- il y a 7 semaines
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AmusantTranscription
00:00Les Chevaliers du Fiel avec Pierre Galibert, 17h-18h, c'est leur grand retour sur Sud Radio.
00:16Eric Carrière, France-Suisine Libre des Chevaliers du Fiel, bonjour !
00:22Sur Sud Radio, jusqu'à 18h, pour notre plus grand bonheur, et ça rime.
00:29– Accompagné de Pierre Galibert !
00:30– Bravo !
00:32– Merci, tu n'as pas pris une ride.
00:35– Eh oui, écoutez, on se maintient finalement, avec une hygiène de vie parfaite, plus d'entrecôte au Roquefort, plus de frites.
00:44– Ça t'a arrêté, ça y est ?
00:44– Non, non, non, non, je continue.
00:47– D'accord.
00:47– C'est le vélo que tu as arrêté ?
00:50– Non, non, je continue aussi, mais c'est bon une entrecôte au Roquefort.
00:52– Toi, tu dois faire du vélo électrique.
00:54– Ah, je fais les deux, je fais les deux.
00:56– Mais toi, tu parles comme quelqu'un qui n'a jamais fait de vélo électrique.
00:59– Mais si, j'en ai fait.
01:00– Mais non, parce que…
01:01– J'ai trouvé ça très bien, mais ce n'est pas du vélo.
01:04– Mais si, tu demandes la puissance que tu souhaites.
01:06L'avantage, c'est que…
01:07– Ça, c'est des conneries.
01:08– Non, par exemple, tu vas faire du vélo avec Francis.
01:11Francis est à un niveau largement supérieur au tien à vélo.
01:14– Oui.
01:14– Voilà, par exemple.
01:15– Bien sûr.
01:16– Déjà, si tu commences à l'humilier, ça ne va pas le faire.
01:18– Par exemple.
01:19– On part sur de mauvaises bases, Pierre.
01:21– Donc, ce qui veut dire que toi, tu vas demander un peu plus de puissance à ton moteur
01:26et Francis en demandera un peu moins.
01:27Et vous allez pouvoir vous balader ensemble.
01:30– Allô, vous êtes là, Éric Allier ?
01:31– Oui, déjà, je n'ai pas ce problème, je suis tout seul.
01:33– Oui, voilà.
01:33Et le but du vélo n'est pas de se balader ensemble.
01:37– Ça dépend.
01:38– Ah ben non, le but du vélo, c'est de faire du vélo, faire du sport.
01:40– Alors, pour répondre à ta question, j'ai un vélo, comment on dit un vélo ?
01:43Un vélo de course classique.
01:45Je suis tout seul.
01:46– Pour gagner les grandes courses.
01:47– Et quand je suis accompagné, j'ai un vélo électrique, comme ça, voilà.
01:49– Ah, accompagné par madame ?
01:51– Oui, entre autres.
01:51– Ah, d'accord.
01:52Pourquoi tu n'achètes pas une carriole et tu le fous derrière ?
01:55– Qui ?
01:55– Mon épouse.
01:56– On dit ça, mais c'est vrai qu'on a des doutes sur les coureurs du Tour de France.
02:02Donc, on ne sait pas si c'est vraiment…
02:04– Mais bon, moi, je fais un peu de vélo, mais vraiment comme un tout petit mec qui fait du vélo, mais j'en fais.
02:09– Mais tu fais quoi, du VTT ou du vélo vélo ?
02:10– Non, du vélo, je fais du vélo.
02:11– Vélo de route ?
02:12– Oui, voilà.
02:13– Et bien, un jour, vrai de vrai, cette histoire, tu es en haut du col du Mont Ventoux, c'est quand même le col du Mont Ventoux.
02:18Tu as quatre heures d'ascension, tu arrives en haut, tu es…
02:22Et j'étais presque en haut, j'entends clic, clic, clic, clic, clic, clic, je me tourne derrière,
02:27il y avait un vieillard sur un vélo électrique qui montait pratiquement en lisant le journal, tu vois.
02:33Et le mec, il me fait, c'est dur !
02:35Et il m'a doublé, moi, je gueulais, en pédalant, j'en pouvais plus, je gueulais,
02:40arrête-toi, connard !
02:43Et il ne s'est pas arrêté.
02:46– Peut-être, il…
02:47– Plus de respect pour les vieux.
02:48– Le mec, il ne dit rien, tu vois.
02:52Un mec qui passe en scooter, il te double quand tu es en vélo, il ne dit rien, il ne dit pas « t'as vu, je vais plus vite que toi ».
02:57– Il te fait un peu de vent en passant, c'est agréable.
03:00– Non, alors à part ça, je trouve ça génial.
03:03– Bon, ça c'est bien.
03:04– Je voudrais donner quelques rendez-vous, quelques rendez-vous d'enregistrement,
03:08parce que c'est important d'avoir du public pour nos enregistrements.
03:09– Oui, c'est un public sympathique qui nous accompagne pendant une heure.
03:13Alors, si vous souhaitez assister aux prochains enregistrements de l'émission des Chevaliers du Fiel,
03:18eh bien, sachez que nous serons à Avignon les 28 et 29 octobre pour enregistrer au théâtre le Paris.
03:27Donc, pour réserver vos places gratuites, c'est très simple, vous allez sur le site leschevaliersdufiel.com,
03:32vous réservez vos places gratuites et vous avez tous les horaires des enregistrements,
03:36vous avez le lieu, enfin, c'est le théâtre le Paris, rue Henri-Riff,
03:38– C'est facile. – Ça, c'est très facile.
03:40Et on vous attend donc les 28 et 29 octobre prochains.
03:43– À 17h et à 21h.
03:44– Exactement. Et puis, parlons du répondeur qui est en place.
03:48La ligne directe des Chevaliers du Fiel, c'est le 06-32-94-29-90.
03:55Et nous avons déjà quelques petits messages qui arrivent.
03:58Alors, bon, j'en ai pris un de Sandrine de Haute-Savoie.
04:01Tu as rappelé donc le numéro.
04:03– C'est donc la dame, la dame de Haute-Savoie.
04:04– La dame de Haute-Savoie, que c'était si bien Francis.
04:07Et donc, elle nous envoie cette petite blague.
04:10« Comment ça, il n'a pas de solution, Macron ? »
04:13Mais il en a plein des solutions.
04:15Il en a 10 solutions.
04:17– Ah, ben c'est joli !
04:19– Merci Sandrine.
04:22– Merci beaucoup Sandrine de Haute-Savoie.
04:24– Je la connaissais dans un autre sens.
04:25C'était Macron le soir de la dissolution.
04:27Mais attends, je n'ai pas dit solution, j'ai dit solution.
04:31– Voilà.
04:33– C'était un quiproquo.
04:34– Finalement, on ne sait pas comment ça va.
04:35Enfin, si, on sait.
04:36– Un petit commentaire sur l'actualité politique du pays,
04:39parce que vous avez un avis sur tous les chevaliers.
04:41On l'a dit, on peut ouvrir des débats sur n'importe quel sujet.
04:44– Écoute, moi j'ai été emmerdé quand ils m'ont appelé.
04:46– Pour le gouvernement ?
04:47– Pour être Premier ministre.
04:48– Premier ministre, carrément.
04:48– Oui, mais il n'y a plus personne qui veut y aller.
04:50Ils ont dit, au moins, lui, il racontera des histoires.
04:52– Et tu as répondu quoi ?
04:53– Je réfléchis.
04:54– Tu réfléchis.
04:55Bon, d'accord.
04:56Et toi Francis ?
04:57– À pour l'instant, je me garde d'avoir des réponses.
04:58Parce que, bon, j'en sais pas plus.
05:00– On sait pas ce que l'avenir nous réserve.
05:04– Ils nous réservent.
05:09– Voici l'histoire de Francis.
05:12– Ah, enfin.
05:13– Ah, enfin du matériel.
05:16– Ces trois copines qui partent s'acheter des glaces,
05:20elles arrivent devant le glacier.
05:21C'est vrai qu'il y en a deux qui sont très jolies
05:23et une qui est quand même assez laide.
05:25Et là, le vendeur, il leur demande leur prénom.
