Depuis l'Egypte, Emmanuel Macron s'est défaussé lundi sur la classe politique de toute responsabilité dans la crise française, mettant plutôt en avant son rôle diplomatique, qu'il tente de conforter, dans la résolution de la guerre à Gaza.
00:00Nous avons beaucoup fait. Je veux remercier le président Sissi et le président Trump pour que le président Mahmoud Abbas soit invité.
00:09Il a pu être présent à la cérémonie et avoir toute sa place. On a pu valider qu'il soit associé à ces prochaines étapes étroitement, ce qui est un point clé.
00:18Parce que nous savons qu'on peut avoir entre nous des désaccords, ce qui est le cas sur les deux États, entre, par exemple, les États-Unis et la France.
00:25Mais la capacité que nous avons à emmener l'autorité palestinienne aujourd'hui, c'est la condition pour que les intérêts et la sécurité de la Cisjordanie soient préservés dans cette phase,
00:36reviennent au cœur du plan et que la perspective politique des deux États soit préservée.
00:41Voilà. Je ne veux pas être plus long, pardon, d'être un peu peut-être technique.
00:44Mais ça a été l'acquis de cette journée et donc qui va nous conduire, comme on l'a fait il y a quelques jours auprès du ministre,
00:50à poursuivre le travail pour que maintenant ça devienne une réalité qui s'installe.
00:55Et on voit qu'il y a encore beaucoup d'étapes devant nous.
00:57Donc c'est une journée historique.
00:59C'est une journée historique pour les otages, leur famille, pour le peuple israélien.
01:04C'est une journée historique parce que c'est celle d'un nouveau cessez-le-feu, du retour de l'aide humanitaire et donc pour le peuple palestinien.
01:11Mais on doit encore écrire l'histoire avec beaucoup d'étapes à venir, donc il faut beaucoup d'humilité.
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