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  • il y a 7 semaines
Sa participation aux "Traîtres" sur M6, son grand regret avec Thierry Ardisson, sa réputation d'ingérable à la télé ou encore son fou rire avec Nicolas Sarkozy, Christine Bravo refait sa télé avec Eric Dussart et Jade ce samedi 20 septembre 2025 ! 

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Transcription
00:00Vous refusez de faire des plateaux télé en tant qu'invité s'il n'y a pas un petit billet ou un gros billet ?
00:03Oui, parce que je n'ai rien à vendre.
00:05Je n'ai pas un film à promouvoir, je n'ai pas une pièce à promouvoir.
00:09Je reçois 10 propositions par semaine, je vous promets.
00:13Et alors, en gros, je serai dans toutes les émissions de télé, mais de toutes les chaînes, gratos.
00:19En fait, ma vie maintenant, ça serait être à la télé gratos.
00:22Bénévolement.
00:23Mais ça ne va pas la tête.
00:25Et non seulement je n'y vais pas sans un billet, mais c'est un gros billet.
00:28Sans indiscrétion, ça coûte combien d'avoir Christine Bravo sur son plateau ?
00:31Si je reviens de Corse, ce n'est pas moi qui fais, mais je ne vais pas y aller.
00:38Maintenant, 3000 balles, j'ai le billet d'avion, j'ai des animaux à faire garder en Corse.
00:45Et puis c'est quoi ? C'est des heures de tournage aussi ?
00:46Mais enfin, j'arrive, le maquillage, la coiffure, les journalistes après qui m'appellent en disant,
00:54comme vous, les parasites.
00:56Ah bah merci ! On la reçoit gentiment, on se fait traiter de parasites.
00:59Ça, c'est parce qu'on ne l'a pas payé, Jade.
01:01Je vous l'avais dit de la payer !
01:03Alors, vous voyez...
01:04Mais c'est le même prix pour tout le monde ou vous échelonnez ?
01:06C'est prime time, access prime time ?
01:07Écoutez, franchement, c'est le même prix pour tout le monde.
01:11Parce que...
01:13Sauf si c'est une émission caritative.
01:18Et que je suis à Paris.
01:21Ah oui, ça je le fais.
01:22Mais vous, vous gagnez de l'argent quand vous faites une émission.
01:25Enfin, je parle à la télévision, normalement.
01:28Les producteurs en gagnent, la chaîne en gagne.
01:31Et moi, je vais aller engager mon image.
01:34Gratos !
01:35Et Christine Bravo, ce n'est pas des blagues à deux balles.
01:36C'est des blagues à trois mille.
01:37Vous aviez dit, il y a quelques années, chez Thierry Ardisson,
01:42que vous n'aviez qu'une retraite de mille euros.
01:44C'était une vanne, je suppose ?
01:45Non, non, ce n'était pas du tout une vanne.
01:47Oui, j'avais dit...
01:48Parce que, à l'époque, je n'étais pas à la retraite.
01:51On avait calculé, mais j'étais loin de la retraite.
01:54Là, je vais vous dire combien j'ai.
01:56J'ai trois mille euros de retraite.
01:57Et je me dis, mais comment c'est possible avec tout ce que...
01:59Alors, c'est beaucoup plus que pas mal de Français.
02:04J'en suis consciente.
02:05Mais, par rapport à ce que j'ai cotisé,
02:07il y a des années où j'ai versé, moi,
02:10150 000 francs d'impôts.
02:14Des candidats vraiment à cran.
02:15Ça tient aussi à l'enfermement dans ce château.
02:17C'est l'enfermement qui pousse les gens à bout aussi.
02:20Alors oui, je pense qu'il y a la fatigue, l'enfermement.
02:22En fait, il y a tout pour une secte.
02:25C'est-à-dire, c'est totalement sectaire.
02:28C'est-à-dire, vous êtes isolé, vous êtes fatigué,
02:32et vous avez des mantras.
02:34Et donc, les gens deviennent fous.
02:35Et d'ailleurs, il y a une psychologue
02:38qui fait des huit dans le cours du château,
02:41et vous avez la queue.
02:43Il y a des gens qui étaient vraiment affectés,
02:46qui n'étaient plus dans le cadre du jeu.
02:48Et d'ailleurs, même pour la prod, c'est un problème,
02:51parce que vous avez des gens qui pètent des câbles.
02:53Et qui dévisent complètement, quoi.
02:55Ah ben oui, mais à ce moment-là, vous avez Mathieu, le producteur,
02:59qui est joignable à n'importe quelle heure de la nuit,
03:03pour intervenir s'il y en a un qui flippe.
03:05Non mais c'est bien fou.
03:06Ils sont très conscients de ça.
03:09Si la production vous rappelait pour une nouvelle saison du jeu...
03:11Jamais.
03:11C'est-à-dire si vous avez aimé ?
03:14Ah ben, non mais...
03:16Mais je ne veux plus jamais de ma vie être enfermée.
03:19Je ne veux plus jamais bouffer dans ma chambre.
03:23Et ne pas avoir le droit de sortir la tête dans le couloir,
03:26au cas où je tombe sur un traître.
03:28Qu'est-ce que vous croyez ?
03:29Comme les traîtres,
03:31ils faisaient le conseil des traîtres la nuit.
03:33Alors, moi, je faisais semblant de dormir à minuit.
03:38Et puis je guettais dans le couloir.
