- il y a 2 mois
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 28/10/2025.
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00:00Allez, on revient à l'actualité du jour, l'actualité football avec le Paris Saint-Germain qui prépare son déplacement à Lorient.
00:07Conférence de presse de Louis Sénriquet. Aujourd'hui, on a parlé du gardien de but.
00:11Lucas Chevalier, voilà, avec ce statut numéro 1. Est-ce qu'il est toujours numéro 1 ?
00:14Écoutez l'entraîneur du Paris Saint-Germain.
00:17Ce qu'aujourd'hui c'est positif, demain c'est négatif.
00:21Ce que ton performance aujourd'hui c'est ok, demain on va voir.
00:25Ce que j'essaie de gérer, c'est de gérer de la meilleure manière pour ce que je pense que c'est le meilleur pour l'équipe.
00:36Ça dépend, ça dépend. Personne n'a son position fixe ou sourde pendant toute la saison.
00:43Ça dépend de ton niveau et ça dépend de ce que nous pensons que c'est le meilleur pour l'équipe.
00:50Il faut que ce soit le meilleur pour l'équipe et ça dépend de ton niveau, a-t-il dit en ce qui concerne Lucas Chevalier.
00:55Bah dites-moi, Louis Sénériquier fragilise-t-il Lucas Chevalier avec cette déclaration ?
01:01Un petit peu nous dit Camille, oui nous dit Vicache, non nous dit Anthony.
01:06C'est non également ici, c'est non ici, c'est oui pour RGM.
01:08C'est partagé entre les non et les oui.
01:10Donc, on voit vous, c'est un non franc avec un point d'exclamation.
01:13Oui, c'est catégorique.
01:15C'est oui ou c'est non ?
01:16C'est non.
01:16Ah, c'est non.
01:18Pourquoi vous me dites oui ?
01:19Non, c'est un oui catégorique.
01:21Vous m'avez compris.
01:22Arrêtez de me chercher.
01:22C'est un non catégorique.
01:23Voilà, c'est un non catégorique.
01:26Mais je répondais oui à votre question.
01:27Pour moi, Louis Sénériquier ne le fragilise pas du tout.
01:29On connaît le personnage, on connaît les éléments de langage.
01:32On sait exactement comment fonctionne son logiciel.
01:34Moi, je le vois vraiment comme Louis Sénériquier la saison dernière.
01:37Première partie de saison, c'est un chantier.
01:40Et il voit, il tire toutes les ficelles qu'il peut, tous les leviers mentaux.
01:42On l'a vu faire d'ailleurs avec Didio Donnarumma la saison dernière, le piqué de temps en temps.
01:46Même Metzaphonov, c'est arrivé sur certains matchs.
01:48On l'a vu avec Nuno Vendez.
01:49Voilà, c'est vraiment son laboratoire la première partie de saison.
01:52Il va toujours à contre-pied de ce que les médias disent d'ailleurs.
01:54Ce n'est pas anodin que la première fois qu'il le pique, c'est presque quand il y a un match sans histoire et quand tout est plus calme.
01:59Deuxième partie de saison.
02:00Là, on rentre dans les certitudes.
02:01On arrête de piquer.
02:02Je n'ai aucun doute sur le fait qu'il va installer Lucas Chevalier.
02:06Et que c'est juste une manière de rappeler un petit peu que dans son effectif, même à Ballon d'Or, il ne l'a jamais annoncé titulaire,
02:11que tout le monde est sous pression.
02:12C'est juste le logiciel.
02:13Louis Sénériquier est vraiment dans la manière, dans l'art de faire.
02:17Si la question se pose, c'est aussi parce qu'il y a des moments où il y a eu des doutes par rapport à Chevalier, par rapport à son niveau.
02:22On a trouvé trois moments en Ligue 1 où il aurait pu mieux faire.
02:25Là, c'est contre Toulouse.
02:25Il repousse le ballon sur Cressoy.
02:28Alors là, il est un peu masqué.
02:29Je vous l'accorde.
02:29Mais la suivante, elle a marqué les esprits.
02:31Regardez, contre Marseille.
02:32Là, c'est la sortie ratée.
02:34C'est Marquinhos qui met le ballon dans son propre but.
02:37On va revoir le ralenti.
