- il y a 7 semaines
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00:00Europe 1, Europe 1, 16h-18h, Pascal Proevo.
00:06Et nous sommes avec Caroline Iturbi, Delirte de Val, Georges Fenech, Gautier Le Brette, Olivier Guenet,
00:10et nous sommes en ligne avec Patrick Vignal, ancien député macroniste, conseiller politique aujourd'hui de Gabriel Attal,
00:16il est à Strasbourg avec Gabriel Attal.
00:18Alors bien sûr, je vous interromps souvent et j'en suis désolé Patrick Vignal,
00:23mais c'est vrai que je suis lassé, je ne peux pas vous dire autre chose.
00:27Pourquoi je suis lassé ?
00:28Vous avez été aux côtés d'Emmanuel Macron, qui termine finalement de là où il vient,
00:34il retourne à la maison, c'est-à-dire au Parti Socialiste,
00:38tout ce qu'il avait imaginé ne s'est pas fait,
00:41le bilan est catastrophique dans tous les domaines, et notamment dans le domaine économique,
00:45on a 3000 milliards de dettes, donc c'est difficile de vous croire, c'est ça que je veux dire.
00:50Et quand je dis que c'est difficile de vous croire, c'est impossible de vous croire.
00:54Et vous êtes aujourd'hui avec Gabriel Attal, qui a été son premier ministre,
00:57qui veut prendre un peu de distance avec lui,
00:59mais on devine que tout cela nous amènera une nouvelle fois dans le mur,
01:04et que toute cette parole politique, et la vôtre en particulier,
01:08eh bien j'ai envie de dire, elle est inutile, Patrick Vignal.
01:11Alors pardonnez-moi, mais les mots sont durs sans doute,
01:14les mots sont durs, et j'entends bien,
01:16j'entends bien, mais je crois traduire ce que tellement de Français pensent.
01:21Non, Pascal Praud, je veux dire, vous savez,
01:23tous mes copains, ils refusent de venir chez vous,
01:25où c'est l'excellent Gauthier Lebrecht.
01:28Parce qu'ils disent, de toute façon, quand on y va,
01:29ce qu'on veut faire, on se fait tellement allumer,
01:32et comme vous avez une saconde en parole,
01:33les gens, ils me disent, je n'irai plus chez Pascal Praud,
01:36ou chez Gauthier Lebrecht.
01:37Je ne suis pas d'accord ce que vous dites.
01:39Je vous signale qu'effectivement,
01:41le premier mandat d'Emmanuel Macron,
01:43c'était la team entreprise, la Start-up Nation.
01:45Beaucoup y ont cru, puisque beaucoup ont voté pour lui.
01:48Le premier mandat, on a travaillé sur l'économie,
01:50on a baissé le chômage, on avait envie de dire,
01:53il n'y a pas de réalité sociale,
01:55s'il n'y a pas de réalité économique.
01:57Le deuxième mandat est catastrophique,
01:59je ne peux pas vous dire mieux,
02:00c'est que j'ai la parole libre.
02:01Mais le vrai débat, Pascal Praud,
02:04ne dépensons pas doublement
02:05ce que l'on ne peut plus se payer.
02:07La France ne gagne pas assez d'argent
02:09pour se payer son quotidien.
02:11Je ne peux pas vous dire mieux,
02:12mais ça ne remonte pas à Emmanuel Macron.
02:14Ça fait 40 ans de l'acheter,
02:16les 1200 agences,
02:17certains ne servent à rien.
02:19Aujourd'hui, les avantages qu'on peut avoir,
02:22la décentralisation,
02:23tout le monde fait tout.
02:24Vous devenez maire demain,
02:26on vous dira, Pascal,
02:27je vais vous faire une série de médiations,
02:28vous le faites.
02:29Le département le fait,
02:30la région le fait.
02:31Enfin, quand même,
02:32je n'ai pas de soucis, moi,
02:33j'ai une parole libre,
02:34vous le savez tous.
02:35Mais j'entends bien,
02:36mais quand j'entends,
02:37monsieur...
02:37Mais Pascal, on ne peut pas tout dire,
02:38c'est pas qu'Emmanuel Macron
02:39qui a tout planté, quand même.
