant 10 jours.
01:36Mais la chose la plus terrible, c'est quand il a regardé du côté droit de son corps.
01:40En soulevant le poids de 50 kg, il s'était arraché le tendon du biceps.
01:45Il a ressenti une douleur extrême et il a été conduit en urgence à l'hôpital où ils ont pu l'opérer pour réparer son tendon.
01:52Une petite chirurgie qui normalement n'a pas de complications.
01:55Malheureusement, c'était le début de sa descente aux enfers.
01:59Si l'opération avait semblé être un succès, quelque chose n'allait pas avec son bras qui a commencé à devenir bizarre.
02:06Il était rouge, chaud et gonflé, voire même il était trois fois plus gros.
02:10Gabriel est retourné d'urgence à l'hôpital mais la chance n'était pas de son côté.
02:14Et plusieurs jours plus tard, il s'est réveillé et il lui manquait la moitié droite de son bras.
02:20En effet, Gabriel a été atteint d'une maladie qui s'appelle la fascite nécrosante.
02:24Une infection bactérienne qui est très grave et qui s'appelle la bactérie mangeuse de chair.
02:30Malheureusement, cette bactérie avait grignoté tous les tissus de son bras, les muscles, les tendons et les articulations.
02:38Et l'infection était en train de se propager extrêmement vite.
02:42Et la seule chose qu'il restait à faire, c'était de lui amputer le bras afin de le sauver.
02:48C'était une tragédie mais Gabriel n'a jamais à abandonner.
02:51Depuis cet accident, le sport est toujours une partie de sa vie et il n'a aucun ressentiment.
02:57Et il a trouvé une nouvelle passion, le vélo.
02:59Il a d'ailleurs réussi à s'entraîner et à participer aux Jeux Paralympiques de 2024.
03:05Aujourd'hui, il s'entraîne toujours et il a arrêté d'être une victime pour devenir un athlète qui ne se laisse pas abattre par l'adversité.
03:14Voilà, vous savez tout. Je vous ai fait mon meilleur voice-over et je suis de retour en face caméra.
03:20Voilà, normalement, vous avez vu cette vidéo et si vous êtes comme moi, vous vous dites qu'il y a quelques petites incohérences dans l'histoire.
03:27Pourtant, même si j'ai peut-être raccourci un petit peu parce que la vidéo initiale faisait 3 minutes, il reste des incohérences que je vais tenter d'éclaircir.
03:36Déjà, je me suis demandé, est-ce que ce n'est pas un fake ? Parce qu'on retrouve, et on ne va pas se mentir là-dessus, on retrouve véritablement n'importe quoi sur les réseaux sociaux.
03:45Et surtout, depuis qu'il y a des vidéos short d'une minute, c'est véritablement la catastrophe.
03:50Entre les vidéos faites avec l'IA qui n'ont ni queue ni tête et les vidéos où les gens vont simplement empiler des images les unes avec les autres qui n'ont aucun sens, aucun lien, simplement pour faire du clic.
04:02Parce que rien n'est contrôlé, cette histoire aurait très bien pu être un fake total.
04:05Pourtant, quand on tape le nom de cet athlète, on retrouve véritablement des liens vers des articles qui vont nous raconter son histoire.
04:13Et le démarrage de l'histoire est vrai, la fin est vraie également.
04:17La seule chose qui ne va pas très bien, c'est ce qu'il se passe entre les deux.
04:20Parce que normalement, vous vous dites, mais attends, comment est-ce qu'il peut perdre connaissance à la salle de sport et se réveiller 10 jours plus tard avec le bras en moins ?
04:29Surtout parce qu'à la limite, je veux bien entendre s'il avait fait un arrêt cardiaque, s'il avait fait un malaise grave avec une véritable perte de connaissance, une épilepsie ou quelque chose qui véritablement nécessite d'induire ou de rester dans le coma plusieurs jours.
04:43Mais là, on parle d'une déchirure du biceps.
04:46Je ne dis pas que ce n'est rien, c'est quelque chose qui est relativement important et quelque chose, je ne vais pas dire grave parce que le pronostic vital n'est quasiment jamais mis en jeu, sauf dans des complications particulières comme c'est le cas ici.
04:58Mais c'est quelque chose qui peut arriver à des athlètes et en général, les gens ne perdent pas connaissance.
05:04Est-ce qu'on peut perdre connaissance avec la douleur ? La réponse, c'est oui.