02:38Celle-là, c'est celle qui vraiment a cristallisé les critiques parce qu'en plus, elle a coûté la victoire au Paris Saint-Germain.
02:45Et puis, cette dernière action contre Strasbourg, c'est les appuis qui sont un petit peu en question face à Moreira.
02:49Il est impuissant.
02:50Ce sont des erreurs qu'on ne voyait pas faire, en tout cas, à Lille la semaine dernière.
02:53C'est drôle parce que pile à ce moment-là, il n'est jamais tombé dans la dramaturge.
02:56C'est pile le moment, quand il a fait ses boulettes, qu'il l'a justement confirmé.
02:59Il est toujours à contre-cours.
03:00Oui, mais on a entendu Lucas Chevalier déjà ce week-end dire oui, voilà, il faut un temps d'adaptation et tout.
03:05Lui-même était en train de reconnaître qu'il n'était peut-être pas à 100%.
03:08Et il y a cette déclaration juste derrière, Ludo.
03:10J'abonde entièrement dans ce que dit Ambre, qui le connaît très bien d'ailleurs, puisqu'elle a pratiqué Lucas Chevalier ou Lucien Riquet ?
03:19Non, Lucien Riquet pendant plus d'un an, donc elle sait de quoi elle parle.
03:23Mais non, le poste de gardien, je parle.
03:25Moi, je ne vais pas aller sous l'angle Lucien Riquet parce qu'il est comme ça.
03:29C'est l'exigence du très, très haut niveau.
03:31Son équipe caracole, elle tutoie ce qui se fait de mieux en ce moment au niveau européen voire mondial.
03:37Donc, c'est normal qu'il y ait une exigence pour les autres joueurs et pour le gardien de but.
03:42Moi, je vais me poster du côté de Lucas Chevalier, que je connais plutôt bien, puisqu'il était à Lille plusieurs saisons.
03:50Je connais le gardien de but, mais je connais aussi l'homme.
03:53Je peux vous dire que du côté de l'homme, c'est quelqu'un qui a une énorme confiance en lui et en ses capacités.
03:58Donc, effectivement, devenir le gardien du Paris Saint-Germain alors que tu étais le gardien du LOSC, tu changes de métier.
04:05Parce qu'en étant LOSC, tu étais sur 5-6 occasions par match, tu passes à une et demie d'eux.
04:12Donc, c'est un autre type d'approche.
04:15Il va falloir qu'il travaille sur son mental, sur sa concentration, sur plein de choses.
04:19Et là, je pense qu'il y a eu l'excès de trop bien faire, mais pas lui-même.
04:23Mais j'ai l'impression que ça va rentrer dans l'ordre.
04:25Et en tout cas, moi, j'ai zéro doute sur le fait que Lucas Chevalier va s'imposer comme gardien du Paris Saint-Germain.
04:31Il restera, d'ailleurs, même à mon avis, un des plus grands gardiens du Paris Saint-Germain dans les années.
04:37Ah ouais, tu te mouilles, ça y est ?
04:38Ça, c'est enregistré, c'est de l'histoire.
04:41Il va venir chatouiller Bernard Lama, je voulais.
04:43Voilà, Bernard Lama, dehors, c'est oublié, c'est Lucas Chevalier.
04:46Joël Batz aussi, c'est vrai qu'il y en a eu quelques-uns.
04:49Vicache, je voudrais vous entendre là-dessus un petit peu, parce que vous, vous m'avez dit,
04:51oui, ça le fragilise, la déclaration de Louis-Henriquet aujourd'hui.
04:55Moi, je pense que le poste de gardien de lui est différent.
04:58Il faut installer une hiérarchie, il faut la tenir le plus longtemps possible,
05:03soutenir son entraîneur, quitte à changer à un moment.
05:05Mais quand on change, on change pour que...
05:07Voilà, c'est plus ou moins définisif d'une certaine manière.
05:11Moi, je pense qu'il y a aussi une erreur contre Tottenham aussi.
05:13Oui, on n'a pas en image, mais c'est l'erreur inaugurale.
05:16Après, il va peut-être s'en remettre, Chevalier.
05:18Il est un peu fragilisé.
05:20Le dernier match, il fait un bon match, il a une action à faire, il l'a fait.