02:41Je dis qu'en tout cas,
02:43durant ces huit années,
02:44par exemple, ce matin,
02:45Roland Lescure est interrogé sur l'AME.
02:47Il ne la supprime pas.
02:50Donc, tout est comme ça.
02:51C'est-à-dire qu'on demande
02:52d'augmenter le ticket restaurant
02:55de 8%
02:56et l'AME,
02:57on est les seuls au monde.
02:59Les seuls à avoir ça.
03:01Pascal Praud, Pascal Praud,
03:01est-ce qu'il y a un milliard et demi ?
03:02Alors, c'est un milliard et demi,
03:04vous me direz,
03:04ce n'est pas grand-chose ?
03:05On est le seul au monde.
03:08Il n'y a pas deux pays au monde
03:09qui fait ça.
03:10Pascal Praud,
03:11la politique,
03:12c'est aussi du symbole.
03:13J'ai fait une tribune, moi.
03:14Il fallait qu'on arrête
03:16les avantages
03:19des anciens premiers ministres.
03:21C'est une connerie, déjà.
03:22C'est du symbole.
03:23C'est un million d'euros,
03:24ce n'est pas rien.
03:25Pour l'AME,
03:26moi, je vais vous dire
03:26ce que je pense pour l'AME,
03:28Pascal Praud.
03:28Si vous avez un étranger
03:29qui vient avec le choléra,
03:31la peste et la galère,
03:32vous ne le soignez pas.
03:33Personne ne le laisse
03:34avec le choléra,
03:34Patrick Pénial.
03:35Écoutez,
03:36que je sache,
03:36Choupon, Pidou,
03:37Giscard et Mitterrand,
03:39il n'y avait pas de gens
03:39qui avaient le choléra.
03:41De quoi vous parlez,
03:42enfin ?
03:43Je veux dire,
03:44il y avait des étrangers.
03:45L'AME date de quelle année ?
03:47C'est Jospin.
03:47Jospin.
03:49Donc, c'est très récent.
03:50Arrêtez de dire n'importe quoi.
03:52En fait, c'est ça
03:52qui est insupportable.
03:54Comment on faisait dans le temps ?
03:55Comment on faisait dans le temps ?
03:57C'est la chose que vous avez à dire
03:59si quelqu'un vient avec le choléra.
04:00Ça n'existe plus, le choléra.
04:01Même si il vient avec le choléra,
04:03il y a une aide médicale d'urgence.
04:04L'aide médicale d'urgence,
04:06c'est pas pour se faire recoller les oreilles.
04:07Je suis désolé.
04:08En fait, on n'y arrivera pas.
04:10On n'y arrivera pas.
04:12Si c'est pour se faire recoller les oreilles,
04:14les lunettes ou la veille méo,
04:16je suis d'accord avec vous.
04:17Le vrai débat...
04:17Mais faites une AMU !
04:20Mais moi, je n'ai pas de soucis.
04:22Moi, je suis d'accord sur une AMU
04:23qui vous a dit le contraire.
04:23Eh bien, dites-le !
04:24Je vous signale que c'est l'aide médicale d'urgence.
04:27Donc, le mec qui a la peste et le choléra,
04:29vous le soignez maintenant ?
04:30Mais vous ne vous le soignez pas.
04:32Il n'y a pas de soucis pour ça.
04:32Tout ça, il y a pas de soucis.
04:36Il n'y a pas de soucis à faire du souci, bien sûr.
04:38C'est vraiment un plateau d'extrême gauche
04:40que vous avez.
04:42Mais M. Vinal, je vous assure.
04:46En tout cas, venez nous voir sur le plateau.
04:48C'est plus simple parce qu'au téléphone...
04:50Non, mais au téléphone, c'est moins pratique.
04:51Il est près de vous, Gabriel Attal, ou pas ?
04:53Je viendrai vous voir, Pascal.
04:54Je viendrai vous voir.
04:55Moi, je vais être clair.
04:56On va arrêter la team entreprise à certaines échanges.
04:59Moi, je fais trois jours de déplacement.
05:00La team entreprise.
05:01Je parle en français, déjà.
05:03Mais Pascal Trot, c'était le programme de 2017.
05:07La politique, c'est de l'humain.
05:09C'est de la chair.
05:10C'est de la chair.