03:39Qu'est-ce qui rentre ?
03:41Eh ben, c'est la saleté de la prod.
03:43Vous savez ce qu'ils ont fait ?
03:45Ils faisaient couler la douche à une heure du matin,
03:47à côté de ma chambre.
03:49Et moi, je me dis, putain, le traître, il est là,
03:51il s'est douché à une heure.
03:52Donc je disais toujours, il s'est douché à une heure.
03:54C'est comme ça que j'ai viré un loyal.
03:56Ils ont tout fait pour vous induire en erreur.
03:57Ils ont tout fait !
03:58Donc pas de retour dans les traîtres,
04:00même s'ils ont une très belle proposition financière.
04:02Non, non, jamais.
04:03Une proposition financière, c'est-à-dire ?
04:06Ah, voilà, on peut commencer à discuter.
04:09Non, mais si les gars, là, ils quadruplent le cachet que j'ai eu,
04:12qui était déjà conséquent,
04:13je vais me poser des questions.
04:15Vous voyez, c'est pas foutu.
04:16Vous pouvez essayer.
04:17Non, non, en vérité, trop fatigant pour moi, à mon âge.
04:21Mais en même temps, les jeunes étaient fatigués aussi.
04:23Non, mais par vous, surtout, à mon avis, au-delà de l'intrigueur.
04:2620 ans de brouille avec Thierry Ardisson
04:28avant de vous retrouver il y a quelques années.
04:29Vous dites que lorsque vous le recroisez,
04:31vous découvrez presque un autre homme,
04:33apaisé, libéré de ses démons ?
04:35Déjà, la première fois que je le croise,
04:38il recule un peu.
04:39C'était dans un couloir de télé ou de radio, je ne sais plus.
04:42Et moi, je le vois,
04:44je sens son odeur,
04:46habillé rouge,
04:47qui me ramène.
04:50Mais 30 ans en arrière,
04:51quand on allait dans des Bodega avec Corti,
04:53il était un homme de pub,
04:55et moi, j'étais une journée sur presse écrite.
04:57ni l'un ni l'autre n'étions connus,
05:00et on ne voulait pas le devenir spécialement.
05:03Et là, j'ai fondu, j'ai fondu.
05:06Thierry Ardisson, vous avez dit qu'il était malade ?
05:08Non, mais je le savais.
05:10Lui, il était très discret.
05:12Mais d'abord, je le savais,
05:13parce que j'ai des amis qui sont restés très proches de lui jusqu'à la fin.
05:18Et j'ai été très, très triste
05:21quand j'ai appris que c'était ces derniers jours,
05:23puisqu'il était malade depuis tellement longtemps.
05:26Et il ne mourait pas.
05:28Il était immortel.
05:29Et là, alors là, j'ai pris un coup de poignard,
05:32et j'ai eu un regret,
05:33parce que quand j'ai tourné l'Aventure Robinson avec ALP,
05:38il m'avait envoyé un message
05:39quand j'étais dans l'île avec Amir.
05:42Et ce message, je l'ai, là.
05:44Et où il dit, je t'aime.
05:48Et moi, j'ai tourné cette émission il y a cinq ans,
05:51et jamais j'ai pris mon téléphone
05:53pour lui dire, au fait, Thierry, j'ai apprécié...
05:56Et pourquoi vous n'avez jamais répondu à ce message ?
05:57Parce que j'ai pensé que j'avais le temps,
05:59et puis je n'ai pas vu les cinq ans passer.
06:01Et quand j'ai appris qu'il était en train de mourir,
06:04j'ai appris ça à peu près dix jours avant sa mort,
06:06et que ça allait très mal,
06:08j'étais en panique.
06:09J'ai dit, je vais lui parler, je vais lui parler, je vais lui parler.
06:11Et je croyais encore que j'aurais le temps.
06:14Et le samedi, j'envoie un mot à Audrey,
06:16après, avec un long message pour Thierry,
06:18en lui demandant qu'elle lui passe,
06:20et après j'apprends par mon ami Philippe Tuillier,
06:24que déjà le samedi, il était dans le potage.
06:27Ah mais ça, mais j'ai tellement de colère envers moi-même,
06:32et j'ai même envie de dire aux gens qui nous écoutent,
06:35n'attendez pas, si vous sentez un truc à la con comme ça,
06:38et même si vous ne le sentez pas,
06:40dites à l'autre que vous l'aimez,
06:41et ça se trouve, il se lève le matin,
06:43il se fait renverser par un train.
06:44Non mais, vous voyez ce que je veux dire.
06:45Votre franc-parler vous a très vite valu dans le métier
06:48la réputation d'être ingérable, Christine Bravo.
06:50Est-ce que c'est quelque chose que vous assumez ou pas ?
06:52Ah non, mais ingérable pour qui ?
06:54Parce que jamais...
06:55C'est ce qu'on entend souvent, Christine Bravo,
06:57elle est ingérable.
06:57On entend, alors je voudrais bien savoir qui c'est on,
07:00parce que je pense que vous pouvez parler à tous les producteurs
07:03avec qui j'ai travaillé, sur tous les morts d'ailleurs.
07:07On aura de la peine à leur demander.
07:08Et ils m'ont vraiment tous bien aimé.
07:11Alors ça vient d'où cette réputation de Christine Bravo,
07:13grande gueule, ingérable, avoir des problèmes ?