05:23On verra.
05:24Pour l'instant, moi, je pense qu'une déclaration d'un entraîneur
05:27où il met en concurrence un peu d'une certaine manière,
05:30comme tous les autres, ce qui n'est pas vrai,
05:32puisqu'en fait, récemment, il a dit qu'Akimi n'avait pas de concurrence,
05:34donc il allait jouer tous les matchs.
05:36Donc, ce n'est pas forcément vrai.
05:38Je pense que Vitinha n'a pas de concurrence.
05:40Je pense que Pacho n'a pas de concurrence.
05:42Donc, il y a des endroits où il n'y a pas de concurrence.
05:44Et pourtant, ce sont des joueurs de champ.
05:46Donc, moi, j'ai tendance à penser que le gardien, c'est particulier.
05:49Il va peut-être s'en remettre ou pas, on verra.
05:50Mais pour l'instant, il doit prendre cette déclaration
05:53où il n'est pas le tituleur indiscutable.
05:55Il y a d'autres gardiens.
05:56On verra bien ce qui va se passer.
05:57On verra bien plus tard.
05:58Est-ce qu'il va me montrer qu'il est le plus fort ?
06:01Et que plus tard, on l'a vu, Donnarumma, ça l'a fragilisé aussi à un moment.
06:05Il a changé les...
06:06Il y a eu Navas aussi à un moment.
06:07Bon, c'est un poste particulier.
06:09On verra ce que ça va donner.
06:10Mais je pense que la déclaration, elle n'est pas anodine.
06:12Et peut-être qu'on verra le numéro 2 que vous avez évoqué,
06:15qui est Safonov, qui est, lui, en plus frustré en ce moment, Camille.
06:18Oui, on rappelle, il est arrivé à l'été 2024.
06:21Le gardien russe qui ne cache plus du tout son spleen
06:24après le départ de Gigi Donnarumma.
06:26Justement, il a un petit peu espéré.
06:28Mais à l'arrivée de Lucas Chevalier,
06:29il a replongé la tête sous l'eau.
06:31Fin septembre, sur ses réseaux sociaux,
06:33il jouait au jeu des questions-réponses avec les internets.
06:36Et à la question, qu'est-ce que ça représente de jouer au PSG ?
06:39Safonov prend une photo du banc, sans texte, sur lui.
06:43Et puis, très cash, il ajoute,
06:45il faut se préparer physiquement et mentalement pour chaque match.
06:48Il est beaucoup plus difficile de maintenir la motivation et la force
06:51pour continuer le combat.
06:52Donc, il est dans un combat aujourd'hui pour essayer d'avoir du temps de jeu.
06:56Safonov qui a profité de la dernière trêve internationale
06:59pour retrouver enfin du temps de jeu sous le maillot de sa sélection avec la Russie.
07:03Et une nouvelle fois, le Russe s'est montré très franc sur sa situation.
07:06Il faudra voir mon avenir quand le Mercato ouvrira,
07:09donc le prochain Mercato d'hiver.
07:11Pour l'instant, je consacre tout mon temps à changer la situation.
07:14Je veux prouver que je mérite de jouer.
07:16Je ne suis pas satisfait du manque de temps de jeu.
07:18On rappelle que Safonov, avec le PSG, cette saison,
07:20c'est zéro minute jouée, tout simplement.
07:23Et puis, depuis plus d'une saison,
07:24c'est seulement 17 petits matchs,
07:26dont 5 de Coupe de France.
07:28On ne peut pas dire que sa volonté est suffi à convaincre le coach.
07:31qui a coûté, on rappelle, 20 millions, Safonov.
07:34Parce qu'on a tendance à l'oublier.
07:35Vous devriez déjà être content d'être numéro 2 à Paris.
07:37Non, mais attendez.
07:38Oui, mais qui ne joue pas quand vous êtes compétiteur.
07:40Ludo, vous êtes le premier à nous dire
07:41quand on est compétiteur, on a envie de jouer,
07:42on doit croquer, on doit vous voir bouffer le mec en face.
07:44Donc, ça fait partie du jeu.
07:46Quand tu es deux dans le meilleur club du monde,
07:48c'est pas pareil.