05:11Moi, je veux faire en sorte qu'on soit capable de ressouder les Français.
05:16Gabriel Attal, c'est un militant.
05:18Voilà.
05:18Et donc, ce gamin, parce que c'est un jeune pour l'instant,
05:21il a envie d'aller rencontrer des Français.
05:22Et un mot pour tout ce qui, aujourd'hui, dans ce gouvernement,
05:25explique Gabriel Attal et vilain avec Emmanuel Macron.
05:28Eh bien, quand il expliquera, quand il expliquera...
05:31Quand il expliquera, monsieur Attal, qu'il préfère faire voter un éléfiste à l'Assemblée nationale plutôt qu'un rassemblement national,
05:48déjà, on pourra l'écouter peut-être différemment.
05:51Mais en tout cas, qu'il vienne...
05:52Écoutez, Pascal, je vais en brise à votre micro.
05:54Venez.
05:54Dans mon micro, je ne sais pas, mais au moins, venez à mon micro.
05:58Maintenant que les femmes de Strasbourg vous adorent...
06:01Arrêtez de me flatter, ça ne marche pas.
06:04Allez, il est 17h09.
06:05Ne flatter pas.
06:06Ciao.
06:07Salut Patrick Vignard.
06:0816h-18h.
06:11Pascal Pro, on change de sujet parce que nous allons maintenant parler de Yael Brown-Pivet,
06:18qui veut taxer davantage les héritages.
06:20Et cette désinvolture avec laquelle elle a dit ça.
06:23Il y a le fond, mais il y a le ton.
06:26Oui, mais c'est intéressant, d'ailleurs, parce que c'est une femme de son époque,
06:29ce que disait Charlotte Dornelas ce matin.
06:31C'est-à-dire que l'homme nouveau ne dépend de rien.
06:35Il ne dépend ni de son sexe, ni de Dieu, ni de sa famille.
06:38Donc, ni de la transmission de l'héritage.
06:40C'est très intéressant ce qu'elle disait, Charlotte.
06:42Écoutez Yael Brown-Pivet.
06:44Des héritages qui, comme ça, passent de génération en génération.
06:48Vous savez, le truc qui vous tombe du ciel.
06:50Il y a un moment où ça suffit.
06:51Ça ne peut pas, comme ça, se poursuivre sur des générations et des générations.
06:55Donc oui, moi, je pense qu'il faut, en tout cas, taxer davantage les héritages,
06:58mettre ce sujet en débat sur la table.
07:00Alors, ça ne sera pas fait au détour d'un amendement.
07:04Mais en tout cas, il doit y avoir un travail collectif qui est mené sur la taxation des héritages.
07:08La fiscalité, on voit bien aujourd'hui que la circulation des richesses de génération en génération
07:13ne se fait pas bien dans notre pays et ça n'est pas sain.
07:16Bon, il y a beaucoup de réactions.
07:18Un non à l'impôt sur la mort.
07:20Éritage n'est pas une honte.
07:21Qu'est-ce qu'il a dit ?
07:22Julien Courbet, il a fait un tweet que j'ai trouvé magnifique.
07:24Madame Bronte-Pivet, ma maman qui avait la maladie d'Alzheimer
07:26durant les rares moments de lucidité qu'elle avait,
07:29n'avait qu'une obsession, savoir s'il y avait un peu d'argent sur son compte pour ses enfants.
07:33Taxez-moi sur mon gros salaire, c'est plus juste que la transmission.
07:37C'est le cas.
07:39Caroline Iturbide.
07:40Non mais moi par exemple, je vais parler à titre personnel,
07:43j'aurai pas d'héritage, d'accord ?
07:45J'aurai pas d'héritage de mes parents.
07:46Donc je m'en fous, je pourrais dire que je trouve ça très bien ce qu'elle dit, cette femme.
07:50Mais je trouve ça horrible.
07:51Pourquoi vous n'aimez ?
07:52Non, j'en aurai pas parce que mon histoire de famille fait que je n'aurai pas d'héritage.
07:55Je ne me sens pas concernée au premier titre.
07:58Vos parents ne vous aimaient pas ?
07:59Il n'y a pas d'héritage dans la famille.
08:02C'est ce que vous voulez dire.
08:02Exactement.
08:03Il n'y a pas d'argent.
