- il y a 6 semaines
Depuis l'Egypte, Emmanuel Macron s'est défaussé lundi sur la classe politique de toute responsabilité dans la crise française, mettant plutôt en avant son rôle diplomatique, qu'il tente de conforter, dans la résolution de la guerre à Gaza.
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00:00Si redire à la fin de cette journée la joie, le bonheur partagé, d'abord de voir le cessez-le-feu respecté, ensuite de voir les otages libérés, et donc quand je me suis exprimé devant vous ce matin, il n'y en avait que 7 qui étaient sortis maintenant, tous les otages, les 20 otages vivants ont été libérés,
00:19et d'avoir aussi des opérations humanitaires qui ont pu commencer à reprendre, avec des volumes même plus importants que ceux qui ont été prévus, c'est ce que nous ont dit les représentants d'Otcha avec lesquels nous avons pu échanger, qui ont été aujourd'hui transférés, donc c'est vraiment un acquis.
00:34J'ai pu aujourd'hui avoir plusieurs réunions bilatérales avec les dirigeants de la région, évidemment le président Mahmoud Abbas, le président d'Irak, le roi de Jordanie, l'émir du Qatar, évidemment le président Sissi,
00:49et nous avons tenu une réunion de coordination euro-arabe assez longue avant que se tienne la conférence en fin de journée qui a permis la signature et les discours du président Sissi et du président Trump.
01:02C'est aujourd'hui donc une vraie avancée, une étape décisive. Maintenant nous nous sommes aussi mis en ordre de marche pour préparer la suite, et donc dès demain poursuivre les opérations humanitaires telles qu'elles ont commencé, mais les accélérées,
01:18avec une coordination euro-arabe qui sera faite, et nous allons engager avec les Etats-Unis d'Amérique et Israël pour nous assurer qu'il y ait un suivi international de ces opérations,
01:28parce que le grand danger c'est qu'elles puissent être régulièrement bloquées et que l'aide humanitaire puisse accéder dans les meilleurs délais,
01:36en tout cas continue de se faire en temps réel, avec les bons volumes. Et nous avons réparti les rôles et les aides aussi pour les prochaines semaines.
01:45Il y aura dans les toutes prochaines semaines, vraisemblablement ici, une conférence humanitaire qui sera organisée et qui sera coordonnée de manière euro-arabe,
01:53avec chacun qui prendra la tête d'un des segments. La deuxième étape, c'est la stabilisation et la reconstruction,
02:01où là aussi nous allons mobiliser des financements pour très vite repartir dans la stabilisation et la reconstruction de Gaza.
02:08Comme je vous le disais ce matin, le deuxième élément de la coordination que nous avons actée, c'est la sécurité.
02:14Il y a unanimité pour vouloir une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, entre nous et la poussée,
02:21et j'en ai parlé aussi tout à l'heure avec le président Trump et le secrétaire d'Etat Rubio pour aller en ce sens.
02:26Et donc le travail va être mené entre nous tous pour avoir une résolution qui permette d'ancrer les choses
02:31et de donner un cadre qui permettra aussi à plusieurs forces internationales de se déployer en soutien.
02:37Maintenant, il y a tout un travail technique qui va se faire pour définir les règles d'engagement,
02:41le statut de cette force, son rôle.
02:44En parallèle, évidemment, les forces de police et les forces de sécurité intérieure de l'autorité palestinienne
02:50seront déployées.
02:51Il y a un très gros travail qui est coordonné largement par l'Egypte et la Jordanie
02:56qui existent depuis des années en la matière, auxquels nous contribuons, nous, Européens,
03:01par des programmes de financement et de formation,
03:03et qu'on va monter en charge dès les prochains jours
03:07pour pouvoir, là aussi, financer et organiser ces forces de sécurité intérieure.
03:13Dès demain, commencera aussi le travail technique sur la démobilisation et le désarmement du Hamas dans ce cadre.
03:22Enfin, nous commençons le travail sur la gouvernance,
03:26parce qu'il y a beaucoup d'ambiguïté qui demeure sur ce sujet, on le sait bien.
03:30Dans le plan américain, il y a un conseil de la paix,
03:35puis deux comités, un comité international et un comité palestinien.