05:07Parfois, on peut faire un très gros malaise vagal, mais normalement, un malaise vagal, ça dure au maximum du maximum quelques minutes avant de reprendre connaissance.
05:17Parce que là, on dirait qu'il tombe dans la salle de sport, qu'il y a les pompiers qui arrivent, qui vont l'emmener à l'hôpital et qu'il n'a jamais récupéré sa conscience.
05:26Et pourtant, dans ce genre de situation, parce que oui, bien sûr, si le mec est en arrêt cardiaque, tu le masse, tu le réanimes, tu l'amènes à l'hôpital et tu ne lui demandes jamais son consentement.
05:36Tout doit être fait pour le sauver.
05:38Mais dans une opération du biceps, quand tu arrives à l'hôpital, on va te demander ton consentement.
05:43Est-ce que tu es d'accord pour qu'on t'opère ? Parce que vous imaginez bien qu'on ne va pas faire des choses sur lui, sauf urgence vitale et personne incapable de décider pour justement l'opérer en urgence.
05:54Donc le chirurgien, il va discuter, il va avoir un bilan préopératoire, il va avoir une imagerie.
05:58Bref, on ne va pas l'emmener directement depuis la salle de sport et une demi-heure plus tard, il est opéré.
06:03Non, ça ne se passe pas comme ça.
06:05Donc déjà, je pense qu'il y a une petite erreur de chronologie.
06:08Maintenant, bien évidemment, qu'est-ce qu'il se fait opérer ?
06:11Ensuite, il va se réveiller parce que l'infection qui lui est arrivée, la fascite nécrosante, effectivement, c'est une complication qui peut arriver et qui peut d'ailleurs arriver aussi même sans chirurgie.
06:22Même si, parce que la bactérie peut parfois rentrer par d'autres mécanismes, elle peut passer sous la peau si vous avez une plaie ou autre.
06:28Mais effectivement, la chirurgie, c'est une ouverture cutanée et donc les bactéries peuvent rentrer.
06:33Pour revenir donc à ce qu'est-ce qui se passe ensuite, il va se réveiller après son opération.
06:39Et d'ailleurs, on entend qu'en gros, il sentait que son bras n'allait pas bien.
06:44Il le dit dans la vidéo qu'il est ensuite retourné à l'hôpital.
06:47Donc, ça veut bien dire qu'il avait repris connaissance et donc qu'il savait ce qu'il s'était passé.
06:52Ce n'est pas comme si, encore une fois, ton dernier souvenir, tu es en train de faire du curl et puis quand tu te réveilles, il te manque la moitié du bras.
06:57Parce que bien sûr que cette image, elle choque et elle fait cliquer parce que quand on voit cette image-là, on se dit
07:03« Attends, mais comment un mec qui fait de la musculation peut se réveiller avec la moitié de son corps en moins ? »
07:09Et d'ailleurs, je pense que vous avez remarqué la petite manipulation de l'image.
07:16Parce que dans la première image que met sur il, et ils sont très malins, ça fait cliquer, ça fait regarder.
07:20Et moi aussi, je me suis posé la question, on a l'impression qu'il lui manque carrément tout le bas du corps et qu'il lui manque aussi la totalité du bras et du moignon.
07:28En gros, on a l'impression qu'il ne lui reste plus rien et que c'est devenu un homme-tronc.
07:32Donc là, tu te dis « Attends, moi je fais de la musculation, je pousse à la salle de sport, comment je peux finir comme ça ? »
07:37Et donc, tu vas regarder l'histoire.
07:39Mais en vérité, et c'est déjà beaucoup, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, il n'a perdu que son bras.
07:44Il n'a pas perdu la moitié de son corps, donc un titre et une histoire un petit peu romancée dans le mauvais sens.
07:51Donc, il rentre chez lui et puis dans les jours, dans les heures peut-être qui suivent, les heures c'est un petit peu précoce.
07:57Mais en tout cas, on va laisser le bénéfice du doute, dans les heures, les jours qui suivent, il commence à ressentir que son bras commence à gonfler, il est rouge, il est douloureux.
08:05Ça peut parfois arriver en post-opératoire, mais normalement, ce n'est pas censé arriver.
08:09Ou c'est parfois le cas quand c'est vraiment juste le post-opératoire précoce.
