- il y a 6 jours
Avec Julien Odoul, député de l'Yonne et porte-parole du RN
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NewsTranscription
00:00Sud Radio, l'invité politique, Jean-François Aquili.
00:06Et Jean-François Aquili, votre invité ce matin est l'un des porte-paroles du Rassemblement National, député de Lyon, Julien Audoul.
00:13Bonjour Julien Audoul.
00:15Bonjour Jean-François Aquili.
00:16Vous avez entendu Donald Trump à l'ONU, reconnaître un État palestinien, ce serait récompenser les terroristes du Hamas.
00:25Le RN est-il d'accord avec Trump ?
00:28Oui, c'est ce que disent Marine Le Pen et Jordan Bardella.
00:31Après les atrocités, les pogroms du 7 octobre 2023, après l'assassinat de 1200 civils visés parce qu'ils étaient juifs,
00:40effectivement, le calendrier est totalement mortifère.
00:45Donner un État à la Palestine, donner un État surtout au Hamas, c'est effectivement récompenser les viols,
00:53récompenser les atrocités, les massacres qui ont été commis le 7 octobre 2023.
00:57Et c'est intolérable.
00:59C'est fou, paradoxe de l'histoire politique de ce pays, de voir le Rassemblement National, vous-même,
01:05désormais, qui se pose en protecteur des Juifs de France.
01:10Oubliez les frasques de Jean-Marie Le Pen, vous avez une sorte d'ennemi commun désormais.
01:14Ça fait très longtemps que le Rassemblement National est un bouclier pour les Juifs de France.
01:22Rappelez-vous, en 2010, Marine Le Pen a été la première responsable politique française à dire qu'en France,
01:27il y avait des quartiers où il ne faisait pas bon être femme, être juif ou même être blanc.
01:31C'était en 2010.
01:34Et effectivement, la suite a montré que nous étions les seuls à dénoncer, à combattre, bien sûr,
01:40les seuls à combattre l'ennemi mortel des Français et particulièrement de nos compatriotes de confession juive.
01:46C'est l'islamisme.
01:47Et personne dans la classe politique a fait le constat et a le courage de mener de front cette bataille essentielle, vitale même.
01:54Il y a eu cette affirmation d'Emmanuel Macron, Julien Audoul, à la tribune de l'ONU la veille.
02:00Le Hamas, a dit le Président, a été vaincu sur le plan militaire.
02:04Il doit désormais l'être sur le plan politique.
02:08Vaincu le Hamas, à vos yeux ?
02:09Non, il n'est pas vaincu. Il tient toujours la bande de Gaza.
02:12Il a de nombreux soutiens.
02:14Il maintient d'ailleurs le peuple palestinien sous son totalitarisme, il faut bien le dire.
02:21Le Hamas n'est pas un groupe politique, ce n'est pas un mouvement de résistance,
02:25comme le disent les Insoumis, les amis de Jean-Luc Mélenchon.
02:29C'est un groupe terroriste qui n'a qu'un seul objectif.
02:31Et d'ailleurs, c'est dans ses statuts de 1988, c'est l'éradication du peuple juif
02:35et la disparition de l'État d'Israël.
02:37C'est le seul objectif du Hamas.
02:39C'est ni un État palestinien, ni la croissance.
02:42Vous dites qu'il faut que Netanyahou poursuive l'offensive à Gaza ?
02:47Mais nous disons, et nous le disons depuis 7 octobre et bien avant,
02:50que la garantie première, c'est la sécurité.
02:54Sécurité pour l'État d'Israël, pour le peuple israélien
02:56qui vit sous la menace constante d'attentats, de tirs de roquettes, etc.
03:00Et sécurité pour les Palestiniens.
03:02Parce que la principale menace aujourd'hui pour les Palestiniens,
03:05c'est de vivre en République islamique avec le Hamas à sa tête.
03:09L'offensive suite ou pas ?
03:10Il faut qu'il se retire de Gaza à Netanyahou ?
03:14Il faut qu'il poursuive l'offensive.
