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Dans l'Heure des Pros week-end, sur CNEWS, le politologue Jean-Christophe Gallien revient sur le meurtre d'une octogénaire par un Afghan. «On a une surpression des hommes venus d'Afghanistan», a-t-il assuré.

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Transcription
00:00Il y a deux éléments qui sont plutôt d'ordre statistique et généraux et qui ne sont pas liés à cette affaire seulement, mais qui environnent cette affaire.
00:08Sur les récentes tendances de flux migratoires, les hommes, parce que 80% des personnes qui viennent d'Afghanistan sont des hommes, ce qui me sidère déjà.
00:16Parce que quand on est en Afghanistan, je n'ai pas l'impression d'être un homme que c'est le plus difficile.
00:20C'est plutôt d'être une femme que c'est plus difficile.
00:21Et donc, dans l'asile, et c'est souvent dans l'espace de l'asile et pas d'une migration différente, on a une surpression des hommes venus d'Afghanistan.
00:30Et lorsqu'on élargit le scope, et c'est valable en France, mais en Allemagne et ailleurs, en Allemagne il y a des statistiques très fortes,
00:37la proportion à l'intérieur de cette population venue d'hommes venus d'Afghanistan, commettant des crimes ou des délits liés à des violences sur femmes notamment,
00:46est beaucoup plus importante que pour d'autres, Pakistan, Syrie, et ainsi de suite.
00:51Là où il y a des endroits où on fait un travail par rapport aux nationalités.
00:54Et donc ça aussi, ça me sidère parce qu'on le sait, il y a deux.
00:56Un, oui, pourquoi on ne s'interroge jamais sur le fait qu'il n'y a que 20% de nanas qui viennent ?
01:00Excusez-moi de le dire comme ça, alors que c'est là-bas une oppression terrible, monstrueuse.
01:04Donc on a des garçons qui viennent.
01:05Deux, quand ces garçons sont là, et bien oui, ils sont en proportion beaucoup plus actifs, disons-le comme ça,
01:10dans la criminalité, non pas de rapines, de vols, d'activités qui peuvent aller nourrir les tribunaux sur d'autres formes,
01:17mais sur la violence faite aux femmes en particulier.
01:19Donc ça aussi, ça me dit, on le sait.
01:21Ce qui veut dire que votre affaire, qui n'est que présumée pour l'instant,
01:24c'est-à-dire qu'on est dans un contexte où l'enquête ne fait pas que commencer,
01:26puisqu'elle a commencé depuis un moment, puisque c'est depuis trois mois aujourd'hui.
01:28Voilà, exactement.
01:29On a quand même une traduction concrète d'un phénomène qui, lui, est une tendance lourde.
01:35Et là aussi, vous pouvez vous interroger pourquoi ça, ça n'est pas à faire.
01:38C'est le tabou dans le tabou.
01:39Oui, c'est le tabou dans le tabou.
01:40C'est le tabou.
01:41C'est le tabou.
01:42C'est le tabou dans le tabou.
01:43C'est le tabou.
01:44C'est le tabou.
01:45C'est le tabou.
01:45On a quand même partie.
01:46C'est le tabou.
01:46Si c'est aussi.
01:47Et là, on a enfin ça.
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