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00:00Générique
00:00Ravie de vous retrouver dans Moselle Info, c'est parti pour une heure d'actualité Mosellane.
00:14A la une de l'information aujourd'hui.
00:17Emmanuel Macron est à Sarbrück à l'occasion du 35e anniversaire de la réunification allemande.
00:22Le président de la République française a été invité à participer à cette cérémonie officielle,
00:27une première depuis 25 ans.
00:28Autre cérémonie officielle qui a eu lieu aujourd'hui chez nos voisins, au Luxembourg cette fois.
00:34Cette cérémonie c'est bien sûr celle de l'abdication du grand-duc Henri qui laisse sa place à son fils Guillaume.
00:39Nous en parlerons tout à l'heure avec Jonathan Vaucher, journaliste à la rédaction de Moselle Info.
00:45Du sport aussi avec le FC Metz en mauvaise posture, dernier au classement de Ligue 1.
00:49Le club Grenard reçoit samedi l'Olympique de Marseille.
00:52Nous ferons le point sur cette septième journée de Ligue 1.
00:55Metz accueille ce samedi le congrès santé 2025 au centre des congrès Robert Schumann.
01:02Une journée pour débattre de la loi sur l'aide à mourir, sur la prévention des chutes ou encore des coopérations transfrontalières.
01:08Nous en parlerons avec notre invité, le docteur Mohamed Ali Begbagban, directeur médical régional Filiéris.
01:14Coup d'œil sur la météo de samedi, la grisaille reste au rendez-vous avec même quelques averses mais les températures qui restent aux alentours de 18 degrés.
01:27Emmanuel Macron était donc à Sarbrück ce vendredi pour les 35 ans de la réunification allemande.
01:32Une cérémonie officielle qui a réuni la classe politique allemande avec notamment le chancelier Friedrich Merz et le président Frank-Walter Steinmayer.
01:42C'est la première fois depuis 25 ans qu'un président français est invité à cette cérémonie.
01:47Reportage.
01:48C'est à Sarbrück que bat le cœur de l'Allemagne ce vendredi 3 octobre.
01:54La capitale de la Sarre accueille les célébrations du 35e anniversaire de la réunification allemande.
02:00Et à cette occasion, le président de la République a fait le déplacement.
02:05Cela faisait 25 ans qu'un président français ne s'était pas rendu en Sarre.
02:09Il est d'ailleurs le seul chef d'état étranger convié à cette journée de l'unité allemande.
02:13Une présence hautement symbolique qui souligne la force de l'amitié franco-allemande.
02:19En unissant les esprits, en coordonnant les actions, en joignant les projets, vous bâtissez l'Europe jour après jour.
02:26Et je vous le dis ici avec beaucoup de force, vous êtes des acteurs essentiels de ce projet que nous portons
02:31entre la France et l'Allemagne et avec tous nos partenaires européens.
02:34Et vous l'êtes aujourd'hui peut-être plus encore qu'hier.
02:38Pendant trois jours, Sarbrück vivra au rythme des festivités.
02:41Des milliers de visiteurs sont attendus.
02:43Concerts, animations et déambulations rythmeront cette fête nationale allemande,
02:47célébrée chaque 3 octobre depuis 1990.
02:51Date de fin du processus de réunification de l'Est et de l'Ouest.
02:56Un moment historique chez nos voisins luxembourgeois.
02:59Ce matin, après 25 ans de règne, le grand-duc Henri, 70 ans, a abdiqué en faveur de son fils Guillaume,
03:06âgé de 43 ans.
03:07On en parle tout de suite avec Jonathan Vaucher dans la chronique.
03:09Un changement de règne qui a réuni énormément de monde au Luxembourg.
03:19Jonathan, pourquoi un tel engouement ?
03:22Parce que tout simplement, le grand-duc n'est pas qu'un titre.
03:25C'est en quelque sorte pour nos voisins luxembourgeois le père du peuple.
03:29Officiellement, il n'est pas le chef du gouvernement, mais juste le chef de l'État et le chef des armées.
03:35Pour un pays comme la France, qui a coupé la tête de ses rois très tôt, cela peut être compliqué à imaginer.
03:40Mais au Luxembourg, sa personne est sacrée, même si son rôle est plus symbolique.
03:45D'autant qu'en 2008, une réforme constitutionnelle lui a retiré son pouvoir législatif.
03:51En effet, à l'époque, Henri refuse de signer une loi sur l'euthanasie en son âme et conscience.
03:55Les parlementaires votent alors une nouvelle constitution qui lui retire le choix de valider ou de refuser des lois.
04:01Il ne peut donc plus que contre-signer l'action des députés et du gouvernement.
04:05Bref, le grand-duc ne gouverne pas.
04:08Il est en quelque sorte au-dessus des partis, même si c'est bien lui qui nomme les ministres
04:11en respectant le choix des citoyens aux législatives.
04:14Alors, beaucoup de Mosellans travaillent au Luxembourg.
04:17Est-ce qu'après ce changement de règne, les frontaliers vont voir une différence ?
04:23Alors, dans les faits, non.
04:24Les passations de pouvoir ne sont pas des moments de grand changement
04:27puisque les grands-ducs assurent en général la continuité de la famille souveraine.
04:31Dans son discours ce matin, Guillaume, qui a le même prénom que le tout premier à son poste,
04:36a déclaré qu'il a prêté serment pour vivre la vie de son peuple
04:38dont il ne veut être séparé par aucune barrière.
04:41Il a honoré la mémoire de la grande-duchesse Charlotte,
04:45mais aussi de son grand-père, le grand-duc Jean, mort en 2019.
04:48Pour les 220 000 frontaliers au Luxembourg qui viennent travailler chaque jour dans le pays,
04:54dont plus de 60 000 Mosellans, pas de changement notable.
04:57Donc, il reste lié aux lois françaises, aux lois luxembourgeoises dictées par le Parlement.
05:01Et pour le jour de congé national, ça peut vous intéresser,
05:03qui représente le jour de naissance du grand-duc.
05:06Est-ce qu'il sera déplacé au 11 novembre, naissance de Guillaume ?
05:09Eh bien non, car à chaque changement de souverain,
05:11pour des raisons de climat, on garde le 23 juin pour la fête nationale.
05:15Et si on doit résumer l'action du grand-duc durant ses 25 ans de règne,
05:19parce qu'il s'en est passé des choses quand même.
05:20Oui, le grand-duc Henri a incarné une sorte de continuité
05:23d'une monarchie parlementaire moderne montée sur le trône en 2000.
05:27Il a accompagné la transformation du Luxembourg en puissance financière et européenne,
05:32notamment le développement du Kirchberg au centre d'affaires.
05:35Impossible de ne pas évoquer aussi les LuxLeaks,
05:37le scandale financier révélant des pratiques d'optimisation fiscale
05:40qui ont terni l'image du pays,
05:42mais qui ont accéléré sa transformation vers plus de transparence.
05:45Henri a aussi été une figure d'unité durant la pandémie ou les inondations en 2021.
05:50Aujourd'hui, il laisse l'image d'un souverain discret, respecté, proche du peuple.
05:54En 2010, il avait ouvert la succession à la primogéniture absolue,
05:57c'est-à-dire aux enfants hommes ou femmes, face à sa famille
06:01et à trois anciens premiers ministres, Luc Frieden, Xavier Bettel et Jean-Claude Juncker,
06:04ce matin, son fils, chef scout du pays,
06:07a mis en avant dans son discours d'intronisation des valeurs similaires à son père,
06:11finalement, la force du dépassement de soi, l'inclusivité,
06:15l'engagement pour le droit de tous et le bénévolat appelant son peuple à l'unité.