07:15Ah bah grande gueule, c'est vrai.
07:16Ce que vous avez entendu tient beaucoup de la misogynie.
07:19J'ai fait de la télévision dans un monde de mecs.
07:22J'étais la seule avec une émission d'Access,
07:25grand public, seule à la présentation.
07:28J'ai jamais été une potiche à côté d'un mec.
07:31Et là, une bonne femme à qui on ne peut pas reprocher
07:34d'avoir couché pour réussir.
07:36Parce que moi, je n'ai pas couché pour réussir,
07:38j'ai réussi pour coucher.
07:40Rien à voir.
07:41Dont on ne pouvait pas dire qu'elle est un culte.
07:43C'est une potiche.
07:45Puisque tout le monde savait que j'avais fait des études universitaires
07:47et que j'avais été journaliste de presse écrite.
07:49Alors qu'est-ce qui restait ?
07:50L'alcoolisme.
07:53Et l'ingérabilité.
07:56Et ben voilà, j'ai pris les deux.
07:58Quand ça vous revient aux oreilles, qu'on dit ça de vous ?
08:00Je m'en fiche complètement.
08:01A l'époque, j'étais fragilisée.
08:05Et encore, il n'y avait pas les réseaux sociaux, dis donc.
08:07Mais quand voici faisait, à l'époque,
08:10Christine Bravo, la chute,
08:12avec une image prise dans la rue
08:15où j'avais un sac de poireaux.
08:17Ouh, des trucs épouvantables.
08:19Genre Jean-Luc Delarue,
08:20qui m'appellent en direct d'Europe 1 à la maternité.
08:26Je viens d'accoucher d'une petite fille.
08:28Il y en a en 1992.
08:29On est en plein froufrou.
08:30Et la question de la rue, c'est
08:32comment va le bébé d'Hervé Bourges ?
08:35Aujourd'hui...
08:37Qui était président de France Télévisions à l'époque ?
08:40Je m'attendais tellement pas.
08:41Je venais d'accoucher.
08:42Elle avait un jour...
08:42Je n'ai pas vraiment percuté.
08:45Aujourd'hui, j'ai des haines qui posthumes.
08:49Comment tu as osé ?
08:50Mais vous vous rendez compte ?
08:51Ce n'était pas de la misogynie, ça.
08:53Ce n'était pas du perversité.
08:55Ça se voulait drôle, ça.
08:57Comment va le bébé d'Hervé Bourges ?
08:59Il y avait un sous-entendu.
09:00Et que j'avais couché avec Hervé Bourges
09:02et que c'était pour ça que j'avais eu froufrou.
09:04Non, mais vous vous rendez compte ?
09:05Vous auriez envie de redevenir animatrice télé ?
09:08Alors, à aucun prix.
09:10Rien ni personne ne pourrait vous faire revenir à l'animation télé.
09:12Même très cher.
09:14À aucun prix.
09:15Alors, c'est pour vous dire que j'ai une limite aussi
09:17dans ce que je peux vendre de moi ou pas.
09:21C'est-à-dire que je vis en Corse
09:23avec mes animaux dans le maquis
09:25avec une vue sur la mer magnifique.
09:28Non, mais qu'est-ce que je vais foutre dans un studio télé ?
09:31L'animation télé est définitivement terminée pour vous ?
09:33Non, mais ça ne m'intéresse plus.
09:35Pourquoi ?
09:35Parce que la télé d'aujourd'hui ne m'intéresse plus.
09:38Tout est formaté.
09:39Tout est passé à la moulinette.
09:42C'est politiquement correct.
09:44Je n'ai pas ma place là-dedans.
09:46Thierry Ardisson ne l'aurait pas eu non plus.
09:48Deux ans seulement, froufro,
09:49même si c'est devenu culte.
09:50C'est pas un peu idiot avec le recul d'avoir arrêté si tôt ?
09:53Oh, j'en avais marre.
09:55Franchement, ça c'est un peu moi.
09:57C'est-à-dire que quand j'en ai marre, je pars.
09:59Comme en amour.
10:01Donc, je ne vois pas l'intérêt de prolonger quelque chose
10:04qui va aller vers le moins bien.
10:09Forcément.
10:10Parce que vous savez, on perdait des filles.
10:12Comme d'ailleurs Union Libre.
10:14Nico s'en allait vers d'autres...
10:18Vers TF1.
10:20D'autres cieux télévisuals.
10:21Voilà, et donc après on...
10:22A chaque fois que je mettais des gens à l'antenne,
10:24on me les piquait.
10:26Donc, à chaque fois, je perdais l'ADN.
10:29Il fallait rajouter des gens qui étaient moins brillants.
10:33Donc...
10:33Vous ne vouliez pas étioler l'émission ?
10:35Mais non !
10:35La télé, c'est fini.
10:36Pour ce qui est de l'animation,
10:37reste de ces années télé de très beaux souvenirs.
10:39Aussi des angoisses terribles.
10:41Il paraît qu'à vos débuts, vous étiez prise de nausées
10:42avant le début de vos émissions.
10:44Je n'avais pas des nausées, je vomissais.
10:46Et parfois, je vous mets ça sur mes pompes.
10:48Il fallait...
10:49Ça se voyait.
10:51Ah non, c'était horrible.
10:52Ah là là, tout au début, mais quelle angoisse !
10:55Qu'est-ce qu'elle a ?