08:13Mais dans la quasi-totalité des chirurgies, les symptômes sont censés s'améliorer et aller de mieux en mieux jusqu'à disparaître.
08:21Si vous sentez que ça va un petit peu mieux et qu'ensuite, ça recommence à aller moins bien,
08:26alors soit les médicaments antalgiques, la morphine ou le doliprane ou autre ne font plus effet parce que c'était le post-opératoire.
08:33Ça, ça arrive que la chirurgie, justement, la douleur revient dans les heures qui suivent parce que justement, les antalgiques et les anesthésiants, justement, sont en train de disparaître.
08:42Et donc, la douleur, il y a un petit ressaut de douleur.
08:45Mais ensuite, ce n'est plus censé réaugmenter.
08:47Donc, si vous sentez qu'il y a quelque chose qui se passe et qui n'est pas normal,
08:51bien évidemment qu'il faut retourner voir le chirurgien ou au moins voir un médecin
08:54parce qu'il peut y avoir des complications et notamment des infections.
08:58Donc là, c'était le cas.
08:59Son bras était rouge, gonflé, douloureux.
09:02Donc, il suspecte quelque chose et malheureusement, il se rend compte et on voit les images.
09:06C'est vraiment ce type d'infection, la fascite nécrosante.
09:09C'est quelque chose de dramatique parce que ce n'est pas de la rigolade.
09:12Et il l'explique bien dans la vidéo.
09:14C'est une bactérie qui va véritablement grignoter les chairs parce qu'elle est extrêmement agressive.
09:20Cette bactérie va vraiment ronger les tissus, ronger les chairs et se propager extrêmement vite.
09:25Et quand elle survient, eh bien parfois, les antibiotiques ne suffisent pas.
09:29Et si ce n'est pas le cas, donc que les antibiotiques ne suffisent pas à contenir l'infection,
09:33il faut véritablement amputer parce que l'amputation reste une méthode de sauvetage dans le contexte d'infection.
09:42Quand on ampute des gens parce qu'il y a une gangrène, parce qu'il y a une infection localisée,
09:46ce n'est pas, je ne vais pas dire ça pour faire joli,
09:49mais ce n'est pas simplement pour éviter des antibiotiques,
09:52c'est véritablement pour sauver la vie des gens,
09:54pour éviter que les infections ne se propagent à la totalité du corps.
09:58Parce que, eh bien, quand il y a un foyer infectieux trop important,
10:02quand il y a trop de bactéries,
10:03les antibiotiques ne peuvent parfois, ont du mal à arriver et à nettoyer tout ça,
10:08à stériliser la zone.
10:10Et donc, l'amputation permet d'enlever la grosse partie de la zone infectée.
10:15C'est comme dans le contexte, dans le cadre d'un abcès,
10:18quand il y a un abcès, donc des bactéries et du pus qui sont vraiment condensés quelque part,
10:23on a beau donner des antibiotiques,
10:24les antibiotiques parfois ne rentrent pas,
10:26ils n'arrivent pas à aller jusque dans l'abcès.
10:28Et donc, la seule façon, eh bien, de traiter,
10:31c'est d'inciser pour véritablement ouvrir l'abcès.
10:34Et comme on dit, c'est l'expression, crever l'abcès,
10:37pour permettre aux pus de s'évacuer,
10:39aux bactéries d'être évacuées également et d'être lavées,
10:42et d'enlever la charge bactérienne qui est majeure.
10:45Donc, quand il se réveille, on lui diagnostique ça,
10:47et donc, je suppose qu'il se passe un petit peu de temps entre les deux,
10:50il est probablement mis dans un coma,
10:53ça je veux bien le croire, parce que c'est très douloureux,
10:55et parce que, dans ce type d'infection,
10:57il est très probablement en choc sceptique.
11:01Je vais vous renvoyer très brièvement à la vidéo de Ronnie Coleman,
11:04qui a eu la même chose,
11:05un sepsis, un choc sceptique très grave,
11:07parce que le choc sceptique, c'est extrêmement grave,
11:10et parfois, ça conduit à des tragédies, on peut le dire,
11:13comme celle-là, celle de perdre son bras.
11:16Donc, ensuite, il est réopéré,
11:18et il y a à nouveau un petit trou dans l'histoire,
11:20mais on suppose qu'il se passe quelques jours,
11:22voire au moins quelques heures,
11:24et que les médecins vont prendre la décision de l'amputer
11:26pour enlever le foyer infectieux,
11:28et véritablement le sauver.