08:03Donc voilà, je pourrais, si j'étais un peu en colère, si j'avais un peu la haine,
08:07je pourrais m'en prendre à ceux qui vont hériter de quelque chose.
08:10Donc ce n'est pas le cas.
08:11Et c'est pour ça que je pense que c'est important ce que je vais dire.
08:14C'est qu'effectivement, il y a l'héritage qui vient au-dessus de nous.
08:17Et puis il y a ce que moi je considère être important.
08:20C'est-à-dire que moi pour mes enfants, je veux qu'il y ait un héritage.
08:24C'est la raison qui fait que je travaille, que j'épargne, que je mets de côté pour pouvoir les protéger.
08:30Donc en fait, elle est en train de tout détruire.
08:32C'est-à-dire qu'elle détruit aussi bien le passé, en disant ça, que le présent et l'avenir.
08:37Donc en fait, il n'y a plus aucune perspective.
08:39C'est-à-dire que ça nous plonge dans un truc hyper anxiogène.
08:43En plus, je trouve que le timing qu'elle choisit, évidemment encore une fois, est complètement à côté de la plaque.
08:48Et c'est encore une fois à nous, du coup, de se dire,
08:52parce que l'État n'arrive pas à gérer ses finances et n'arrive pas à gérer son argent,
08:57alors c'est encore nous qui allons trinquer.
08:59Donc je trouve qu'en fait, ça annule toute vision et du passé.
09:02C'est du futur et c'est ça que je trouve très grave dans sa déclaration.
09:04Elle a fait un long tweet sur LinkedIn.
09:07Oui, vous voulez que je vous lise quelques...
09:09Qui ne m'a pas convaincu, moi, personnellement.
09:10Alors elle dit, pour moi, il y a deux sujets.
09:13Le premier, c'est que la dernière réforme structurelle d'envergure remonte à 1901, dit-elle.
09:17Ce que je pose sur la table, c'est la question des super-héritages.
09:20Je n'ai pas du tout ça, d'ailleurs.
09:21Elle retrompait dalle un petit peu.
09:22Bien sûr, on a compris qu'elle est choquée.
09:23Voilà, ce que j'ai posé sur la table, c'est la question des super-héritages.
09:26Pas de l'héritage tout court, notons-le, notamment lorsqu'ils interviennent en rebond.
09:30C'est-à-dire qu'ils se transmettent de génération en génération depuis longtemps.
09:32Ça s'appelle le patrimoine.
09:33Mais il y a déjà un impôt là-dessus.
09:35Ça s'appelle l'IFI.
09:37C'est-à-dire que quand tu as un fort patrimoine, il est déjà imposé avec l'IFI.
09:41Donc tu les transmets à tes enfants, mais il a déjà été imposé.
09:44Et donc, ce que je vis, c'est bien souvent l'accumulation au fil du temps de la rente
09:48et non le résultat du labeur ou de la sueur.
09:50Ben oui.
09:51Vous semble-t-il normal que 0,1% des héritiers qui reçoivent environ 13 millions d'euros
09:56soit 180 fois l'héritage médian, ne payent en moyenne que 10% d'impôts sur cette somme, selon l'Oxfam ?
10:02Ça m'étonnerait.
10:03Ça m'étonnerait.
10:0410% sur cette somme.
10:0510% simplement.
10:07Et ce, alors que le barème de taxation de la dernière tranche, celle supérieure à 1,8 millions d'euros,
10:11s'élève normalement à 45%.
10:13Car c'est cela un super héritage, ce n'est pas l'héritage du seul fruit du mérite
10:17ou du travail de ses parents ou de ses grands-parents.
10:19Bon, elle veut rétro-pédaler.
10:21Moi, vous savez ce que j'ai reçu en héritage ?
10:23J'ai reçu l'amour en héritage.
10:31Un matin.
10:32Voilà.
10:33Voilà.
10:34Et ça, c'est la valide.
10:37On ne taxe pas l'amour.
10:39Pas encore.
10:40C'est ça que j'ai reçu.
10:41C'est beau.
10:43Et ce n'était pas taxé à 45%, monsieur, ni à 25%.
10:48Et surtout, il ne faut pas attendre le décès de ses parents pour le percevoir, l'amour.
