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  • il y a 7 semaines

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00:00Europe 1 Soir, 19h-21h, Pierre de Villeneuve.
00:04Avec par ordre d'apparition Patrick Vignal, Adrien Matou, Jules Torres et Laurence Garnier
00:10qui voulaient répondre à Patrick Vignal juste avant la pause publicitaire.
00:13Madame la sénatrice, c'est à vous.
00:14Oui, merci beaucoup. On évoquait cette question d'une potentielle dissolution
00:18dont personne ne sait à l'heure où on se parle si elle sera effective dans les prochains jours ou pas.
00:23Mais vous disiez, le RN n'aurait pas de majorité.
00:26S'il avait une majorité, entre guillemets, je signerai tout de suite.
00:30Ce n'est pas votre appartenance politique.
00:33Ça va vous coller.
00:35Je voudrais revenir sur un point.
00:38Il y a déjà eu une dissolution, ça n'a échappé à personne en juillet 2024.
00:44Et il s'est passé quelque chose qu'on ne rappelle pas suffisamment, je pense, aujourd'hui,
00:48lors de cette dissolution.
00:49C'est-à-dire qu'on a évidemment appelé les Français aux urnes.
00:53Ils ont massivement voté à ce moment-là.
00:55Et puis, entre le premier et le deuxième tour, il y a quand même eu quelque chose.
00:58C'est-à-dire qu'il y a eu un barrage, ce que certains ont appelé un barrage.
01:01On ne le rappelle pas assez, mais on en parle tous les jours, je n'écoutais pas à l'Europe, l'année dernière.
01:05Vous n'écoutez pas assez, Europe.
01:06Non, mais ce que je veux dire, ce n'est pas ça.
01:07Ce que je veux dire, c'est qu'il y a eu, à ce moment-là, une forme de confiscation démocratique.
01:12On a dit, et pardon, monsieur le député, mais un certain nombre de personnalités politiques de chez vous...
01:19Mais moi, je l'ai dit aussi, madame.
01:21Je l'ai dit, je n'ai pas de souci.
01:21Écoutez, voilà, on expliquait aux Français qu'il fallait tout faire pour faire barrage au RN.
01:25Moi, je ne suis pas du Rassemblement National, je combats leur politique.
01:29Mais je pense qu'à partir du moment où on procède à cette forme de confiscation démocratique,
01:33et où on explique aux Français qu'ils ne peuvent pas voter pour qui ils le souhaitent,
01:37rien de bon ne peut sortir de cet exercice politique.
01:40Patrick Lignal, est-ce que les macronistes, le bloc central et surtout le parti Renaissance,
01:45aujourd'hui, a peur de nouvelles élections ?
01:48Bien sûr qu'on est une expectative.
01:50Aujourd'hui, on est au pouvoir.
01:52L'opposition, c'est plus facile.
01:53Aujourd'hui, je pense qu'avec une dissolution, ça serait très compliqué pour mes collègues parlementaires.
01:58Je n'ai pas de souci avec ça.
01:59Mais ce que je veux dire, en fait, c'est qu'on est passé d'un bipartisme gauche-droite à un tripartisme.
02:04Et très franchement, je ne vois pas d'ici 15 jours ou un mois changer de revenir à un bipartisme.
02:12Moi, j'ai simplement envie de vous dire une chose.
02:14C'est-à-dire que s'il n'y a plus, ou pratiquement très peu de renaissances...
02:18Mais ça va équilibrer, cher monsieur.
02:19Il y aura plus de PS, il y aura plus d'écolos, il y aura un peu plus de LFI, et il y aura un peu plus de RN.
02:26Il y aura plus de RN.
02:27Mais je vais vous dire, franchement, si j'étais Marine Le Pen et Jordan Bardella,
02:31moi, je vous dis franchement, ils n'iront pas aux affaires.
02:34Jordan Bardella, il n'a pas envie d'aller aux affaires.
02:37Moi, j'aime bien les gens qui me disent, j'y vais si j'ai une majorité.