05:28« Et comment tu t'appelles, toi ? »
05:29« Eh bien, moi, je m'appelle Rose. »
05:30Parce que lorsque je suis né,
05:32il y a une feuille de rose qui est tombée dans mon berceau.
05:34« Ah, c'est bien. »
05:35« Et toi, comment tu t'appelles ? »
05:37« Moi, je m'appelle Prune. »
05:38Parce que quand je suis né,
05:39il y a une feuille de prunier qui est tombée dans le berceau.
05:42« Et toi, comment tu t'appelles ? »
05:43« Moi, c'est Poutrelle. »
05:44– Bon, je ne sais pas si vous avez soif, Eric et Francis,
05:53mais je vous propose de partir rejoindre Émile et Fernand.
05:57– Ah, salut Émile.
06:08– Salut, Fernand.
06:09– Je fais péter le jaune ?
06:10– Oui, mais sans eau, sans glaçons, sans bruit.
06:13Je veux le savourer.
06:14– C'est parti, je me fais discuter.
06:16– Chut !
06:17– Pas de bruit.
06:18Et voilà, un Ricard pur,
06:21sans eau, sans bruit.
06:22– Ah, je revis.
06:27– Ah.
06:28– Ah, je revis.
06:29– Oui.
06:29– Ah là là là là là là.
06:31Par contre, t'as l'air soucieux, toi.
06:32– Eh bien, j'ai regardé un reportage à la télé
06:35sur la fin de l'Empire romain, pardon.
06:38– La fin de l'Empire romain ?
06:39– Oui.
06:40– Qu'est-ce qui t'est arrivé ?
06:41Toi, t'as regardé ça ?
06:41– Eh bien, oui, figure-toi que j'avais la télé en panne.
06:44– Oui.
06:44– Plus de piles dans la zappeuse.
06:46– Oui.
06:47– Et bouton manuel coincé.
06:49C'était bloqué sur la fin de l'Empire romain.
06:51– Oh putain, t'as regardé ça ?
06:52– Eh bien, ça m'a fait peur.
06:53– Eh bien, pourquoi ça t'a fait peur ?
06:56– Eh bien, ça commence par une crise économique.
06:57– Eh oui, un peu comme nous, ça commence par une crise économique.
07:00– Oui.
07:01Ils font de moins en moins de commerce,
07:03et ça commence à être le bordel.
07:05– Eh bien, un peu comme nous, ils font de moins en moins de commerce.
07:08– Et pourtant, tu sais, les Romains, ils se marrent, ils déconnent.
07:10– Personne ne se raconte de rien, tu vois.
07:12– Mais c'est exactement nous.
07:13– Ça boit l'apéro, ça fait des fêtes, ça se tape des petits jeunes.
07:19– Eh bien, c'est comme nous, tout le monde est bisexuel aujourd'hui.
07:21– Oui, enfin, nous, c'est plutôt des petits jeunes.
07:24– Oui, oui, oui.
07:25– Mais t'es con.
07:27– Mais oui.
07:27– Mais je sais.
07:29– Attends, je le sais tout ça.
07:30– Tu le sais ?
07:30– Je le sais, je le sais.
07:31Ma petite nièce, elle est là au programme, la fin de Rome.
07:35– Oui.
07:35– Monsieur Galibert, la fin de Rome, ça vous parle ?
07:37– Pas trop trop, la fin de Rome.
07:39– À Rome, là.
07:39– Ah !
07:40– La chute de Rome.
07:41– La chute de Rome, oui.
07:41– Oui, pas du Rome.
07:42– Ma petite nièce, elle l'a eu au programme.
07:44– Oui.
07:44– Et c'était un hasard, mais ce week-end, je regardais ce livre d'histoire.
07:48Figure-toi que le début de la chute de Rome, c'est à cause, c'était écrit comme ça,
07:52de l'instabilité chronique politique.
07:55– Ouh, ça aussi, ça me rappelle quelque chose.
07:57– Voilà.
07:58Ils viraient les empereurs, les uns, après les autres, comme nous.
08:01– Oui, comme nous.
08:02– Attal, t'es trop jeune, Barnier, t'es trop vieux, Barnier, Bérou, t'es trop lent, le
08:07corps nu, ben c'est bon, on n'a pas eu le temps, voilà.
08:10– Allez, salut Edore !
08:11– Eh, attends, ils se sont mis à augmenter les impôts.
08:14– Je te dis qu'on y est, c'est pareil, c'est exactement ça.
08:16Prends ta bagnole, prends ta bagnole, t'as 20% de TVA, c'est le premier impôt.
08:21Après, tu payes la carte grise, c'est encore un impôt.
08:23Tu payes ton crédit, sur le crédit, il y a de l'impôt.
08:25Tu mets de l'essence, sur l'essence, il y a de l'impôt.
08:28Avec leur putain de bagnole avec des caméras, avant, tu pouvais t'inventer une place,
08:32essayer de te garer, là, rien, c'est fini, ça te filme, ça te note la plaque,
08:37tu ne sais même pas que tu as un PV, et bientôt, ils débiteront ton compte sans que tu le saches,
08:42c'est ça la bagnole.
08:43– Les Romains, ils ont fait pareil, pas avec les bagnole.
08:45Mais de nouveaux impôts, tout le temps, les gens des campagnes se sont mis à débarquer en ville,
08:51parce qu'ils n'avaient plus rien à bouffer.
08:52– Ça fait peur, quand même.
08:53– Et comme ils étaient faibles, les peuplades ont commencé à les attaquer,
08:57les visigots et les vandales.
08:59– Ah, c'était ça ? Mais c'était quand, ça ?
09:01– Attends, je l'ai noté, 410 après JC.
09:05– Eh bien, Jésus-Christ !
09:07– Oui, ah oui, c'est lui, oui.
09:08– 410, si tu soustrais, en fait, ça fait 1500, tu te rends compte qu'il y a 1500 ans,
09:13et c'est pas si loin, quand même.
09:14– Ah ouais ? Tu te rends compte qu'il y a 1500 ans, c'est pas loin, ça, c'est sûr.
09:17Il faudrait que nos hommes politiques lisent l'histoire, quand même.
09:19– Eh bien sûr, il faudrait qu'ils lisent.
09:21Refais-moi péter un double jaune, il y a quelque chose que tu viens de dire,
09:25qui vient de me percuter.
09:26– J'ai dit quoi ? Jésus ? 1500 ?
09:29– Non.
09:30– Mais dis-le !
09:31– Ils sont là.
09:31– Mais qui est mis de qui ?
09:33– Les vandales.
09:34T'as bien dit que c'est les vandales qui ont occupé Rome.
09:36– Oui, c'est comme ça qu'on les appelait, oui.
09:37– Eh bien, c'est comme ça qu'on les appelle encore au présent.
09:39Je te dis que c'est pareil chez nous.
09:41– Mais tu te disais quoi ?
09:43– Remets-moi une double.
09:44– T'es sûr ? Parce que là, non seulement t'as les yeux jaunes,
09:47mais bientôt, on lit l'étiquette sur ta pipi, hein.
09:50– Merci, ça me fait du bien.
09:53– Bon, tu disais quoi alors ?
09:54– Je te dis que les vandales sont là,
09:56puisque se fait tout vandaliser.
09:58Les petits cons qui taguent les cages d'escalier,
10:00qui pètent les trucs pour les péter,
10:02c'est pas hasard, c'est des vandales.
10:03C'est les mêmes que ceux qui ont taquet Rome.
10:05Les mecs qui mettent le feu aux poubelles dans les manifestations,
10:08qui pètent les bagnoles, c'est des vandales.
10:10Ça pouvait pas être un hasard.
10:12Personne ne se ferait ça par hasard.
10:14Ou alors, par simple connerie, c'est les descendants des vandales.
10:17Le peuple des vandales, ça fait 1500 ans qu'ils sont présents.
10:21– Tu veux pas un verre d'eau ?
10:22– Arrête avec de l'eau ! T'es avec eux ou quoi ?
10:24– Bah pfff.
10:24– Je le veux pur.
10:26Tu vois pas qui nous encercle ?
10:27– Bah lâche cette bouteille.