06:20Merci beaucoup Jonathan pour toutes ces informations
06:23concernant donc ce changement de grand-duc au Luxembourg.
06:26Nouveau rebondissement dans l'affaire du marathon de Metz.
06:30Le tribunal administratif de Strasbourg a jugé illégal le contrat
06:34liant la société RNK à la métropole Messines
06:37pour l'organisation de l'euro-marathon.
06:39Une décision avec effet différé au 13 octobre,
06:43soit au lendemain de l'édition 2025,
06:45que les marathoniens donc se rassurent.
06:47L'édition prévue le 12 octobre aura bien lieu malgré tout.
06:52Notre série de la semaine à la Foire internationale de Metz.
06:55Une nouveauté cette année, la Mirabelle d'or.
06:58Un concours 100% pâtisserie où 8 candidats s'affrontent autour d'Entremets,
07:03de Mignardise et de Madeleine revisitées.
07:06Mathéo-Philippe était sur place.
07:074 heures, 3 créations.
07:11Entremets fruités, Mignardise chocolatée et Madeleine revisitées.
07:18A la Foire internationale de Metz,
07:20les jeunes pâtissiers se mesurent au premier concours de la Mirabelle d'or
07:24sous les yeux curieux du public.
07:27C'est vraiment artisanal et c'est vrai, les mecs, ils ont un coup de main.
07:32On peut voir quand même les techniques des pâtissiers,
07:37d'autant plus qu'on peut dire aussi qu'ils sont un peu en apprentissage.
07:41Et parmi les observateurs, il y a la famille apportant leur soutien.
07:46Ils s'entraînent tous les jours et puis moi je le bouse,
07:48on est tous derrière lui.
07:50Je le soutiens mais lui il n'a pas la pression,
07:51c'est moi qui l'ai à sa place.
07:53C'est ça la différence.
07:55Pas de temps pour le stress.
07:57Concentrés sur leur création,
07:59ces jeunes candidats prennent tout de même du temps
08:01pour échanger avec le public.
08:03Je passe choper à 3 à 50, à 45.
08:05Je le redescends à 27 et je le remets à 32.
08:08C'est vrai que ça change des concours habituels.
08:09On a du passage, les gens nous posent des questions.
08:12Après ça reste bonne entente, c'est vraiment cool.
08:16Et interagir avec les gens, montrer ce qu'on fait dans notre travail,
08:18c'est vraiment enrichissant.
08:20La passion du concours, j'ai toujours aimé, je suis très compétiteur.
08:23Le fait que beaucoup de monde regarde ce qu'on fait,
08:25ça ne me dérange pas plus que ça, je ne suis pas vraiment déconcentré.
08:29Et c'est ce qui est recherché dans ce concours.
08:32Permettre à ces jeunes fraîchement diplômés,
08:34ou quasiment, de se frotter à ce monde de la compétition.
08:39En fait c'est pour leur donner le goût du concours.
08:40C'est d'essayer d'avoir la bonne pression qui reste,
08:43la mauvaise pression d'essayer de l'enlever,
08:45c'est-à-dire tout ce qui va stresser, etc.
08:47Et puis l'organisation de travail.
08:50C'est surtout très intéressant de voir la passion de ces jeunes professionnels,
08:57leur volonté de bien faire.
08:58Cette capacité à pouvoir déjà restituer un savoir-faire qui leur a été transmis,
09:05mais aussi de se le réapproprier.
09:08C'est fini, il est l'heure de passer à table.
09:11Première étape, ça va être le visuel,
09:13et après on va partir sur la dégustation.
09:15Les chefs réfléchissent, débattent et notent selon plusieurs critères
09:20tournés autour de la présentation, de la technique et de la dégustation.
09:25Il aurait mieux fait de faire rien qu'une pastille comme ça,
09:29une flaque, le caramel dessus, ça aurait été plus intéressant.
09:31On va reprendre le caramel de là, tout simplement.
09:35Parce que là c'est très chocolaté.
09:36Parmi un panel de 7 candidats,
09:39un seul d'entre eux recevra le trophée,
09:41remis par Michel Roth ce dimanche 5 octobre.
09:45Voilà, et ça donne faim.
09:47Alors après, ça va être régalé, un peu de sport.
09:49Le SMS reçoit ce samedi l'Olympique de Marseille,
09:53au stade Saint-Symphorien.
09:54Lanterne rouge de Ligue 1,
09:56les Grenats défient une équipe marseillaise en pleine confiance,
09:59après sa victoire en Ligue des Champions cette semaine.
10:01Avant match, avec Emery Guillaume.
10:04Ce week-end, le stade Saint-Symphorien sera aux couleurs de l'émotion.
10:08Le FC Metz reçoit l'Olympique de Marseille pour une affiche de gala,
10:12mais dans un contexte particulier.
10:15Après le match nul face au Havre,
10:17les supporters ont tiré la sonnette d'alarme après deux points en six rencontres.
10:22Une réunion a eu lieu ce jeudi entre la direction et les clubs de supporters
10:26pour partager inquiétudes et attentes.
10:28Un constat qui a résonné jusqu'en conférence de presse.
10:32Moi, depuis que j'ai signé quasiment au FC Metz,
10:34je sais que ça va être ça.
10:35C'est-à-dire que quand on est en Ligue 1,
10:37si on avait le bonheur de monter au bout d'une saison,
10:39la difficulté, c'est de pouvoir rivaliser avec des équipes
10:43qui ont des moyens et des capacités financières supérieures.
10:45Celui qui rêvait d'être dans le top 5 ou top 6,
10:49c'est un rêveur.
10:50Des fois, il faut des rêves, je suis d'accord,
10:51je suis le premier à en avoir,
10:53mais il faut être un petit peu réaliste quand même.
10:55Pour ce rendez-vous crucial,
10:57le stade affiche complet
10:58Stéphane Lemillan devra composer avec certaines absences,
11:02mais pourra compter sur le retour de Sadie Boussane
11:05qui a purgé sa suspension.
11:07C'est 2-3 matchs.
11:08C'est pas facile d'être en haut de tribune,
11:12de regarder tes coups équipés.
11:13Je suis déjà compris le coup,
11:15c'est une leçon pour moi tout cela.
11:17Et je pense que maintenant,
11:19ça me permet de faire très attention
11:21sur les coups, tout cela.
11:22avancer ensemble,
11:24c'est l'impératif pour l'UFC Metz qui doit continuer à croire au maintien.
11:28Cela passera par une prestation aboutie ce week-end,
11:31juste avant une nouvelle trêve internationale.
11:34Une véritable épreuve de caractère.
11:36Voilà, et bien sûr,
11:39on croise les doigts pour les grenats.
11:41On termine avec un mot de tennis.
11:43Hugo Imbert retrouve des couleurs
11:44au Masters 1000 de Shanghai.
11:46Lemessin, 26e mondial,
11:48resté sur 5 défaites en 6 matchs
11:50et une élimination dès le premier tour à Tokyo
11:52où il avait pourtant atteint la finale l'an dernier.
11:54Perturbé par des blessures
11:56et un manque de sensation,
11:58il s'est relancé ce vendredi
11:59en battant l'Australien Jordan Thompson,
12:0285e joueur mondial,
12:036-3-7-6.
