- il y a 4 mois
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 09/09/2025.
Catégorie
🥇
SportTranscription
00:00Et d'autres matchs, Cap vers Cameroun, Afrique du Sud, Nigeria, Burkina Faso, Egypte, ça ne se loupe pas, on va pouvoir enchaîner avec l'équipe de France, repartir au Parc des Princes, où va nous attendre Giovanni Castaldi, le Parc des Princes qui sera l'objet du pourquoi tout à l'heure d'Adrien Courrouble.
00:15Giovanni, merci d'être avec nous, un rappel, Marcus Thuram est titulaire, Théo Hernandez est titulaire, ce sont les deux changements, visiblement il y a du soleil dans vos petits yeux fragiles.
00:25Est-ce que c'est l'heure d'impressionner pour les Bleus, de frapper un grand coup et de se rapprocher de ce qu'a fait l'Espagne contre la Turquie, du Portugal, des Argentins, de montrer qu'on est là nous aussi, de sortir les muscles ?
00:39Effectivement Greg, pour les yeux bleus c'est très difficile d'avoir le soleil en face et là je ne remercie pas Jérémy Gianlingro qui me met en difficulté pour mes duplex pour ce qui est de la comparaison avec les autres grandes nations du football, je ne sais pas, j'aime pas trop cet exercice-là.
00:52En revanche ce que je peux vous dire c'est qu'évidemment on a tous aimé la première période des Bleus en Pologne face à l'Ukraine, on a tous envie de voir ça, peu importe finalement 4-4-2 ou 4-2-3-1, les deux choses qui m'ont marqué au stade en Pologne c'est cette impression de force qu'ont dégagé ce milieu de terrain composé d'Oriane Chouamény et Manu Connet qui ont énormément aidé cette équipe de France à être plus haut, à donner cet élan aux attaquants français de pouvoir presser.
01:15Donc on aura envie de voir cet état d'esprit conquérant sans le ballon, ça c'est essentiel et de conserver également qu'il soit à droite ou dans l'axe cette zone d'influence de Michael Olysee qui illumine le jeu de cette équipe de France par les passes, par les dribbles, par la frappe, par son efficacité parce qu'on rappelle qu'il a ouvert le score.
01:30Donc pour moi c'est les deux clés de cette rencontre, il faut voir ces deux axes-là continuer et encore progresser.
01:36Benoît, est-ce que pour vous c'est l'heure d'impressionner ? Est-ce que ce soit les Bleus doivent frapper un grand coup ? Ou est-ce que non ? Il faut juste gagner.
01:43Je pense qu'ils ont envie de gagner aussi, de gagner avec la manière comme ils l'ont fait aussi face à l'Ukraine.
01:49C'est vrai que la première mi-temps face à l'Ukraine était quasi impressionnante.
01:51On avait beaucoup de jeux, un Olysee incroyable qui jouait entre les lignes, à chaque fois qu'il touchait le ballon il se passait quelque chose.
01:58Réunion pour Didier Deschamps.
02:00Oui c'est le mot, c'est le mot.
02:01Moi ce que j'aime bien dans ce rôle un peu hybride qu'a Olysee c'est qu'il demande à chaque fois le ballon, il ne se cache pas, il propose toujours quelque chose et à chaque fois derrière il y a une passe, il y a un décalage.
02:13Donc ça c'est plutôt intéressant pour l'équipe de France et on voit qu'il va le remettre à ce poste de numéro 10 pour qu'il garde un peu cette fraîcheur.
02:23La seule interrogation pour nous c'est Marcus Thuram parce qu'on l'a dit, on le redit encore, ce n'est pas son poste.
02:29Et l'équipe de France quand tu joues en 4-2-3-1 sur les côtés, tu as besoin de mecs qui sont dans la percussion, qui sont dans les duels, qui vont vite et qui amènent des centres devant le but.
02:38Donc à voir.
02:41L'heure d'impressionner, c'est la question qu'on se pose aujourd'hui mais parce qu'on a vu l'Espagne qui a été face à la Turquie incroyable, qui a marqué 6 buts.
02:48Donc c'est peut-être l'heure de répliquer un petit peu aussi.