07:49Le numéro 1 qui fait des petits zéras,
07:52il se dit, je peux, par rapport à Lucas Chevalier,
07:54on verra.
07:55Mais est-ce que d'ailleurs, la déclaration de Louis Sénriquet,
07:57Anthony, elle n'est pas aussi peut-être
07:59pour donner un peu d'espoir à Safonov
08:01et lui donner un peu de temps de jeu ?
08:02Ce qui lui donnerait l'espoir à Safonov,
08:03ce sont des faits.
08:04Je pense qu'il n'a pas assez attendu maintenant.
08:06Je pense que Louis Sénriquet peut dire ce qu'il veut.
08:08Je pense qu'il est dans une situation assez compliquée comme ça.
08:11Mais justement, moi, ce qui me fait dire
08:12que Lucas Chevalier n'est pas menacé,
08:14c'est la tête de la concurrence.
08:15À une époque où, justement, il y avait Navas, Donnarumma,
08:18oui, les déclarations du coach,
08:20là, vous pouvez vraiment les écouter
08:21parce qu'il y avait vraiment du répondant.
08:23Là, Safonov, il est en grande difficulté.
08:25Déjà, parce qu'il n'a jamais convaincu,
08:26même quand il a eu l'opportunité de jouer,
08:28et c'était quand même à Munich, en Ligue des Champions,
08:30ça ne s'était pas très bien passé.
08:31Et en plus aussi, pour d'autres raisons,
08:33quand on voit que Zabarni a été recruté,
08:34qui est ukrainien et qu'il ne parle pas à Safonov,
08:36qui est russe, on dit que, de toute façon,
08:38le contexte n'est pas hyper positif
08:40pour pouvoir le lancer à ce moment-là.
08:42Donc, il n'a un peu rien pour lui,
08:43sachant qu'en plus, il y a un investissement énorme
08:45qui a été fait sur Chevalier,
08:46qui est le choix du coach,
08:47et qui, donc, peut se permettre de faire quelques erreurs
08:49lors de la phase allée,
08:50quand, en plus, ça n'a aucune conséquence collective
08:53sur le PSG.
08:54Le Chevalier, il est loin d'avoir fait les premiers mois de sa vie.
08:56Il y a le casico qui a été perdu à Marseille.
08:58Oui, le casico a été perdu,
08:59mais le PSG est devant Marseille,
09:01et le PSG est très bien placé en Ligue des Champions,
09:03et le PSG a gagné la Super Coupe d'Europe
09:04où il avait commencé à avoir une erreur.
09:05Je veux dire, ces erreurs-là,
09:07où il aurait dit qu'il ne peut pas les payer.
09:09Parce qu'il dit ça,
09:09parce qu'il doit parler tous les trois jours,
09:10et qu'il ne veut peut-être pas aussi,
09:11justement, comme l'a dit,
09:12il ne veut pas installer...
09:14Louis Sénrique, il ne dit pas ça dans le vent.
09:15Il dit pas ça dans le vent.
09:16Il a souvent l'habitude de parler,
09:17et il peut dire un peu tout ça.
09:19Après, il va aller voir Chevalier,
09:20il peut dire, en fait,
09:21ce que j'ai dit devant la presse,
09:22c'est du mytho.
09:23Mais Vikach, il parle comme ça.
09:24Avant bref, il a fait une conférence de presse,
09:26et il a dit,
09:26et là, vraiment,
09:27je reprends les mots de Louis Sénrique,
09:28et ça décrypte toute sa manière de penser.
09:31Il a dit,
09:31moi, vraiment,
09:32ma manière de coacher et d'entraîner,
09:34c'est-à-dire que quand il y a trop de positivité
09:35autour du club,
09:36je veux que mes joueurs se sentent menacés,
09:38et quand il y a trop de négativité,
09:40je veux que mes joueurs se sentent en confiance.
09:42Il va toujours à contre-pied de l'environnement.
09:44Toujours.
09:44Et il n'a jamais enfoncé Lucas Chevalier
09:46quand il était en difficulté
09:47et qu'il a fait ses boulettes.
09:48Jamais.
09:48Il a attendu le moment de calme pour le faire.
09:50Ouais, enfin, calme,
09:50ça vient juste d'arriver.
09:51C'est calme aussi, quoi.
