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Regardez Le journal RTL avec Amandine Bégot du 08 octobre 2025.
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00:00Bonjour à tous et bienvenue dans RTL midi, nous sommes ensemble jusqu'à 14h, 1h30 d'info, de décryptage et de témoignage car cette émission vous le savez c'est d'abord la vôtre, c'est vous qui la faites, comme chaque jour vous avez la parole, vous réagissez, on vous attend dès à présent au 3210 mais aussi par sms au 64900, vous commencez votre message par le mot midi et puis bien sûr l'application RTL, vous cliquez sur l'onglet réagir.
00:27A la une aujourd'hui, une question, comment sortir de la crise politique actuelle ? On attend vos idées, vos propositions alors que le Premier Ministre n'a plus que quelques heures pour trouver une issue, il recevait ce matin les socialistes plus que jamais prêts à gouverner, un Premier Ministre socialiste, est-ce la solution ? Vous êtes déjà nombreux à réagir.
00:47On est bien partis pour un Premier Ministre de gauche, enfin soit, mais s'il vous plaît, par pitié, pas Ségolène, pitié.
00:57Je suis pour que le Président de la République reste au pouvoir, il n'est pas question de mettre notre Président de la République dehors.
01:03Pour tenter de trouver un compromis, Elisabeth Bornell propose de suspendre la réforme des retraites, bonne idée ou pas, là aussi j'attends vos appels au 3210.
01:13La proposition a déjà été rejetée en bloc par les Républicains et par Horizon, le parti d'Edouard Philippe, on verra concrètement ce que cela pourrait changer pour vous.
01:22Dans ce journal également, un témoignage très attendu au procès de Cédric Jubilard, celui de sa mère.
01:28Et puis pour rester en bonne santé, marcher cinq minutes toutes les demi-heures, ce sont les nouvelles recommandations de l'Agence de sécurité sanitaire.
01:36La météo avec vous Peggy Broch, bonjour Peggy.
01:38Bonjour Amandine, bonjour à tous.
01:39Si on veut du soleil aujourd'hui, il vaut mieux être au sud.
01:42Eh oui, parce qu'au nord, c'est vrai que les grisailles ont du mal à se dissiper, notamment sur le nord-est.
01:46Et on devrait, je parle bien au conditionnel, retrouver quelques éclaircies sur le reste des régions au nord de la Loire,
01:51sauf sur les bords de manches où ça restera couvert.
01:54Merci beaucoup Peggy, météo complète, juste après le journal.
01:58Comment sortir de la crise politique ? RTL, journée spéciale.
02:02La journée d'aujourd'hui, ce qui explique cette journée spéciale, c'est qu'elle est sans doute décisive.
02:08Décisive pour notre avenir à tous.
02:10Sébastien Lecornu a en effet jusqu'à ce soir pour tenter de trouver une issue à cette crise.
02:16Première piste, un premier ministre de gauche.
02:18Les socialistes ont été reçus ce matin à Matignon et à la sortie.
02:22Olivier Faure s'est dit prêt, prêt mais sous condition.
02:25Nous allons continuer à nous battre, y compris pour que toute garantie soit apportée.
02:31Et la meilleure garantie à tout cela, c'est que la gauche et les écologistes soient appelés au pouvoir.
02:36Et que nous ayons enfin l'assurance qu'il y ait un changement no-cap.
02:40Le projet de budget tel qu'il est présenté aujourd'hui, est un projet de budget qui ne peut pas être le nôtre.
02:46D'ailleurs, je vous coupe les cours à ce stade, à toutes les élucubrations d'un gouvernement commun avec la Macronie.
02:55C'est inimaginable.
02:56Olivier Faure, tout à l'heure, à sa sortie à Matignon, c'était il y a moins d'une heure.
03:00Sur place, on retrouve Marie-Bénédicte Allaire.
03:02Bonjour Marie-Bénédicte.
03:04Bonjour Nandine, bonjour à tous.
03:05Mais à quoi un gouvernement avec un Premier ministre de gauche ?
03:09Dans l'esprit d'Olivier Faure, ce sera un gouvernement dirigé par lui, idéalement, avec des socialistes, des écologistes et des communistes, mais pas d'insoumis.
03:17En clair, même si le mot n'est pas prononcé, un gouvernement de cohabitation pour appliquer un budget comprenant la suspension de la réforme des retraites au point où elle en est aujourd'hui,
03:26une taxation des plus grandes fortunes et des mesures pour le pouvoir d'achat.
03:31Quelle serait sa durée de vie à ce gouvernement ?
03:32Eh bien, ça dépendrait des compromis trouvés à l'Assemblée.
03:35Le PS s'engage à ne pas utiliser le 49-3.
03:38Ce scénario, c'est celui que les socialistes chargent Sébastien Lecornu d'aller proposer au président Emmanuel Macron aujourd'hui la gauche à Matignon.
03:46Pour Olivier Faure, il faut purger cette hypothèse avant d'envisager une dissolution.
