L'histoire de la FRANCE en Formule 1 [EP.1] : Le Début du Cauchemar ?

PS  F1

Hello boys and girls and the others ! Après avoir vu que la France a d'abord été précurseur dans les courses auto, qu'elle est rentrée dans le rang au début des années 30, puis qu'elle a été submergée par l'Allemagne et l'Italie avant la 1ere Guerre Mondiale, on est en droit de ne rien attendre de la nation tricolore au lancement de la Formule 1. Et pourtant on va avoir quelques moments de gloire que je vais te raconter dans cette vidéo. Alors faites chauffer les moteurs, mettez vos gants, votre casque et installez-vous confortablement dans votre baquet étroit !!  Musique générique : Kovan&Electro-Light – Skyline [NCS Release] https://www.youtube.com/watch?v=FseAiTb8Se0  Musique conclusion : Vexento – Return of the Heroes https://www.youtube.com/watch?v=BNwwjFD9Wsw  ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Pour me contacter : ptitswiift@gmail.com  Réseaux sociaux   Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCpyqW8NiW9gSLwnfbh-7Zcg Dailymotion : https://www.dailymotion.com/ps_f1 Instagram : https://www.instagram.com/ptitswiftf1/ Threads : https://www.threads.com/@ptitswiftf1?hl=fr TikTok : https://www.tiktok.com/@ptitswiftf1?lang=fr X : https://x.com/PSwiift Twitch : https://www.twitch.tv/ptitswiftf1  ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------  #psf1  #formule1  #f1  #histoiredelafrance #années50  ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------  Les médias utilisés dans les vidéos appartiennent à leurs auteurs respectifs.  Toute critique constructive est la bienvenue et servira à faire progresser la chaine, le montage etc... Cependant, le respect et la courtoisie envers toutes et tous doivent être de mise dans l'espace commentaire. Pas besoin d'être aussi grossier que Magnussen. Et comme nous ne sommes pas les directeurs de courses en F1, tout manquement se traduira par une suppression du commentaire (voir le blocage)  Passez un bon moment devant la vidéo !

Transcript

00:00Il y a quelques mois, je te faisais une vidéo te parlant de la place de la France

00:03avant la toute première saison de l'histoire de la Formule 1.

00:07On avait vu que le Pays du 20 était un précurseur dans le monde du sport automobile

00:11en organisant notamment les premières courses et en ayant des premières légendes au cours des années 20,

00:17des pilotes ayant marqué l'histoire du sport automobile,

00:20sans parler du lancement des 24 Heures du Mans en 1923.

00:23Mais malheureusement, à cause de la crise de 29 et de l'émergence de nations fascistes

00:28tels que l'Italie ou l'Allemagne, promouvant une fierté nationale

00:33et aidant au développement du sport, notamment de la course automobile,

00:38les Français avaient perdu progressivement leur place de leader

00:41se faisant littéralement humiliés par ces deux nations voisines.

00:45Après la Seconde Guerre mondiale, les comptes sont vides et le pays doit se reconstruire.

00:49Forcément, le sport auto n'est pas au cœur de l'économie

00:53et donc la France continue de prendre du retard.

00:55En attendant de pas grand-chose de la nation tricolore

00:58lors du lancement du nouveau championnat du monde de Formule 1 créé en 1950.

01:03De Maurice Trintignant à Esteban Ocon, en passant par Prost,

01:07Matra ou encore Jean-Marie Balestre,

01:10plongent avec moi dans l'histoire de la France en Formule 1.

01:14Bienvenue donc dans le premier vrai chapitre de cette série

01:17te parlant de la décennie 1950.

01:20La première course de l'histoire de la Formule 1

01:46aura lieu en Grande-Bretagne et plus précisément à Silverstone le 13 mai 1950.

01:51L'édition 1949 fut un grand succès

01:55et donc dans cette logique d'attirer le plus de monde possible pour le lancement,

02:00la FIA a tout simplement décidé de commencer là-bas.

02:02Ils sont quatre Français au départ de ce Grand Prix

02:04et tous vont rouler avec le même châssis.

02:08La Talbolago T26C.

02:11S'ils roulent tous avec le même châssis,

02:13chacun aura par contre sa propre écurie.