10:28– Tiens, regarde, je la finis.
10:30Voilà !
10:31Je me considère en guerre contre les cons et les vandales.
10:34– Calme-toi, Emile, les Romains.
10:36C'est comme nous.
10:37Quand ils se sont rendus compte, c'était trop tard.
10:39C'était la chute de Rome.
10:40– Eh bien, il faut qu'on s'organise, Fernand.
10:43On monte une résistance, on va au Pertus pour sauver la source de Ricard.
10:48Tout part de là.
10:49Si on sauve, si on sauve, alors Ricard, on sauve la civilisation.
10:55Mais c'est qui ?
10:56Mais c'est qui ?
10:57Le vandale qui a vidé la bouteille ?
10:59On nous a piqué le jaune.
11:00– Calme-toi, Emile.
11:02C'était juste un peu d'histoire.
11:03– C'est ça qu'on dit aux gens pour les calmer.
11:05C'est juste un peu d'histoire.
11:08Fernand ?
11:08– Oui.
11:09– Il faut sauver le Ricard.
11:10– C'est parti.
11:11Allez, à la tienne.
11:12– Et au trou de la sécu.
11:13– Et de ceux qui le creusent.
11:14– En attendant, on cotise.
11:17Et on boit avec modération.
11:20En revanche, on retrouve les Chevaliers du Fiel
11:23dans un instant sur Sud Radio, sans modération.
11:25– Les Chevaliers du Fiel avec Pierre Galibert, 17h-18h, c'est leur grand retour sur Sud Radio.
11:33– Éric Carrière, Françaises et Libres, les Chevaliers du Fiel sur Sud Radio jusqu'à 18h.
11:40– Quelques bliques.
11:42– Et mesdames, messieurs, nous allons prendre des nouvelles de nos chers amis, les municipaux.
11:47Amis que vous chérissez-t-il.
11:48– Ah oui.
11:49– Aujourd'hui, on les retrouve au cabinet médical du syndicat.
11:53– Au cabinet médical du syndicat.
11:56Voici les municipaux.
11:57– Bonjour, bonjour monsieur. Vous êtes monsieur ?
12:13– Gilbert Lavergne.
12:15– Très bien, et vous êtes ?
12:16– Employé municipal, service Parc et Jardin.
12:18– Très bien, et bien on va voir ça.
12:20– J'enlève mon t-shirt.
12:22– Non, non, attendez, je suis nommé de ce conseil des employés municipaux.
12:24C'est la première fois que nous nous voyons, apprenons à nous connaître.
12:27Est-ce que, première question, est-ce que vous aimez votre métier ?
12:30– Ah oui.
12:30– C'est un choix de le faire ?
12:32– Au départ, je voulais être pilote de chasse.
12:35Et puis j'avais de la conjonctivite à l'Eudroie.
12:38Vous savez que ça peut être dangereux, un pilote de chasse avec de la conjonctivite.
12:42À cette vitesse-là, on vise le Cahors, on pète Limoges.
12:44– Oui.
12:45Et alors donc, vous avez poursuivi vos études ?
12:48– Oui, et loin, 100 kilomètres, aller-retour pour Montobanque, ça fait du trajet.
12:53– Oui, c'est pas loin de chez l'amende Delphine Jubilard, ça.
12:58– Ah, c'est vrai, j'y avais pas pensé.
12:59– Moi non plus, ça vient de vous revenir.
13:01– Bon, qu'est-ce qui vous a fait bifurquer, finalement ? Un concours ?
13:08– Oui, concours, deux circonstances.
13:11Mon père s'est fait rentrer dedans par le maire avec sa bagnole.
13:14Il lui a dit, tu prends mon fils à la mairie ou je porte plainte.
13:17Et c'est comme ça que je suis rentré, quoi.
13:18– Et ça, ça passe bien, le boulot ?
13:20– Ah oui, bien sûr, même si c'est dur, parce qu'on travaille en duo.
13:24Mais depuis les nouvelles contraintes budgétaires, on fait des duos de deux.
13:27Avant, on faisait des duos de trois, ou même quatre, vous voyez ?
13:30– Ah oui.
13:31– Mais là, c'est la crise, on se sert à la ceinture.
13:33– Eh oui, tout est contrôlé, on en est tous là.
13:35Tout est compté, la santé, ça va ?
13:38– Ah, impeccable.
13:38– Vous dormez bien ?
13:39– Douze heures.
13:40– Douze heures ?
13:41– D'une seule traite ?
13:43– Non, huit heures à la maison, puis par quart d'heure dans le Kangoo,
13:49puis par demi-heure sur les pauses, vous voyez ?
13:51Toutes les deux heures, on a 30 minutes de pause,
13:55en raison de la pénibilité, vous voyez ?
13:56– Oui, oui, oui.
13:56– Si ce n'est pas un outil qu'on tient, c'est une brouette qu'on porte.
14:00Donc en tout, ça fait douze heures.
14:02Heureusement, je récupère le week-end.
14:04– Oui, c'est primordial.
14:06– Oui, bien sûr.
14:06– On veut des employés municipaux en forme.
14:08– Oui, surtout qu'il y a des périodes de pointe.
14:10– Eh oui, surtout l'automne avec les feuilles.
14:12– Ah oui, moi je dis que le mec qui n'est pas solide dans sa tête,
14:16qui souffle les feuilles contre le vent,
14:18qui voit le tas plus gros à la fin de la matinée qu'en arrivant,
14:22le mec, s'il n'est pas solide dans sa tête, il se flingue.
14:25Ou il se fait un burnous.
14:27– Il se fait ?
14:29– Un burnous.
14:30– Alors, on dit un burnoute.
14:33– Ah, on ne connaît pas le terme médical.
14:35– C'est normal.
14:36– Oui, autant on s'y connaît.
14:37– Oui, autant en médecine.
14:40– Oui, voilà.
14:41– Vous n'avez jamais eu d'accident de travail ?
14:43– Non.
14:44– Attends, si.
14:45– Ah.
14:46– Mais je ne sais pas si ça compte un accident de travail.
14:48– Allez-y, c'est intéressant, c'est en faisant quoi ?
14:50– La pétanque.
14:51– Alors, mais bien sûr que ça compte.
14:55C'était où ?
14:56– Aller du jardin public.
14:57– Eh bien voilà, vous êtes au jardin public,
14:59vous êtes sur un lieu de travail.
15:00C'était quelle heure ?
15:01– 15h.
15:02– Putain, plein boulot.
15:03– Oui.
15:03– Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?
15:05– J'ai pris une boule sur la cheville.
15:06– Faites voir.
15:07– Regardez, c'est encore un peu inflé.
15:09– Ah oui.
15:10– Mais comment c'est arrivé ?
15:11– J'étais appuyé contre le râteau, en micro-sieste.
15:14– Oui.
15:14– J'ai pas bougé assez vite.
15:15Paf, j'ai pris la boule.
15:16– C'est douloureux que j'appuie ?
15:18– Ah, non.
15:19– C'est pas douloureux que j'appuie ?
15:21– Ah, finalement, maintenant que vous le dites, si.
15:22– Ah voilà.
15:23– C'est à ça qu'on sert, nous, les médecins de conseil.
15:25On détecte ce qui peut devenir grave.
15:28Vous avez une altération superficielle, pour le moment,
15:32de la maléole, qui peut dégénérer en arthrose,
15:34qui devient chronique et déboucher sur un handicap permanent.
15:38– Oh, merde !
15:39– Il va falloir prendre le taureau par les cornes, M. Gilbert.
15:42Je vous arrête 15 jours pour que l'hématome se résorbe.
15:45– D'accord.
15:46– Et derrière, je vous fous un mois de cure à la bourboule.
15:48– T'as dit, mais j'y ai droit ?
15:52– Eh bien sûr, accident du travail sur lieu du travail,
15:54on est dans les clous.
15:55– Ah, c'est très janty.
15:56– Bien sûr.
15:57Alors, attendez, on est du même bord.
15:59Je suis médecin des services municipales.
16:01Je suis là pour vous défendre.
16:02En plus, on est au même syndicat.
16:03– Dans ça, il n'y en a qu'un.
16:04– Exactement, oui.