03:50Marie-Bénédicte Allaire, en direct de Matignon pour Ertel.
03:53Bonjour Arthur Bélier.
03:54Bonjour.
03:55Vous êtes vous aussi journaliste au service politique de Ertel.
03:58Emmanuel Macron peut-il vraiment accepter ça ?
04:00En tout cas, le président n'a pas bloqué le mandat de Sébastien Lecornu sur le fond, rappelle ce matin son entourage.
04:06Il a juste demandé une plateforme d'action et de stabilité.
04:09Comprenez, qu'importe le prix, pourvu qu'on puisse avoir un gouvernement et un budget,
04:14Emmanuel Macron ne serait donc pas opposé à la nomination d'un Premier ministre de gauche,
04:18même s'il venait suspendre sa réforme des retraites ou taxer les ultra-riches.
04:22Alors, est-ce juste de l'affichage de bonne volonté ou une vraie ouverture ?
04:26Difficile de réellement dire ce qu'Emmanuel Macron a en tête.
04:30Et reste que ce n'est pas lui qui votera ou non ensuite la censure.
04:33Et déjà, en plus des troupes de Bruno Retailleau,
04:36des députés macronistes ont bien fait savoir qu'ils s'opposeraient à la nomination d'un socialiste à Matignon.
04:41Merci beaucoup Arthur Bélier.
04:43Vous évoquiez à l'instant la suspension de la réforme des retraites.
04:46Eh bien, c'est une idée lancée par Elisabeth Borne,
04:50qui avait porté et adopté surtout cette réforme à coup de 49.3.
04:54Elle y est favorable à cette suspension.
04:56Elle l'annonce ce matin à nos confrères du Parisien.
04:58Alors, est-ce vraiment la solution pour sortir de l'impasse ?
05:01Vincent Serrano, vous êtes allé à Saint-Germain-en-Laye,
05:04à la rencontre justement de futurs retraités.
05:07Suspendre la réforme, disent-ils, ne suffirait pas.
05:10C'est ce que me dit la Serra, 61 ans,
05:12qui me fait les grands yeux à la caisse de sa boulangerie,
05:14le dos courbé, fatigué,
05:15à l'idée simplement de devoir refaire les calculs pour son départ à la retraite.
05:19Là, c'est le cirque.
05:20On ne comprend plus rien et on ne sait plus où on en est.
05:23Ils se mettent tous d'accord parce que nous,
05:25on travaille depuis plus de 40 ans.
05:27On aimerait bien savoir où est-ce qu'on va.
05:29Et c'est un dû.
05:29Il faut supprimer définitivement cette réforme.
05:32C'est ce qu'elle finit par me dire face à la file d'attente
05:34qui s'allonge de clients à la sortie.
05:36Mickaël et Stéphane, 62 ans, tous les deux,
05:38juste eux aussi, insuffisante, cette possible suspension.
05:41C'est un pansement sur une jambe de bois.
05:43Non, ce n'est pas une bonne solution.
05:44C'est une solution politique pour des gens qui veulent être élus.
05:47La meilleure solution, ça serait de revenir à un système par points.
05:51Vous voyez, j'étais en train de regarder les panneaux pour les constructions.
05:53Vous ne fixez pas un âge pour des gens qui vont faire des couvertures,
05:57des ravalements de façades qui sont éreintés.
06:00S'il faut que certains descendent dans la rue pour faire entendre leur voix,
06:03mais il faut le faire.
06:04Ces trois personnes préviennent.
06:05La suspension n'est donc qu'une première étape avant la suppression.
06:09Et si elle n'arrive pas, ils se tiennent déjà prêts,
06:11comme ils l'ont déjà fait, à manifester dans la rue.
06:13Le reportage à Saint-Germain-en-Laye de Vincent Serrano.
06:16Bonjour Marie-Guerrier.
06:17Bonjour.
06:18Suspendre la réforme des retraites, concrètement, ça veut dire quoi ?
06:20Ça veut dire que l'on gèle la situation.
06:23Pour rappel, la réforme prévoit de passer l'âge légal de départ à la retraite
06:26de 62 à 64 ans.
06:28Et ça se fait progressivement, trimestre par trimestre.
06:31Ce qui fait qu'aujourd'hui, l'âge légal est passé à 62 ans et 9 mois.
06:36Et en janvier prochain, date probable de la suspension, si elle est effectivement décidée,
06:40on sera à 63 ans, donc au milieu du guet.
06:43Et alors, combien se coûterait une suspension ?
06:45Des centaines de millions d'euros en 2026, des milliards en 2027,
06:49a déclaré ce matin Roland Lescure, le ministre de l'économie des missionnaires.
06:52La Cour des comptes avait évalué à 10 milliards d'euros
06:55les effets positifs de la réforme à horizon 2030.
06:58Suspendre la réforme là où elle en est, cela veut dire qu'il faudra se passer
07:01d'une partie des effets, plusieurs milliards d'euros.