10:56Qu'est-ce qu'elle a ?
10:57Il est désolé.
10:59Je reviendrai avec quelqu'un d'autre.
11:02Hé, Nick !
11:03Je suis dans la merde !
11:04Fais quelque chose !
11:06Je vote pour vous la prochaine fois !
11:08Même si elle ne vote pas pour moi
11:09qu'elle arrête de m'appeler Nick.
11:12C'est génial.
11:13Là, on a mis 20 secondes.
11:14En réalité, ça va durer une éternité
11:16de se fourrir avec Nicolas Sarkozy.
11:17Parce qu'il y avait une invitée,
11:20Maillet, je ne sais pas comment elle s'appelle.
11:21C'était Catherine Millet.
11:23Oui, Catherine Millet.
11:24Avec un livre très chaud, je crois.
11:26Oui, un truc porno.
11:27Et donc...
11:28Mais vraiment porno.
11:29Et je jette un oeil
11:31et je tombe sur une phrase
11:32tellement dégueulasse.
11:35Et je montre...
11:37Il était à côté de moi
11:38et je lui montre la phrase.
11:39Et là, il est comme ça.
11:42Il essaye de ne pas rire.
11:44Et puis moi, je suis partie.
11:46Et là, il n'y arrive plus.
11:48Il n'arrive pas
11:49à se remettre dans l'émission.
11:51Qu'est-ce qu'il s'est fait engueuler
11:52quand on est sorti de l'émission ?
11:54Il s'est fait engueuler ?
11:54Par sa bonne femme, là.
11:56Disons que c'était une mère table dure,
11:58la Cécilia.
11:59Elle lui dit quoi ?
12:00T'as complètement dérapé.
12:01Elle était dans sa loge.
12:03Et l'autre, il arrive
12:04un peu détendu par le rire.
12:06Et lui dit
12:06« T'as été minable.
12:07Tu t'es ridiculisé. »
12:10Oh là là !
12:10Moi, je me suis barré.
12:11Je me suis dit
12:11« Mais comment il fait
12:12pour être avec une bonne femme ? »
12:13Après, j'ai compris
12:14qu'il y avait des...
12:15Entre eux, c'était pas...
12:16Il y avait d'autres dossiers.
12:17Il n'y avait pas que le fou rire.
12:18Il y avait d'autres dossiers, oui.
12:19Figurez-vous qu'on a reçu
12:20Nicolas Sarkozy
12:21dans « Refait la télé »
12:22et qu'on lui a naturellement
12:24parlé de ce grand moment.
12:26Lorsqu'elle revient
12:27sur cette séquence,
12:27Christine Bravo
12:28dit que vous étiez sorti
12:29miné de cette émission.
12:30C'est vrai ?
12:30Non, miné.
12:31Très inquiet pour votre image, du moins.
12:33Franchement,
12:33je n'ai jamais bu d'alcool
12:34de ma vie,
12:35mais on pouvait croire
12:35que j'étais saoul
12:36parce qu'on ne pouvait plus dire un mot.
12:38Et elle,
12:39elle riait,
12:39cette Christine Bravo,
12:40mais elle riait.
12:41Et on sentait
12:42que ça venait de ses tripes.
12:43Et alors là,
12:44elle avait complètement
12:45lâché les élastiques.
12:46Elle disait des trucs fous.
12:47Mais j'aurais dû vous connaître avant.
12:52Mais je voterais pour vous.
12:53C'était monté.
12:54Mais il était une heure et un quart
12:55du matin.
12:56Effectivement,
12:57quand je suis sorti,
12:57on a bien rigolé.
12:58Mais je me dis,
12:59oh là là,
12:59les conséquences,
13:00ces gens vont me prendre
13:01pour un fou.
13:02Eh ben, pas du tout
13:03puisqu'après,
13:04il se promenait à Neuilly
13:06et les gens l'appelaient Nick.
13:07Il avait gagné en sympathie.
13:08Mais évidemment,
13:09c'est ça qu'elle n'a pas compris,
13:10Castaner, sa femme-là.
13:12Est-ce que vous connaissez
13:13les fromages français ?
13:14Non.
13:14Non, pas du tout.
13:16Je n'ai jamais de fromage.
13:17Alors, si vous ne connaissez pas...
13:18Je sens le fromage.
13:22Si un jour,
13:23on m'avait dit
13:23tu vas donner de l'époix à ça,
13:24Richard Gilles,
13:26je ne l'aurais pas cru.
13:27Pourquoi il me fait ça ?
13:28Mais pourquoi ?
13:29Qu'est-ce qu'il est son boulot ?
13:29Elle fait ça,
13:31c'est pour gagner sa vie.
13:32Pourquoi vous me faites ça ?
13:34Comment il y a de gens
13:37qui regardent ça ?
13:38Richard Gilles,
13:39son passage dans Foufrou,
13:39je pense qu'il s'en souvient encore.
13:41Il avait eu l'air traumatisé.
13:42Vous vous dites chochotte, quoi.
13:43Non, mais c'est une chochotte absolue.
13:45Et en plus,
13:45attendez,
13:45parce que vous...
13:46Il n'est pas sympathique.
13:48Il s'est barré.
13:49Et on n'était qu'à une demi-heure d'émission.
13:51Donc, on a dû continuer l'émission sans lui
13:53en mettant des plans de sa gueule au montage.
13:56Il a quitté l'émission en plein enregistrement.