02:15Je vais faire une petite présentation rapide de ces quatre mousquetaires.

02:18On va commencer avec Yves Giraud Cabantou,

02:21pilote de 47 ans et a remporté plusieurs courses de côte

02:24et qui a à son actif une participation aux 24 Heures du Mans en 1938.

02:31Louis Rosier, 45 ans, ancien résistant lors de la Seconde Guerre mondiale,

02:35sûrement le pilote le plus connu des quatre.

02:38Il a remporté par le passé plusieurs courses de côte

02:40et va notamment remporter les 24 Heures du Mans au cours de cette année.

02:44Philippe Etinceland, 54 ans, légende vivante à l'époque.

02:48En France, il est le tout premier pilote à signer la pole position

02:52lors du Grand Prix de Monaco en 1929,

02:55vainqueur du Grand Prix de l'ACF en 1930

02:58et vainqueur des 24 Heures du Mans quelques années après sur le même circuit.

03:02Et enfin le dernier, Eugène Martin, 35 ans, le plus jeune des quatre.

03:06Il a remporté quelques courses par-ci par-là, mais rien de vraiment notable.

03:10Bon, tu t'en rends compte, au départ, on n'a que des vieux briscards.

03:13Et finalement, le meilleur performeur de ce week-end sera Yves Giraud-Cabantou

03:17avec une cinquième position en qualification

03:20et une quatrième place à l'arrivée du Grand Prix.

03:22Devant, Louis Rosier qui terminera cinquième.

03:25Les Français marquent donc des points dès la première course

03:27et ils vont marquer petit à petit tout au long de la saison

03:30avec Louis Rosier qui va notamment terminer quatrième du championnat

03:34grâce à deux troisièmes places obtenues en Belgique et en Suisse.

03:39Malgré ces bons résultats, les Français vont être dominés toute la saison

03:42par les Alfa Romeo, surpuissantes et ultra-dominatrices

03:46remportant d'ailleurs tous les Grands Prix de la saison

03:49sauf les 500 miles d'Indianapolis.

03:52Conclusion de cette première année 1950,

03:54c'est une plutôt belle année avec quelques exploits

03:57lors de courses officielles comptant pour le championnat du monde

04:00mais ce qui est à souligner, c'est surtout les courses hors championnat.

04:02Et oui, à l'époque, on avait un calendrier de six Grands Prix comptant pour le championnat

04:06et une dizaine voire une quinzaine de courses hors championnat

04:10permettant de faire rouler la Formule 1 un petit peu partout en Europe.

04:13Et lors de ces courses hors championnat,

04:16eh bien la France va remporter trois victoires

04:18dont la première lors du Grand Prix de Paris le 30 avril 1950.

04:22Et cette première victoire tricolore est à mettre au profit de Georges Grignard

04:26quand les deux autres sont la propriété de Louis Rosier.

04:29Du fait de la difficulté à l'époque pour un pilote de fer à la saison complète,

04:33nous verrons 12 Français prendre le départ d'un Grand Prix lors de cette saison 1950

04:38avec notamment Maurice Trintignant, Pierre Lévegue

04:41ou encore Robert Manzon, premier Français à marquer des points à domicile.

04:46Parce que oui, la France accueille un Grand Prix à Reims

04:49en circuit d'environ 8 km, faisant la part belle au moteur,

04:53notamment au moteur italien,

04:55ce qui va permettre à Juan Manuel Fangio de l'emporter.

04:58En plus de Talbolago,

05:00eh bien un deuxième constructeur français va se lancer dans l'aventure.

05:04Simca Gordini fait son entrée lors du Grand Prix de Monaco

05:07et lors des saisons suivantes,

05:08ce sera simplement le constructeur Gordini qui viendra participer.

05:11En 51, pas de changement,

05:13on a toujours deux constructeurs français,

05:15mais par contre les résultats sont vraiment moins bons.

05:17Avec seulement 5 points marqués par deux Français au cours de cette saison,

05:22ce qui va totalement décourager l'écurie Talbolago

05:25malgré deux victoires hors championnat.

05:27L'écurie française quitte donc la catégorie reine du sport automobile

05:31et n'y reviendra plus jamais.

05:34On va donc garder Gordini comme seul point d'attache en Formule 1

05:38et cette écurie française va tenter de garder la France

05:40avec la tête hors de l'eau en Formule 1.