07:04La réforme a également, selon la Cour des comptes,
07:06un effet positif sur les recettes d'autres administrations publiques,
07:10évaluées entre 8 et 14 milliards d'euros.
07:12Là aussi, des effets qui seront réduits.
07:14Ce qui fait dire à Roland Lescure qu'il va falloir trouver ailleurs
07:17des recettes nouvelles pour créer l'équilibre.
07:19Le premier ministre des missionnaires, Sébastien Lecornu,
07:21a demandé un chiffrage de la suspension.
07:24On ne le connaît pas pour l'instant.
07:25Merci beaucoup. Marie Guerrier, bonjour Amir Reza Tofighi.
07:28Bonjour.
07:29Et merci beaucoup d'être avec nous en studio ici à RTL.
07:31Vous êtes le président de la CPME,
07:33la Confédération des petites et moyennes entreprises.
07:36Suspendre la réforme des retraites, vous y êtes favorable ou pas ?
07:39Moi, je pense qu'on ne peut pas être le seul pays
07:41qui décide de travailler moins quand tous les pays autour de nous
07:43font le chemin inverse.
07:46Dans tous les pays aujourd'hui, on comprend qu'il faut travailler plus
07:48parce qu'on a un modèle social qu'il faut financer,
07:50parce qu'on a une démographie qui fait qu'avec l'opposition de l'espérance de vie,
07:55avec le fait qu'aujourd'hui, on a moins d'actifs pour payer les retraites,
07:59il faut travailler plus.
08:01Maintenant, la question, pour moi, elle est plutôt de dire
08:02comment on fait pour que les personnes qui ont des métiers pénibles
08:05puissent partir avant ?
08:06Il faut arrêter de penser que tout le monde doit partir avant.
08:08Mais si ça doit être un compromis pour arriver à faire un budget
08:11et tenter de sortir de la crise,
08:13vous ne dites pas, bon, allez, ok, on la met sur pause
08:15et puis on verra après ? Non ?
08:16Mais il faut faire attention aux compromis qui coûteront très très cher
08:19à la nation demain.
08:20Par contre, faisons un compromis sur les sujets de pénibilité,
08:23sur les sujets qui, aujourd'hui, font que, dans certains métiers,
08:27est-ce qu'on peut encore travailler jusqu'à 64 ans ?
08:28Non, je ne pense pas.
08:29Il y a des métiers qui sont pénibles.
08:30Faisons plutôt ce compromis-là et on voit que l'échec du conclave des retraites,
08:34en gros, il nous amène à la situation d'aujourd'hui.
08:36Si on avait trouvé un accord entre nous,
08:37on ne serait pas encore en train de reparler des retraites.
08:39Donc, moi, mon point, c'est de dire,
08:41parlons de ces métiers,
08:42parlons de comment on fait pour que ceux qui font des métiers difficiles
08:45puissent partir avant
08:45et soyons quand même conscients que,
08:47pour beaucoup, beaucoup de métiers,
08:49travailler jusqu'à 64 ans, c'est possible.
08:51Par contre, oui, il faut que la nation traite bien
08:53les personnes qui font des métiers pénibles.
08:55Et pour moi, le compromis, il doit être sur ça.
08:56Amir Reza Taufigué, c'est une journée spéciale.
08:58Comment sortir de cette crise politique sur RTL ?
09:01On évoquait l'hypothèse d'un Premier ministre de gauche,
09:04Premier ministre socialiste, notamment.
09:06Vous en voulez ou vous n'en voulez pas ?
09:08Nous, le sujet, ce n'est pas le casting.
09:09Le sujet, c'est la politique qui va être menée.
09:12Aujourd'hui, ce débat parisien,
09:14il exaspère les chefs d'entreprise.
09:16Parce qu'on a une situation politique...
09:17Ce n'est pas un débat parisien, pardon.
09:19Que savoir qui fait voter un budget ou pas,
09:22ça concerne 67 millions de Français.
09:25Non, mais on est en train de faire un débat aujourd'hui
09:27de politiques qui, pour la plupart,
09:30sont en train de se projeter sur 2027
09:32et sont déjà en train de réfléchir aux élections prochaines.
09:35Alors que, moi, sur les territoires,
09:36j'y vais toutes les semaines.
09:37Je vois des chefs d'entreprise
09:38qui sont en train de décaler leurs investissements,
09:39qui sont en train de perdre des contrats,
09:40qui arrêtent d'investir.
09:42Mais je ne sais pas si tout le monde se rend compte
09:43de la situation économique
09:44dans laquelle on va être dans quelques mois.
09:45C'est catastrophique.
09:46Ce sont des milliers d'emplois qui sont menacés ?
09:48Des entreprises aussi ?
09:49Oui, des entreprises qui ne recrutent plus,
09:51des entreprises qui perdent aujourd'hui,
09:53qui doivent licencier.
09:55On n'a jamais eu autant de défaillances
09:56et de faillites que ces dernières années.
09:58La situation économique va être catastrophique.