02:50Quand on regarde les stats du match des Français face à l'Ukraine et face à la Turquie,
02:54bah oui, vous voyez que les Espagnols ont eu plus d'occasion mais qu'en termes de expected goal, c'est-à-dire ces opportunités qu'on a de marquer par rapport à la position que vous êtes placé, etc.
03:06La France est dans les bonnes situations pour marquer autant de buts finalement que les Espagnols face à la Turquie.
03:12Donc il y a des choses qui sont rassurantes mais désormais, il va falloir montrer plus d'efficacité si l'on veut autant régaler que les Espagnols.
03:18Mais quand on prend les matchs des Bleus depuis le match retour face à la Croatie dans leur globalité,
03:23bah on a une équipe de France qui marque beaucoup de buts, qui se procure énormément d'occasion.
03:2721 tirs par match, 8 tirs cadrés par match avec une moyenne qui avoisine quasiment les 3 buts par match.
03:33Donc il y a des choses positives et en plus, à part le match où on a pris beaucoup de buts face à l'Espagne, en l'occurrence 5,
03:40bah il n'y a pas eu de problème sur le plan défensif.
03:43Olivier Bossard, je vous vois en train de faire des...
03:45Non.
03:45Non, depuis tout à l'heure, j'ai posé la question, vous écoutez Benoît.
03:48Ou Dodlin est de la tête.
03:49Ils Dodlin très bien, cela dit.
03:50Ils Dodlin très très bien.
03:53Pourquoi ce n'est pas l'heure ?
03:54Parce que je ne suis pas sûr qu'impressionner face à l'Islande, qui encore une fois est une équipe extrêmement faible,
03:59donne vraiment derrière le cas de verre.
04:04Il n'y a pas le classement mais il a les équipes devant.
04:05Je ne suis pas sûr qu'une grosse victoire contre l'Islande donne vraiment des garanties.
04:10Pour moi, c'est vraiment en match éliminatoire qu'il faudra impressionner, pas avant.
04:14Après, je suis d'accord avec Benoît.
04:16J'aimerais retrouver et revoir ce qui s'est passé en première mi-temps contre l'Ukraine.
04:21Idéalement, même sur deux mi-temps.
04:24Et si je dis ça, c'est aussi parce que les grosses qualifications ne garantissent rien.
04:29Je regardais avant de venir à quoi ressemblaient les qualifications françaises avant les grosses compétitions.
04:34En 2004, avec Santini, on n'a jamais été aussi fort.
04:37On va en mettre trois en Allemagne.
04:39Derrière, c'est une catastrophe.
04:40En 2018, on est champion du monde.
04:41Les qualifications, on galère.
04:43On fait un 0-0 un peu pourri contre le Luxembourg à Toulouse.
04:48Donc, impressionner, oui.
04:50Mais est-ce que ça va servir pour la suite ?
04:52Non, je ne suis pas sûr.
04:53J'ai prolongé les propos d'Olivier sur l'Islande, comme il a l'air d'y tenir.
04:57C'est vrai que l'Islande ne s'est pas dit du tout.
04:59Après, je pense qu'il y a une rivalité Danemark-Islande dans sa tête.
05:01Ah oui, vraiment, l'Islande est capable de dire que c'est nous les plus blonds.
05:06Il y a cette rivalité sans doute.
05:09Mais non, effectivement, c'est vrai que c'est un pays qui avait fait sensation lors de l'Euro 2016.
05:14Cette île aux 400 000 habitants qui a été un bol d'air frais sur le foot européen il y a un peu moins de 10 ans.
05:20L'Islande vivait la période la plus belle de son histoire avec ce quart de finale à l'Euro.
05:25Olivier en parlait aussi.
05:26Cette superbe victoire 2-1 contre l'Angleterre.
05:29Son clapping, on se souvient, ces vagues bleues dans les tribunes.
05:33Bref, révélation de cet Euro.
05:34Derrière, une qualification historique pour la Coupe du Monde 2018.
05:38Ce match nul contre l'Argentine qui a de nouveau créé la sensation qui a marqué les esprits.
05:42C'était une génération dorée.
05:44Et derrière, c'est plus du tout la même histoire.
05:46Vieillissement de cette génération dorée.
05:48Le pays connaît une baisse de niveau.
05:50Un manque d'unité autour de cette équipe.
05:52Dans l'équipe actuelle, seuls Inga Son et Magnusson ont disputé l'Euro 2016.