05:43En 1952, la Gordini aux mains de Robert Manzon marquera 9 points,

05:47ce qui n'est pas trop mal.

05:48Et on a juste un tout petit changement,

05:49la France n'accueille pas la Formule 1 à Reims,

05:52mais à Roux,

05:53ce qui a fait la deuxième ville française à accueillir un Grand Prix de Formule 1.

05:56Les pilotes français se rendent progressivement compte

05:58que les constructeurs tricolores ne sont pas vraiment à la hauteur de la discipline

06:03et que le développement prévu ne va pas vraiment dans le bon sens.

06:07Beaucoup d'entre eux vont décider d'aller rouler chez des constructeurs étrangers,

06:11notamment Italiens, qui avaient la faveur des résultats à l'époque.

06:14Et ce sera le cas de Louis Rosier,

06:15qui va rouler avec une Ferrari lors de cette même saison, 1952,

06:18prêté par Enzo Ferrari.

06:20Il faut savoir qu'il commande à Torre,

06:21ne prêtait pas ses Ferrari à n'importe qui,

06:23il était très sélectif.

06:25Et donc, quand il vous prêtait une de ses voitures,

06:27c'est que vous étiez vraiment un très bon pilote.

06:29Le changement est bénéfique pour Rosier,

06:31puisque le français va remporter plusieurs courses hors championne.

06:34Pour 53 et pour 54,

06:36les résultats sont vraiment, mais vraiment pas bons.

06:39Pas beaucoup d'améliorations en 53 et en 54,

06:42et en fait, ça devient un peu gênant.

06:44Notamment si on met en parallèle l'exemple de Mercedes.

06:48L'écurie allemande a pris le temps de se reconstruire après la guerre,

06:52de développer une machine de course

06:54qui va venir lors du Grand Prix de France en 1954

06:57et détruire la concurrence jusqu'en 1955.

07:01Clairement, il y a de quoi se poser des questions

07:03pour les écuries françaises,

07:04qui ont été dominées par les écuries italiennes,

07:07puis maintenant par les écuries allemandes.

07:09Pour Gordini, rien ne va plus,

07:11puisqu'ils vont même perdre Maurice Trintignant en 54,

07:14le français partant chez Ferrari

07:16et montant sur ses deux premiers podiums

07:18lors des deux derniers Grands Prix de la saison.

07:20De bien belles performances

07:21et une montée en puissance qui va bientôt être récompensée.

07:27Bon, jusque-là, c'est pas la joie.

07:29Les victoires en Formule 1

07:30ne tombent que lors de course hors championnat.

07:32On n'a qu'un constructeur français.

07:34Et les pilotes français de plus en plus vieux

07:36sont obligés de s'exporter

07:38vers des écuries étrangères pour performer.

07:41Pour vous dire à quel point ça ne va pas du tout,

07:43Gordini ne va marquer aucun point lors de la saison 1955.

07:47Et de l'autre côté,

07:48Maurice Trintignant, de son surnom Pétoulay,

07:51va remporter sa première victoire

07:53lors d'une course comptant

07:55pour le championnat du monde de Formule 1.

07:57On est à Monaco

07:58et le français va réaliser une course splendide

08:01pour faire résonner

08:02la première marseillaise de l'histoire de la Formule 1.

08:06Et sur une Ferrari en plus, excusez du peu.

08:08Tout le monde est enfin heureux,

08:11mais c'est une joie qui va t'être de courte durée.

08:13Car un peu plus tard dans l'année,

08:15lors des 24 Heures du Mans 1955,

08:18l'une des plus grandes tragédies du sport automobile

08:20va se produire.

08:21On a un terrible accident

08:23éjectant Pierre Léveig et sa Mercedes

08:25dans le public,

08:26tuant plus de 80 personnes sur le coup.

08:30Ce crash va forcément se faire poser

08:32beaucoup de questions

08:33dans la tête des gouvernements.

08:34La sécurité est-elle assez respectée

08:36pour les spectateurs autour des circuits ?

08:39Et finalement,

08:39beaucoup de pays vont interdire

08:41les courses automobiles chez eux.