10:00Mais c'est quoi la solution pour sortir de là ?
10:02Vous avez discuté avec les différents partis politiques,
10:05vous avez discuté avec les différents premiers ministres,
10:09avec le reste des partenaires sociaux.
10:11Pour vous, aujourd'hui, vous dites quoi la solution ?
10:13On fait un reset complet,
10:14c'est-à-dire Emmanuel Macron démissionne,
10:16on dissout ?
10:17Encore une fois, moi je...
10:18Ce n'est pas une position politique que je vous demande.
10:20Non mais, moi ce que je vous dis,
10:22c'est qu'on a aujourd'hui 18 mois avant une élection présidentielle.
10:25Donc il faut arrêter de se projeter sur l'élection présidentielle
10:27et déjà de comprendre qu'est-ce qu'on peut faire aujourd'hui.
10:29Les trois sujets sur lesquels je pense que tout le monde serait d'accord.
10:33Le premier, c'est de dire,
10:34il faut mettre de l'efficience dans la dépense publique.
10:36Moi je vous donne un exemple,
10:36mais l'hôpital public aujourd'hui,
10:39pour 100 euros investi,
10:40il y a 30 euros qui est dans l'administration.
10:41En Allemagne, c'est 15 euros.
10:43Donc là, c'est quoi l'impact ?
10:44C'est qu'en fait, nos soignants sont mal payés,
10:45c'est que les Français sont mal soignés
10:46parce qu'on ne sait pas avoir de la dépense publique efficiente.
10:49Moi je ne vous dis pas qu'il faut,
10:51que les fonctionnaires soient moins bien payés.
10:52Moi je pense qu'ils ne sont pas assez payés.
10:54Mais on a une dépense publique qui est ineficiente
10:56et qui fait qu'à la fin,
10:58les Français voient leur service public qui se dégradent.
10:59Et du coup, vous ne répondez pas à ma question ?
11:00Ben si.
11:01Le premier point de compromis,
11:02il est de dire,
11:03au lieu que chaque parti veut imposer son programme,
11:05c'est de dire,
11:05comment on fait pour que,
11:07d'avoir une dépense publique beaucoup plus efficiente.
11:09Le deuxième point,
11:10c'est de simplifier la vie des Français et des entreprises.
11:12Ça, c'est un sujet majeur aujourd'hui.
11:13Et le troisième point,
11:13c'est comment on valorise plus ce travail.
11:14Donc trouvons un compromis sur ça
11:16et les sujets majeurs qui sont
11:18revenir sur la réforme des retraites,
11:19j'ai envie de dire,
11:20c'est un sujet de 2027.
11:21Mais déjà,
11:21travaillons sur l'efficience de la dépense publique,
11:24sur la simplification
11:25et sur comment on valorise plus ce travail.
11:27Amir Eza Tofighi,
11:28vous restez avec nous.
11:29On va échanger dans un instant avec les auditeurs.
11:32D'ailleurs,
11:32si vous êtes chef d'entreprise,
11:33artisan, commerçant,
11:34dites-nous comment vous voyez les choses,
11:36si vous êtes inquiet,
11:37si vous avez aussi des pistes,
11:38des idées,
11:39des solutions pour sortir de cette crise.
11:41Après tout,
11:42les chefs d'entreprise nous en prennent tous les jours
11:43des tonnes et des tonnes de décisions.
11:45Vous avez peut-être la solution.
11:46On attend vos appels.
11:48Dès à présent,
11:49vous composez le 30 de 10.
11:51Marine Le Pen,
11:52elle, de son côté,
11:52a refusé,
11:53on le rappelle,
11:54de se rendre à Matignon
11:55pour ses ultimes consultations.
11:57Elle est aujourd'hui
11:57au salon de l'élevage
11:59à Cournon d'Auvergne.
12:00C'est tout près de Clermont-Ferrand.
12:01Et elle le répète,
12:02la seule solution pour elle,
12:04c'est la dissolution.
12:05On stoppe.
12:06La plaisanterie a assez duré.
12:07On fait courir les Français
12:08derrière des babales.
12:10Tout ça pour gagner du temps.
12:11C'est inadmissible.
12:13On ne peut pas admettre
12:14qu'on contourne à ce point
12:16les institutions de la Ve République.
12:18Donc voilà,
12:18maintenant,
12:19on siffle la fin de la récréation.
12:21Nous souhaitons qu'il y ait des élections
12:23parce que le peuple français est souverain.
12:24C'est donc à lui de décider.
12:26C'est à lui d'être l'arbitre.
12:27Et nous partirons en campagne.
12:29Si les Français nous veulent,
12:30ils nous auront.
12:31Nous sommes prêts.
12:32Si les Français ne nous veulent pas,
12:33nous sommes républicains.
12:34Nous respecterons.
12:35Bien entendu,
12:36comme nous l'avons toujours fait,
12:36les résultats des élections.
