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  • il y a 3 mois
Alors que les langues des principaux concernés se délient depuis le début de l'affaire Thomas Legrand/Patrick Cohen, CNews est devenue la cible de Radio France. Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, «l’extrême gauche crache sur les autres, mais ne supporte pas le moindre postillon».

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Transcription
00:00Il y a quelque chose qui échappe, c'est dans la nature même de l'extrême gauche.
00:06L'absence de toute conception du principe de réciprocité.
00:10C'est-à-dire que pendant des années et des années,
00:14ces gens-là, par les journalistes, par leurs chroniqueurs,
00:19par leurs soi-disant humoristes,
00:21ont passé leur temps à nous critiquer, à se foutre de notre gueule.
00:25Mais du matin jusqu'au soir.
00:28J'ai encore en mémoire Sonia De Villers,
00:32qui reçoit un journaliste des jours,
00:35et qui lui demande la liste des chroniqueurs,
00:36et donc il la donne.
00:38Et croyez-moi, ce n'était pas un compliment,
00:40se compris celui qui a l'honneur de vous parler aujourd'hui.
00:43C'est constamment, sur le milliardaire catholique Bolloré,
00:47c'est constamment, mais il ne supporte pas.
00:50C'est ça le propre de l'extrême gauche.
00:51Il crache sur les gens, mais il ne supporte pas le moindre postillon.
00:58Sous-titrage Société Radio-Canada
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