09:53Je veux dire,
09:53il n'a pas non plus dit
09:54qu'il allait le sortir à la prochaine erreur.
09:57Ça reste quand même très relatif.
09:58Oui, voilà, c'est tout chantier.
09:59Sur Safonov, en plus,
10:00quand on fait appel à lui,
10:01il n'a pas toujours répondu présent.
10:02On a le souvenir de ce match
10:03face au Bayern Munich.
10:04Il a deux matchs en Ligue des Champions.
10:05On parle des matchs
10:06qui comptent vraiment au Paris Saint-Germain.
10:07C'était une défaite
10:08et notamment,
10:08il avait eu la note moyenne
10:09de l'équipe 4 sur les deux matchs.
10:12Et notamment,
10:12une mauvaise note face au Bayern
10:13parce qu'il avait été fautif.
10:15Et ce qui choque aussi
10:15sur Lucas Chevalier,
10:18c'est quand on regarde
10:18ses notes l'équipe cette saison.
10:19C'est le décalage
10:20avec cette saison dernière.
10:21Il est 13e gardien
10:22au classement des notes l'équipe
10:23cette saison 5,11
10:25alors que l'an dernier,
10:25c'était tout simplement
10:26le meilleur gardien de Ligue 1
10:27aux notes.
10:28Il avait 5,74.
10:29Il y a un vrai décalage
10:30en fait par rapport
10:31à ce qu'il montre cette saison
10:32et la saison dernière.
10:33Ça vous fait rire.
10:34Non, non, mais parce que
10:35je me souviens du débat
10:36l'année dernière
10:36avec Donnarumma.
10:38Au même moment,
10:38comme tout ce que faisait
10:39Enrique ne marchait pas,
10:40on se disait
10:41ça aussi, c'est pas bon.
10:43Et puis comme maintenant
10:44tout a marché,
10:48un gardien,
10:49mais comme tout marche,
10:50ça va marcher aussi
10:50pour Chevalier,
10:51puis à un moment donné,
10:52il aura le meilleur gardien du monde.
10:53Mais moi, l'analyse,
10:54elle reste la même
10:55que ce soit l'an passé
10:55ou cette année.
10:56Je veux dire,
10:57le gardien, pour moi,
10:57il doit être numéro 1
10:58et conforté dans ce rôle-là.
11:00Surtout que Donnarumma,
11:01on met le point de rupture
11:02avec Donnarumma.
11:03Par contre,
11:04sur Tonalumma,
11:04je suis 100% d'accord.
11:06Mais Donnarumma,
11:07c'est pas le fait
11:07que Louis-Saint-Enrique
11:08l'ait piqué.
11:09On a toujours dit
11:09que c'était sa blessure
11:10à Monaco
11:10qui avait transformé Donnarumma.
11:11Il ne faut pas non plus
11:12affamuer Louis-Saint-Enrique
11:13de tous les mérites de la terre,
11:14évidemment.
11:14Si Donnarumma,
11:15il a fait des parades
11:15en Ligue des Champions,
11:17c'était aussi avant tout
11:18grâce à lui.
11:18C'est pas Louis-Saint-Enrique
11:19qui a fait les parades.
11:20Est-ce qu'on va voir
11:21Safonov, d'après vous ?
11:22Est-ce que Safonov
11:23va avoir du temps de jeu,
11:24d'après vous ?
11:24De France, en janvier,
11:25s'il n'est pas parti.
11:26Pas avant.
11:27Non.
11:28VKH,
11:29vous pensez qu'on va avoir
11:30un petit coup de Safonov
11:31à Mondeley ?
11:31Non, non, non.
11:40Vous allez voir
11:41à tout le monde
11:41que j'ai raison.
11:42Vous allez voir
11:42pourquoi j'ai pris Lucas Chevalier.
11:43Vous allez voir
11:43à quel point moi
11:44je suis capable de faire
11:45progresser.
11:45Ce n'est pas non plus
11:45le challenge du siècle aussi.
11:46Lucas Chevalier,
11:46il est très fort.
11:48Ça ne sera jamais
11:48la créature de Louis-Saint-Enrique
11:49non plus.
11:50Il a gagné,
11:50Louis-Saint-Enrique.