12:38Marine Le Pen au micro RTL
12:39de Julien Fautra
12:40à propos du Rassemblement National.
12:42Une piste, une autre,
12:43fait son chemin.
12:44L'hypothèse d'un rapprochement
12:45avec les Républicains.
12:47Hier soir, sur RTL,
12:48Sophie Prima,
12:48l'ancienne porte-parole
12:49du gouvernement Bayrou,
12:51s'est dit prête
12:51à travailler avec des membres du RN
12:54avant de rétro-pédaler ce matin.
12:56Un peu plus tôt,
12:57Bruno Retailleau,
12:58le patron des Républicains,
12:59avait indiqué
12:59qu'en cas de duel
13:00entre la gauche
13:01et le Rassemblement National,
13:03pas une voix
13:04ne devait aller à la gauche.
13:05Alors, allons voir ce qu'en disent
13:06les électeurs,
13:07les électeurs républicains.
13:09Yannick Holland,
13:10vous vous êtes rendu
13:11à Fessenheim
13:12dans la quatrième circonscription
13:13du Haut-Rhin.
13:14C'est une circonscription
13:16ancrée à droite,
13:17mais où le Rassemblement National
13:18avait failli
13:19l'emporter
13:20lors des dernières législatives.
13:21Denis vient de garer
13:22sa camionnette.
13:23Il travaille dans la métallurgie
13:24et il est en colère
13:25contre les élus actuels.
13:27Une union des droites
13:28du RN
13:29jusqu'aux Républicains,
13:30il n'y croit pas vraiment.
13:31C'est des gens
13:31qui sortent du Serail
13:32qui doivent gouverner
13:34la France maintenant.
13:35C'est des gens
13:35qui sont connectés
13:36aux réalités.
13:37Le RN
13:38ne pourra rien faire.
13:39Avec l'alliance
13:40de la droite,
13:40non,
13:41puisque la droite
13:41leur a craché dessus
13:42depuis la naissance
13:43de ce parti.
13:44C'est du cinéma
13:45pour moi.
13:45Jérémy est jardinier,
13:47lui signerait tout de suite
13:48pour une alliance.
13:49Pourquoi pas, oui.
13:50Il faudrait bien
13:50qu'ils s'accordent entre eux
13:51parce qu'effectivement,
13:53il y a quand même
13:53une petite différence
13:54sur certaines choses.
13:55Jean-François et Muriel,
13:56eux, sont plutôt
13:57du centre-droit
13:58et ils sont en plein doute.
14:01C'est la chance
14:02à tout le monde.
14:02Mais si ils ne sont pas
14:03d'accord entre eux,
14:04alors c'est compliqué.
14:05C'est bien ça le problème.
14:06Je pense aujourd'hui
14:07qu'il n'y a personne.
14:08Parce que c'est un tel foutoir.
14:09À qui veut-on faire confiance ?
14:11Je n'y crois pas du tout.
14:12Franchement, je ne sais pas.
14:13Moi, je doute aujourd'hui.
14:15Je doute envers
14:16cette politique,
14:18même la République.
14:19Des électeurs désabusés,
14:20inquiets pour l'avenir
14:21de la France,
14:22mais franchement lassés
14:23de toutes ces combinaisons politiques.
14:24A Fessenheim,
14:25le reportage pour RTL
14:26de Yannick Hollande.
14:28Vous restez avec nous
14:29cette journée spéciale
14:30comment sortir de la crise politique
14:31continue dans un instant.
14:33On ira aussi au procès
14:34de Cédric Jubilard.
14:35Sa mère était à la barre
14:36ce matin.
14:39RTL Midi,
14:39les auditeurs ont la parole.
14:4612h48 sur RTL
14:48et le procès de Cédric Jubilard
14:50se poursuit
14:51avec un témoignage
14:52extrêmement intendu
14:53ce matin,
14:54celui de sa mère.
14:56Bonjour Patrick Tégéraud.
14:58Bonjour Amandine,
14:58bonjour à tous.
14:59On vous retrouve en direct
15:00de la cour d'assises du Tarn.
15:01C'est une maman très émue
15:03qui s'est présentée
15:03tout à l'heure à la barre
15:04et qui n'a pas épargné son fils.
15:06Ah non,
15:07elle raconte
15:07trois semaines
15:08avant la disparition
15:09cette réunion
15:10avec Cédric,
15:11cette rencontre.
15:12Il est venu voir sa mère
15:13sur son lieu de travail.
15:14Il parle d'Edfine,
15:15du divorce
15:16et il lâche.
15:16J'en ai marre.
15:17Elle m'énerve.
15:18Je vais la tuer,
15:19je vais l'enterrer.
15:19Personne ne va la retrouver.
15:21Je lui ai dit
15:21arrête de raconter des conneries.
15:24J'ai mis cette phrase
15:24sur le compte de la colère.
15:25Aujourd'hui,
15:26je regrette
15:26de ne pas avoir donné
15:27plus de sens à ces mots.