03:38Il y a à côté de ça tout un travail que nous avons suivi et accompagné,
03:42qui s'est fait depuis plusieurs trimestres, coordonné par l'Egypte, la Jordanie,
03:46mais avec tous les golfiques et notre suivi,
03:49qui a permis d'établir, en fait, ce qui est déjà un comité palestinien
03:53avec un processus de validation israélienne.
03:56Nous poussons pour que ce soit ce comité qui puisse s'installer le plus vite possible,
04:00qui permet de donner sa place à l'autorité palestinienne,
04:03d'assurer la coordination avec la Cisjordanie et qui est validée par Israël.
04:11A cet égard, nous avons beaucoup fait.
04:13Je veux remercier le président Sissi et le président Trump
04:17pour que le président Mahmoud Abbas soit invité.
04:21Il a pu être présent à la cérémonie et avoir toute sa place.
04:24On a pu valider qu'il soit associé à ces prochaines étapes étroitement,
04:28ce qui est un point clé,
04:29parce que nous savons qu'on peut avoir entre nous des désaccords,
04:33ce qui est le cas sur les deux États,
04:35entre, par exemple, les États-Unis et la France,
04:37mais la capacité que nous avons à emmener l'autorité palestinienne aujourd'hui,
04:42c'est la condition pour que les intérêts et la sécurité de la Cisjordanie
04:46soient préservés dans cette phase,
04:48reviennent au cœur du plan
04:49et que la perspective politique des deux États soit préservée.
04:53Voilà. Je ne veux pas être plus long, pardon, d'être un peu peut-être technique,
04:56mais ça a été l'acquis de cette journée.
04:58qui va nous conduire, comme on l'a fait il y a quelques jours auprès du ministre,
05:02à poursuivre le travail
05:03pour que maintenant, ça devienne une réalité qui s'installe.
05:07On voit qu'il y a encore beaucoup d'étapes devant nous.
05:09C'est une journée historique.
05:11C'est une journée historique pour les otages,
05:13leur famille, pour le peuple israélien.
05:16C'est une journée historique
05:16parce que c'est celle d'un nouveau cessez-le-feu,
05:19du retour de l'aide humanitaire
05:20et donc pour le peuple palestinien.
05:23Mais on doit encore écrire l'histoire
05:24avec beaucoup d'étapes à venir,
05:25donc il faut beaucoup d'humilité.
05:26– Monsieur le Président, on vous a vu
05:28prendre Mahmoud Abbas par le bras
05:31pour l'accompagner auprès du Président Trump.
05:34Est-ce qu'on doit en conclure
05:35que le Président Trump n'avait pas vraiment envie
05:37d'avoir une photo avec lui ?
05:39– Écoutez, il l'a fait de très bon cœur
05:41et je pense qu'il y a comme toujours
05:43des sujets de protocole, parfois de confusion
05:46qui se créent dans ces moments-là.
05:48En tout cas, il a été extrêmement amical
05:50et attentif à son égard.
05:53Et moi, je ne veux voir qu'une chose,
05:55le Président Sissi l'a invité,
05:57le Président Trump l'a salué, l'a associé.
05:59Il l'a salué dans son propos final
06:00et il a pu le saluer, c'est le plus important.
06:03Et si la France a modestement pris son bras
06:05pour faire quelques mètres,
06:07c'est un rôle qui nous va.
06:08– Et vous pensez que les Américains
06:10ont évolué un petit peu sur le mandat
06:13aux Nations Unies, Blair, etc.
06:15ou est-ce qu'ils restent encore très crispés ?
06:17– Écoutez, je pense que chaque jour,
06:19il faut améliorer les choses
06:20et avancer vers une internationalisation de cela.
06:24Le rôle des Américains est clé.
06:25Je l'ai dit moi-même il y a plusieurs semaines.
06:27Il n'y a qu'un pays au monde
06:28et qu'un dirigeant qui peut arrêter,
06:30qui pouvait arrêter à Gaza le Premier ministre.
06:33Israélien et son armée,
06:34c'est les États-Unis d'Amérique.
06:36Il a décidé de le faire,
06:37c'est très important et c'est cette étape.