16:06Allez, 15 jours de maladie, un mois de cure.
16:08Avec votre femme, la cure ?
16:09– Ça serait mieux.
16:10– Elle n'a pas de rhumatisme, votre femme ?
16:12– Non.
16:13– Si, maintenant que j'y pense, des fois,
16:16elle a mal à un pouce.
16:17– Allez hop, cure, un mois de plus pour lui, pour elle.
16:20– En tout cas, merci, merci docteur.
16:23– Attends, je te tutoie, on est camarade.
16:25– Ah oui.
16:25– Tu rigoles, on est là pour aider la collectivité.
16:27Alors, si on peut, on le fait.
16:29– Applaudissements.
16:33– Merci, sacrés municipaux, sacrés chevaliers qui reviennent.
16:40Ils sont avec vous jusqu'à 18h sur Sud Radio.
16:43– C'est bientôt l'heure de l'apéro.
16:45– Les Chevaliers du Fiel avec Pierre Galibert, 17h-18h, c'est leur grand retour sur Sud Radio.
16:55– Éric Carrière, Français Génibre, Les Chevaliers du Fiel, jusqu'à 18h sur Sud Radio.
17:00Et une, j'ai presque envie de dire, une des stars de ce programme, Maître Lelon.
17:05Bonjour, Maître.
17:05– Bonjour, Maître.
17:06– Bonjour tout le monde.
17:07– Bonjour tout le monde.
17:08Vous avez l'air assez dégagé aujourd'hui, Maître.
17:11Vous avez fait quelques…
17:12– Ça dépend des moments.
17:13– Ça dépend des moments et des mots à prononcer.
17:15– Vous avez fait des saisies récemment ?
17:16Ça vous a désaisi le nez finalement ?
17:18– Oh là là, qu'est-ce qu'on sait ?
17:20– Vous êtes éclaté.
17:21– On s'est fait plaisir.
17:22– Vous saisite…
17:24– On a saisi un magasin de jouets pour enfants.
17:28On leur a tout pris.
17:30On a pris les jouets, le magasin, la caisse, tout ce qui restait.
17:34La dame pleurait.
17:35Nous, on disait, ce qu'on dit toujours, on n'y est pour rien.
17:38– Bien sûr.
17:39Et je suppose que tous ces jouets saisis, vous allez les offrir à des enfants nécessiteux.
17:42– On va voir.
17:43Disons qu'on va les mettre en vente dans un grand hall.
17:47Mais ce sont les enfants des huissiers qui passent en premier.
17:50– Très bien.
17:52Vous avez une sorte de congrégation, de société, d'association ?
17:55– Oui, bien sûr.
17:56Nous sommes très solidaires, les uns avec les autres.
17:59– Très bien.
17:59– Les uns avec les autres.
18:02– Ah oui, vous connaissez les comédies musicales, en plus.
18:05– Très, très bien.
18:05– Tout à l'heure, j'aurai une petite histoire.
18:07– Oui, parce que hier ou avant-hier, vous nous régalate de quelques petites histoires.
18:11J'espère que vous viendrez nous en raconter.
18:12– Une histoire que me raconte mon frère.
18:15– Votre frère.
18:15– Ah oui, l'abbé, je me souviens plus de son frère.
18:17– Raoul.
18:17– Raoul.
18:18– Raoul Le Long, qui est vicaire, qui est curé.
18:20– Qui a été longtemps surveillant à Bétaram.
18:23– Oui.
18:24– Et à l'heure actuelle…
18:25– Et à l'heure actuelle, il officie dans quelle paroisse ?
18:28– Il vole de ses propres aides.
18:29– Il officie dans quelle paroisse à l'heure actuelle ?
18:31– Dans une paroisse que je ne veux pas nommer.
18:34– Il navigue, en fait.
18:35– Est-ce que vous pourriez l'inviter un de ses jours, s'il vous plaît ?
18:38– Ah, bien sûr.
18:38– Parce qu'on aimerait quand même voir monsieur, l'abbé, pas l'abbé Taram, mais l'abbé Le Long.
18:45On aimerait bien le recevoir.
18:46– Il a aussi un peu des problèmes.
18:47– L'abbé Le Long.
18:48– Il a aussi des problèmes de égétation.
18:50– Pareil.
18:51– Mais c'est marrant parce que vous, votre épouse,
18:53– Mais vos parents aussi avaient des problèmes de végétation ?
18:58– Que ma mère.
18:59– Ah, c'est du côté de votre mère.
19:00– Mon père avait des hémorroïdes.
19:02– Ah, très bien.
19:03Ce qui n'a rien à voir.
19:04– Et rien de ce côté-là ?
19:05Parce que vous êtes assis, je vois normalement.
19:06– Mais s'il avait voulu parler du cul, il n'aurait pas pu.
19:09– D'accord.
19:10– Ah oui, non.
19:11– Non, ne riez pas sur ce genre de choses.
19:12– Bah non, mais c'est pas bien.
19:14– Je connaissais quelqu'un qui respirait par l'anus,
19:17et en s'asseyant, il est mort.
19:20– Vous connaissez l'indique ?
19:21– Non, monsieur Le Long.
19:22– Non, enfin bon, on arrête avec ça.
19:23– La différence entre…
19:24– Je sais qu'à une heure de grande écoute, c'est…
19:26– Entre boire un 51 et faire un 65.
19:28– Oh non !
19:30– Quand on boit 51, on sent l'anis,
19:32et quand on fait un 65…
19:34– Oui, c'est bien, merci.
19:34– Non, ça va, ça va, merci.
19:36– Merci beaucoup.
19:36– On se régale, on se régale.
19:39Je voudrais vous présenter nos candidats du jour.
19:41Voici Ahmed et Carole que l'on peut appeler.
19:43– Bonjour Carole.
19:47– Bonjour.
19:48– Alors Carole, vous allez jouer avec Éric Carrière,
19:49ça vous fait plaisir de jouer avec Éric.
19:51– Bien sûr.
19:51– C'est mon préféré.
19:53– Ah, voilà.
19:54– Vous avez bien raison.
19:56– Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Carole ?
19:57– Je suis commerciale.
19:59– Vous vendez quoi ?
19:59– Je vends du lait infantile et des petits pots bébés aux pharmaciens.
20:02– Eh bien, je vais en commander deux boîtes.
20:06– Du lait, vous vendez du lait ?
20:07– Oui, pour les bébés.
20:09– J'imagine, c'est bien ça.
20:10– Premier âge, deuxième âge, etc.
20:12– Mais alors, quand on est commerciale de ça,
20:14c'est pour convaincre les pharmaciens de plutôt passer ces produits-là ?
20:18– Oui.
20:19– Mais le lait pour les bébés se vend aussi en supermarché, je ne dis pas de bêtises.
20:21– Oui, aussi, magasin bio, supermarché, pharmacie.
20:24– Très bien, et vous, vous distribuez ces trois…
20:26– Les pharmacies uniquement.
20:27– Vous, c'est les pharmacies uniquement.
20:28– Oui, tout à fait.
20:28– Très bien, parfait.
20:29– C'est bien, c'est plus cher, c'est bien.
20:31– Alors donc Carole, je disais, vous allez jouer avec Éric.
20:34– Oui.
20:34– Et quant à vous, Ahmed, bonjour, Ahmed, bienvenue.
20:36– Bonjour.
20:36– Vous allez jouer avec Francis Ahmed.
20:37– Bien, félicitations.
20:38– Que faites-vous dans la vie, Ahmed ?
20:40– Retraité.
20:40– Alors, retraité de quoi ?
20:42– La belle vie.
20:42– Oui, j'imagine, vous avez le loisir d'écouter Sud Radio toute la journée.
20:46– Ah oui.
20:47– Vous faisiez quoi avant de prendre la retraite, Ahmed ?
20:49– Je travaillais dans une association pour handicapés.
20:51– Une association pour handicapés, d'accord.
20:53– Alors, Ahmed et Carole, écoutez bien, Maître Lelon va nous rappeler la règle du jeu.
20:58Maître, s'il vous plaît.
20:59– Attention, voici la règle du jeu.
21:03Monsieur Galibert va poser une question.