15:28J'ai de la culpabilité
15:29de ne pas m'être plus investie
15:30dans ma relation avec Delphine.
15:32On n'en serait pas là.
15:33Il n'y aurait pas ça.
15:34Auparavant,
15:35elle avait raconté
15:35sa culpabilité encore
15:36de ne pas s'être bien occupée
15:38de son fils
15:38qui est né
15:39quand elle avait 16 ans et demi.
15:40Elle est à la rue
15:41puis femme battue.
15:42Alors Cédric est placé
15:43en foyer,
15:44en famille d'accueil.
15:45Nadine Jubilard raconte aussi
15:46les colères violentes
15:47de son fils
15:48depuis qu'il avait appris
15:48que Delphine voulait partir.
15:50Elle ne lui épargne rien
15:55d'entendre matin.
15:56Martin se lève
15:57en dernier, solennel.
15:58J'aurai de nombreuses questions,
16:00madame.
16:00Certaines seraient peu amènes.
16:01Mais sachez que Cédric
16:03nous a demandé
16:03de ne rien vous demander.
16:05Et il se rassoit.
16:06Derrière lui,
16:07Jubilard est sombre
16:08mais il est resté le fils
16:09de cette mère accusatrice.
16:11Patrick Tégéraud
16:12en direct de la cour d'assises
16:13du Tarn à Albi
16:14pour RTL.
16:15Merci à vous, Patrick.
16:17Autre procès.
16:18C'est le procès en appel
16:19des viols de Mazan.
16:20Et ce matin,
16:20Cindy Hubert
16:21c'est l'accusé,
16:22le seul à avoir fait appel
16:23qui a été interrogé
16:24et confronté aux vidéos
16:25des viols
16:26et des vidéos accablantes.
16:28Oui, les jurés
16:29avaient été prévenus
16:30par une enquêtrice hier.
16:31Les vidéos parlent d'elles-mêmes.
16:32Il faut les voir
16:33pour comprendre.
16:34L'écran s'allume
16:35et tout de suite,
16:36les jurés ont compris.
16:37Revoilà le papier
16:38peint mauve de la chambre.
16:39La grosse main rouge
16:40de Dominique Pellicot
16:41qui soulève une jambe
16:42maintient une tête.
16:43Celle de Gisèle
16:44qui ronfle.
16:45La gourmette
16:46de l'accusé,
16:46son sourire satisfait.
16:4814 vidéos de viol
16:49imprimées dans les pupilles
16:50des jurés.
16:51L'effet de loupe
16:52est terrible
16:52car au premier procès,
16:54était interrogé
16:55au pas de course.
16:55Ses gestes,
16:56ses mots
16:56avaient été noyés
16:58au milieu des 50 autres.
17:00C'était bizarre
17:01mais sans plus
17:02dit l'accusé de 44 ans.
17:03Il n'a pas avancé.
17:05L'homme maintient
17:05qu'il n'a pas violé.
17:06Je ne le vois pas comme ça.
17:08Lui, en revanche,
17:09revendique cette place
17:10de victime.
17:10Victime du pervers
17:11Dominique Pellicot
17:12d'une machination illose.
17:14On est venu me chercher
17:15deux ans après.
17:16Je suis passée
17:16à autre chose, moi.
17:18C'est maintenant
17:18à Gisèle Pellicot
17:19d'avoir la parole.
17:20Elle se lève face à lui.
17:21La seule victime
17:22dans cette salle,
17:24c'est vos actes.
17:25Cindy Hubert
17:25à la cour d'appel du Gard
17:27à Nîmes pour RTL.
17:28Dans l'Orne,
17:29la petite fille
17:29qui avait disparu hier
17:30et fait l'objet
17:31d'une alerte enlèvement
17:32a été retrouvée.
17:33Maxime Lévy,
17:34on vient de la prendre.
17:35Absolument.
17:35Le père de famille
17:36a été interpellé ce midi
17:38il y a seulement
17:38quelques minutes.
17:40A ses côtés,
17:40la petite Koulsen
17:41disparue depuis lundi soir.
17:43Elle est en bonne santé.
17:44Elle a été prise en charge
17:45par les services de secours.
17:47L'alerte enlèvement
17:48avait été levée tôt.
17:49Ce matin,
17:50on sait notamment
17:50que la voiture utilisée
17:51par le père de l'enfant,
17:53une Peugeot 308 blanche
17:54avait été retrouvée
17:55à proximité d'Alençon.
17:57La fillette de 3 ans
17:58a été emmenée
17:59par son père lundi
17:59aux alentours de 22h.
18:01Selon une source proche
18:01de l'enquête RTL,
18:02cet enlèvement a eu lieu
18:04alors que le couple
18:04de parents de nationalité
18:06mongole se déchire.
18:07Mais voilà,
18:08on le rappelle,
18:08Koulsen,
18:09cette fillette de 3 ans
18:10retrouvée saine et sauve
18:11après 2 jours de recherche.
18:13Et ça,
18:13c'est une bonne nouvelle.