13:57Il a quitté l'émission.
13:58Mais, pas que ça.
14:00Il avait exigé
14:02qu'il n'y ait pas de public.
14:04Pour quelle raison ?
14:05Parce qu'il ne voulait pas attraper des microbes.
14:07Donc, vous voyez bien le taré.
14:08Quand je lui fume de l'époix,
14:09en fait, c'est Mme Chochotte Namasté.
14:13Vous savez ce qu'il a fait ?
14:15Il allait après au journal de 20 heures de TF1.
14:19Il est arrivé traumatisé à TF1.
14:22Nous, on tournait Place Saint-Sulpice, vous voyez.
14:25Il arrive à TF1 traumatisé.
14:28Et PPDA l'accueille.
14:30Et il lui dit,
14:30ah non, non.
14:31Et à l'arrivée de Gustave,
14:32il lui faut une pièce noire.
14:35Un gourou, un tapis.
14:36Pour s'en mettre de votre émission.
14:37Voilà, pour qu'il s'enlève les mauvaises ondes
14:40de Froufrou.
14:42Mais ces mecs, c'est des riens, quoi.
14:44C'est un rien.
14:46L'autre choix, c'était donc The Voice Kids,
14:47présenté par Nico Saliagas,
14:49qui a commencé, il faut le rappeler,
14:50la télé en France avec vous.
14:521998, Union Libre.
14:53Il est le chroniqueur grec.
14:55Même si à l'époque, il n'avait pas l'accent,
14:57ce qui vous énervait un peu, je crois.
14:58Il n'avait pas d'accent grec, Nico.
15:00Il lui a demandé d'avoir un accent grec,
15:01et il l'a fait.
15:03Mais quel grand mystificateur.
15:04C'est un mytho de première.
15:06Il a commencé à faire le grec.
15:07Vous avez tout de suite senti son potentiel,
15:09à Nico Saliagas ?
15:10Le charisme.
15:12Quand il rit, Nico, il est irrésistible.
15:14Il ne rit pas assez à la télé.
15:15Et là, quand il riait, elle était formidable.
15:17Mais il m'avait dit, je vous préviens,
15:19jamais je me mettrais en jupe,
15:20jamais je danserais.
15:22On lui a fait faire tout.
15:24On lui a fait faire tout.
15:25Mais il n'avait jamais rien, le grec.
15:27Vous comprenez ?
15:28Quand on était à côté de l'allemand,
15:30ou l'anglais, on disait,
15:32qu'est-ce qu'il y a de nouveau chez vous ?
15:34Eux, ils avaient toujours des trucs de dingues
15:36que nous, on n'avait pas en France.
15:37Mais l'autre, tu lui demandais
15:39qu'est-ce que tu as chez toi de nouveau ?
15:41Il te sortait le rond avec les quatre poules
15:45qui picorent.
15:47Et la ficelle.
15:49Et la ficelle.
15:51Et les poules qui picorent sur le plateau.
15:54Il disait ça, ça vient de sortir.
15:55Moi, j'avais ça à huit ans.
15:57Parce qu'il n'y avait vraiment pas de nouveauté en Grèce ?
15:59Ou parce que c'était un mytho,
16:00il n'avait pas bossé ?
16:01Non, qu'est-ce qu'ils avaient de nouveau, les Grecs ?
16:03Ils n'avaient rien.
16:04Ils avaient des kiosques avec écrit delivery là-dessus.
16:07Ils ne délivraient rien.
16:08Le kiosque grec, où vous voulez du chum-gum,
16:10une raquette de ping-pong, ils vous la sortent.
16:13À part ça, qu'est-ce que vous avez qu'on n'a pas ?
16:15Rien.
16:16C'est plutôt...
16:18Qu'est-ce que vous n'avez pas qu'on a ?
16:20Et donc, le pauvre, il était à poil.
16:22Il n'avait rien.
16:24Vous le revoyez ?
16:24Il a obligé de nous amener la poutargue
16:26toutes les semaines.
16:28Prononcez bien, s'il vous plaît.
16:29La poutargue.
16:30Moi, j'avais compris autre chose.
16:32La poutargue.
16:32Il y a la poutargue.
16:34Ah, ben, ben, voilà.
16:35Ça, on en a bouffé.
16:36Et on faisait semblant de leur découvrir à chaque fois.
16:39Ah, qu'est-ce que c'est ?
16:40Ah, c'est de la poutargue.
16:42Heureusement qu'il y avait son talent.
16:43C'est dingue.
16:44C'est quoi ?
16:44C'est du fromage.
16:45Mais le pauvre...
16:46La chirurgie esthétique, vous êtes catégorique là-dessus.
16:48Christine Bravo, vous n'en ferez jamais.
16:50Ah non, alors, jusque-là...
16:52Ah, vous avez changé d'avis.
16:53Ah, ben, je ne veux pas pendre.
16:54Je ne veux pas pendre.
16:56C'est-à-dire que j'ai 69 ans, je vous jure,
16:58je n'ai rien fait.
16:59J'ai rien, mais je ne veux pas pendre.
17:01C'est-à-dire, j'envoie qu'ils pendent en ce moment à la télé.
17:04Des vieilles journalistes, des vieilles journalistes...
17:06Quand vous voulez dire qu'ils pendent, c'est du coup...
17:08Elles pendent du coup.
17:09D'accord.
17:09Elles ont...