12:05Il défiera au troisième tour le Danois
12:06Holger Rune, 11e mondial.
12:09Tout de suite, la météo.
12:10Et on se retrouve juste après avec notre invité
12:12pour parler du Congrès Santé
12:13qui a lieu ce samedi à Metz.
12:15A tout de suite.
12:16Vous êtes toujours dans Moselle Info.
12:29Avant de donner la parole à notre invité,
12:31je vous rappelle les principaux titres de l'actualité.
12:34Emmanuel Macron est à Sarbrück
12:36à l'occasion du 35e anniversaire
12:38de la réunification allemande.
12:39Le président de la République française
12:41a été invité à participer
12:43à cette cérémonie officielle.
12:44Une première depuis 25 ans.
12:47Au Luxembourg, le grand-duc Henri
12:49a abdiqué ce matin
12:50après un quart de siècle de règne.
12:52Son fils Guillaume devient le nouveau grand-duc.
12:55Une cérémonie historique
12:56qui marque un tournant pour nos voisins
12:58où se rendent chaque semaine
12:59pas moins de 126 000 travailleurs frontaliers.
13:03Nouveau rebondissement dans l'affaire
13:05du marathon de Metz.
13:06Le tribunal administratif de Strasbourg
13:08a jugé illégal le contrat
13:10entre RNK et la métropole Messines.
13:12Une décision qui prendra effet le 13 octobre
13:15juste après l'édition 2025 donc.
13:19Et tout de suite, on parle santé
13:21puisque ce samedi,
13:22Metz accueille le Congrès Santé 2025
13:25consacré à la transversalité
13:27et à la pluridisciplinarité.
13:29Au cœur du soin,
13:30un rendez-vous qui croise réflexion éthique,
13:33enjeux de santé publique
13:33et coopération transfrontalière.
13:36Avec nous pour en parler,
13:37le docteur Mohamed Ali Bekbagban,
13:39directeur médical régional Filiéris.
13:41Notre système de santé est souvent décrit
13:47comme fragmenté et en crise.
13:50Concrètement, qu'est-ce que la pluridisciplinarité
13:52peut apporter pour améliorer
13:54la prise en charge des patients ?
13:56Bonjour Tim, merci pour votre invitation.
14:00Effectivement, comme vous le dites si bien,
14:02notre système de santé est confronté
14:04et le sera de plus en plus
14:05à des enjeux majeurs
14:07tels que le vieillissement de la population,
14:09l'explosion des maladies chroniques,
14:12les inégalités sociales et territoriales en santé.
14:15Et cela nous oblige à le repenser,
14:18à avoir une autre approche différente,
14:21plus humaine, plus globale,
14:23qui dépasse les cloisonnements professionnels.
14:25Et ce congrès est fait pour ça ?
14:27Tout à fait. Ce qui veut dire qu'effectivement,
14:29il faut aller vers une collaboration plus étroite
14:33entre les différents professionnels de santé,
14:35médecins, infirmiers, psychologues,
14:37orthophonistes, pharmaciens,
14:39tout cela pour une meilleure prise en charge
14:41de nos patients qui doivent rester au cœur
14:43de cette prise en charge plus humaine
14:46et plus globale.
14:47C'est l'un des sujets qui sera abordé
14:49au cours de ce congrès.
14:51C'est la future loi sur l'aide à mourir
14:53qui soulève de nombreuses questions,
14:55notamment éthiques, évidemment.
14:57Comment garantir que la décision reste collective
15:00et respectueuse et pas seulement médicale
15:02et juridique ?
15:04Alors, je suis profondément républicain
15:07et je respecte notre pays
15:09et les lois qui vont en émerger
15:12et qui vont fleurir
15:13puisque là, le 20 octobre,
15:15les lois sur la fin de vie
15:17vont être débattues au Sénat.
15:19Mais je pense que si on veut
15:20pouvoir respecter le patient, l'humanité
15:24et respecter ce que le patient nous demande,
15:27c'est-à-dire une prise en charge
15:28de qualité, de l'humanité,
15:30il faut surtout savoir prendre son temps.
15:32Il est urgent de savoir prendre son temps
15:33et ne pas légiférer dans la précipitation.
15:37Les patients, quand ils veulent que ça s'arrête,
15:39veulent surtout que leur souffrance s'arrête
15:41et pas forcément leur vie s'arrête.
15:44Mais ça, c'est un autre débat.
15:45On aura peut-être l'occasion d'en rediscuter.
15:49Eh bien, avec plaisir.
15:49Mais alors, en attendant demain au Congrès,
15:51donc ça fait partie des sujets
15:53qui seront débattus
15:54avec encore une fois des experts.
15:57C'est vraiment le débat et au cœur,
16:00le débat, la discussion
16:01est au cœur de cet événement
16:02qui se passe ce week-end.
16:04Le but de cet événement,
16:05c'est vraiment que ce soit un lieu
16:06de rencontre, de partage, d'échange
16:09entre tous ces professionnels de santé.
16:11Je rappelle que c'est un congrès
16:13qui est ouvert aux professionnels de santé,
16:15qui est gratuit, accessible par inscription,
16:17par mail.
16:19On a inscrit le mail d'ailleurs,
16:21on peut peut-être le faire apparaître à l'image.
16:23Très aimable à vous.
16:24Vos téléspectateurs peuvent s'inscrire
16:27encore jusqu'à minuit.
16:28On leur donne jusqu'à minuit.
16:29Il y a encore quelques places de libre
16:31au Palais des congrès.
16:31Et plus on sera nombreux,
16:32plus les échanges seront riches.
16:35Et effectivement, dans le domaine
16:35des soins palliatifs,
16:36nous avons invité des intervenants
16:39vraiment de pointe,
16:40puisque nous aurons la chance
16:42d'avoir Jean-Marie Gomas,
16:43qui est un des pères fondateurs
16:44de la Société française de soins palliatifs,
16:47accompagné du professeur Éric Fiat,
16:50qui est philosophe
16:50et qui a consacré toute sa vie
16:53à la philosophie dans le domaine sanitaire
16:55et notamment de la fin de vie.
16:56Alors, justement, vous dites philosophie,
16:58ça fait partie,
16:59demain il y aura des médecins,
17:01bien évidemment des spécialistes,
17:02mais aussi la philosophie,
17:03ça fait partie,
17:04la philosophie fait partie du débat médical.
17:07C'est absolument indispensable
17:09de mêler la philosophie,
17:10l'éthique à la prise en charge
17:12de nos patients.
17:13Nos patients ont droit
17:14à des soins de qualité
17:15où ils doivent nous donner
17:17un consentement éclairé.
17:19Ça passe par effectivement une éthique,
17:21connaître le raisonnable,
17:22le déraisonnable
17:22et effectivement leur donner
17:25toute l'information qu'ils méritent
17:27pour pouvoir faire les bons choix.
17:29Autre sujet qui va être abordé
17:31durant ce congrès,
17:32c'est les chutes,
17:34puisqu'avec le vieillissement
17:36de la population,
17:37les chutes sont un enjeu majeur,
17:39elles devenaient presque
17:40un enjeu de santé publique.
17:42Qu'est-ce qui manque aujourd'hui
17:43pour mieux prévenir
17:44et accompagner les personnes âgées
17:45dans leur autonomie ?