21:05– Oui.
21:06– Les deux équipes, alors il y a un nouveau règlement cette semaine.
21:10– À partir d'aujourd'hui, on parlait de la semaine, on prend un jeudi comme ça,
21:13vous arrivez avec un nouveau règlement.
21:14– Oui, une prétidion.
21:16– Comment ? On vous a perdu, là.
21:19– Une prétidion.
21:20– Ah d'accord, je crois qu'on avait un problème de réseau.
21:22– Une prétidion de règlement.
21:24– Oui.
21:26– Vous posez une question.
21:27– Oui.
21:27– Et les deux équipes, l'une défendue par M. Francis Guinibre.
21:31– Oui, M. Guinibre.
21:32– Et M. G.U.
21:34– Et M. Harriere.
21:36– Et M. Ahmed.
21:37– Et l'autre défendue par le brigand Éric Carrière.
21:41– Et la très jolie Harole.
21:43– Oui, Carole.
21:44– Vous posez une question.
21:45– Oui.
21:45– Attends, attention.
21:46– Oui, oui.
21:47– Le premier qui a la bonne réponse, a les points.
21:50Il ne peut pas y avoir un deuxième qui dit, oh ben je dis pareil.
21:53– Oui, oui, oui.
21:53– Je pense pareil.
21:54– Ben oui, mais bien sûr.
21:55– C'est vrai.
21:55– C'est vrai.
21:55– C'est vrai.
21:56– C'est arrivé.
21:57– Mais bien sûr que c'est arrivé.
22:00– Donc dès que quelqu'un dit quelque chose.
22:01– Alors nous, de quoi on a l'air ?
22:03– Ben oui, bien sûr.
22:04– Mais c'était à vous.
22:04– Dès qu'il y a une réponse, si c'est la bonne, on est là-hône, c'est là-hône, c'est là-hône, c'est là-hône.
22:09– C'était à vous d'intervenir.
22:12– Oui, merci Francis.
22:13– Ben oui.
22:14– Merci, c'était à vous de…
22:15– Il fallait dire par exemple à Éric Carrière ou à Francis Ginimond.
22:18Non.
22:19– Oui, c'était à vous de remplir votre office, M. Lelon, enfin quand même.
22:22– Bon, alors M. Lelon, rattrapez-vous.
22:25Quel est le cadeau ?
22:25– Est-ce que c'est ça ? Je plie mon carton ?
22:27– Non, restez, restez.
22:29– Je vais saisir deux gosses de plie.
22:30– Alors j'ai des prétisions sur le cadeau.
22:37– Ah, le grand cadeau.
22:38– Non, pas le grand cadeau, c'est le cadeau pour un mec ou pour Camelot.
22:41– Oui, le cadeau pour un mec.
22:42– Alors, vous allez offrir quoi donc ?
22:45– Un mug.
22:46– Un mug des Chevaliers du Fiel.
22:47– Avec les Chevaliers du Fiel pratiquement nus.
22:50– Pratiquement nus, c'est-à-dire on voit leur physique avantageux.
22:54– Sans aucun ucage.
22:56– Et la photo a été prise il y a combien d'années ?
22:58– Six mois ou avant de sierre, je ne m'en rappelle plus.
23:05– Bon, on y va, vous êtes prêts.
23:07– Si vous voulez que je vous le montre, je vous le montre pareil.
23:10– Montrez quoi ?
23:10– Le corps d'Éric Tarnier.
23:12– À la radio, c'est toujours intéressant.
23:16– Attention, Carole, attention, Ahmed.
23:19En boxe professionnel, quelle catégorie est inférieure au poids mouche ?
23:24– Le poids Walter.
23:28– Walter d'un côté, poids plume.
23:32– Poids plume, poids plume, moi je dirais.
23:34– Alors, il n'y a même poids plume.
23:35– On a un Walter d'un côté, un plume de l'autre, ça n'est pas la bonne réponse.
23:39– Et poids…
23:39– Alors, donc je vous fais les propositions.
23:41– Oui, non, non, laissez-nous chercher un peu.
23:44– Ben non, ce n'est pas ça la règle du jeu.
23:45– On peut chercher un peu.
23:49– Bon, alors cherchez un peu si vous voulez.
23:50– Ce n'est pas poids coq ?
23:50– Non, ce n'est pas poids coq.
23:52– Euh, Walter…
23:55– Non, ce n'est pas poids plume.
23:56– Ce n'est pas poids plume.
23:58– Poids…
23:58– Poids léger.
23:59– Poids léger.
24:00– Ce n'est pas poids léger non plus.
24:01– Super léger.
24:02– Non plus.
24:02– Super lourd léger.
24:04– Super lourd ?
24:05– Super lourd, non.
24:06– Poids poussing.
24:07– Non, non, ce n'est pas poids poussing.
24:09– C'est en dessous de poids…
24:10– Super lourd léger.
24:11– Mais non, c'est en dessous ou en dessus ?
24:13– C'est le plus petit.
24:14– Ah ben voilà, la plus petite catégorie en boxe professionnelle.
24:18– Euh, plume ?
24:20– Non, vous l'avez déjà dit.
24:21– Bah, cadet ?
24:23– Non.
24:23– Puces ?
24:24– Non.
24:24– Bon ben, on donne notre…
24:27– On donne des indices.
24:28– Alors non, puisque vous avez tout cité, donc je ne peux plus vous donner des indices.
24:30Vous avez cité tous les…
24:32– Ah bon ?
24:32– Ça, c'est Maître Lelon qui a changé d'arrêt.
24:33– Mais quoi ?
24:33– Et Walter ?
24:34– Alors on aurait dit le bon si vous avez dit…
24:38– Enfin, vous n'avez pas dit le bon.
24:39Il y avait la bonne réponse dans le public ?
24:41– Non, il n'y avait pas la bonne réponse non plus.
24:43La bonne réponse, c'était poids paille.
24:46– Putain, on n'a jamais entendu ça.
24:47– Poids paille ?
24:48– C'est pas plutôt en cocaïne.
24:51– Non, c'est ça.
24:52– C'est en Colombie, ça, le poids paille.
24:56– Vous voulez que je vous raconte une petite histoire ?
25:05– Vous croyez que c'est le moment ?
25:06– Non.
25:07– Si, si, ça vous fait plaisir.
25:09Si elle est drôle, on l'apprend volontiers.
25:11– Elle n'est pas longue, quand même.
25:13– Il faut la lire, déjà.
25:14– Est-ce que vous avez vos lunettes ?
25:18– Avec quoi ?
25:21– Avec quoi ?
25:22– Ramasse-t-on les a-ailles.
25:25– Avec quoi ?
25:26– Les papayes ?
25:27– Oui.
25:27– Avec quoi, ramasse-t-on les papayes ?
25:29– Je ne sais pas.
25:30– Avec une foufourche.
25:34– C'est mignon comme tout.
25:36– N'interrompez pas le jeu pour ce genre de choses,
25:38Maitre Lelon.
25:38– Mais c'est pas possible.
25:39– Toute la dramaturgie du jeu, c'est pas possible.
25:41– C'était un rapport à la paille, aux papayes.
25:44– D'accord.
25:44– Très bien.
25:45Deuxième question.
25:46– Quelle est la couleur du logo du réseau social Snapchat ?
25:49– Jaune.
25:49– Vert.
25:50– Vert.
25:51– C'est Francis qui a dit…
25:52– Ah non, non, non.
25:53– Alors, vert pour Francis.
25:54– Non, c'est WhatsApp.
25:55– Jaune pour Carole qui…
25:57– Snapchat.
25:57– Elle a dit jaune Carole.
25:59– Elle a dit jaune Carole, mais Carole a tout à fait raison.
26:02– Bien sûr.
26:02– Bien sûr.
26:03– Un point.
26:04– Bravo.
26:05– Deux points.
26:05– Bravo, Carole.
26:07– Deux points.
26:07– Pas mal, pas mal.
26:08– Je crois que je n'ai jamais…
26:12– Deux pour Eric et Carole.
26:13– Je n'ai jamais utilisé Snapchat.
26:15– Moi si, mais sans le savoir.