02:40Mais vous aussi, non ?
02:41Si vous avez 350 parlementaires, demain, vous êtes le Premier ministre.
02:45Sondage.
02:45Vous appuyez sur un bouton et ça marche.
02:46Opinion Web pour CNews.
02:47Trois hypothèses.
02:48Union des partis de gauche, ça c'est une hypothèse.
02:5034% pour le RN.
02:5424% pour la France Insoumise, le Parti Socialiste, le Parti Communiste, les écologistes.
02:59Et est-ce que vous avez une majorité avec ça ?
03:01Opinion 2, 33% avec toujours le RN et l'UDR.
03:07Et puis là, les autres, 13, 13, 15, etc.
03:09Opinion 3, toujours 33%.
03:11Mais ça ne fait pas une majorité ?
03:13Adrien Matou.
03:14Déjà, c'est compliqué les sondages de législatives,
03:17puisque les pourcentages, ce n'est pas la même chose que les sièges.
03:19Je suis bien d'accord, mais ça donne une idée.
03:20Et surtout, la grande question qui va se poser à nous,
03:24s'il y a dissolution, je pense qu'elle est inéluctable,
03:27c'est l'entre-deux-tours.
03:27Parce que ce qui a fait basculer la dernière fois, c'est l'entre-deux-tours.
03:30Et donc, c'est ce que disait Mme Garnier, sénatrice de l'Atlantique.
03:33Il y a un facteur qui est que tout le monde pressent bien
03:35que le Front Républicain, un barrage, tout ce que vous voulez,
03:38va être plus faible cette fois-ci.
03:40Il n'y aura pas une même motivation pour faire un barrage au RN.
03:43Mais la vraie question, et j'ai envie de vous la poser, Mme Garnier,
03:45c'est l'attitude des LR.
03:46Puisque, quand même, malgré tout, on a quand même l'impression
03:48que les LR, cette fois-ci, seront tentés,
03:52ou tout du moins une partie d'entre eux,
03:53d'encourager la constitution d'un gouvernement
03:57où le RN aurait une majorité relative
03:58et où LR pourrait servir de force d'appoint
04:00comme il a servi de force d'appoint
04:02aux macronistes.
04:04Quelque part, c'est vous qui avez les clés du jeu,
04:07en partie, en cas de dissolution.
04:09Laurence Garnier.
04:10Oui, enfin, nous, on a été extrêmement clairs
04:13par rapport à ce que vous posez comme hypothèse.
04:17Bruno Retailleau a rappelé hier
04:19qu'on ne travaillerait pas avec le Rassemblement National.
04:21Il a aussi dit, pas une seule voix pour la gauche,
04:23dans la législative partielle du Tarn,
04:26ce qui veut dire voter pour le candidat soutenu par le RN.
04:28Ce qui ne veut pas dire travailler par ailleurs avec le RN.
04:30Oui, mais on peut soutenir sans participer, vous connaissez ça.
04:32Madame, là, c'est d'accord.
04:33Non, mais je pense qu'il faut quand même dire les choses,
04:35parce que, évidemment, moi, je ne fais pas partie de ceux
04:38qui disent, parce que Marine Le Pen estime qu'un citron, c'est jaune,
04:43qui disent qu'un citron, c'est bleu.
04:45Évidemment, il y a un certain nombre de diagnostics partagés,
04:50et d'ailleurs, un certain nombre de Français partagent des diagnostics
04:53qui viennent de gauche ou d'ailleurs,
04:55sur les problématiques, notamment régaliennes.
04:58Pour autant, on a un certain nombre de différences
05:01avec le RN, sur, par exemple, la réforme des retraites,
05:05dont nous avons beaucoup parlé aujourd'hui,
05:08sur la réforme de l'assurance chômage,
05:10sur tout un ensemble de sujets qui relèvent
05:12d'une politique économique et sociale de la France,
05:14où, finalement, les choses sont très claires.