17:47Alors, avant tout,
17:49la table ronde des chutes
17:51va être animée par vraiment
17:53une personne de référence
17:55qui est le professeur paysan,
17:57le directeur médical
17:58de l'Institut régional
17:59de médecine et de réadaptation
18:02à Nancy,
18:03accompagnée d'une rééducatrice
18:07et également gériatre,
18:09le docteur Lassalle,
18:10qui vont vraiment nous montrer
18:11l'importance de la prévention
18:13et de la pluridisciplinarité,
18:15là également,
18:16dans l'accompagnement
18:17de nos patients fragiles,
18:20les patients âgés,
18:21qui effectivement,
18:22pour qui la chute devient
18:23vraiment un drame,
18:24puisque ça va entraîner
18:26probablement une fracture,
18:28une hospitalisation avec un pronostic
18:30plutôt sombre en général
18:31après une fracture
18:32chez une personne âgée
18:34qui se crabatise.
18:35Voilà, donc sujet important
18:36qui sera abordé.
18:38Et alors, assez rapidement,
18:40parce qu'on a encore peu de temps,
18:41au terme de ce congrès,
18:42est-ce que vous attendez
18:43surtout des recommandations concrètes
18:46ou bien est-ce que l'essentiel,
18:47c'est avant tout la discussion,
18:50le débat,
18:51et peut-être aussi changer d'avis,
18:52peut-être que certains spécialistes
18:54vont changer d'avis ?
18:55Alors, il y aura effectivement
18:56des sujets où il y a des idées
18:59très arrêtées,
18:59on revient notamment à la fin de vie,
19:01mais le but,
19:02c'est vraiment de décloisonner tout ça,
19:04que tous les professionnels
19:05se parlent,
19:06que ce soit les médecins,
19:07les psychologues,
19:09je répète,
19:09les orthophonistes,
19:10et qu'on puisse faire avancer finalement,
19:12que chacun fasse sa part.
19:14On a, je ne sais pas
19:15si on aura le temps,
19:16mais je voulais aussi parler,
19:17insister sur un sujet
19:18qui nous concerne,
19:19c'est la coopération sanitaire
19:21transfrontalière.
19:22On aura la chance d'avoir des acteurs
19:25très importants dans le domaine,
19:27le docteur René Metz,
19:28qui est directeur médical du CHEM,
19:30à ECH sur LZ,
19:32également un monsieur Henri Leual,
19:36qui nous viendra de Belgique,
19:39qui est chargé de cours
19:41à l'université de Lille,
19:42et qui est vraiment un des pères fondateurs
19:44de la coopération sanitaire transfrontalière.
19:46Vraiment, c'est des sujets très importants,
19:48où l'objectif,
19:49c'est vraiment qu'on se parle,
19:50qu'on échange, encore une fois,
19:52que nous, professionnels des terrains,
19:54on puisse s'entendre sur des solutions
19:56que nous espérons voir appliquées
19:59par nos tutelles.
20:01Et tous les Mosellans, bien évidemment,
20:03espèrent que ce sera le cas,
20:04puisqu'une coopération transfrontalière,
20:06dans tous les cas,
20:07peut être une bonne chose,
20:08en tout cas pour la santé.
20:10Merci beaucoup.
20:11Donc, une journée d'échange, en fait,
20:14une journée d'échange et de débat,
20:15ce samedi, au centre des congrès,
20:17Robert Schumann.
20:18Le congrès Messe Santé, pardon,
20:20le congrès Santé 2025,
20:22organisé par Filiéris avec l'UGCAM Nord-Est,
20:25et veut poser les bases d'un soin plus collectif,
20:28au-delà des frontières et des disciplines.
20:30Merci.
20:31Merci beaucoup d'être venu.
20:32Merci à vous.
20:32Merci beaucoup.
20:33On enchaîne tout de suite avec nos souvenirs,
20:36qui ne demandent qu'à être numérisés,
20:37numérisés pour entrer dans la mémoire familiale.
20:40Tout de suite, la chronique découverte.
20:45Vous pouvez rester encore un instant avec nous.
20:49Emma nous a rejoint sur le plateau.
20:51Alors, au fil de la vie, Emma,
20:53les souvenirs s'accumulent,
20:55tout comme les photos,
20:56les vidéos anciennes.
20:57On n'a pas toujours le temps ni le matériel
20:59pour les consulter.
21:01Et pourtant, ce serait dommage de les perdre.
21:03Alors, comment on fait ?
21:04Eh bien, je ne suis pas venue les mains vides.
21:06Tim, est-ce que ça vous dit quelque chose ?
21:08Ah ben, c'est ma jeunesse, ça, oui.
21:10Ça, c'est une cassette DVCAM.
21:12Oui, tout à fait, une DVCAM.
21:13Alors, certains d'entre vous ont peut-être encore
21:15cette cassette des années 90
21:17ou des VHS qui s'entassent au fond du grenier.
21:20Faute de matériel pour les lire,
21:22si vous avez envie de raviver ces souvenirs,
21:24Julien Weissreiner peut les numériser pour vous
21:26dans son studio à Ames-Souversberg
21:29et vous les restituez via une clé USB.
21:32Donc là, je me prête à faire une cassette
21:34de type VHS compact.
21:36C'était une cassette utilisée
21:37à partir de la fin des années 80,
21:38début des années 90.
21:39Je la rembobine dans un premier temps.
21:41Après, je la passe en lecture
21:42et en fait, la durée de la numérisation
21:43prendra la durée de la bande.
21:44Suivant la marque de magnétoscope,
21:47il y aura des sensibilités de tête
21:48de lecture différentes,
21:49donc une qualité qui peut varier.
21:50Et avec le vieillissement de la bande,
21:53c'est important de pouvoir jongler
21:54sur différentes machines
21:55pour extraire la meilleure qualité
21:56qu'il est possible d'avoir.
21:58Alors, le passionné de vidéo
22:00a déjà restauré une bobine de 8 mm
22:03datant, tenez-vous bien, de 1948.
22:06Super 8, 16 mm, cassette VHS,
22:08rien ne résiste aux machines de Julien.
22:11Et depuis le début de son activité en 2018,
22:14attention, il a numérisé plus de 11 637 cassettes.
22:17Alors, à l'écran, on trouve souvent
22:19des souvenirs de famille,
22:20mais il y a parfois quelques surprises.
22:23Les gens filmaient plus ou moins
22:24toujours la même chose.
22:25On a les baptêmes, les communions,
22:27les anniversaires, les Noël.
22:29Et ce qu'il y a de plus beau,
22:30c'est les moments de vie à table, etc.
22:33Donc, j'ai souvent des gens qui sont émus
22:35parce qu'ils oublient justement
22:36ces moments simples de vie
22:37et qu'ils retrouvent ça.
22:38Une ambiance un peu familiale,
22:39des fois peut-être disparue aussi aujourd'hui.
22:41Il y a des petits trésors d'archives
22:42de la région,
22:44des bâtiments qui n'existent plus,
22:45des magasins qui ne sont plus là
22:46ou des entreprises comme la mine,
22:48par exemple, la Creuseval.
22:49J'ai pu numériser beaucoup d'archives,
22:52même des archives internes
22:54à la ouvre directement.
22:55Et puis après, oui,
22:56des choses un petit peu plus insolites aussi.
23:01Je ne peux pas trop en parler.
23:02Voilà, on n'en dira pas plus,
23:07mais s'il y en a un qui était visiblement ému
23:10à l'idée de revoir ses moments de vie,
23:12c'est bien Gérard.
23:13L'homme a fait le trajet depuis Metz
23:14pour numériser des vidéos de famille
23:16datant des années 2000 jusqu'aux années 60.