08:43Le gouvernement français

08:44prend la décision

08:45de ne pas organiser

08:47de Grand Prix de Formule 1 cette saison,

08:48même s'il reviendra les années suivantes,

08:50car tout simplement,

08:51la France est en deuil.

08:52Il va être difficile

08:53de se relever de cette situation,

08:55notamment pour Mercedes,

08:56qui décide de quitter

08:57tout simplement le sport automobile,

08:59créant une opportunité

09:00pour les Français en Formule 1.

09:02En tout cas,

09:03voyant cette opportunité,

09:04ça va motiver un constructeur français

09:06à venir participer à un Grand Prix.

09:08Le troisième constructeur français

09:09à rentrer en Formule 1

09:10sera ni plus ni moins

09:11que Bugatti.

09:12Et ils vont faire un gros coup

09:14en attirant dans leur rang

09:15le seul pilote français

09:16vainqueur en Formule 1.

09:17Petoulet va être très intéressé

09:19par le projet.

09:20Malheureusement pour lui,

09:21le pari ne sera pas gagnant.

09:23Il ne pourra participer

09:24qu'à un Grand Prix,

09:25étant contraint à l'abandon

09:26et quittant à nouveau

09:28une écurie française

09:29à la fin de la saison.

09:30La Bugatti 2.5

09:31n'était absolument pas prête,

09:33que ce soit en termes

09:34de fiabilité

09:35ou de performance.

09:36Et ils ne vont participer

09:37qu'à un Grand Prix

09:38et quitter définitivement

09:40la Formule 1.

09:41Point positif quand même

09:42pour cette année 1956,

09:43c'est la troisième année consécutive

09:45qu'un pilote français

09:45termine quatrième du championnat.

09:47Et cette année,

09:48c'est pour Jean Bérat

09:49qui va réaliser

09:50une très belle saison.

09:51Malheureusement pour nous,

09:52la France va tomber.

09:54Ponte pas très haut,

09:55mais elle va tomber.

09:56Très mauvaise nouvelle

09:59pour la France.

10:00En 1957,

10:01après Talbot,

10:02après Bugatti,

10:03Gordini décide également

10:05de quitter la Formule.

10:07Les Français ont mis

10:07beaucoup trop d'argent

10:08dans le développement

10:09d'une voiture

10:09vraiment pas à la hauteur

10:11de la catégorie.

10:12Et donc,

10:12on se retrouve avec seulement

10:13deux pilotes français

10:14à supporter

10:14pour le peuple tricolore

10:16qui vient toujours assister

10:17au Grand Prix de France

10:19lors de cette année.

10:20Maurice Trintignant

10:21va faire une belle saison,

10:22mais celui qui va

10:23le plus performer,

10:24c'est Jean Bérat,

10:25avec notamment

10:26cinq victoires

10:27en neuf Grand Prix

10:28lors de courses

10:29hors championnat.

10:30Nul doute,

10:31les pilotes français

10:32sont clairement

10:33les champions du monde

10:33des courses hors championnat,

10:34mais bon,

10:35c'est con que ça compte pas.

10:36Les deux Français

10:37nous font vibrer

10:37et pour la saison 58,

10:39ils vont tenter

10:39de rouler

10:40avec différents constructeurs,

10:42notamment des constructeurs

10:43anglais

10:44qui ont fait leur retour

10:45après des difficultés

10:47au début de la décennie

10:49et qui vont se mettre

10:49à dominer la catégorie.

10:52Trintignant va rouler

10:53sur une Cooper Climax,

10:54constructeur anglais,

10:56et va aller chercher

10:57une deuxième victoire

10:59en carrière

11:00en Formule 1,

11:01toujours à Monaco.

11:03Deuxième Marseillaise

11:04dans la décennie,

11:05c'est plutôt cool,

11:06même si,

11:07c'est toujours

11:08avec un constructeur étranger.

11:09Sinon,

11:10pas grand-chose

11:11à se mettre sous la dent.

11:12En fait,

11:12le changement de constructeur,

11:13c'est quand même

11:14un petit peu perturbant,

11:15mais pour Pétoulay,

11:16la saison 59

11:17va être bien meilleure.

11:18Avec une super régularité,

11:20il va quand même monter

11:20deux fois sur le podium,

11:22lui permettant

11:22de terminer

11:23cinquième du championnat

11:25avec 19 points

11:26dans la poche.