03:15Pour bien comprendre votre position.
03:17Encore une fois, je ne suis pas dans l'État-major israélien.
03:21Moi, je regarde cette situation comme un parlementaire français.
03:23Parce que ça divise beaucoup la population française, l'opinion.
03:25Bien sûr, mais ce que je dis aujourd'hui,
03:28c'est qu'il faut qu'il y ait un processus,
03:30que ce processus doit se faire par étapes.
03:32C'est ce que nous souhaitons d'ailleurs avec Marine Le Pen,
03:34Jordan Bardella et le Rassemblement National.
03:35Nous sommes évidemment pour la solution à deux États,
03:38mais dans un calendrier.
03:40C'est ce que dit Emmanuel Macron quand il dit reconnaissance de l'État palestinien,
03:44mais processus progressif de paix, etc.
03:48Il ne peut pas y avoir de processus,
03:51tant que les otages sont toujours dans les tunnels de la mort.
03:54Il y a 48 otages israéliens qui sont toujours détenus par le Hamas.
03:57Tant qu'il n'y a pas d'autorité politique palestinienne
03:59qui soit en mesure de garantir l'existence de l'État d'Israël,
04:03ça n'existe pas aujourd'hui.
04:05Et tant qu'il n'y a pas, encore une fois,
04:08l'assurance que l'État palestinien est véritablement un État.
04:11Donc vous dites quoi alors pour la position d'Emmanuel Macron ?
04:14Qu'est-ce que c'est ? C'est une faute à vos yeux ou il va trop vite ?
04:18Qu'est-ce que vous dites ce matin ?
04:18Monsieur Macron se paye de mots.
04:20Monsieur Macron jette des illusions à des fins électoralistes, on le sait,
04:26veut flatter un électorat qui est le même,
04:28qu'il a voulu séduire par son refus de participer
04:31à la grande marche contre l'antisémitisme.
04:33Il faut s'en rappeler.
04:35Mais c'est un électorat communautaire,
04:37c'est un électorat qui est aujourd'hui capté par la France insoumise,
04:41c'est un électorat qu'il croit satisfaire en agitant la bannière palestinienne.
04:47En vérité, il n'apportera que des désillusions
04:49et une surenchère permanente.
04:51Il ne va pas arrêter les manifestations antisémites,
04:54il ne va pas arrêter les pogroms,
04:55il ne va pas arrêter la haine antisémite qui se déverse dans notre pays.
04:58Pour bien comprendre, vous ne définissez pas l'électorat qu'il fait ?
05:03Ah si, je le définis très bien.
05:05C'est un électorat qui est aujourd'hui islamo-gauchiste,
05:08qui a fait de la cause palestinienne,
05:11qui a été dévoyée son objectif premier,
05:14avec une haine contre nos compatriotes de confession juive,
05:17il faut bien le dire,
05:18c'est l'électorat qui est aujourd'hui capté,
05:20instrumentalisé par Jean-Luc Mélenchon.
05:22C'est dit, parlons de ce qui se passe dans ce pays désormais,
05:26Julien Oudoul,
05:26est-ce que vous allez,
05:27je reprends la formule d'Éric Revelle sur Sud Radio,
05:30est-ce que vous allez danser, vous aussi,
05:32la Zucmania ?
05:34C'est-à-dire, au fond,
05:36signer pour la taxe Zucman ?
05:38Non, certainement pas.
05:40On en a assez des taxes dans notre pays.
05:42Il faut un moratoire fiscal.
05:44On est le pays le plus taxé au monde,
05:46les Français sont les contribuables les plus matraqués au monde.
05:50On voit qu'on a un taux de prélèvement obligatoire qui est indécent
05:53et qu'en contrepartie,
05:55on a des services publics qui s'effondrent,
05:59que ce soit sur l'hôpital, l'éducation, la justice, la police.
06:03Donc stoppe les taxes.
06:03Les taxes, il faut arrêter.
06:05Marine Le Pen, elle parle de rédablir l'ISF.