23:20Il y a l'émotion toujours qu'on a
23:23vis-à-vis du passé,
23:23puis aussi de revoir des gens
23:24qu'on aimait bien qui ont disparu.
23:27C'est ça l'intérêt de ce genre de démarche.
23:30C'est pour pouvoir vraiment avoir
23:31cette conservation et cette transmission.
23:34Plutôt que d'avoir des choses qui restent,
23:36on a un grand carton,
23:37c'est dans un carton,
23:39on n'a plus les appareils pour les lire,
23:40bref, c'est mort.
23:41Donc là, l'idée, c'est de rendre ça vivant
23:43et de pouvoir les repartager.
23:45Alors, voilà, si vous aussi,
23:47si vous avez envie de numériser,
23:48par exemple, ce match de basket
23:50daté du 26 novembre 2011,
23:53une petite relique pour Moselle TV,
23:54n'hésitez pas à le faire.
23:57Eh bien, merci beaucoup.
23:582011, ce n'est pas si ancien,
24:00quand on voit ça.
24:01Bon, alors, si on n'a pas de cassette
24:03dans ces cartons,
24:04mais des souvenirs plein la tête,
24:06est-ce que vous avez une autre idée
24:07pour les conserver ou les transmettre ?
24:09Eh bien, vous pouvez faire appel
24:10à un ou une biographe,
24:12que ce soit une tranche de vie
24:13ou votre biographie complète.
24:16Un biographe vous accompagne
24:17pour mettre vos souvenirs par écrit.
24:19Nous avons rencontré Anne Merucci
24:21à Courcelles-Chossy,
24:23la biographe près de sa plume
24:24depuis deux ans
24:25pour transmettre les histoires
24:27des Mosellans.
24:28Vous pouvez me raconter...
24:30Oui, alors, je vais déjà vous dire
24:33que j'ai reçu pas mal de renseignements.
24:36À plus de 70 ans,
24:38Bernard a décidé de se pencher
24:40sur son passé,
24:41de raconter son histoire,
24:43celle de sa famille
24:44et de ses origines.
24:46Ça m'a fait énormément de bien
24:48parce que j'ai découvert
24:49beaucoup de choses
24:50que je ne savais pas.
24:51À partir de ses souvenirs,
24:53de témoignages
24:54et de quelques documents...
24:56J'ai lu certaines choses
24:57sur mon père
24:57qui se sont passées
24:59pendant la guerre
24:59et j'ai trouvé...
25:01Je considère mon père
25:03comme un héros.
25:04Le retraité déroule peu à peu
25:05le fil de son histoire.
25:07Des mots qui tombent
25:09dans l'oreille attentive
25:10de cette biographe.
25:11Chaque personne va le raconter
25:13à sa façon.
25:14Il y a des gens qui vont aller
25:15vraiment dans le détail.
25:17D'autres qui vont peut-être
25:20laisser certaines choses de côté
25:21dont elles n'ont pas forcément
25:22envie de parler.
25:23J'écoute beaucoup
25:23mais c'est vrai qu'il m'arrive
25:24de poser des questions.
25:25Il a ?
25:25Il a pris le bateau jusqu'où ?
25:27Il a pris le bateau
25:28jusqu'à Port Vendre.
25:30On ne peut pas travailler
25:32avec un biographe
25:34s'il n'y a pas une relation,
25:36s'il n'y a pas quelque chose
25:37qui se passe,
25:38s'il n'y a pas un feeling.
25:40Ce terme-là,
25:41mais c'est important.
25:43Après une dizaine d'heures
25:44d'entretien...
25:44Il y a eu de la neige.
25:45Moi, je n'ai jamais vu de la neige.
25:47Ces mots,
25:48enregistrés au dictaphone,
25:50sont ensuite couchés
25:51sur le papier.
25:52Ça me permet
25:52de me remettre
25:54dans l'entretien,
25:55de réécouter la personne
25:56telle qu'elle a prononcé
25:58les choses,
25:59telle qu'elle les a racontées,
26:01avec les différents moments,
26:03les différentes émotions,
26:03les silences.
26:04C'est important,
26:05les silences.
26:05Et donc,
26:07c'est vraiment une phase
26:08qui est pour moi essentielle
26:09pour que derrière,
26:11j'arrive à travailler
26:12le texte
26:14en m'efforçant
26:15de ressembler,
26:16de retrouver le style
26:16de la personne,
26:17son vocabulaire.
26:18Son discours
26:19est retranscrit mot pour mot,
26:21puis retravaillé
26:21en respectant toujours
26:23les souhaits
26:23de celui qui raconte.
26:25On peut rester
26:25assez près de l'oral,
26:27comme on peut
26:28s'en éloigner
26:28et arriver à quelque chose
26:29de beaucoup plus littéraire.
26:30Ça, c'est vraiment aussi
26:32en fonction du message
26:33qu'on veut passer
26:34et vraiment de ce que va souhaiter
26:35la personne
26:36et ce avec quoi
26:37elle est à l'aise, en fait.
26:38Chaque texte
26:39se tisse comme une mémoire,
26:40l'objectif préservé
26:41des souvenirs précieux.
26:43À la fin,
26:44chacun peut choisir
26:45de les partager
26:45ou de les garder pour soi.
26:48Effectivement,
26:49donc garder
26:49ses souvenirs
26:50bien vivants.
26:52Merci beaucoup,
26:53Emma,
26:53pour cette découverte.
26:54Merci pour cette cassette
26:55d'Evecam
26:56que je vais m'empresser
26:57d'aller donner
26:58à la régie
26:59à Gabriel Chemin
27:00qui saura sûrement
27:01quoi en faire.
27:02Merci encore,
27:03Emma.
27:04Restez avec nous,
27:04on se retrouve dans un instant.
27:17Vous êtes toujours
27:18dans Moselle Info,
27:19à la une
27:20de l'actualité aujourd'hui.
27:22Emmanuel Macron
27:22est à Sarbrück
27:23à l'occasion
27:24du 35e anniversaire
27:25de la réunification allemande.
27:27Le président
27:27de la République française
27:29a été invité
27:29à participer
27:30à cette cérémonie officielle,
27:32une première
27:32depuis 25 ans.
27:34À la Foire internationale
27:35de Metz,
27:36place à la gourmandise
27:37avec la Mirabelle d'or,
27:39un tout nouveau concours
27:40de pâtisserie
27:40où 8 candidats
27:41s'affrontent
27:42autour d'Entremets,
27:43de Milliardise
27:44et de Madeleine
27:44revisitées.
27:45Le concours est en cours
27:47jusqu'à dimanche.
27:48À Montoy-la-Montagne,
27:49la FSGT
27:51ouvre le sport à tous.
27:53Cette fédération
27:53omnisport,
27:54agréée de jeunesse
27:55et sport,
27:56défend un sport accessible
27:57en mettant face à face
27:59des champions
28:00et des amateurs.
28:02Coup d'œil sur la météo
28:03de samedi,
28:03la grisaille reste au rendez-vous
28:05avec même quelques averses,
28:06mais les températures
28:07qui restent aux alentours
28:08de 18 degrés.
28:09Nouveau rebondissement
28:13dans l'affaire
28:14du marathon de Metz.
28:15Le tribunal administratif
28:16de Strasbourg
28:17a jugé illégal
28:18le contrat
28:19liant la société RNK
28:21à la métropole
28:22pour l'organisation
28:23de l'euro-marathon.