11:31Donc, voilà pour cette histoire,
11:32comment est-ce qu'on peut passer d'une séance de musculation normale,
11:36et d'ailleurs, petite erreur,
11:37c'était pas, parce que dans l'histoire, au début, je me suis dit,
11:39attends, un alter de 50 kilos pour faire un curl,
11:42le mec est sacrément balèze.
11:44Donc, je suis allé regarder les autres articles,
11:47et rassurez-vous, c'était une barre de 50 kilos,
11:51et non pas un alter.
11:52Donc, une barre de 50 kilos, c'est déjà pas mal,
11:54mais c'est beaucoup plus crédible,
11:56à moins d'être vraiment ulc,
11:58pour arriver à curler 50 kilos,
12:00ou à le faire de façon propre.
12:02Cela dit, ce n'était peut-être pas si propre que ça,
12:04parce qu'il s'est rompu le tantôt.
12:06Il y a quand même, dans cette histoire,
12:08et il faut finir sur une note positive,
12:10eh bien, quelque chose,
12:12un message, on va dire, d'espoir,
12:13parce qu'il ne s'est pas laissé vaincre par l'adversité,
12:17et il a gardé le sport comme mode de vie,
12:19et il a continué de s'entraîner,
12:21et il a trouvé une nouvelle passion,
12:23puisqu'il a fait les Jeux Olympiques,
12:25ou plutôt Paralympiques,
12:26de 2024.
12:28Donc, ça, c'est véritablement,
12:29je ne vais pas détailler dessus,
12:30parce que ce n'est pas l'objet de la vidéo,
12:32mais en tout cas, sachez que, quoi qu'il vous arrive,
12:34ça reste toujours des histoires qui sont,
12:36pardon, je me suis mordu la langue,
12:37ça reste des histoires qui sont toujours très inspirantes,
12:41parce que, dans la vie,
12:42on va tous avoir, à un moment ou à un autre,
12:45des épreuves, des difficultés,
12:47certaines vont être plus importantes que d'autres,
12:49clairement, je n'ai jamais vécu,
12:50et je touche du bois pour que ça ne m'arrive pas,
12:53mais des choses aussi graves que la perte d'un membre,
12:56d'un membre, encore une fois,
12:57d'un bras,
12:58pas d'un membre de la famille ou autre,
12:59puisque ça aussi,
13:00c'est quelque chose de terrible,
13:02mais il faut toujours essayer de rebondir,
13:04parce que sinon,
13:05eh bien, on va laisser la vie nous ensevelir,
13:07et des épreuves, encore une fois,
13:09on en aura tous.
13:10Voilà pour ce petit débriefing,
13:12débunkage de vidéos,
13:14qui est un peu vrai,
13:15un peu fausse en même temps,
13:16mais attention à ce que vous voyez sur les réseaux sociaux,
13:19ne vous laissez pas avoir,
13:20regardez toujours les sources,
13:22et essayez de rester,
13:24je vais dire un petit peu,
13:26pas débitatif,
13:26ce n'est pas le bon mot,
13:27mais de rester,
13:28je n'arrive pas à trouver le mot,
13:29mettez-le en commentaire,
13:30comment on dit,
13:31de rester méfiant,
13:32voilà, c'est ça,
13:33de rester méfiant,
13:34vis-à-vis des informations que vous voyez,
13:36parce que,
13:37avec les likes et tout ça,
13:38et bien,
13:39et surtout les shorts,
13:39je trouve que c'est quelque chose de catastrophique,
13:42parce que l'information se dilue,
13:44et tout est fait pour juste faire du sensationnel,
13:47c'était déjà le cas avec les vidéos longues,
13:48mais là,
13:49on tombe vraiment dans quelque chose d'extrême.
13:51Voilà pour la vidéo,
13:52n'oubliez pas,
13:53avant de partir,
13:54de laisser un pouce bleu,
13:55c'est hyper important pour lutter contre la désinformation,
13:58dans ce désert de vidéos fake en tout genre,
14:02n'oubliez pas aussi de vous abonner,
14:04pour ne rater les prochaines vidéos,
14:06retrouvez-moi également sur Instagram,
14:07et sur TikTok,
14:08ledoc.pm,
14:09et je vous dis à bientôt pour la prochaine vidéo,
14:12salut à tous !
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