11:27Il ne sont toujours

11:28que deux à participer

11:29à l'entièreté

11:31de la saison de la Formule 1,

11:32Jean Bérat

11:32et Trintignant,

11:33et on voit de moins en moins

11:34de Français

11:35se tester

11:35à la plus grande catégorie

11:36de sports automobiles.

11:38Et sans structure française,

11:39c'est toujours plus difficile

11:40d'accéder à cette catégorie.

11:42Il y a un trou générationnel,

11:43les jeunes n'arrivent pas

11:44à s'identifier

11:45à des pilotes vieillissants,

11:46et donc la Formule 1

11:48attire de moins en moins.

11:50C'est un cercle vicieux.

11:51Et à ça,

11:51on ajoute malheureusement

11:52le décès de Jean Bérat

11:54sur le circuit de Lavus

11:56lors du Grand Prix d'Allemagne

11:571959,

11:58lui qui avait pris

11:59quelques mois par avant

12:00une victoire hors championnat.

12:02Et finalement,

12:03à la fin de cette décennie 50,

12:05il ne reste plus que

12:06Maurice Trintignant,

12:07qui a tout le poids

12:08de la France

12:08sur ses épaules,

12:09sauf que les années passent

12:10et que le français

12:11ne va pas être éternel.

12:13Bon,

12:16pour conclure,

12:17quelle est la place

12:18de la France

12:18à la fin de la décennie 1950 ?

12:21Eh bien,

12:22on a l'impression

12:22que le pays tricolore

12:24cherche encore sa place.

12:25On a vu plusieurs

12:26constructeurs français

12:27venir,

12:28des pilotes

12:29performer

12:29un Grand Prix de France,

12:31mais malgré tout,

12:32les performances

12:33ne sont pas vraiment là.

12:34En plus de ça,

12:35on n'a pas eu la sensation

12:36que les constructeurs

12:37étaient en mesure

12:37de faire progresser

12:39les voitures

12:39pour les emmener

12:40à la victoire.

12:41Les pilotes français

12:42ont dû se débrouiller

12:43eux-mêmes

12:43et s'expatrier

12:44pour goûter

12:46aux joies du champagne.

12:47On atteste

12:48les deux très belles victoires

12:49de Maurice Trintignant

12:50à Monaco

12:50et les très bonnes performances

12:52de Jean Bérat

12:54lors de courses

12:54hors championnat.

12:55La perte de Jean Bérat

12:57et le vieillissement

12:58de Pétoulé

12:59qui a quand même

12:5943 ans

13:00en 1960

13:01n'annoncent

13:03rien de bon

13:03pour la prochaine décennie.

13:05Ce qui pourrait relancer

13:06l'intérêt français

13:07pour la Formule 1,

13:09ce serait l'arrivée

13:09d'un nouveau constructeur

13:11dans la catégorie.

13:12Est-ce que ce sera le cas ?

13:13Eh bien tout ça,

13:14on le verra

13:14dans le prochain chapitre.

13:16En tout cas,

13:17si la vidéo t'a plu,

13:18je t'invite à la liker.

13:20Je t'invite également

13:20à t'abonner

13:21et à activer la cloche

13:22pour ne pas louper

13:23le prochain chapitre

13:25te parlant

13:25de l'histoire

13:26de la France

13:27en Formule 1.

13:28On parlera

13:28de la décennie 1960,

13:30tu l'auras compris.

13:31N'hésite pas

13:31à compléter un peu l'histoire

13:33et à raconter

13:34les petites anecdotes

13:34en commentaire

13:35et également

13:37à venir faire un tour

13:37sur tous mes réseaux sociaux.

13:39Et si tu veux voir

13:40d'autres histoires

13:41de Formule 1,

13:42eh bien à droite

13:43et à gauche,

13:44tu trouveras

13:44deux autres vidéos

13:46à voir

13:47ou à revoir.

13:48Et moi,

13:48je te dis au revoir

13:49et à la prochaine.

13:51Sous-titrage Société Radio-Canada

14:00Sous-titrage Société Radio-Canada

14:01Sous-titrage Société Radio-Canada

14:02Sous-titrage Société Radio-Canada

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