05:16Nous, on essaye de porter un message qui est difficile,
05:19qui n'est pas démagogique,
05:21qui ne correspond pas toujours à ce que les Français ont envie d'entendre,
05:23mais parce qu'on estime tout simplement qu'il est nécessaire.
05:25Vous faites votre acte de contrition sur Europe 1 ce soir ?
05:28Quel acte de contrition ?
05:29Vous dites que vous délivrez un message
05:30qui n'est pas forcément dans les ententes des Français ce soir.
05:33Quand on porte la réforme des retraites,
05:35j'ai parfaitement conscience
05:36que ça ne fait pas rêver nos concitoyens
05:39de travailler deux années de plus.
05:40Ce qu'on essaye d'expliquer,
05:42c'est que la démographie française est telle
05:44qu'elle nous oblige à réformer notre système.
05:47Ce que je veux dire,
05:49c'est que la différence fondamentale
05:51entre le Rassemblement National et l'LR,
05:54au-delà de la politique économique,
05:56c'est que nous, on refuse de faire de la démagogie.
05:58On essaye de dire la vérité aux Français,
06:00et la vérité, ce n'est pas toujours ce qu'ils ont envie d'entendre.
06:02Est-ce que c'est uniquement sur le volet économique ?
06:04Ce que je trouve très intéressant,
06:05mais pour le coup, ce n'est pas nouveau,
06:06c'est que quand on demande à un responsable LR
06:08quelles sont vos différences avec le RN,
06:11je pense qu'on aurait dit il y a 20 ans,
06:12vous auriez dit le rapport à la République,
06:14la préférence nationale, etc.
06:16Aujourd'hui, c'est systématiquement le volet économique.
06:19Donc en gros, RN,
06:20ils sont trop à gauche sur l'économie,
06:21ils sont trop socialistes, etc.
06:24C'est votre seul axe de divergence.
06:27Excuser du peu.
06:28Oui, mais c'est assez révélateur,
06:29parce que ça ne peut pas être un barrage
06:31contre l'extrême droite.
06:32Madame Lassé-Tri, si vous permettez,
06:34en fait, moi, ce que je vois de la situation,
06:38on a un RN qui est un peu fort,
06:40et on a une partie des LR
06:41qui aurait voulu faire les poches du Rassemblement national.
06:44Il faut se le dire, et tant mieux.
06:46Quand Bruno Rotailleau est arrivé,
06:47je me suis dit, après tout,
06:48il est plus ferme,
06:50il part d'immigration contrôlée,
06:51et je me suis dit, peut-être,
06:53qu'il va pomper du RN.
06:54Et ce que dit Adrien Matus,
06:56c'est que j'ai l'impression que
06:57je connais pas mal des LR
06:59qui me disent,
06:59bon, tout comme tu fais,
07:00une cohabitation,
07:02Sophie Prima,
07:03qui dit, pourquoi pas ?
07:04Et donc, si vous voulez,
07:05vous n'êtes pas clairs.
07:07Je ne vous le reproche pas,
07:08puisque chez moi, je ne suis pas clair,
07:09puisque j'ai vu qu'il y avait
07:11des députés Renaissance
07:12qui ont dit,
07:13s'il y a une abrogation
07:14en tant que de retraite,
07:15je ne la voterai pas non plus
07:16avec la gauche.
07:17En fait, vous voulez que je vous dise,
07:19on a maintenant
07:19que des auto-entrepreneurs
07:21en politique,
07:22et nous, on est passé
07:23du citoyen,
07:24on est passé au client.
07:25Le RN à ses clients,
07:27dans une couleur étanche,
07:28LFI à ses clients,
07:29et nous, vous et moi,
07:30on ne sait plus trop
07:31à quel niveau
07:32comment on combat le RN.
07:34Ce que je vois juste pour finir,
07:35en 2012,
07:36il y avait six députés RN.
07:38En 2017,
07:39j'étais toujours là,
07:39il y en avait 17,
07:40et là, il y en a 123.