05:57Donc, il y a eu un gros renouvellement.
05:58Depuis la Coupe du Monde en Russie, l'Islande n'a plus disputé la moindre compétition internationale.
06:04Et outre le déclin sportif, c'est aussi l'image de l'équipe qui en a pris un coup avec plusieurs scandales sexuels,
06:10dont certains ont été couverts par la Fédération Islandaise.
06:13Donc, forcément, ça fait tâche.
06:15Aujourd'hui, l'Islande tente de se réinventer, d'écrire une nouvelle page et de faire rêver à nouveau.
06:22Merci Alicia.
06:23C'est vrai, Jérôme Alonso, qu'a priori, à France-Islande, comme ça, en semaine, au mois de septembre,
06:29on ne dit pas que c'est la fiche du siècle.
06:31Non, on ne va pas vous survendre un match.
06:32Vous voyez, nous, c'est notre actualité du soir.
06:34Vous aimez les bleus, on aime le foot.
06:35On est là super, très bien.
06:37Non, ok, une fois qu'on a dit ça, c'est parfait.
06:39Mais dans ce cas-là, qu'est-ce qu'on veut ?
06:40On veut du spectacle.
06:41Si a priori, ils ne sont pas bons.
06:43Si a priori, ils sont en galère, on espère qu'avec une telle équipe,
06:47on a le droit d'imaginer que ça puisse être un festival.
06:49Mais Greg, il se voit tellement rarement.
06:51Enfin, toutes les sélections confondues, d'ailleurs.
06:52Oui, mais les Espagnols, ils ne se voient pas tous les quatre matins.
06:53Non, mais c'est ça, mais c'est...
06:54Oui, mais on est peut-être pas aussi fort qu'eux, peut-être pas aussi doué qu'eux.
06:59Voilà, mais justement, la priorité, c'est de se rapprocher.
07:03En vue des grosses échéances.
07:05C'est pour ça que le spectacle et faire un gros match ce soir, oui, mais je le mets en deux.
07:10En un, je mets peaufiner les automatismes.
07:12Vous le disiez, il y a quand même encore plein de choses qui sont perphétiques.
07:16Mais c'est normal, encore une fois, tu joues juste après une très grosse saison pour tout le monde.
07:21Moi, en un, c'est plutôt que les gars jouent ensemble, accumulent des minutes de vol ensemble.
07:26Et puis après, si c'est le feu l'artifice, tant mieux.
07:29Comme disait un joueur, moi, si c'est le gâteau sur la cerise, il serait d'avoir un bon résultat.
07:33Mais en un, en un, fais du football ensemble, apprends à te connaître, encore mieux.
07:40Il y a beaucoup de jeunes joueurs, intégrons tout le monde.
07:42Fais des bons matchs, automatisme.
07:44Et puis après, si il y a le feu l'artifice, tant mieux.
07:45Mais ce n'est pas le numéro un.
07:46En général, dans les qualifications Euro ou Coupe du Monde pour l'équipe de France,
07:49on a rarement des feux d'artifice.
07:50On a regardé quand la France gagnait par plus de 5 buts d'écart.
07:53Par 5 buts d'écart ou plus.
07:55Eh bien, sur les 4 dernières éditions, c'est arrivé que deux fois.
07:57Il y avait eu le fameux match face à Gibraltar, qui est le record, le 14-0.
08:01Et puis, il y avait eu le match où la France avait battu le Kazakhstan 8-0.
08:03Mais sinon, il n'y a pas eu d'autres victoires par 5 buts d'écart ou plus
08:07lors des 4 dernières éditions de phases de qualification.
08:12Ce n'est pas simple à dire, exactement.
08:14Non, c'est compliqué.
08:14Et juste pour aller dans le sens de Jérôme sur la montée en puissance des bleus et le contenu,
08:19eh bien, quand on regarde les matchs de 2025, l'équipe de France est notée dans le journal d'équipe.
08:24Et le match face à l'Ukraine, c'est la meilleure note sur 10.
08:266,5 sur 10, le meilleur match, c'était le retour face à la Croatie
08:30où la France avait gagné au tir au but après avoir remporté le match 2-0.
08:34Donc voilà, c'est le match le plus intéressant qu'on ait vu pour l'instant de l'équipe de France.