28:24Une décision
28:25avec effet différé
28:26au 13 octobre,
28:27soit au lendemain
28:28de l'édition 2025
28:29que les marathoniens
28:30se rassurent.
28:31Donc,
28:31l'édition prévue
28:32le 12 octobre
28:33aura bien lieu
28:34malgré tout.
28:37Emmanuel Macron
28:38était à Sarbrück
28:39ce vendredi
28:39pour les 35 ans
28:40de la réunification allemande.
28:42Une cérémonie officielle
28:44qui a réuni
28:44la classe politique allemande
28:45avec notamment
28:46le chancelier
28:47Friedrich Merz
28:48et le président
28:49Frank-Walter Steinmayer.
28:51C'est la première fois
28:52depuis 25 ans
28:53qu'un président français
28:54y participe.
28:55Regardez.
28:57C'est à Sarbrück
28:58que bat le cœur
28:59de l'Allemagne
29:00ce vendredi 3 octobre.
29:02La capitale de la Sarre
29:03accueille les célébrations
29:04du 35e anniversaire
29:05de la réunification allemande.
29:07Et à cette occasion,
29:08le président de la République
29:09a fait le déplacement.
29:13Cela faisait 25 ans
29:14qu'un président français
29:15ne s'était pas rendu en Sarre.
29:17Il est d'ailleurs
29:17le seul chef d'État étranger
29:19convié à cette journée
29:20de l'unité allemande.
29:21Une présence hautement symbolique
29:23qui souligne
29:23la force de l'amitié
29:24franco-allemande.
29:26En unissant les esprits,
29:28en coordonnant les actions,
29:29en joignant les projets,
29:30vous bâtissez l'Europe
29:31jour après jour.
29:34Et je vous le dis ici
29:34avec beaucoup de force,
29:35vous êtes des acteurs essentiels
29:37de ce projet que nous portons
29:38entre la France et l'Allemagne
29:40et avec tous nos partenaires européens.
29:42Et vous l'êtes aujourd'hui
29:43peut-être plus encore qu'hier.
29:45Pendant trois jours,
29:46Sarre-Brucque vivra
29:47au rythme des festivités.
29:48Des milliers de visiteurs
29:49sont attendus.
29:51Concerts, animations
29:52et déambulations
29:52rythmeront cette fête nationale allemande
29:54célébrée chaque 3 octobre
29:56depuis 1990.
29:58Date de fin du processus
30:00de réunification
30:01de l'Est et de l'Ouest.
30:02Au lendemain d'une nouvelle
30:05mobilisation syndicale,
30:07Sébastien Lecornu,
30:08Premier ministre,
30:09a annoncé ce matin
30:10depuis Matignon
30:11qu'il renonçait à l'usage
30:12du 49-3
30:13pour faire adopter
30:13le budget 2026.
30:15Un changement de méthode,
30:16donc.
30:17Cet article de la Constitution
30:18permet, je le rappelle,
30:19à un gouvernement
30:20de faire passer un texte
30:21sans vote,
30:22sauf si une motion
30:23de censure le renverse.
30:25Utilisé chaque année
30:26depuis 2022
30:27pour les budgets,
30:28il sera cette fois
30:28mis de côté
30:29par le Premier ministre
30:30dans un contexte politique tendu.
30:33Le Premier ministre
30:34poursuit ses consultations
30:35pour former son gouvernement.
30:37La réaction à cette décision
30:39et à cette annonce
30:40de Charlotte Leduc,
30:42ex-députée LFI
30:43de la Moselle.
30:44Ça vient plutôt sceller
30:45une alliance
30:46RN-Macroni
30:47qu'on voit à l'œuvre
30:49depuis quelques jours
30:49pour que le budget
30:50austéritaire puisse passer
30:52avec une énième réforme
30:54de l'assurance chômage,
30:55le doublement
30:56des franchises médicales,
30:57la réforme de l'AME,
30:58bref, des choses
30:58qui pourraient être validées
31:00comme ça.
31:01Moi, je crois
31:01qu'il ne faut pas être dupe
31:02s'il y a la moindre mesure
31:03de justice sociale
31:05ou de justice fiscale
31:06qui passe dans ce budget
31:07grâce à la mobilisation
31:09des députés
31:10du nouveau Front populaire.
31:11Je pense qu'il y aura
31:11un 49-3.
31:12Je pense que RN-Macroni,
31:14c'est tout le contraire
31:15de ce qu'ont décidé
31:16les Françaises
31:17et les Français
31:17aux dernières élections.
31:18C'est une honte absolue,
31:19c'est un véritable naufrage.
31:21La seule solution,
31:22c'est la censure.
31:22La seule solution,
31:23en réalité,
31:24c'est le départ
31:24du président de la République.
31:25Allez, on sort de la politique
31:28maintenant
31:28et on va parler
31:29d'un hectare
31:30que les Français adorent.
31:31À Fort-Bac,
31:32trois ruches
31:33et près de 60 000 abeilles
31:34ont pris place
31:35dans le parc
31:36de la piscine olympique.
31:37Objectif,
31:38une première production
31:39de miel
31:39dès le printemps prochain
31:40grâce à un partenariat
31:42avec un apiculteur local.
31:44Un reportage
31:44de nos confrères
31:45de TV8 Moselle Est.
31:46Les abeilles ont aussi
31:48leur place
31:49à la piscine de Fort-Bac.
31:50Alors, rassurez-vous,
31:51les trois ruches
31:52sont installées
31:53au sein de la zone
31:54de déclaration naturelle
31:56et interdite au public.
31:58Le but est de favoriser
31:59la biodiversité
32:00par leur action
32:01de pollinisation.
32:03Mardi 30 septembre,
32:04une convention a été signée
32:06entre Jean-Claude Hennes,
32:08président de la communauté
32:09d'agglomération,
32:10et Baptiste Rapp,
32:11apiculteur.
32:13Une manière aussi
32:13de sensibiliser
32:14les visiteurs
32:15sur l'importance
32:16des abeilles
32:17sur l'écosystème
32:18et promouvoir
32:19leur sauvegarde.
32:20Ce projet s'inscrit
32:21dans le cadre
32:21du plan climat-air-énergie
32:23du territoire.
32:24Les abeilles ont aussi
32:25des besoins d'accès
32:26à l'eau.
32:27Elles pourront donc
32:28se ressourcer
32:28à la cascade
32:29d'eau chlorée.
32:30Dès le printemps prochain,
32:32environ 20 000 abeilles
32:33s'implanteront par ruche.
32:35Miel de printemps,
32:36d'acacia
32:36ou encore d'été,
32:38un miel de la piscine
32:40qui sera finalement
32:41mis en vente
32:42via l'apiculteur
32:43d'ici 2026.
32:45Et on reste
32:47dans la gourmandise
32:48avec notre série
32:49de la semaine
32:49à la Foire internationale
32:51de Metz.
32:51Une nouveauté
32:52cette année,
32:53la Mirabelle d'or.
32:54Un concours
32:55100% pâtisserie
32:56où 8 candidats
32:57s'affrontent
32:57jusqu'à dimanche
32:58autour d'entremets,
32:59de miniardises
33:00et de madeleines
33:01revisitées.
33:02Mathéo-Philippe
33:03est allé saliver un peu
33:03et était aujourd'hui
33:05à ce concours.
33:054 heures,
33:083 créations.
33:09Entremets fruités,
33:11miniardises chocolatées
33:12et madeleines revisitées.