11:51Il peut rappeler
11:52de ton temps en temps,
11:52c'est pas grave.
11:53Vous nous parlez de Louis-Saint-Enrique,
11:55mais mettons-nous
11:56à la place de Lucas Chevalier.
11:57Il l'a dit d'ailleurs.
11:58Mais Mudo, il a raison.
11:59Il dit que c'est un nouveau job,
12:00c'est une nouvelle vie,
12:01c'est des nouvelles consignes,
12:02c'est une adaptation globale.
12:03Il ne la valait pas pour l'instant
12:03la pression.
12:04Comment il va...
12:05Mais parce que c'est un autre métier,
12:06c'est vrai.
12:07C'est un autre métier.
12:09Et là, en plus,
12:10c'est la son coach
12:11qui le fragilise.
12:11Attendez, c'est différent
12:12l'aspect technique,
12:13ce qui se passe sur le terrain.
12:14Il y a des boulettes,
12:15on apprend un nouveau métier,
12:16c'est autre chose
12:16avec des nouveaux partenaires,
12:18une nouvelle défense.
12:19Et il y a l'aspect mental.
12:20Et ça, je pense qu'on n'est
12:21personne autour de ce plateau
12:22pour le jauger.
12:23Et peut-être Ludo dit
12:23qu'il l'a connu.
12:24Et ça, c'est la manière
12:25dont il gère la pression
12:26et dont il va rebondir
12:27de ces événements.
12:27Et ça, c'est complètement différent.
12:29Et là, il est en train
12:29de le montrer
12:29qu'avec le soutien de son coach,
12:31de ses coéquipiers aussi,
12:33y compris Marquinhos
12:34qui avait fait des déclarations
12:34à son égard,
12:35il est en train de reprendre
12:36du poil de la bête.
12:37Ça, c'est deux choses différentes.
12:38Le technique est mentale, quand même.
12:40Un coach, comme on le dit,
12:41il teste aussi
12:43les capacités de son gardien.
12:45Il est en train peut-être
12:46de regarder si mentalement
12:47il tient la route.
12:48En fait, comme il l'a fait
12:51avec beaucoup,
12:52il forge pour la suite
12:54de la compétition
12:55parce que ce n'est pas maintenant.
12:56Là, il met quelques
12:57petites peaux de banane
12:58histoire de voir
12:59les comportements,
13:00comment ça se passe,
13:00comment il réagit,
13:01comment ci, comment ça.
13:02C'est le laboratoire
13:03comme il fait d'habitude.
13:05C'est-à-dire que les 5-6
13:06premiers mois,
13:06il teste des choses,
13:07il regarde.
13:08Zahir Emery, il l'avait mis
13:10puis après, il l'a enlevé
13:11puis après, il en a conforté un
13:13puis il en a enlevé un autre.
13:14Et son gardien,
13:16il est en train d'aller le chercher
13:17voir jusqu'où il peut
13:18aller développer ses capacités
13:19mentales.
13:20Et ses capacités mentales,
13:21moi je vous dis,
13:21elles sont solides.
13:22Là, en l'occurrence,
13:23on parle toujours de rationalité
13:24au PSG et tout ça.
13:25S'il y a bien un truc
13:25que je ne comprends pas,
13:27c'est le recommand Safonov.
13:28C'est le ?
13:29Le recommand Safonov.
13:29Ça n'a aucun sens.
13:31Mais non, mais ça aussi,
13:31ça pose musique,
13:32il ne le menace pas.
13:33Pourquoi vous acharner
13:33sur Safonov ?
13:34C'est insupportable à force.
13:35Safonov ne jouait
13:36de rien.
13:36Il n'a même pas joué,
13:38vous l'avez enterré
13:39alors qu'il n'a même pas joué
13:39le pauvre.
13:40Dans quelques instants,
13:41Jérémy nous a promis
13:42des buts spectaculaires
13:43avec le Hat-Trick.
13:44On aura les images
13:44spectaculaires d'Antoine Pinault.
13:46On aura le club spectaculaire
13:47l'Olympique de Marseille.
13:49On aura un club qui rêve
13:49d'être spectaculaire,
13:50le club de Rennes.
13:51Vous restez avec nous
13:52et tout de suite, allez.
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