07:42Je suis responsable,
07:43certainement comme vous,
07:44s'il y a autant de députés RN.
07:46Moi, j'ai fait trois mandats
07:47dans ma circo à Lunel,
07:48qui était RN,
07:49pendant trois mandats,
07:50je l'ai gagné,
07:51parce que je me relevais les manches
07:52et j'étais sur le terrain.
07:54Ça n'a pas suffi aujourd'hui,
07:55dont les Français sont en colère,
07:57parce qu'ils nous disent
07:57vous ne nous servez à rien.
07:59Bien sûr,
07:59bien sûr que c'est une expression
08:01d'un vote de colère,
08:02et quand on a 40%
08:03de Français
08:04qui votent pour Marine Le Pen
08:06au second tour
08:07de l'élection présidentielle,
08:08la moindre des choses
08:09qu'on puisse faire,
08:10c'est de prendre en compte
08:11ce vote,
08:12de comprendre
08:13que c'est un vote de colère,
08:14et d'arrêter
08:14de stigmatiser
08:15cet électorat
08:16comme on l'a beaucoup trop fait.
08:18Ça fait des années
08:19qu'on stigmatise le RN
08:20et ça fait des années
08:21qu'il monte dans les uns
08:22les uns après les autres.
08:24Donc évidemment,
08:24il faut nous poser
08:25les bonnes questions,
08:25je rejoins tout à fait
08:26votre analyse.
08:27Le score des législatives
08:29c'est 7 millions de voix
08:31pour le Nouveau Front Populaire,
08:3211 millions de voix
08:33au premier tour
08:34pour le Rassemblement National.
08:36Donc il y a 18 millions de Français
08:38qui depuis un an et demi
08:39n'ont pas été représentés
08:40dans les institutions.
08:41Et après on s'étonne
08:42qu'il y ait peut-être
08:43une fracture démocratique
08:44qui est de plus en plus forte,
08:45on s'étonne que les Français
08:46soient en colère,
08:47on s'étonne qu'il y ait
08:48du dégoût vis-à-vis
08:50du Président de la République,
08:50il y a 30% des Français
08:51qui expriment du dégoût,
08:52du dégoût c'est quand même
08:53quelque chose de fort
08:54à l'égard du Président de la République,
08:55et on s'étonne ensuite
08:56que les Français soient énervés.
08:59C'est la raison pour laquelle
09:00il faut arriver à une dissolution
09:01pour avoir quelque chose
09:03de beaucoup plus clair
09:04et de ne pas recommencer la N1.
09:07Alors que les dernières pistes
09:09c'était effectivement la dissolution
09:11où un premier ministre de gauche
09:13et encore aujourd'hui
09:14Olivier Faure, Marine Tondelier
09:16ont voulu exiger même
09:20cette idée d'un premier ministre de gauche
09:22tandis que Roger Carucci
09:23qui était sur LCI ce matin,
09:24sénateur LRD Hauts-de-Seine
09:26brandit la menace de la censure
09:28si un gouvernement de gauche est nommé.
09:30Si vous avez un gouvernement de gauche
09:32qui commence par dire
09:33on va accroître la fiscalité,
09:35on va suspendre la réforme des retraites,
09:37on va donc mettre le pays par terre
09:39parce que la réalité
09:40c'est qu'on est déjà couvert de dettes
09:42et avec un déficit considérable.
09:44Si vous rajoutez des dettes,
09:45si vous rajoutez du déficit,
09:47expliquez-moi pourquoi les gens de droite
09:49accepteraient ce gouvernement.
09:50Le pays est de plus en plus à droite
09:52et on accepterait un gouvernement de gauche
09:54sans le censurer
09:55alors que la gauche a censuré systématiquement
09:57les gouvernements de droite.
09:58Ça n'a pas de sens.
09:59Patrick Vignel,
10:00on reprend la discussion
10:01là où elle était restée
10:03sur l'éventualité d'une censure.