33:16A la Foire internationale
33:17de Metz,
33:18les jeunes pâtissiers
33:19se mesurent
33:20au premier concours
33:21de la Mirabelle d'or
33:23sous les yeux curieux
33:24du public.
33:25C'est vraiment
33:27artisanal
33:28et c'est vrai,
33:29les mecs,
33:29ils ont un coup de main.
33:30On peut voir
33:31quand même
33:32les techniques
33:32des pâtissiers,
33:35d'autant plus
33:35qu'on peut dire aussi
33:37qu'ils sont un peu
33:37en apprentissage.
33:39Et parmi les observateurs,
33:41il y a la famille
33:42apportant leur soutien.
33:44Ils s'entraînent
33:45tous les jours
33:45et puis moi,
33:45je le bouse.
33:46On est tous derrière lui.
33:48Je le soutiens
33:48mais lui,
33:49il n'a pas la pression.
33:49C'est moi
33:49qui l'ai à sa place.
33:51C'est ça la différence.
33:53Pas de temps
33:54pour le stress,
33:54concentré sur leur création,
33:57ces jeunes candidats
33:58prennent tout de même
33:59du temps
33:59pour échanger
34:00avec le public.
34:01Je passe choquer
34:02à 3 à 50,
34:02à 45.
34:03Je le redescends
34:04à 37
34:05et je le remets
34:05à 32.
34:06C'est vrai que ça change
34:06des concours habituels.
34:07On a du passage,
34:09les gens nous posent
34:10des questions.
34:10Après,
34:11ça reste bonne entente.
34:13C'est vraiment cool
34:14et interagir avec les gens,
34:15montrer ce qu'on fait
34:16dans notre travail,
34:17c'est vraiment enrichissant.
34:18La passion du concours,
34:19j'ai toujours aimé,
34:19je suis très compétiteur.
34:21Le fait que beaucoup
34:22de monde regarde
34:23ce qu'on fait,
34:23etc.,
34:24ça ne me dérange pas
34:24puisque ça,
34:25je ne suis pas vraiment
34:26déconcentré.
34:27Et c'est ce qui est recherché
34:29dans ce concours,
34:30permettre à ces jeunes
34:31fraîchement diplômés
34:32ou quasiment
34:33de se frotter
34:34à ce monde
34:35de la compétition.
34:37En fait,
34:37c'est pour leur donner
34:38le goût du concours.
34:39C'est d'essayer
34:39d'avoir la bonne pression
34:41qui reste,
34:42la mauvaise pression
34:42d'essayer de l'enlever,
34:43c'est-à-dire
34:44tout ce qui va stresser,
34:45etc.
34:45et puis l'organisation
34:47de travail.
34:48C'est surtout très intéressant
34:50de voir la passion
34:52de ces jeunes professionnels,
34:55leur volonté de bien faire,
34:57cette capacité
34:57à pouvoir déjà restituer
35:00un savoir-faire
35:01qui leur a été transmis,
35:03mais aussi de se le réapproprier.
35:06C'est fini,
35:07il est l'heure
35:07de passer à table.
35:09Première étape,
35:10ça va être le visuel
35:11et après,
35:12on va partir
35:12sur la dégustation.
35:14Les chefs réfléchissent,
35:15débattent
35:16et notent
35:17selon plusieurs critères
35:18tournés autour
35:19de la présentation,
35:20de la technique
35:21et de la dégustation.
35:24Il aurait mieux fait
35:24de faire
35:24rien qu'une pastille
35:26comme ça,
35:27en flaque,
35:28le caramel dessus,
35:29ça aurait été plus intéressant.
35:29On va reprendre
35:30le caramel de là,
35:32tout simplement.
35:33Parce que là,
35:33c'est très chocolaté.
35:34Parmi un panel
35:35de sept candidats,
35:37un seul d'entre eux
35:38recevra le trophée
35:39remis par Michel Roth,
35:40ce dimanche 5 octobre.
35:44Moi,
35:44je peux vous assurer
35:45que j'aurais été
35:45moins sévère
35:46dans la notation
35:47ou dans les observations,
35:49j'aurais mangé,
35:49tout simplement.
35:51Allez,
35:51on reste dans le sport,
35:52le sport pour tous même.
35:54À Montoy-la-Montagne,
35:55la FSGT
35:56ouvre la pratique
35:57du judo à tous.
35:59Cette fédération
35:59omnisport,
36:00agréée jeunesse et sport
36:01et éducation populaire,
36:03reste encore méconnue
36:04alors qu'elle défend
36:05un sport accessible
36:06à tous les publics.
36:07Un reportage
36:08de Julie Druot
36:09et Uranie Tozic.
36:10Pas de stars,
36:13pas de strass,
36:14mais des ceintures
36:15bien serrées
36:16et une salle pleine
36:17à craquer.
36:20Pendant trois jours,
36:21plus de 500 judokas
36:22ont foulé les tatamis
36:23dans le cadre
36:24des championnats de France
36:25FSGT,
36:26une fédération
36:27où l'amateurisme
36:28est assumé
36:29et revendiqué.
36:29un rendez-vous préparé
36:32de longue date
36:33avec la volonté
36:34d'ouvrir en grand
36:35les portes du dojo.
36:36En fait,
36:37c'est de rajouter
36:37des combats
36:38à nos jeunes combattants,
36:39les cadets,
36:40les juniors,
36:40pour qu'ils puissent
36:41faire plus de combats.
36:42Puis,
36:43ça reste quand même
36:44un titre
36:45de champion de France.
36:46Ça leur permet
36:47de combattre
36:47à un niveau national
36:49contre des combattants
36:50qu'ils n'ont jamais rencontrés.
36:52Sur place,
36:53les arbitres eux-mêmes
36:54notent une différence
36:55d'état d'esprit.
36:57Tous bénévoles,
36:57ils soulignent
36:58la souplesse des règles
36:59et un judo
37:00qui a conservé
37:01quelques prises d'antan.
37:02Ce que ça demande
37:03de plus,
37:05c'est le jugement.
37:07Nous,
37:08on a une valeur
37:10comme le Yuko
37:11qu'on a gardée
37:14depuis des années
37:14et que la FLJ
37:15a remise cette année.
37:18Ensuite,
37:19sur les valeurs
37:20d'une projection,
37:22on n'a pas forcément
37:23la même appréciation.
37:25Dans les tribunes
37:26comme sur le tatami,
37:27l'ambiance est détendue
37:28mais passionnée.
37:32Plusieurs judocats
37:33rencontrés
37:33expliquent que c'est
37:35grâce à la FSGT
37:36qu'ils ont retrouvé
37:37goût à la compétition.
37:38Un sentiment partagé
37:40par nombre de pratiquants
37:41heureux de pouvoir
37:42vivre leur sport autrement.
37:44La garde,
37:45je n'ai rien pu mettre.
37:47Je n'ai rien pu installer
37:48à la garde.
37:50Il faut savoir
37:50que j'ai 60 ans.
37:53Donc voilà.
37:54C'est un peu dur.
37:54Puis 6e combat.
37:56Donc un peu usé.
37:57Ça change
37:58parce qu'il y a
37:59des nouvelles personnes
37:59qui viennent un peu plus
38:00de partout,
38:02de la Réunion,
38:03de la Corse,
38:04partout en France.
38:05Du coup,
38:05ça fait plaisir.
38:06Alors qu'en championnat de France,
38:07normal,
38:09en première division,
38:11ça, c'est vrai,
38:12il y a d'autres personnes
38:12mais on les voit souvent.