17:10Comment ça, ça ?
17:11Oh, là, c'est plus l'ovale, là.
17:12C'est les goîtres, c'est les fruits qui descendent jusqu'au sein.
17:15Tu sais, deux machins qui descendent,
17:17c'est les gorges du tarm, là.
17:19Ah là là.
17:20Alors, moi, je vais vous dire...
17:22Là, là, là, je ne veux pas pendre.
17:24C'est tout ce que je dis.
17:24Là, pour l'instant, vous n'avez rien fait.
17:26Rien sur la vie de mes enfants, rien.
17:30Mais je crois que je n'en ai pas besoin.
17:32Parce que je dors à peu près 12 heures.
17:35Le collagène, on le fait la nuit.
17:37Ah, vous avez le temps, du coup, 12 heures ?
17:3912 heures.
17:39Mais j'ai toujours dormi 10 heures, 12 heures, toujours.
17:43C'est pour ça que dans les traîtres, j'ai très tiré, là.
17:46Mais je ne prends pas.
17:47Vous me disiez tout à l'heure, 69 printemps, c'est ça ?
17:49Vous avez sur vos 70 ans l'an prochain ?
17:50Je ne sais pas, 69 printemps.
17:52Ou à hiver, automne, enfin, si vous voulez.
17:55C'est genre, je ne veux pas dire que tu es vieille,
17:56mais je te dis quand même le chiffre.
17:58Vous l'avez dit tout à l'heure.
17:59Alors, ou bien vous vous taisez, vous ne dites rien.
18:01Vous avez quel âge, Christine Bravo ?
18:0269 piges.
18:0469 piges, Christine Bravo.
18:05Mais ce n'est pas des printemps.
18:06Vous êtes pimpante comme tout.
18:07Non, mais attendez, on n'est pas non plus à l'article de la mort, à 69.
18:12Mais il est dingue, vous êtes pimpante.
18:14C'est tous les mecs qui disent que vous êtes encore bien à votre âge.
18:17Mais vous savez quoi, je vous emmerde.
18:18Vous êtes encore mobile ?
18:20Moi, je vous observe depuis le début de l'émission, ça bouge encore, franchement.
18:23Ah bon ? Pourtant, j'ai mis un soutien.
18:25Non, je ne parle pas de ça.
18:27Parce que comme vous le savez, je ne veux pas pendre.
18:31Je n'en peux plus, elle.
18:32En aucun cas.
18:3311h30, 12h30, on refait la télé sur RTL.
18:37Les improbables d'Eva Cruiver.
18:40Bonjour Eva.
18:40Bonjour tout le monde.
18:41Bonjour Eva.
18:42Bonjour Eva.
18:43Christine Bravo, vous ne trouvez pas qu'avec son petit visage d'ange, elle ferait une
18:46parfaite traîtresse ?
18:47Elle ferait une parfaite Barbie, mais...
18:51Ah bah c'est bien, non mais je chauffais là parce que vous allez voir.
18:53Elle va sortir encore plus de dossiers parce qu'au côté trahison, vous allez être
18:56servie avec Eva Cruiver parce qu'elle va balancer...
18:59Oh, puis je vais être si triste.
19:00Tous les dossiers gênants et infos approbables qu'elle a trouvés sur vous.
19:03Et le premier concerne justement une trahison d'un de vos meilleurs amis.
19:08Laurent Ruquier.
19:09En 2007, il vous a entraîné dans un terrible piège pour les besoins d'une caméra cachée
19:13absolument diabolique.
19:15Il vous appelle pour vous demander de le rejoindre dans les bureaux d'une fausse société
19:18pour évoquer un projet d'émission.
19:20Vous y allez, vous prenez l'ascenseur et là, l'horreur.
19:23Il se bloque.
19:24Vous vous retrouvez enfermé avec un homme qui se met à paniquer, il pleure, il parle
19:28tout seul.
19:29Vous tentez de le rassurer quand tout à coup, une main ensanglantée sort de son ventre.
19:34Non, il tape sur les parois.
19:35Ne tapez pas sur les parois.
19:37C'est parce que ça le fait pas.
19:43On rie, mais j'ai revu les images, c'était horrible, la main qui sentait du ventre.