06:39Maintenant, les prochaines étapes
06:40doivent continuer de s'écrire
06:41avec les États-Unis d'Amérique, Israël,
06:45mais avec tous les pays de la région
06:47et les Européens
06:48et avec évidemment les Palestiniens.
06:50– Est-ce que le Premier ministre israélien
06:52ne soit pas venu ?
06:53Il n'a pas y venir ?
06:54Est-ce que là, il y a une petite occasion ?
06:55– Je pense que le président Trump
06:58aime faire des opérations.
07:00J'ai un peu le même tempérament,
07:01donc je comprends très bien.
07:02Elle lui a sans doute proposé,
07:04a voulu un moment l'engager.
07:06Je pense qu'il y a aussi beaucoup de pays
07:07qui n'étaient pas prêts
07:08à ce qu'il y ait un format qui change.
07:10Je pense qu'il y avait beaucoup de dirigeants
07:12que ça mettait en porte-à-faux.
07:14Et donc je pense que c'était mieux de faire comme ça
07:16et que les choses ont été très bien organisées.
07:18C'était très bien que le président Trump
07:20puisse aller à la Knesset,
07:22avoir ses mots très forts,
07:23voir le Premier ministre Netanyahou
07:24et le président Herzog.
07:25Et je veux ici leur dire mon amitié,
07:27dire au peuple israélien
07:28l'amitié de la France
07:30et notre soulagement à leurs côtés.
07:32Puis qu'ils viennent ici à Chermelcher,
07:34accueillis par le président Sissi,
07:35et qu'ils voient les leaders de la région,
07:37les Européens,
07:38d'autres leaders impliqués,
07:39du Canada à l'Indonésie,
07:41et qu'ils puissent avoir ce moment
07:42avec le président Abbas.
07:43C'était bien fait.
07:44– Vous allez vous dire à vos ministres demain
07:46pour ce Premier Conseil des ministres
07:47qui sera déjà menacé ?
07:49– Comme disait ma grand-mère,
07:51à chaque jour suffit sa peine.
07:52Donc je vais remonter dans mon avion
07:53et préparer demain.
07:54– Merci beaucoup.
07:56– Est-ce qu'il y a d'autres questions ?
07:57– Dans la question humanitaire,
07:58quel est l'objectif réaliste sur Gaza ?
08:01On est aujourd'hui,
08:02il est environ 600 camions.
08:04– Alors on m'a dit,
08:04Ocha nous a dit qu'il y en avait
08:05sans doute un peu plus, 700 à 800.
08:07Dans le plan américain,
08:09on parle de 500 à 600.
08:11Ce qu'on sait,
08:11c'est qu'avant le début de la guerre,
08:12il en fallait à peu près 1000
08:13pour tenir.
08:15Donc ça vous laisse clairement mesurer
08:18qu'il en faut beaucoup plus aujourd'hui.
08:21Je pense que personne ne sait véritablement
08:23la nature et la magnitude
08:25de ce qu'on aura à gérer
08:28sur le plan humanitaire.
08:29Parce qu'il y a de l'alimentation,
08:31de l'eau, des médicaments à envoyer.
08:35Il y a aussi beaucoup de blessés à sortir,
08:38de familles à prendre en charge
08:40dans les hôpitaux
08:41avec une grande solidarité de la région
08:43et de nous tous pour accompagner.
08:45Donc il faut être très humble.
08:46Mais il est vraisemblable
08:48qu'il faudra dans cette phase
08:49plus d'un millier,
08:51plusieurs milliers sans doute
08:52de camions jour
08:53si on veut être au rendez-vous
08:55et des dispositifs hospitaliers
08:57mis à disposition.
08:58Justement, pour finir,
08:59M. le Président,
09:00est-ce que vous avez pu avancer
09:01sur qui va financer tout ça ?
09:03Qui va financer l'aide humanitaire,
09:04les besoins de la force internationale ?
09:06La communauté internationale
09:07sera au rendez-vous.
09:08C'est l'objectif de la conférence
09:10qui se tiendra ici.
09:11Et donc les pays de la région
09:12qui ont déjà fait beaucoup
09:13vont continuer de faire,
09:15de financer le Golfe, exactement.