38:14C'est souvent les mêmes têtes.
38:16On les reconnaît.
38:17C'est souvent elles
38:18qui gagnent à chaque fois.
38:19Du coup,
38:20le fait qu'il y a eu
38:22de la diversité,
38:23c'est mieux, je trouve.
38:24C'est une super idée
38:25de faire ça
38:25parce qu'on a l'occasion
38:28de faire un niveau national,
38:30champion de France,
38:31avoir des titres.
38:32Et sans passer
38:33par le circuit de base
38:36qui est assez difficile,
38:37là,
38:37on peut y accéder
38:38plus facilement
38:39et on peut rencontrer
38:40beaucoup de personnes
38:41qui viennent de toute la France
38:42et voilà,
38:44comme les autres ont dit,
38:45ça amène de la diversité,
38:47ça permet de rencontrer
38:48de nouvelles personnes
38:48et c'est super.
38:50Une dynamique
38:51qui dépasse largement
38:53les frontières du dojo.
38:54On a toujours véhiculé
38:56le respect,
38:58le sport dans la commune,
39:00les valeurs forcément
39:01et là,
39:02on a quand même des gens
39:04des quatre coins de France
39:05qui sont nus
39:05et de l'outre-mer.
39:06Alors on a fait exactement
39:08ce qu'on attendait
39:09de belles rencontres
39:10parce qu'au-delà
39:11du défi sportif,
39:13au-delà de la compétition,
39:14c'est aussi effectivement
39:15un moment de rencontre
39:17et de partage.
39:18Et au cœur de cette réussite,
39:20un mot revient sans cesse,
39:22convivialité.
39:23Une valeur que la FSGT
39:24place au centre
39:25de sa philosophie.
39:27Ici,
39:27pas de recherche
39:28de performance à tout prix,
39:30mais une envie commune
39:30de partager un moment
39:31de sport simple,
39:33joyeux
39:33et profondément humain.
39:36Dans un instant,
39:39la météo
39:40et on se retrouve
39:40juste après
39:41pour la suite
39:41de l'actualité.
39:42A tout de suite.
39:42Vous êtes toujours
39:58dans Moselle Info.
39:59Avant de poursuivre,
40:00je vous rappelle
40:01les principaux titres
40:02de l'actualité.
40:03Emmanuel Macron
40:04est à Sarbrück
40:05à l'occasion
40:06du 35e anniversaire
40:07de la réunification allemande.
40:09Le président
40:10de la République française
40:11a été invité à participer
40:12à cette cérémonie officielle.
40:14Une première
40:15depuis 25 ans.
40:16Au Luxembourg,
40:17le grand-duc Henri
40:18a abdiqué ce matin
40:20après un quart de siècle
40:21de règne.
40:22Son fils Guillaume
40:23devient le nouveau grand-duc.
40:25Une cérémonie historique
40:26qui marque un tournant
40:27pour nos voisins
40:28où se rendent chaque semaine
40:29pas moins de 126 000
40:30travailleurs frontaliers.
40:33Nouveau rebondissement
40:34dans l'affaire
40:34du marathon de Metz.
40:36le tribunal administratif
40:37de Strasbourg
40:38a jugé illégal
40:39le contrat
40:40entre RNK
40:41et la métropole.
40:42Une décision
40:43qui prendra effet
40:43le 13 octobre
40:44juste après
40:45l'édition 2025.
40:48Tout de suite,
40:49le zap des territoires
40:50avec au programme
40:52des citrouilles,
40:52des livres anciens,
40:53un nouveau restaurant
40:54et des animaux.
40:55Tout cela préparé
40:56bien évidemment
40:56par Marie Chapaz.
40:57On commence ce zap au parc
41:08de Sainte-Croix
41:08où l'ambiance d'Halloween
41:09arrive à grands pas.
41:10Les maraîchers de Moselle Sud
41:12ont été mis à contribution
41:13pour réaliser
41:14le décor du parc
41:16et pas n'importe quel décor.
41:18Cette année,
41:18les festivités ont été
41:19imaginées en format géant.
41:21Plus de 10 000 citrouilles
41:22seront installées
41:23alors qu'il n'y en avait
41:24que 1 500 l'année dernière.
41:27Et à la fin,
41:27toutes seront mangées.
41:28Des milliers de légumes
41:29ont déjà été ramassés
41:30chez un agriculteur.
41:32Alors, hâte de voir ça !
41:34Un nouveau salon à Metz,
41:41celui du Livre Ancien.
41:43L'association Livre et Collection
41:44en 15 organise
41:45cet événement Ex Libris
41:47pour la première fois.
41:49Une trentaine de libraires
41:50de toute la région
41:51seront présents
41:51au cloître des récollets
41:53dès aujourd'hui
41:54et jusqu'à dimanche.
41:55Livres anciens
41:56de collections,
41:57manuscrits
41:57ou encore journaux.
41:59Les ouvrages seront tous
42:00rassemblés
42:01dans un même endroit.
42:08Lui est tout neuf.
42:10Le restaurant du traiteur
42:11Pierre Cordier
42:11est désormais ouvert
42:12à six chazelles
42:13après quatre ans
42:14de gros travaux.
42:15situé dans cet ancien monastère
42:17complètement rénové.
42:18Le restaurant possède
42:19un jardin de 70 arts
42:21et une terrasse
42:22de 80 couverts.
42:24A l'intérieur,
42:24plusieurs salles de cocktails,
42:25de déjeuner
42:26et même de réunion.
42:28A terme,
42:28Pierre Cordier
42:29veut aussi rénover
42:30la chapelle désacralisée
42:31et en faire une cave à vin,
42:33un lieu paradisiaque
42:34pour les clients.
42:35Ça a été très très long
42:37et au bout de quatre ans,
42:38on a enfin réussi à ouvrir.
42:39Donc on a ouvert en juin
42:402025
42:42et ça fait donc quatre mois
42:43maintenant que le restaurant
42:44est en activité.
42:45On fait de la cuisine française,
42:47je dirais de qualité,
42:48avec des produits frais.
42:49Voilà,
42:50on n'est pas à la recherche
42:50des toiles,
42:51on recherche juste
42:52à avoir des clients
42:53qui reviennent
42:53et qui soient contents
42:55de venir.
42:55Elle aussi est prête
43:03à vous accueillir.
43:04La SPA ouvre ses portes
43:05partout en France
43:06ce week-end
43:07et celle de Thionville aussi.
43:09Ses portes ouvertes
43:10marquent le début
43:11des célébrations
43:12des 180 ans
43:13de l'association
43:14et pourquoi pas
43:15le début d'une belle histoire.
43:17Sur place des animaux
43:18vous attendent.
43:19L'association espère
43:20que ce rendez-vous
43:20permettra à de nombreux
43:22chiens et chats
43:22de trouver un foyer
43:24responsable
43:25et aimant.
43:26Pour rappel,
43:26la SPA accueillit
43:28plus de 7000 animaux
43:29cet été,
43:30tous abandonnés
43:31par leur famille.
43:36Et je vous rappelle
43:37que toute l'information
43:38Mosellane est à retrouver
43:40sur Moselle.tv
43:41et sur notre application.
43:43Restez sur Moselle.tv
43:44L'info continue
43:45dans un instant
43:45l'instant d'écho.
43:47Jérôme Bergerot
43:47reçoit l'ORENCA
43:48si vous aimez
43:50les meubles en bois
43:50ça vous plaira.
43:55Sous-titrage
44:00Sous-titrage
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