26:16– Et Snapchat, c'est…
26:18Quelle est la différence, Carole, entre Snapchat et les autres ?
26:21On fait quoi sur Snapchat ?
26:22Parce que je connais peu, j'utilise peu Snapchat.
26:23– On peut communiquer comme avec WhatsApp
26:25et on peut s'envoyer des photos, mais éphémères.
26:29On la reçoit, mais on ne peut pas la revoir.
26:31– Tu as déjà envoyé des photos de toi ?
26:34– Visiblement, c'est sur Snapchat.
26:40Comment, Ahmed et Carole,
26:42comment sont surnommés les membres de l'Académie française ?
26:47– Les académiciens.
26:48– Les académiciens, oui.
26:49– Non, les…
26:51– Ah non, les habits verts.
26:52– Non, non, non, les…
26:54– Ah putain, pardon.
26:56– Les…
26:57– Les immortels.
26:59– Les immortels, excellente réponse de Carole.
27:03– Bon, il y a du soufflage.
27:04– Il y a eu soufflage, Carole ?
27:05– Attention !
27:07Il y a eu soufflage.
27:08– Est-ce que le soufflage est interdit ?
27:12– Alors, le soufflage n'est pas jouage.
27:14– Non.
27:14– Les immortels, composés de 40 membres,
27:17l'Académie française a pour mission de contribuer
27:19au perfectionnement et au rayonnement des lettres,
27:21mettre à jour un dictionnaire de référence du français,
27:24ça vous le saviez,
27:25et approuver les équivalents francophones
27:26de termes techniques étrangers.
27:28– Je l'ahorde.
27:29– Mais, pardon ?
27:30– Je l'ahorde.
27:31– Il accorde le poème.
27:32– Ah, vous l'accordez, elle a même un double point.
27:34– De ouin.
27:35– Vous avez…
27:36– Finalement, vos histoires d'indices derrière,
27:38on s'en fout.
27:39C'est plus intéressant.
27:41– Comme vous voulez.
27:42En fait, comme vous voulez mettre le nom.
27:43Je crois savoir que vous aviez été approché
27:45pour rentrer à l'Académie française.
27:46– Oui.
27:47– Qu'est-ce qui s'est passé ?
27:48– Eh bien, alors, j'ai été convoqué,
27:52et simplement, cette année-là,
27:54la lettre qu'ils étudiaient pour le dictionnaire,
27:56c'était le W.
27:57– Oui.
27:57– Alors, quand je n'ai pas fait d'anglais,
27:59je ne l'ai pas fait.
28:00– Vous ne l'avez pas fait ?
28:01– Et puis, vous avez du mal à prononcer le W.
28:03– Comment vous prononcez, par exemple, un…
28:04– Wagon ?
28:05– Wagon.
28:06– Ah, moi, c'est pas mal, je pense.
28:09C'est pas mal.
28:10Question suivante, Carole, Ahmed.
28:12Quelle ville algérienne est une cité antique
28:14surnommée Pompéi de l'Afrique du Nord ?
28:19– Alors, Pompéi de l'Afrique du Nord.
28:22– Ahmed, je fais confiance.
28:22– Ahmed, non ?
28:24– Répétez, s'il vous plaît.
28:25– Quelle ville algérienne est une cité antique
28:27surnommée Pompéi de l'Afrique du Nord ?
28:30– Ahmed.
28:32– Ahmed.
28:32– On en pense à toi.
28:33– On en pense à toi.
28:34– Comment vous dites ?
28:35– Gellemain ?
28:35– Non.
28:37– Ah, moi, je ne connais pas bien le…
28:40– Oui, même plus…
28:41– Allez, je vais vous faire peut-être
28:42quatre propositions pour un point, si vous voulez.
28:44– Alors, attends, attention !
28:45Pour faire quatre propositions,
28:48il faut que tout le monde soit accord.
28:50– Accord ?
28:51Pourquoi vous parlez du groupe Accord ?
28:53– Ah non, Accord, pas les hôtels, Accord, Accord.
28:55– D'accord.
28:57– Voilà.
28:57– Alors, on vous écoute.
28:59Il faut que tout le monde soit d'accord, donc.
29:00– On est d'accord.
29:02– Très bien.
29:02– Je vous fais donc quatre propositions.
29:04Timgad, Laguat, Tamanraset, Elmalar.
29:08– Moi, je connais que Tamanraset, moi aussi.
29:10– Moi, je connais que Tamanraset, alors…
29:12– Et vous ?
29:13– Tamanraset.
29:13– Qu'est-ce que…
29:14– Il s'en dit, Carole ?
29:14– Il a dit Tamanraset.
29:15– Pareil que toi.
29:17– Il a dit pareil que moi, Carole.
29:18– Non, vous ne pouvez pas dire la même chose.
29:19– Mais il a dit Tamanraset, il a dit autre chose.
29:22– Vous êtes obligés.
29:22– Dis les autres.
29:23– Timgad, Laguat, Elmalar.
29:26– Timgad ?
29:26– Timgad, c'est une excellente réponse !
29:29– Ils sont brillants !
29:33– Ils sont brillants !
29:35– Timgad, bravo, bravo, bravo.
29:37– J'étais allé une fois visiter Timgad.
29:39– Quelle culture !
29:41– Alors, c'est beau.
29:42– Alors, pour l'instant…
29:43– C'est un peu comme Pompéi, mais là-bas.
29:45– D'ailleurs, on l'assure, on nomme la Pompéi de l'Algérie.
29:49– Bien sûr, Francis, ne faites pas le malin, vous avez zéro avec Amel.
29:51– Je sais, je sais, oui, oui.
29:52– Alors, on est sous le poids de la culture, on ne peut pas résister.
29:58– Quelle ville allemande est considérée comme le berceau de l'automobile ?
30:01– Munich ?
30:02– Berlin.
30:03– Berlin ?
30:03– Mettez-vous d'accord, parce que nous, qu'est-ce qu'on propose ?
30:06– Alors, vous dites quoi, là-bas ?
30:08– Berlin, je pense.
30:09– Vous dites Berlin, Ahmed et Francis Berlin ?
30:11– Non, moi, je dirais, pourquoi pas, Bonne ?
30:14– Non, c'est la capitale.
30:16– Ce n'est pas la bonne réponse, ni l'un ni l'autre.
30:19– Est-ce qu'on peut proposer d'autres choses ?
30:21– Oui, si vous voulez.
30:22– Alors, Stuttgart, Stuttgart, excellente réponse.
30:27– Bravo.
30:30– C'est Fanny, Fanny.
30:32– La moto et l'automobile à 4 roues ont été inventées à Stuttgart.
30:36La ville possède aujourd'hui des musées dédiés à Mercedes-Benz et à la marque Porsche.
30:40De plus, le blason de la ville, qui représente un cheval noir cabré, a inspiré le logo…
30:45– De Ferrari.
30:45– De Porsche.
30:46– Ah, de Porsche, oui, de Ferrari aussi.
30:48– Ah oui, c'est bien, on apprend des choses.
30:51– On apprend plein de choses.
30:52– C'est très bien.
30:53Comment on a les questions ?
30:54– Heureusement que vous y pensez.
30:57– Ah !
30:57– Heureusement que vous y pensez.
30:58On a les questions grâce à un site qui s'appelle culturequiz.com.
31:02Ce site culturequiz.com propose 16 000 questions thématiques.
31:06Et ce sont les auteurs de ce site qui nous proposent donc de nourrir de leur talent et de leurs questions.
31:12– Galibert vient de gagner 10 euros.
31:13– Mais non, non, non, c'est un site entièrement gratuit.
31:15Donc vous pouvez y aller, vous pouvez vous amuser exactement comme on le fait ici même.
31:19– Alors, on en est où ?
31:21– Dernière question.
31:21– Dernière question.
31:22Alors qu'Amed et Francis brillent toujours avec un zéro pointé.
31:25– Oui, on a zéro réponse.
31:26– C'est que Carole, c'est même pas la peine de poser la dernière question.
31:28– Eh ben oui, vous avez gagné.
31:29– Oui, mais ça fait rien.
31:31– Pour le fun, pour le jeu, pour le fun.