06:07Non, mais c'est pas, encore une fois,
06:09il faut arrêter cette surenchère
06:11et surtout arrêter de stigmatiser l'échelle d'entreprise,
06:14ceux qui produisent de la richesse,
06:16les petits patrons qui tiennent l'économie française.
06:20Arrêtons cette chasse aux riches, entre guillemets,
06:22parce qu'on ne sait pas vraiment à quel niveau on est riche dans notre pays.
06:25Mais très clairement, tout ça est contre-productif,
06:28à la fois socialement et économiquement.
06:30Et Marine Le Pen veut rétablir l'ISF ?
06:32Non, elle ne veut pas rétablir l'ISF.
06:34Elle veut transformer l'ancienne ISF
06:37en impôts sur la fortune financière
06:41et transformer l'impôt sur la fortune immobilière
06:45en impôt sur la fortune financière,
06:48justement pour...
06:50Ce n'est pas très clair.
06:51C'est très clair, c'est très clair.
06:52En fait, nous, ce que nous souhaitons,
06:53ce n'est pas taxer le patrimoine enraciné,
06:55c'est-à-dire ne pas s'en prendre
06:57au contribuable qui a, pendant des années,
07:02participé à l'économie de notre pays
07:05et qui a acheté sa maison,
07:06et qui va être taxé parce qu'il a acheté sa maison,
07:09nous, ce que nous souhaitons,
07:10c'est taxer tout ce qui est plus-value.
07:13Alors, le patron, Patrick Martin,
07:16le patron du Medef,
07:17veut faire un grand meeting.
07:18La raison ? Oui ? Non ?
07:19Contre les taxes ?
07:20Les patrons qui mobilisent,
07:22c'est assez inédit quand même.
07:23Alors, ce n'est pas vraiment inédit.
07:25Il y a eu plusieurs mouvements de petits patrons.
07:26Mais là, c'est particulier.
07:27Ça intervient à un moment particulier.
07:28Mais c'est vrai qu'il y a un ras-le-bol.
07:30Vous soutenez ?
07:30Non, mais moi, je soutiens le ras-le-bol.
07:33Je comprends, effectivement, le ras-le-bol
07:34de chefs d'entreprise
07:36qui en ont marre d'être les vaches à lait,
07:39qui en ont marre de payer, payer, payer,
07:41alors que l'État ne fait pas les efforts,
07:43alors qu'il ne fait pas les économies.
07:44On ne fait pas les économies
07:45sur le train de vie de l'État,
07:47sur la communication,
07:48sur les agences et comités déodules.
07:50Vous dites oui au meeting des patrons.
07:51C'est une bonne idée.
07:52Encore une fois,
07:52ils se manifestent comme ils l'entendent.
07:54Moi, j'observe que
07:55quand on demande des efforts toujours au même,
07:58effectivement, il y a un problème.
07:59Et l'État, par la politique qu'il mène,
08:02par son refus de lutter contre les gaspillages,
08:04par son refus de lutter contre
08:05l'immigration de guichet social
08:06qui nous coûte un pognon de dingue,
08:08devrait déjà faire des économies
08:10dans ces domaines-là.
08:11Sébastien Lecornu consulte encore et toujours.
08:13Ça fait 15 jours qu'il est en poste.
08:15Là, ce sont les syndicats
08:16qui viennent chez lui à Matignon aujourd'hui.
08:19Julien Oudoul, c'est la bonne méthode
08:22parce qu'il ne se passe rien
08:23et on a trois semaines de silence.
08:25C'est le monde du silence pendant trois semaines.
08:27C'est bien ou ce n'est pas bien ?
08:28Oui, alors je ne sais pas
08:28si ce sera 20 milieux sous les mers
08:30ou le Titanic peut-être.
08:32Mais effectivement,
08:34M. Lecornu voit que ses marges de manœuvre
08:37sont extrêmement réduites
08:38parce que la donne est la même.
08:40Il n'y a pas de majorité
08:40et surtout, il y a un besoin de rupture.