10:52Oui, je croyais qu'il ne faut pas attendre le décès de ses parents pour les déposséder.
10:56Je pensais que vous vouliez dire ça.
10:57Ah non.
10:58Non, mais il y a beaucoup d'ailleurs, il y a beaucoup de gens qui nous écoutent,
11:06qui ont transmis déjà à leurs enfants.
11:10Donations.
11:10Alors, il y a donations, et puis ça s'appelle nues propriétés, quelque chose comme ça.
11:14C'est-à-dire ?
11:15C'est-à-dire que j'ai fait dans le maximum de ce qui est possible.
11:19J'ai versé de mon vivant, donc, puisque je suis là.
11:22Ah oui, encore ?
11:24À moitié.
11:26À priori.
11:28Il en reste.
11:30C'est le yoga transcendantale.
11:33C'est l'hologramme.
11:40On a bien dit, je suis ce qu'elle peut s'appliquer.
11:43Allez, on marque une petite pause et vous allez remettre tout ça à l'endroit.
11:47Jean, vous allez nous dire.
11:49Parce que je la s'appelle Trois.
11:50Et alors, moi, je connais une personne qui a tout donné à son fils.
11:56A tout donné à son fils.
11:58Son fils lui donne une rente, maintenant.
12:00et il lui a diminué sa rente.
12:03Non, non, je ne veux pas dire que c'est vrai.
12:06Ah ben, je suis sûr, mais il faut faire très attention.
12:08Parfois, tu donnes tout à tes enfants.
12:09Ah ben, oui, parfois, ça rentre tout à l'endroit.
12:11Ah ben, c'est horrible, je vous le confirme.
12:12Faut attention, vous.
12:14C'est-à-dire ?
12:14Non, mais n'envoie pas tout à vos filles.
12:16Mais moi, je n'ai rien.
12:17Que si vous voulez que je donne ?
12:18Et puis, il n'y a pas temps de donner à 17h16.
12:21Mais, sur le fond, je veux dire,
12:23on n'a pas à attendre l'argent de ses parents.
12:26Ils en font ce qu'ils veulent.
12:27En France, je sais qu'on ne peut pas désirriter un enfant,
12:31mais...
12:32Et vous ne pouvez pas gaspiller votre argent, non plus ?
12:34Comment ça, je ne peux pas gaspiller mon argent ?
12:36Non, là, il faut que...
12:37Là, ça, c'est ennuyeux.
12:39Si vous êtes trop prodigue,
12:40si vous avez une tendance à dépenser exagérément,
12:44les enfants, ils peuvent vous mettre sous curatelle
12:46et vous empêcher de dépenser.
12:48Ah, il y a une...
12:49Les cathriques de Pascal viennent de se réunir.
12:52Ils protègent le réhéritage.
12:56Non, mais les enfants n'ont pas à attendre l'argent des parents.
13:00Ça, c'est vrai, bien sûr.
13:02Non, enfin, quand il y en a,
13:03c'est agréable de le prendre tel quel
13:05et que quelqu'un ne vienne pas, vous le chantez.
13:07Mais, tant bien, mais...
13:09Et les parents peuvent venir à 45%.
13:11La cotité, de toute façon, tu ne peux pas être disponible.
13:14Voilà, tu ne peux pas désirriter des enfants.
13:15Non, tão bien.
13:16De toute façon, tu ne peux pas être disponible.
13:17Lui ou je peux pas dans la solution,
13:18puis tu ne av hiring.
13:20Il faut parler de la foi même si tu pleures.
13:21Non, tu ne peux pas est dessus.
13:22Et tu ne peux pas Seb et Regarde.
13:23Oui, Americanare est tropique,
13:24tu ne peux pas rendre un
13:28Est, en Relance chale,
13:32tu ne peux pas encore garder ça.
13:33Bien learning hein.
13:34준비 à uneaman de femme.
13:35Il ne peut pas être ennuée.
13:36Il ne peut pas être ennuée kilometre,
13:36render une...
13:37Tu ne peux pas être ennuée.
13:38Je ne sais pas tu ne peux pas.
13:38De toute façon, politiques,
13:39tu ne peux pas être ennuée.
13:40Tu ne peux pas être ennuée.
13:41sollten sin créer une dispute pour...
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