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  • il y a 2 mois

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Transcription
00:00Bon, je rappelle quand même que les riches, je le dis entre guillemets,
00:03payent beaucoup d'impôts en France à hauteur de 45-50%, ce qui n'est pas rien.
00:09Gauthier Lebrecht, analyse de l'intervention du Premier ministre.
00:12Aucune surprise, évidemment, c'est la fin d'une très très longue tournée d'adieu
00:16où il y avait un média par jour, ce qui évoquait parfois de la raillerie
00:20chez certains commentateurs en disant François Béreau va finir sur Gulli si ça continue comme ça.
00:25Donc, c'était son testament politique en tant que Premier ministre.
00:30Il n'est pas venu chez vous le soir, il n'est pas venu non plus dans l'heure des pros le matin.
00:34Il a fait ses news avec Sonia Mabrouk, bien sûr, et cette interview historique avec les quatre chaînes info.
00:39Mais voilà, il n'y avait pas de surprise.
00:41Dès la première heure de l'annonce du vote de confiance, nous étions tous ensemble ici sur Europe 1,
00:46on a dit François Béreau se fait harakiri.
00:49Donc, il va au bout de son geste, il a décidé du jour et de l'heure,
00:53ce que nous n'avions pas comme information, et c'est Nicolas Sarkozy qui nous l'a donné
00:57dans cette magnifique masterclass depuis Bruxelles,
01:00c'est qu'Emmanuel Macron a cru que François Béreau aurait la confiance du Rassemblement national ou des socialistes.
01:06Alors que nous ici, qui ne sommes pas présidents de la République,
01:08en cinq minutes, on a compris que c'était terminé.
01:10Donc, comment on a pu croire à l'Élysée
01:12que François Béreau aurait soit le vote, soit l'abstention au moins
01:16de Marine Le Pen ou d'Olivier Faure,
01:18alors qu'évidemment, dans quelques minutes, ils vont voter contre ?
01:21Merci.
01:22Merci.
01:23Merci.
01:24Merci.
01:25Merci.
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