18:14Merci beaucoup Maxime Lévy.
18:16Il est 12h52 bientôt sur RTL.
18:18On part à présent pour Gaza.
18:20Et cela fait aujourd'hui
18:212 ans,
18:222 ans jour pour jour
18:23que l'armée israélienne
18:24a commencé son offensive
18:26en réaction
18:26aux sanglantes attaques
18:27du 7 octobre.
18:29Les négociations
18:29autour du plan de paix
18:30proposé par Donald Trump
18:31se poursuivent.
18:32Et d'après le Hamas,
18:33une liste de prisonniers
18:34à libérer
18:34a même été échangée
18:36aujourd'hui avec Israël
18:37sur place.
18:38En attendant,
18:38Émilie Beaujard,
18:39la situation est plus
18:40que jamais dramatique.
18:41Oui,
18:42en 2 ans,
18:42des villes,
18:43des quartiers entiers
18:44ont été totalement rasées
18:45par l'armée israélienne.
18:47Selon l'ONU,
18:4780% des bâtiments
18:49de l'enclave
18:49sont détruits
18:50ou très endommagés.
18:52Les 2 millions de Gazaouis
18:53survivent comme ils peuvent
18:54entre ordres d'évacuation,
18:56bombardements
18:57et zones de repli surchargées.
18:59James Helder
18:59de l'UNICEF
19:00est en ce moment à Gaza.
19:0385% des familles
19:04vivent à moins de 10 mètres
19:06d'un égout à ciel ouvert
19:07ou d'une décharge.
19:08Deux tiers n'ont pas de savon.
19:10L'idée d'une zone
19:10de sécurité dans le sud
19:11est une farce.
19:13Des bombes sont larguées
19:14du ciel presque quotidiennement.
19:16Les écoles,
19:17pourtant désignées
19:17comme abris temporaires,
19:19sont régulièrement
19:19réduites en ruines.
19:21Pareil pour les centres
19:22de santé et les hôpitaux.
19:23La grande majorité
19:24d'entre eux sont à terre.
19:26Jacob Granger
19:26est coordinateur d'urgence
19:28de Médecins Sans Frontières
19:29à Gaza.
19:29Cette destruction des bâtiments,
19:31c'est aussi quelque chose
19:32qu'on peut voir physiquement
19:33sur les Gazaouis,
19:34de voir des amputés,
19:36des personnes en fauteuil roulant.
19:37En fait, l'impression
19:38que ça donne,
19:39c'est que c'est généralisé.
19:40L'OMS estime
19:41que 167 000 personnes
19:43sont blessées,
19:44un quart sont des enfants.
19:46Les explications
19:47d'Émilie Beaujard.
19:48C'est aujourd'hui
19:49et jusqu'à dimanche,
19:50le pasteur
19:51dont opération
19:52pour aider les chercheurs
19:53en partenariat avec RTL,
19:54notamment pour financer
19:56les recherches
19:56sur les cancers colorectaux
19:57qui explosent
19:58et qui touchent
19:59des patients
20:00de plus en plus jeunes.
20:01On vous en parle régulièrement.
20:03Agathe Landais,
20:03vous avez pu visiter
20:04le laboratoire justement
20:05qui travaille sur ce sujet.
20:07Oui, c'est un laboratoire
20:08fort peu accueillant
20:10quand on y hante.
20:11On travaille
20:11sur la matière fécale,
20:12on travaille sur les selles
20:13de patients.
20:14Donc voilà,
20:14ça peut sentir vraiment
20:15très très mauvais.
20:16Benoît Chassin
20:16est responsable
20:17de ce programme de recherche.
20:19On est capable
20:19de récupérer
20:20le microbiote
20:21d'individus
20:22sains ou pathologiques
20:23à qui on va donner
20:23certains régimes alimentaires.
20:25Et pour cela,
20:26ils utilisent
20:26une machine
20:27qui va mimer
20:28le corps humain.
20:29À l'intérieur de cette chambre,
20:30il n'y a pas du tout
20:30d'oxygène
20:31et toute cette chambre
20:32est chauffée
20:32à 37 degrés.
20:33Donc comme dans notre intestin,
20:34on a un système de pompe
20:35pour justement mimer
20:36et reproduire
20:37ce flux des aliments
20:38et essayer de comprendre
20:39un petit peu
20:39comment certains additifs
20:40vont pouvoir impacter
20:41le microbiote intestinal.
20:42Ce laboratoire cherche
20:43à comprendre
20:44les causes
20:44de maladies chroniques
20:45ou encore
20:46de certains cancers.
20:47On s'intéresse
20:48à la maladie de Crohn,
20:49diabète de type 2,
20:49obésité
20:50et aussi de plus en plus
20:52au cancer colorectal,
20:53comment l'alimentation
20:54peut conduire
20:55à ces cancers.
20:56Un domaine de recherche
20:57ô combien utile aujourd'hui
20:59car les cas
20:59de cancers colorectaux
21:00sont en constante augmentation,
21:02en particulier
21:03chez les jeunes adultes.