19:50mais là vous avez une vraie
19:53ça c'est formidable ça, vous avez une vraie idée
19:55de qui je suis, c'est à dire que
19:57tous ceux qui ont vécu ça à ma place
19:59puisque j'étais pas la seule à être piégée
20:01c'est quand ils ont vu la main
20:03qu'ils ont compris que c'était faux
20:04mais moi c'est là où j'ai eu peur
20:08ça veut dire
20:09que vous y avez cru
20:11que vous êtes très crédule
20:12que quelqu'un pouvait accrocher d'une main
20:15semblante
20:16et c'est là où vous voyez que
20:19c'est pas une fragilité
20:21la naïveté
20:22on peut pas être méchant
20:25quand on croit qu'une main sort d'un corps
20:27ce qui est marrant c'est que Stevie
20:29il est monté
20:30il a eu le même truc
20:33et puis il a donné un coup de pied dans la porte
20:34et c'est ouvert
20:35il n'y a pas eu de tournage
20:38mais moi j'ai dit
20:39quand je m'accroche aux parois
20:41en disant accrochez-vous aux parois
20:43ça va descendre
20:44comme si quand tu t'accroches aux parois
20:46d'un ascenseur
20:46vous étiez à fond dans l'histoire
20:48vous allez maintenant nous rappeler
20:52que Christine Bravo
20:52est un peu notre Paris Hilton français
20:55vous vous souvenez de la télé-réalité
20:57où l'on voyait la jet-setteuse
20:58dans la vraie vie
20:59ah bah oui
20:59c'est Simple Life
21:00avec Paris Hilton
21:00absolument
21:01et bien Christine a fait à peu près
21:03la même chose
21:03à plusieurs reprises
21:04sur la chaîne Energy 12
21:05on a eu
21:06In Car with Christine Bravo
21:07un trip aux Etats-Unis
21:08la vie ou encore
21:10les vacances presque parfaites
21:11de Christine Bravo
21:12mais aussi
21:12In Camping Car
21:13with Christine Bravo
21:14dans lequel on vous a vu
21:15sillonner la France
21:16et l'Espagne dans ce van
21:18le principe de toutes ces émissions
21:19était le même
21:20filmer le meilleur
21:21mais aussi le pire
21:22de ses voyages
21:22on a la capote
21:31qui n'arrête pas de s'enlever
21:32on est dans la merde grave
21:34on a la capote
21:35qui n'arrête pas de s'enlever
21:36sortie de son contexte
21:37cette phrase est un peu étrange
21:38on aurait pu croire
21:39que c'était dans
21:39In Bed
21:40with Christine Bravo
21:41autre docu-réalité
21:42bah ça c'était le groupe
21:44vous savez
21:45c'était l'équipe de Jérémy Michalac
21:48la grosse équipe
21:49c'était des
21:50filmés H24
21:51c'était des potes
21:52ouais mais là on s'est marrés
21:53surtout aux Etats-Unis
21:54c'est là qu'on est arrivé
21:56au Bagdad Café
21:57où je vais retourner vivre
21:59moi
21:59deux ans après
22:00pendant quelques mois
22:02en plein désert
22:03du Devada de Californie
22:05dans le Moyet
22:05je vais y vivre
22:06dans un mobilhome
22:08parce que j'ai adoré
22:09cette expérience
22:10voilà
22:10après le camping-car
22:12de Christine Bravo
22:13ça péniche
22:14vous avez depuis quelques années
22:17une superbe péniche
22:18art déco
22:19nommée froufrou
22:19ça n'est pas une péniche
22:21c'est un yacht
22:22un yacht
22:23d'accord
22:23cachez
22:24trimballe pas
22:25les gens en péniche
22:26il n'y a pas écrit
22:30l'homme de Picardie
22:31ils ne savent pas
22:33ce que c'est
22:33l'homme de Picardie
22:34dans sa génération
22:35un yacht
22:37avec lequel
22:38vous proposez
22:38des croyants
22:39historiques
22:40sur la scène
22:40le monde entier
22:41a d'ailleurs pu la voir
22:42lors de la cérémonie
22:43d'ouverture
22:44des Jeux Olympiques
22:44de Paris
22:45puisqu'elle faisait partie
22:46de la parade fluviale
22:47c'était quelle équipe
22:48qui était dessus
22:48oh la vache
22:49c'était la Syrie
22:51c'était les copains
22:52de Bachar el-Assad
22:53merci beaucoup
22:53j'étais ravi
22:55toute la famille
22:57Bachar
22:58sur mon bateau
23:00depuis
23:02depuis
23:03on n'a plus de nouvelles d'eux
23:04mais vous avez eu des nouvelles
23:06de votre yacht
23:06je suis pour rien
23:07vous l'avez récupéré
23:08étonnamment
23:10Bachar el-Assad
23:11il est un peu satellisé
23:12ah non
23:13vinaise
23:14on ne pouvait pas choisir
23:15qui on allait accueillir
23:16ah bah non
23:16j'aurais pas choisi la Syrie
23:18c'est pas la Syrie
23:20le problème
23:21c'était que c'est
23:22les potes à Bachar
23:23je dis exprès
23:25ah parce que je sais
23:26qu'on doit dire deux
23:26Eric
23:28vous avez aussi eu la chance
23:29de faire cette croisière
23:30sur le froufrou
23:31ah oui c'est vrai
23:32mais c'était pas avec
23:32l'équipe de Bachar
23:33rien à voir
23:34non
23:35si si
23:35si si
23:36là c'est Bachar
23:38qui était sur le bateau
23:38c'était avec Christophe Beaugrand
23:41et visiblement
23:42vous ne vous étiez pas
23:43très bien comporté
23:44tous les deux
23:44puisque Christine Bravo
23:45c'était plainte de vous
23:46dans les grosses têtes
23:47pardon
23:47tu es à Paris
23:48qui s'ouvre