10:05Vous disiez,
10:06à juste titre,
10:07que le RN n'était pas,
10:09il n'y avait pas assez de voix
10:10pour censurer
10:10s'ils n'étaient que 120 ou 143
10:13avec les UDR d'Éric Ciotti.
10:15Là, on a un Roger Carucci
10:16et je vous prends à témoin également
10:19madame la sénatrice LR
10:20qui dit,
10:21moi je censure
10:21s'il y a un gouvernement de gauche
10:25qui nous dit,
10:27on n'a pas la composition
10:29d'un éventuel gouvernement
10:31le corps nus d'eux,
10:32mais on sait qu'il y aura
10:33un accord plus ou moins
10:35de non-censure du PS.
10:37Ça ressemble quand même
10:38à des concessions
10:40pour les socialistes.
10:41Donc là,
10:42cette censure,
10:43elle tient.
10:44Mais vous savez,
10:44moi je ne suis pas certain
10:45avec les LR.
10:46Enfin, quand même,
10:47on va être clair.
10:47Vous censurez-vous,
10:48madame Garnier ?
10:49Moi je suis sénatrice
10:50donc je ne censurerai pas moi directement.
10:51On dirait à vous,
10:52c'est vrai,
10:53vous êtes vice-président,
10:54mais vous voyez quand même
10:55d'avoir un message clair
10:56par rapport à ça.
10:56Quand même,
10:57on est chez les fous,
10:58il faut être honnête.
10:58En fait,
10:59on est dans le chacun pour soi
11:00ou sauve qui peut.
11:02Moi, c'est le constat que je fais.
11:03Et je veux être très clair,
11:05aujourd'hui,
11:05il y a une force
11:06qui est arrivée en 2024
11:07qui s'appelle
11:09le nouveau Front Populaire.
11:10D'accord ?
11:10C'est une force,
11:15et à Paris,
11:16ils veulent le chaos.
11:17Moi, ce que je pense,
11:19cher monsieur,
11:19c'est que c'est de dire
11:20à un moment donné,
11:21bon,
11:21on va nommer un premier ministre
11:23de gauche
11:23ou une première ministre,
11:25pas de gouvernement,
11:26on va arrêter
11:26d'être la risée du monde entier,
11:29un premier ministre
11:29qui, quelques heures après,
11:30dégage.
11:31Il a pour seule mission
11:32de ne pas sortir de décret
11:34puisque mes copains de gauche
11:36me disent
11:37nous,
11:37on est peut-être la solution.
11:39Mais ça coûterait quoi
11:40pendant 48 heures ?
11:41Ça fait six mois
11:42qu'on a des gens très bien.
11:44Philippe,
11:44il prend sa carte
11:45il va voir
11:46le tour des popotes
11:47et il dit au président
11:48j'ai trouvé un accord
11:50de non-censure
11:51sur un budget juste.
11:53Sur un budget, madame.
11:54Si on revient sur la réforme
11:55des retraites,
11:55ça coûterait 13 millions.
11:56Attendez, attendez,
11:57je voulais aller plus loin.
11:58Moi, vous savez,
11:58la réforme des retraites,
12:00je n'étais pas pour.
12:01J'étais venu ici.
12:02Moi, j'avais dit
12:02qui doit travailler
12:03plus longtemps ?
12:04Et à l'époque,
12:04j'étais venu,
12:05c'était Céline Géraud,
12:06je m'en rappelle.
12:07Et j'avais dit
12:07si on n'embarque pas
12:08la CFDT avec nous,
12:10on ne peut pas la faire.
12:11Donc, je suis clair pour ça.
12:12Ce que je veux vous dire,
12:13c'est qu'on se lâche
12:14tous des anathèmes.
12:16Carucci, il dit
12:17si il y a la retraite,
12:17je ne veux pas.
12:18Le PS, il dit
12:19les attaques humains.
12:20Mais on est des enfants, là.
12:22On a des Français,
12:23on a l'économie,
12:24on a nos collègues,
12:25des collectivités,
12:26les maires.
12:26à l'économie.
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