09:18L'Egypte aura un rôle clé
09:19avec d'autres pays de la région
09:20pour accueillir dans leurs hôpitaux.
09:22Et les Européens aussi y participeront.
09:24Nous avons eu des efforts
09:25par le sous-contrôle du ministre
09:26d'environ 100 millions d'euros par an
09:27depuis le début du conflit.
09:28On fera un peu plus même cette année.
09:30Et je ne compte pas là-dedans
09:32ce qu'on a fait
09:32avec nos déploiements sanitaires
09:34et nos ONG en plus.
09:35et nos militaires
09:36avec le Dix-Mult
09:37qui s'est déployé
09:38dès le début du conflit.
09:39Donc c'est une mobilisation internationale.
09:41Vous confirmez l'exfiltration
09:42du président malgache
09:43avec un avion militaire français.
09:45Pouvez-vous nous en dire plus ce soir ?
09:46Non, je confirmerai aujourd'hui.
09:48Je veux ici dire
09:50la grande préoccupation
09:52qui est la nôtre,
09:53dire l'amitié de la France
09:54à l'égard du peuple malgache.
09:57Et au fond, j'ai deux messages.
09:58Je pense qu'il est très important
09:59que l'ordre constitutionnel,
10:02la continuité institutionnelle
10:04soit préservé à Madagascar
10:06parce qu'il en va
10:07de la stabilité du pays
10:08et des intérêts
10:09de la population aussi
10:10pour que la communauté internationale
10:12puisse continuer d'aider.
10:14Parce que si l'ordre international
10:15et constitutionnel
10:16était rompu,
10:17on sait ce qui s'est passé.
10:18Madagascar l'a déjà vécu.
10:20Ce serait évidemment...
10:21Les premières victimes
10:22seraient la population.
10:24Et à côté de ça,
10:24je veux dire ici
10:25comme partout
10:26qu'on regarde
10:27la jeunesse
10:28de ces pays
10:29avec beaucoup d'admiration,
10:31d'affection.
10:32On a une jeunesse
10:32qui s'est exprimée,
10:33qui est politisée,
10:35qui veut vivre mieux.
10:36Et ça, c'est une très bonne chose.
10:37Il ne faut simplement pas
10:38qu'elle soit récupérée
10:39par des factions militaires
10:41ou des ingérences étrangères.
10:43Et donc,
10:43je veux ici redire
10:44au nom de la France
10:45notre affection
10:46à l'égard de Madagascar,
10:48notre attention
10:49et notre affection
10:49à l'égard de cette jeunesse
10:50et notre grande vigilance
10:52aux côtés de l'Union africaine,
10:54de la SADEC,
10:55pour que la continuité institutionnelle
10:58et les lampes constitutionnelles
10:59soient respectées.
10:59Monsieur le Président,
11:00Jean-Lors de la justice
11:01viendra-t-elle
11:01pour ce qui s'est passé à Gaza ?
11:03Pardon ?
11:03La justice viendra-t-elle ?
11:05Je le souhaite.
11:06La France a toujours cru
11:07que l'impunité
11:08ne pouvait pas exister
11:10si on voulait
11:10que la justice se passe.
11:12Et donc, il le faudra.
11:13C'est aussi pour ça
11:14que j'ai toujours dit
11:14qu'il fallait
11:15que la justice internationale,
11:17ses enquêteurs,
11:19que le travail des journalistes
11:20puissent reprendre
11:21comme celui des humanitaires.
11:23Et dans les enjeux
11:23des prochains jours
11:24et des prochaines semaines,
11:25il y a évidemment
11:25la priorité humanitaire
11:26que j'évoquais.
11:28Mais il y a aussi le fait
11:28que les journalistes
11:29du monde entier
11:30puissent revenir
11:31faire leur travail à Gaza
11:32dans le bon ordre,
11:34en étant protégés
11:35sans risquer leur vie
11:36et puissent simplement
11:39partager la vérité
11:40de la situation.
11:41Et donc, oui,
11:42étape par étape,
11:43mais c'est ce que la France souhaite.