23:49c'est formidable
23:50oui
23:50et l'antil est là
23:51avec Eric Dussard
23:52ah t'as vu
23:53alors il paraît
23:54que Stéphane Bern
23:55on est dans l'écluse
23:59non c'est pas totalement vrai
24:00ce que ça dit
24:00c'est beau
24:01mais comme il est
24:03avec Dussard
24:04il censure
24:06les médias
24:07mais c'est pas vrai
24:08c'est pas vrai
24:09c'est pas vrai
24:10c'est pas vrai
24:10j'ai admiré
24:11c'était bien
24:11c'est pas vrai
24:12c'est que t'as vu Laurent Riquet
24:12il arrête
24:14il arrête
24:15qu'est-ce qu'ils ont dit sur moi
24:15c'est pas vrai
24:16mais on en a arrêt
24:17qu'est-ce qu'il va devenir
24:18mais vous avez tout inventé
24:21Christine Bravo
24:21non non non
24:22tout ce que je dis
24:23je sais pas mentir
24:25on buvait vos paroles
24:26on était très concentrés
24:27au contraire
24:28aïe aïe aïe aïe
24:29en revanche
24:30j'aime pas ma voix
24:31mais si
24:32alors elle est unique
24:34on va terminer
24:35avec celui
24:36heureusement
24:38qu'elle est unique
24:38elle dit pas faux
24:39elle est unique
24:40il y en a pas d'autres
24:40j'ai tout le monde
24:41parler comme ça
24:42je vais dire
24:43je pourrais pas supporter
24:45et pour finir
24:47on va terminer
24:47avec celui
24:48qui a réussi
24:49à faire taire
24:49Christine Bravo
24:50à la télé
24:51ah oui alors ça
24:51c'est mon préféré
24:52il se l'appelle
24:53Michel Denisot
24:54ah oui
24:55mais c'est pas lui
24:56c'est le sous-saut
24:57il a réussi
24:59ce tour de force
25:00en 1996
25:01dans son émission
25:04télé
25:04c'était une interview
25:06en duplex
25:07avec vous
25:07depuis le Mexique
25:08où vous étiez partie
25:09pour une année sabbatique
25:10je vais vivre à mi-temps
25:11entre Paris
25:12et Playadel Carmen
25:13écrire
25:14et c'est mon projet
25:15pour l'année prochaine
25:16je peux vous dire
25:17une phrase de Stenbeck
25:18j'ai lu que Stenbeck
25:20voilà ce qu'il était
25:23jamais arrivé en France
25:24quelqu'un a coupé
25:25le sifflet
25:25avec Christine Bravo
25:26c'est la liaison
25:27qui s'est interrompue
25:27c'était quoi cette phrase
25:29Christine Bravo
25:29parce qu'enfin
25:29vous pouvez la dire
25:30ici on va pas vous couper
25:31alors c'était
25:33nous ne serons jamais
25:37ils ont bien fait couper
25:39ils ont bien fait couper
25:41bonne idée
25:42qu'est-ce qui s'était passé
25:43pour que vous fassiez
25:43couper le sifflet
25:44comme ça
25:45et bien il s'est passé
25:45figurez-vous
25:46qu'on est au Mexique
25:47et au Mexique
25:48on prend son temps
25:49et que donc
25:50Canal en France
25:52avait payé un faisceau
25:53de telle heure
25:54à telle heure
25:55et ça coûtait déjà
25:56deux bras
25:57mais ils avaient dit
25:58c'est à telle heure
25:59que ça commence
25:59et le Mexicain
26:00tu lui donnes une heure
26:01il arrive trois ans après
26:03donc
26:04il y avait
26:05une heure de faisceau
26:07la maquilleuse
26:08n'était pas là
26:09le coiffeur n'était pas là
26:10le caméraman
26:11n'était pas là
26:11tout est normal
26:12il n'y avait pas
26:14d'ingénieur du son
26:15moi j'étais toute seule
26:17sur la plage
26:17avec ma chaise
26:18et j'entendais Paris
26:21qui disait
26:22il reste
26:22une demi-heure
26:24de faisceau
26:24il reste
26:2520 minutes
26:26de faisceau
26:26il reste 5 minutes
26:28et là
26:28quand il reste
26:295 minutes
26:30par
26:31miracle
26:32il y a un mec
26:33avec un micro
26:34l'autre
26:34il a sa caméra
26:36personnelle
26:37quasiment
26:37et là
26:38j'ai le temps
26:39de dire trois phrases
26:40et il n'y a plus de
26:40merci au revoir
26:41mais c'est génial
26:44c'est surréaliste
26:45ça n'arriverait plus
26:46aujourd'hui
26:46parce qu'on n'a plus
26:47besoin de payer
26:47ces faisceaux
26:48qui coûtent une fortune
26:49on peut passer par
26:50la téléphonie
26:50aujourd'hui
26:51parce qu'à l'époque
26:52ça me rajeunit
26:53ça encore
26:5469 printemps
26:57je vais appeler
26:59Yvonne printemps
26:59et ta soeur
27:01moins
27:02beaucoup moins
27:03j'ai l'impression
27:06qu'elle fait
27:06une imitation
27:07pour tout le monde
27:07j'espère qu'on ne vous a pas
27:10trop énervé
27:11aujourd'hui
27:11c'est un bonheur
27:13parce que
27:14je vous trouve
27:14vraiment très sympa
27:16et puis
27:17si je viens ici
27:18sans être payé
27:19c'est vraiment
27:19que j'aime bien
27:20les temps que ça se finisse
27:21ça va me demander de l'argent
27:21merci Eva
27:22merci à vous
27:23Christine Bravo
27:24merci beaucoup
27:25d'être venue
27:26refaire votre télé
27:27avec nous
27:27on vous retrouve ce soir
27:28à 21h10
27:29sur M6
27:30dans un nouvel épisode
27:31pas de vitante
27:32des traîtres
27:33merci beaucoup
27:33Christine Bravo
27:34et bon retour en Corse
27:35je suppose
27:36merci à vous
27:36merci à vous
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