08:38Et voilà, on a envie de voir peut-être une prestation, peut-être qu'avec deux buts certes,
08:42mais du même acabit.
08:43Alors, ça veut dire, Bruno, que s'il y a feu d'artifice, je reprends le terme à Londresque,
08:49s'il y a feu d'artifice, il y a progression.
08:50Parce que sur ce qu'on a vu contre l'Ukraine, si vous gagnez 5-6-0 avec de la manière,
08:55avec des mouvements, avec un Olysée toujours aussi bon,
08:58avec un Mbappé qui continue d'enganger la confiance,
09:00c'est mieux pour tout le monde, pour la confiance, pour redonner une cote d'amour.
09:02En fait, j'ai juste allumé ma télé, moi, en espérant voir un bon match de foot,
09:06des gars que j'aime, se redonner confiance et nous faire plaisir.
09:08C'est quand même la base.
09:09Sauf si on change de tactique, puisque ça a été le début de l'émission.
09:13En 4-4-2 ou 4-2-3-1.
09:14Sauf que tu vas te retrouver avec deux attaquants devant, ça sera peut-être différent,
09:18tu ne vas peut-être pas animer pareil avec Olysée, je ne sais pas ce qui va se passer,
09:21parce qu'Olysée, on le voit s'éclater depuis qu'on lui a créé carrément un poste pour lui.
09:27En gros, si ça repart en 4-4-2 et après on ira voir Joe,
09:29vous avez peur qu'on ne soit plus dans l'avancée,
09:31on sera sur quelque chose qu'on connaît et on ne progresse plus.
09:33Est-ce qu'on avancera avec cette tactique-là ?
09:36Est-ce qu'on fera des choses bien sur cette tactique-là ?
09:38Et après, quand je vous entends vouloir comparer avec l'Espagne,
09:40je rappelle que l'Espagne, ils n'ont quand même pas 10 ans d'avance,
09:43mais ils ont 2 à 3 années d'avance.
09:44Il avait 8 ans.
09:46Non, mais bon, ils sont en train de travailler depuis au moins 2 années sur des systèmes, etc.
09:52Et nous, l'équipe de France, c'est les prémices.
09:54Ce qu'on a vu vendredi, on applaudit tous dès demain.
09:57Après, je suis déçu par Jérôme, la première chose...
09:59C'est vrai, il est très déçu.
10:00Non, mais la première chose...
10:02Tu verras, ce sera pire après.
10:02Non, mais la première chose, quand même...
10:04Attendez, parce que j'ai l'impression qu'on a perdu...
10:06Très, très tiède.
10:06J'ai l'impression qu'on a perdu le mindset de M. Deschamps.
10:10Non, mais j'ai l'impression qu'on a perdu le mindset.
10:12Non, mais Didier Deschamps, c'est quoi ?
10:14Il veut gagner.
10:16Il ne veut pas faire le spectacle.
10:17Il s'en fout, il veut son ticket pour la tour du monde.
10:18Mais non, mais moi, je ne suis pas sûr.
10:20Là, on va aller voir Giovanni, parce qu'il y a beaucoup de choses à dire.
10:22Il y a à boire et à manger.
10:23Là, il a ouvert toutes les portes, Bono Salomon.
10:25Il est arrivé au banquier, il a tout poussé.
10:27Donc, on va y aller sur la recherche d'une équipe type pour le mondial.
10:31Donc, j'imagine, Gio, qui veut voir un maximum de gens dans différentes configurations.
10:35Vous allez me confirmer ou m'affirmer ça.
10:37Et la deuxième chose, on en revient à ce qu'on disait.
10:39C'est que Deschamps, son équipe, le talent Porsche, devant et plus derrière,
10:43ni au milieu comme avant, et qu'il s'adapte.
10:45Il y a une volonté très claire pour le coup.
10:50Il en déplaise à Bruno, et je le sens.
10:52Et on voit le suiveur du Paris Saint-Germain.
10:54Il a une dent contre le sélectionneur.
10:55Ça se sent.
10:56Il lui en veut encore pour Désir Edoué et Ousmane Dembélé.
10:58La volonté, elle est claire.
11:00Que ce soit en 4-4-2 ou en 4-2-3-1, c'est d'avoir quatre joueurs à vocation offensive.
11:04Finalement, c'est toujours intéressant.