08:43Nous nous le disons au Premier ministre,
08:44Marine Le Pen, Jordan Bardella l'ont redit
08:46lors de leur entretien à Matignon,
08:48il faut la rupture avec le macronisme.
08:50C'est simple, c'est clair, c'est net.
08:52Si M. Lecornu veut continuer
08:54dans la politique qui est menée depuis huit ans,
08:56il sera censuré.
08:57S'il a le courage et l'audace de rompre,
09:00c'est-à-dire d'appliquer une autre politique
09:02qui est souhaitée et portée
09:03par 11 millions de nos électeurs,
09:05il aura peut-être une chance de s'en sortir.
09:07Alors, il y a un point précis.
09:09La gauche réclame la suspension,
09:10le Parti Socialiste,
09:11la suspension de la réforme des retraites.
09:13C'est oui ou c'est non pour vous ?
09:15Mais nous, comme vous le savez,
09:16nous étions opposés à la réforme des retraites.
09:19Nous avons un autre projet
09:21qui est porté par Marine Le Pen
09:23avec un système progressif.
09:26Oui, vous êtes passé de 60 à 60 ans,
09:28puis de 62 ans.
09:29Ce n'est pas un âge de départ,
09:31c'est des annuités, c'est 42 annuités.
09:32Il faut suspendre ou pas ?
09:34Encore une fois,
09:35cette réforme est injuste socialement
09:37et elle est inefficace économiquement.
09:39Tout le monde le sait,
09:40mais il y a d'autres,
09:41il y a évidemment d'autres mesures
09:42à appliquer dès maintenant
09:44pour rendre de l'argent aux Français
09:45et des marges de manœuvre à notre pays.
09:47Je le dis,
09:47il y a 60 milliards à récupérer
09:49sur le train de vie de l'État,
09:51les comités théodules,
09:52les agences inutiles.
09:54Sur le service public de l'audiovisuel,
09:55par exemple,
09:55c'est 4 milliards, au hasard.
09:57Et puis,
09:58vous avez l'immigration de guichet social
10:00qui est l'éléphant au milieu du couloir
10:01que personne ne veut toucher,
10:03qui nous coûte un pognon d'eux.
10:04Vous ne répondez pas sur la suspension, en fait.
10:07Julien Audoul,
10:08vous évoquez France Télévisions
10:09qui est dans le rouge.
10:10Il y a le rapport de la course des comptes
10:12qui a un déficit de 40 millions d'euros.
10:14Que dites-vous ce matin ?
10:16Je dis que c'est malheureux
10:17que ce soit le contribuable qui paye.
10:18Ce sont les Français qui payent
10:20pour ce service public
10:21qui n'est plus public,
10:22il faut bien le dire.
10:23C'est un service de gauche
10:24avec une idéologie de gauche
10:26qui vise à rééduquer les Français,
10:29quelquefois à les insulter,
10:30à les infantiliser.
10:31Tout ça est intolérable.
10:33Et c'est vrai que quand on a entendu
10:34les leçons,
10:35les dictates de Mme Ernot,
10:38tout ça montre bien
10:39qu'il y a une déconnexion totale
10:41de ce service public
10:42qui est à des années de lumière
10:44de ce que veulent les Français.
10:45Marine Le Pen,
10:46elle dit privatisation.
10:47C'est toujours d'actualité
10:48au Rassemblement National ?
10:49Donc si vous êtes demain au pouvoir,
10:51vous privatisez le service public ?
10:53Évidemment,
10:54c'est 4 milliards d'euros
10:55que nous pourrions récupérer.
10:57Aujourd'hui,
10:58les Français ne comprennent pas
10:59pourquoi ils paient
11:00pour des programmes,
11:01des chaînes,
11:02où, encore une fois,
11:04il n'y a pas de pluralisme politique,
11:06bien souvent,
11:06et où il y a une hostilité croissante
11:08que ce soit notre culture,
11:09à notre histoire.
11:10Il y a un projet de réduction
11:11de la voilure
11:11et d'une BBC à la française.
11:13Pourquoi pas aller vers ce projet ?