21:05Les scientifiques estiment
21:06que cela peut être causé
21:07par la hausse du surpoids
21:09et par l'alimentation
21:10ultra transformée.
21:12Le reportage
21:12d'Agathe Landais
21:13est pour aider
21:14l'Institut Pasteur
21:14à un rendez-vous
21:15sur ce site internet
21:16faire-un-don
21:17.pasteur.fr
21:20C'est important
21:20puisque les dons
21:22représentent
21:22un tiers
21:23des financements
21:24de l'Institut
21:25Pasteur.
21:25Et puis toujours
21:26à propos de santé,
21:27ces nouvelles recommandations
21:28de l'Agence
21:29de Sécurité Sanitaire,
21:30elles nous conseillent
21:31écoutez bien
21:32de marcher
21:32un peu
21:33toutes les 30 minutes,
21:355 minutes,
21:36toutes les demi-heures.
21:38Mathieu Lopineau,
21:38vous êtes allé tester ça
21:39dans une entreprise
21:40à Nantes
21:40qui pousse justement
21:41ses salariés à bouger.
21:43Oui, ici les informaticiens
21:44passent jusqu'à 7 heures
21:45par jour
21:46derrière leurs écrans
21:47et les conséquences
21:48sur les corps
21:48sont bien réelles.
21:49Le dos en prend un coup
21:50et un peu de sport
21:51ça ferait du bien aussi.
21:52Alors depuis 2 ans,
21:53certains ont troqué
21:53leur bureau classique
21:54pour un modèle réglable
21:56qui se relève
21:57pour travailler
21:58en position debout
21:59ce qui permet à Franck
22:00d'être moins sédentaire.
22:01C'est agréable,
22:01je me sens bien,
22:02je ne me sens pas affalé
22:03dans un fauteuil.
22:03Des autres points forts
22:04dans cette entreprise
22:05au rez-de-chaussée,
22:06une salle de sport
22:07ouverte à tous les salariés
22:08gratuitement.
22:09Là je suis en train
22:09de faire des dips
22:10sur le poids du corps.
22:11Au fil du temps
22:12que j'ai entre mes temps
22:13de travail
22:13pour venir faire du sport,
22:15me mettre en forme.
22:16Alors marcher
22:175 minutes
22:18toutes les demi-heures
22:18au bureau,
22:19ça ne peut être
22:20que bénéfique
22:21pour la santé
22:22pour la performance
22:22de l'entreprise,
22:23estiment Sylvain
22:24et Solène,
22:25contrôleur de gestion.
22:26Il y a des moments
22:26où on est un peu plus statique,
22:28on a aussi besoin
22:28de pouvoir se mettre debout.
22:30Une activité physique
22:31sur son lieu de travail
22:32ont des incidences positives
22:33sur des indicateurs
22:34de bien-être,
22:35de satisfaction au travail.
22:36Ça peut jouer
22:36sur le stress,
22:37sur la confiance en soi,
22:38sur la cohésion d'équipe.
22:40Et cette entreprise
22:40envisage aussi
22:41d'instaurer des pauses
22:42et tirements
22:43trois fois par jour
22:44pour bouger un peu
22:45sans quitter le bureau.
22:46Voilà 5 minutes
22:48toutes les 30 minutes
22:49les recommandations
22:51de l'agence de sécurité sanitaire.
22:52Merci à vous,
22:53Mathieu Lopineau,
22:54la météo.
22:54Avec Ness.
22:56Bon, et alors,
22:57Peggy,
22:57c'est moins beau
22:58que prévu,
22:58en tout cas dans le Nord.
22:59Ben oui,
22:59parce que les grisailles
23:00ont vraiment du mal
23:01à se dissiper.
23:01Elles vont résister
23:02d'ailleurs sur le Nord-Est
23:03et on devrait,
23:04je crois bien au conditionnel,
23:05retrouver quelques éclaircies
23:06dans l'après-midi
23:07au nord de la Loire,
23:08notamment entre la Bretagne,
23:09l'Ile-de-France
23:10et les Ardennes.
23:11En revanche,
23:12si vous êtes sur les bords
23:12de Manches,
23:13ça restera couvert
23:14tout l'après-midi.
23:21variable sur la côte aquitaine
23:22et entre nuages
23:23et éclaircies,
23:23mais ça reste agréable
23:25comme sur l'ouest
23:26de la Corse
23:27et c'est très ensoleillé
23:28sur l'Occitanie.
23:29Côté température,
23:3015 à 21 degrés au nord,
23:3221 à 25 au sud.
23:33Merci beaucoup, Peggy.
23:35Journée spéciale,
23:36comment sortir
23:37de cette crise politique ?
23:39On va en débattre
23:40dans un instant.
23:41J'attends vos appels
23:41au 3210.
23:42A tout de suite.
23:43Votre avis nous intéresse.
23:45Appelez le 3210.
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