11:05Quand Luis Enrique ou Pep Guardiola travaillent plusieurs systèmes,
11:08on dit que c'est des génies et qu'ils peuvent s'adapter à toutes les situations.
11:11Et là, forcément, si c'est le sélectionneur français qui le fait, c'est un peu moins bien.
11:15Je rappelle que dans la séquence du 4-2-3-1, même face à l'Ukraine,
11:18ils sont beaucoup de fois en 4-4-2.
11:20Moi, je trouve que c'est un virage très intéressant pour le coup dans la carte sélectionneur de Didier Deschamps.
11:24C'est que si on reprend les grandes compétitions,
11:26Euro 2016, Coupe du Monde 2018, Euro 2021,
11:31à chaque fois, le sélectionneur a trouvé son équipe type durant la compétition.
11:362018, il commence avec Ousmane Dembélé, Corentin Tolisso.
11:38Il les sort, il remet Blaise Matudi, Olivier Giroud.
11:41Là, ce qui est clair, c'est que par rapport à ce format qui est raccourci
11:44dans cette campagne de qualification, sur ses choix d'hommes,
11:47sur ce qu'il veut faire, sur l'identité qu'il veut donner à son équipe,
11:49je trouve qu'il a un an d'avance par rapport aux anciennes grandes compétitions.
11:52Et ça, c'est important.
11:53Alors là, vous avez Mikao et Bruno et Jérôme.
11:55Les deux, ils ont bu vos paroles.
11:58Est-ce que quelqu'un est d'accord ou pas d'accord avec Giovanni ?
12:01Juste pas d'accord sur le côté un an d'avance.
12:04Si je m'étue à ma gauche, je reviens en arrière.
12:06C'est vrai.
12:07Et à la limite, si tu veux rester un peu dans ce système-là...
12:10Ah, pourquoi ? Non ?
12:13Je vous laisse 20 secondes pour répondre, après on va voir mieux ton calife.
12:17Non, mais je vous dis, c'est bien Thuram à gauche, Jérôme ?
12:19Jérôme, si là, par exemple, ce soir, il va mettre Marcus Thuram potentiellement à gauche,
12:25mais avec Théo Hernandez dans le couloir,
12:26ce qui fait que Théo va prendre le couloir
12:28et que Marcus Thuram aura la liberté de pouvoir se réaxer.
12:31Donc on n'est pas sur les mêmes philosophies que d'habitude.
12:32Il n'aura pas fermé le couloir.
12:34Jérôme, là, je reçois des tomates pour vous de la part des chroniqueurs.
12:37Ils ne sont pas d'accord avec vous.
12:38Et c'est ça que j'aime chez vous, c'est que vous avez souvent raison en avance depuis un an.
12:42Je déteste les tomates.
12:42Pas toujours, mais vous n'êtes pas trompé sur Louis-Henriquet.
12:45J'espère que vous ne vous trompiez pas sur Didier Deschamps.
12:47Troisième but, vous le savez, il y a un énorme match.
12:50Congo-République démocratique du Congo contre le Sénégal.
12:53On y retourne, il y avait 2-0 pour la République démocratique du Congo.
12:57Et ce n'est pas fini.
12:58Côté sénégalais avec Iliman Djaï.
13:00Qui repique.
13:03Pap Gueye, qui n'a pas de solution à gauche,
13:05il est obligé de revenir vers Iliman Djaï.
13:06Le joueur d'Everton qui se met sur son pied gauche.
13:09Et la réduction du score, elle est signée.
13:12Pap Gueye.
13:13Pap Gueye en embuscade sur cette frappe d'Iliman Djaï.
13:18Qui est venu tranquillement passer Dimitri Bertho qui était un peu court.
13:23Et tout est relancé au Stade des Martyrs.
13:26Les Lyons de la Terre en guerre reviennent à 2 buts à 1.
13:274 matchs de Calif à la Coupe du Monde 2026 dans la zone Afrique à vivre sur votre tablette, votre ordi.
13:34En deuxième écran, en plus de l'équipe de Greg, on revient dans un instant.
13:37Le petit filet, le foutoir, le jeu des 10.
13:39C'est la suite de l'EDG jusqu'à 20h30 sur la chaîne d'équipe.
13:42Sous-titrage Société Radio-Canada
Écris le tout premier commentaire