11:15Aujourd'hui,
11:16je pense qu'il n'est plus viable
11:19et il n'est plus souhaitable
11:20que les Français paient
11:21pour un service public,
11:23de l'audiovisuel,
11:24qui a montré depuis des années
11:26son orientation
11:28et son hostilité
11:30vis-à-vis du pluralisme.
11:31Non, vous dites dissolution
11:32de façon ferme.
11:34Privatisation.
11:35Privatisation.
11:35Et dissolution aussi.
11:37En quelque sorte,
11:38j'entends dissolution
11:39dans tout ce que vous dites
11:40depuis quelques minutes.
11:42Vous allez vers la dissolution,
11:43en réalité.
11:44Ce n'est pas nous qui décidons,
11:45on sera le président de la République.
11:47Nous, nous souhaitons
11:47effectivement un retour aux urnes
11:48pour que les Français
11:49puissent trancher
11:52cette crise politique
11:52et institutionnelle.
11:54Aujourd'hui,
11:54on voit bien
11:54que les bidouilles,
11:56les magouilles,
11:57les communications
11:58ne mènent à rien.
12:00Il y a besoin
12:00d'un changement de cap
12:01et d'un changement de politique
12:02qui ne pourra être effectif
12:04qu'avec une dissolution
12:05d'une nouvelle majorité.
12:06Avec l'ultime question,
12:07Julien Audoul,
12:07avec un Jordan Bardella
12:09qui serait Premier ministre,
12:10là, quasiment à l'automne,
12:11c'est le projet
12:12du Rassemblement National,
12:14cette rentrée.
12:14C'est souhaitable pour les Français.
12:15Plus tôt,
12:16nous arriverons au pouvoir,
12:18mieux ce sera pour que...
12:19Dès l'automne.
12:19Mais dès l'automne,
12:20encore une fois,
12:20c'est le président de la République
12:21qui a les clés de la dissolution.
12:23Nous, nous souhaitons
12:23que ces élections
12:24arrivent le plus tôt possible
12:26parce que la situation
12:27économique, sociale,
12:29sécuritaire, migratoire
12:30de notre pays
12:30est tellement grave
12:32que nos idées
12:33doivent arriver au pouvoir
12:34avec Jordan Bardella
12:35à Matignon.
12:36Merci à vous,
12:36Julien Audoul.
12:37Merci beaucoup.
12:38Merci, Jean-François Aquilier,
12:40Julien Audoul.
12:41Maintenant,
12:41la parole est à vous.
12:420826 300 300.
12:44Vous avez entendu
12:45ce qui a été dit à l'instant.
12:48Alors, la Zoukmania
12:49inventée par,
12:51évidemment,
12:51Éric Crevel.
12:53Est-ce que vous prenez
12:55la défense des patrons
12:56attaqués par certains ?
12:57Thomas Piketty
12:58et Zuckman,
12:59notamment ou pas ?
13:00Ils envisagent
13:00de faire un grand meeting.
13:02Qu'en pensez-vous ?
13:02Est-ce que c'est
13:03une bonne idée ou pas ?
13:04Il y a une forme de chasse
13:06qui est lancée
13:07aux riches aujourd'hui.
13:09On l'a dit
13:09dans l'interview
13:10à l'instant.
13:11Jean-François Aquilier
13:11reviendra aussi d'ailleurs
13:12tout à l'heure
13:13à 9h30
13:16et vous aussi,
13:17bien sûr,
13:17à l'instant.
13:18Et puis,
13:18on va revenir aussi
13:19sur Trump
13:19qui est allé
13:20à la sulfateuse
13:21hier dans son discours
13:22en fait à l'ONU
13:23autour de l'immigration
13:24et beaucoup d'autres sujets
13:26et même aussi
13:27sur la guerre d'Ukraine.
13:28Il a eu un discours
13:29assez étonnant.
13:30On va essayer
13:30de tout décrypter
13:31dans un instant
13:32avec vous aussi
13:33au 0826 300 300
13:35sur Sud Radio.
Recommandations
21:50
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À suivre
20:45
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