31:33Quel mot désigne le traditionnel bain thermal japonais ?
31:39– Alors là ?
31:40– Le saké ?
31:42– Ça c'est un bain en bain.
31:46– Francis, n'a pas une idée ?
31:49– Le bain japonais avec des pétales de rose ?
31:52– Je ne sais pas s'il y a des pétales de rose, mais…
31:55– Nous, on y allait au Japon, on ne s'est pas lavé.
31:58– Non.
31:58– Ah oui.
31:59– Moi, j'ai téléphoné l'autre jour au Japon.
32:02– Vu le temps qu'il faisait, on ne s'est pas baigné.
32:03– Il n'y a pas de japonais.
32:04– Non, non, le bain japonais, je ne vois pas.
32:07– Est-ce qu'on demande des indices ?
32:09– Oui, je pense que oui.
32:10– On demande des indices.
32:10– Au moins, on répondra au hasard.
32:12– Je vais prendre mon plus bel accent japonais
32:14pour vous faire ces quatre propositions.
32:16– Tu, onsen, ikari, geisha.
32:21– Pourquoi tu n'es pas un air con quand tu parles japonais ?
32:23– Alors, c'est quoi le…
32:26– Tout, onsen, ikari, geisha.
32:29– Allez, je dirais…
32:30– Ikari.
32:31– Ikari.
32:31– Ikari pour vous, Francis Ahmed.
32:33– Moi, le premier, je pense.
32:35– Ouais, tout.
32:36– Tout, c'était onsen.
32:39– Voilà, personne n'a gagné.
32:40– Faire un triomphe à Mademoiselle Carole.
32:42– Bravo, Carole.
32:46– Bravo, Carole.
32:46– Elle a gagné.
32:48– Elle a gagné.
32:49– Carole, vous avez gagné.
32:51– Félicitations.
32:51– Elle a gagné le hug.
32:52– Vous avez gagné le mug.
32:55– Avec Eric tout nu.
32:56– Oui, avec moi tout nu.
32:57– Non, pas vous, vous vous êtes maître le long.
32:58– Je peux raconter une petite histoire ?
33:02– Mais qu'est-ce qui vous prend tout d'un coup
33:03de vouloir raconter des histoires,
33:05maître le long, enfin quand même ?
33:06– C'est drôlement bien.
33:08– Allez-y, allez-y.
33:10– Ah oui ?
33:13– C'est intéressant.
33:15– Qu'est-ce qui est honne ?
33:17– Qu'est-ce qui est jaune ?
33:18– Et qui court très très vite.
33:21– Qu'est-ce qui est jaune et qui court très très vite ?
33:23– Ben, le vainqueur, le maillot jaune du Tour de France.
33:26– Non, non, non.
33:27– Je ne sais pas.
33:28– Qu'est-ce qui est honne et qui court très très vite ?
33:30– L'angosha.
33:32– Non, non, non.
33:33– Comment vous dites, Ahmed ?
33:36– Redites.
33:36– Un verre.
33:37– Un verre…
33:38– C'est un verre…
33:39– Ça y est, je l'ai perdu.
33:42– Qu'est-ce qui est honne et qui court très très vite ?
33:45Un hitron pressé.
33:46– Ah, bien sûr.
33:49– Bien, merci maître le long, vous pouvez retourner à la maison.
33:53On vous retrouve demain.
33:54Et les chevaliers, on les retrouve tout de suite.
33:56Ne bougez pas, ils reviennent sur Sud Radio.
33:59Ils sont là jusqu'à 18h.
34:00– Les chevaliers du Fiel avec Pierre Galibert, 17h-18h, c'est leur grand retour sur Sud Radio.
34:08– Éric Carrière, France Tégénibre, les chevaliers du Fiel.
34:11– Ils sont sur Sud Radio jusqu'à 18h.
34:17Et à 18h, vous le savez, vous avez rendez-vous avec les vraies voix, Cécile de Ménébus.
34:21– Cécile de Camping Car.
34:22– Et Philippe David.
34:23– Pourquoi vous êtes au téléphone ? Vous m'entendez bien, Éric ? Je vous entends au téléphone.
34:25– Allô ?
34:26– Je pense qu'il est temps maintenant d'accueillir Yvonne.
34:33Alors Yvonne, je ne voudrais pas trop empiéter sur votre vie privée,
34:36mais vous savez que je suis là aussi pour vous questionner.
34:38– Ça vous plaît, ça arrive.
34:39– Mais ça me plaît, ça me plaît.
34:40Parce que j'espère que d'ici la fin de la saison radiophonique, vous allez trouver l'âme sœur.
34:46Et je vous ai surpris avant l'émission, en train de batifoler avec notre réalisateur, Clément Domergue.
34:51Vous étiez là, en coulisses. De loin, j'imaginais que vous faisiez une tentative d'approche.
34:57Je me suis imaginé ça, Yvonne, je ne sais pas si…
34:59– On m'appelle la co-garde de la radio. J'essaie de me taper un petit jeune, mais j'ai du mal.
35:03Déjà que j'ai du mal avec les gens de mon âge.
35:06– Allô ?
35:06– Et notre réalisateur a repoussé vos avances, alors ?
35:10– Ah oui, fortement, oui.
35:11– Allô ?
35:12– Il est pris, vous savez, il est de la véro.
35:15– Oui.
35:15– On m'aurait pas ouïe, merde.
35:16– Attendez un instant, c'est le fait, madame.
35:18– Allô, allô, patientez, deux secondes d'instant.
35:20– Ah oui, mais attendez, vous savez qu'il y a…
35:21– Au standard, on me dit, soyez prêts.
35:23– Mais si, dites allô, je dis allô.
35:25– Je suis en train d'introduire Yvonne, s'il vous plaît.
35:27– Oui.
35:27– Voilà, laissez-moi me faire introduire, c'est pas tous les jours que ça arrive.
35:30– Voilà, donc j'ai fini.
35:32J'ai fini mon introduction, Yvonne, donc…
35:35– Oui, faites le ménage, d'abord.
35:36– Comment ça s'est terminé, alors ?
35:37– Eh bien, ça s'est terminé, je respecte, maintenant, il est amoureux, ce jeune homme, vous savez.
35:42Là-bas, dans l'Aveyron, il vaut mieux se trouver une compagne.
35:45Sinon, l'hiver est long, très long.
35:47– Alors, je vous souhaite bonne chance pour…
35:49– Moi, je fais comme M. Lemaire, je me casse.
35:50– Non, non, non, attendez, attendez, ça va être à vous dans un instant.
35:53Et je vous souhaite plein de belles choses du côté de votre vie affective, Yvonne.
35:59Et nous allons demander à ce même témoin d'Omergue,
36:01nous allons demander une musique de concentration, une musique de psychologie fine.
36:05– De concentration ?
36:06– Oui.
36:07– Oui, amour, psychologie fine, être cher perdu, être cher retrouvé.
36:11Je suis là pour vous, diplômé de l'École internationale de Mimisan.
36:15Je donne mon cœur au bonheur des autres et mon corps à ceux qui en veulent.
36:19Pour info, rien n'est refait, tout est naturel.
36:23Je pandouille un peu, mais c'est bio.
36:25Et comme je dis toujours, mieux vaut un pli bio qu'un ventre faux.
36:30Voilà, votre prénom rime avec la ville d'où vous appelez et c'est parti.
36:34Allô, qui est en ligne ?
36:35– Alors, quand même !
36:36– Ah, mais voilà, maintenant c'est à vous, alors on se démerde.
36:38On me file le prénom qui rime avec la ville.
36:40– Je m'appelle Imidou.
36:41– Et vous appelez de ?
36:42– Châteauroux.
36:43– Oui ! Ah, Châteauroux, Châteauroux, ça c'est la ville de…
36:47C'est la ville d'Éric Carrière déjà, bon enfin, c'est la ville de…
36:51Enfin, c'est Châteauroux quoi, unique, loin de la mer, loin de la montagne,
36:55loin de Paris, Châteauroux, on peut le dire, c'est loin de tout, voilà.
36:58– Oui, enfin quand même, c'est près de Vierzong.