11:44Et nous avons d'ailleurs
11:45toujours lutté
11:46contre toute forme
11:46d'impunité partout.
11:48Monsieur le Président,
11:48juste, on a l'impression
11:49que le Hamas
11:50refait surface un petit peu
11:52à Gaza,
11:52occupe un peu le vide.
11:54Est-ce que vous êtes inquiet ?
11:55Je suis toujours inquiet
11:56parce qu'on sait
11:57comment ça se passe
11:57avec les groupes terroristes.
11:59Il faut avoir là-dessus
12:00beaucoup d'humilité
12:01et beaucoup d'exigence.
12:03C'est aussi pour ça
12:03que je pense
12:04qu'il est très important
12:05d'avoir un suivi international
12:07extrêmement rigoureux.
12:10Il y aura,
12:10nous le savons,
12:11dans les semaines,
12:11les mois qui viennent,
12:13des attaques terroristes,
12:14des déstabilisations,
12:16des moments
12:16qui seront très durs
12:17parce qu'on ne démantèle
12:19pas un groupe terroriste
12:20avec des milliers
12:21de combattants,
12:22des tunnels,
12:23des armements
12:23de cette nature
12:24du jour au lendemain.
12:25Et donc,
12:26là-dessus,
12:27il faut qu'il y ait
12:28cette force
12:28de stabilisation internationale.
12:30On se mobilise
12:31pour former
12:31et équiper
12:32l'autorité ad hoc
12:33avec les forces
12:34de sécurité palestiniennes,
12:36mais il faut aussi
12:36qu'il y ait
12:37un grand accompagnement.
12:38Nous avons nous-mêmes
12:38déployé des planificateurs
12:40pour aider
12:41et on mettra tous
12:42notre expertise.
12:43Les Britanniques,
12:44par exemple,
12:44dans notre réunion
12:45de cet après-midi,
12:45expliquaient
12:46qu'ils ont une grande
12:47expertise
12:47sur le début
12:49de la décommanding,
12:51pardon,
12:51de le faire
12:51en mauvais anglais
12:53parce qu'ils l'ont fait
12:54après le Good Friday Agreement
12:56sur l'AER.
12:57Et tout ça
12:58est extrêmement complexe,
12:59ça va prendre du temps,
13:00mais il faut qu'on soit
13:01tous mobilisés,
13:02on le saura.
13:02La force internationale,
13:03d'après vous,
13:03devrait être déployée
13:04quand à Gaza ?
13:06Je ne peux pas
13:06vous le dire ici
13:07sans parler en l'air.
13:09Je pense qu'il faut
13:10d'abord qu'on travaille
13:10ensemble sur
13:11quelles sont ces règles
13:12d'engagement,
13:13qui est prêt à s'y engager,
13:14comment on l'articule
13:14avec les forces de sécurité
13:16et la police
13:17et qu'on ait un accord
13:19sur un texte.
13:20C'est ce qu'on travaille
13:20avec les Britanniques
13:22depuis plusieurs jours
13:23et semaines.
13:24On l'a partagé jeudi
13:25avec les autres Européens
13:26et les Golfics
13:27et la Turquie
13:28et nous allons maintenant
13:30réengager avec les Américains.
13:31J'ai eu la discussion
13:32tout à l'heure
13:32avec le président Trump
13:33et le secrétaire d'Etat
13:34Rubio.
13:35Voilà.
13:35Merci beaucoup.
13:36Je vais devoir prendre l'avion.
13:37Merci.
13:37... dans le fait
13:38que la France
13:39ait un budget
13:40au 31 décembre prochain.
13:42Oui,
13:42parce que c'est ce que
13:43nos compatriotes
13:43attendent pour eux-mêmes
13:44c'est ce dont la France
13:45a besoin,
13:46c'est ce dont nos armées
13:47ont besoin,
13:48c'est ce dont le quotidien
13:49de nos Français ont besoin
13:50et donc j'ai confiance
13:51dans l'esprit de responsabilité
13:52de chacun pour y arriver.
13:53Merci à toutes et tous.
13:55Bon courage.
13:56Merci.
Recommandations
2:07
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À suivre
1:16
10:16
1:05
0:57
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1:39
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