37:00– C'est vrai, et on ne le dit pas assez, c'est près de Vierzong,
37:04et c'est un plus majeur quand même, parce que Vierzong, c'est pas pareil.
37:08– Ah c'est sûr, Vierzong, ça n'a rien à voir, c'est loin de la mer,
37:11loin de la montagne et loin de Paris.
37:13– Effectivement, ça n'a rien à voir.
37:15Alors, quel est votre problème, Imidou de Châteauroux ?
37:17– Je voudrais savoir si je suis normal.
37:20– Alors attendez, allez-y, racontez, qu'est-ce qui vous fait douter ?
37:23– Alors voilà, voilà ce qui se passe.
37:26Par exemple, je vais au Leclerc de Châteauroux.
37:31– Ah déjà, vous nous faites voyager déjà ?
37:34– Je prends ma voiture, je me gare au Leclerc de Châteauroux,
37:37et par exemple, j'ai envie d'acheter une boîte de 250 grammes
37:44de ricoverte extra-fin, ça me file.
37:48– Alors c'est marrant, parce que vous n'avez pas vraiment l'accent de Châteauroux.
37:51– Vous avez émigré ?
37:52– Je suis du sud de Châteauroux.
37:53– Ah, complètement, on le sent, on le sent, l'accent du sud de Châteauroux.
37:57Alors je vous écoute, donc, vous vous êtes garé ?
38:01– J'en gare, et je vais pour acheter une boîte de haricots verts.
38:07– Ah, haricots verts, extra-fin, sans fil, chez Leclerc.
38:11– Il vous les assurent sans fil ?
38:13– C'est écrit sur la boîte.
38:14– D'accord.
38:15– Et j'y vais, je vois cette boîte avec les haricots verts extra-fin, sans fil.
38:20– Et c'est écrit sans fil, sans fil, pardon.
38:22– Et je lis, je lis le prix, 3,80 euros, qu'est-ce que j'ai fait ?
38:27Je repars.
38:28– Et pourquoi vous ne repartez ?
38:29– Je repars à Intermarché.
38:30– Ah, vous allez comparer les prix ?
38:32– Je vais comparer les prix.
38:34– Il y a beaucoup de supermarchés, un Châteauroux ?
38:36– Il y en a trois.
38:37– Bon, c'est mouf.
38:38– Il y a Auchan, Intermarché, Leclerc.
38:40– Bon, très bien, comme ça.
38:41– Je pars à Intermarché, je vais voir une boîte de 50 grammes de haricots verts extra-fin.
38:47– Extra-fin.
38:47– Ça me file ?
38:48– Ça me file.
38:49– Qu'est-ce que je trouve, vous-tu pas ?
38:51– Et qu'est-ce que vous trouvez, vous-tu pas ?
38:54– 2,45 euros.
38:55– Ah oui, quand même.
38:56– Oui.
38:57Alors, je repars.
39:00– On va avoir un goût de fil et de Leclerc, je pense.
39:02– Je vais en Auchan.
39:04– Ah, ça, c'est intéressant.
39:05– Là, je vais voir la boîte de 250 grammes.
39:08– De haricots extra-fin.
39:10– Là, je vois, promotion d'haricots verts de 15.
39:15– Oh, putain, mais c'est comme qu'il n'y en ait pas un quatrième.
39:18– Oui, je prends la boîte, je fais la queue.
39:21Et en me faisant la queue, je me dis, mais tu verrais,
39:24Tipa, qu'ils auraient fait une promo spéciale sur les haricots verts
39:27et qu'ils te baiseraient sur le reste.
39:29– Ah, mais vous n'avez pris que la boîte de haricots verts.
39:32– Oui, mais je reviens au rayon, je repose la boîte de haricots verts
39:37et je regarde les lentilles préparées à 125 grammes avec carottes coupées.
39:43– Oui, mais là, vous voyez le prix ?
39:46– Oui.
39:47– Mais vous êtes obligé de repartir à Leclerc pour comparer ?
39:50– Je repars chez Leclerc.
39:52Je compare la boîte de lentilles préparées avec carottes coupées.
39:59Et alors, j'ai demandé à ouvrir la boîte pour compter les carottes.
40:04– À la caisse, ils vous l'ont ouverte ?
40:05– Non, ils n'ont pas voulu.
40:07– Ah, ils n'ont pas voulu.
40:08– Donc, j'ai laissé la boîte et je suis parti à l'intermarché.
40:11Intermarché, il était quand même à 1,92.
40:13Je demande d'avoir le directeur de l'intermarché.
40:15J'ai dit, attention, j'ai failli me faire baiser sur un autre magasin
40:18où, en fait, il y avait un prix de haricots verts
40:20qui était nettement en bas des autres.
40:23Et finalement, il était beaucoup plus haut sur les latins.
40:26« Je voudrais savoir si ça ne serait pas pareil pour vous. »
40:30Il m'a dit, est-ce que vous avez été voir les culottes en rayon culottes ?
40:37– Émilou, vous n'avez jamais pensé à regarder sur le site ?
40:43Ah tiens, c'est Leclerc qui appelle, parce qu'il gueule,
40:46parce que ce n'est pas les bons prix que vous avez.
40:48Je suis sûr que ce n'est pas les bons prix.
40:49– Non, c'était le directeur de cette radio.
40:51– Ah, d'accord.
40:52– Qui disait, c'est comment on l'a fait.
40:54– Ah, ils sont accrochés, ils sont accros, vous savez.
40:58– Bref, je vais au rayon de mes culottes.
41:00– Vous tenez tout le monde en l'aile ?
41:02– Pour le prix de quatre culottes.
41:04– Vous aviez eu d'autres boîtes ?
41:05– Six culottes.
41:06– Six culottes ?
41:08– J'ai dit, bon, moi, je suis partante,
41:10mais à condition que dans les boîtes de 6 œufs, il n'y en ait pas quatre.
41:14– Je note, je prends des notes en même temps.
41:20Allez-y, continuez, je vous écoute.
41:21– Ça, c'est ma vie, c'est pour savoir si, à votre avis, je suis normal.
41:27– Absolument.
41:28– Absolument, absolument, tout est normal.
41:35Maintenant, voilà ce que vous allez faire.
41:36Vous allez raccocher et vous allez appeler une autre radio,
41:39puis une autre et encore une autre.
41:41Tout le monde, vous voyez, Koh, Hanouna, vous appelez tout le monde.
41:44Et là, vous aurez la certitude que tout va bien.
41:46Mais vous prenez le temps, vous expliquez bien, d'accord ?
41:49Comme pour nous.
41:50Merci beaucoup.
41:51– Eh bien, je commence de suite.
41:52– Oui, c'est ça.
41:53Au revoir, Emileau de Châteauroux.
41:54– Wouh !
41:56Merci, Yvonne.
41:57À demain.
42:00Vite fait, bien fait, parce que nous devons passer l'antenne à Cécile et à Philippe,
42:04l'histoire de Francis.
42:05– C'est un gars qui est chez le coiffeur et à qui le coiffeur demande
42:14« Quelle coupe vous désirez, monsieur ? »
42:16Ben, je voudrais raser sur le côté gauche la banane,
42:19mais juste à droite et un peu de travers, la brosse sur le dessus,
42:23mais avec un trou au milieu, vous voyez, la nuque bien dégarnie,
42:26mais avec quelques touffes par-ci, par-là.
42:29Le coiffeur lui répond « Mais c'est pas possible, c'est pas une coupe, ça. »
42:32Ah ouais, pourtant, c'est ce que vous m'avez fait la dernière fois.
42:34– Merci, merci les Chevaliers.
42:39On va remercier Clément Demergue qui a réalisé cette émission,
42:41Maxime Sénat qui la diffuse et Justine Houillier qui est à la vidéo.
42:45On va passer le micro de Sud Radio à Cécile de Ménibus et Philippe David,
42:49mais avant cela, messieurs, dames, une ovation pour les Chevaliers
42:51que l'on retrouve demain.
42:52– À demain.
42:53– Au revoir.
42:53– Merci.
42:54– Merci beaucoup.
42:54– Bye bye.
42:55– À demain et bonne soirée sur Sud Radio.
42:58– Sous-titrage Société Radio-Canada
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