- il y a 4 mois
Avec Françoise Degois et Elisabeth Lévy
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NewsTranscription
00:00Le Grand Matin Sud Radio, 7h10h, Patrick Roger.
00:07Et pendant qu'Elisabeth Lévy et Françoise de Gois s'installent en studio, je vous invite à jouer, si vous le souhaitez, pour gagner une semaine de vacances, la cranche vacances, dans des résidences, 3, 4 étoiles, non ce n'est pas pour vous Elisabeth Lévy, arrêtez avec votre téléphone, pour ça vous ne pouvez pas jouer.
00:21Vous envoyez 7h20h18, vous envoyez le message Sud, et ensuite Manu, vous envoyez uniquement Sud, et Manu avec son petit logiciel, hop, tirage de sort, vous envoyez un petit message au 7h20h18.
00:51Vous les avez entendus, Elisabeth Lévy et Françoise de Gois.
00:54Vous avez entendu à son son.
00:55Sud Radio, Le Grand Débrief.
00:58Le Grand Débrief, on va parler de la politique tout à l'heure, bien sûr, parce que là, on parle de plus en plus, c'est ce que vous avez dit dans le drôle d'époque, Françoise de Gois, de la démission d'Emmanuel Macron.
01:07Même vous, vous aviez en fait des doutes, mais là, il y en a de plus en plus.
01:12On va en parler dans un instant, on va revenir aussi sur l'aide médicale d'État avec un début de réforme qui est lancé, etc.
01:21sans doute plus simple qu'autre chose.
01:23Et puis, dans l'actualité, je sais que certains réagissent en entendant, quand même sur l'enquête à Marseille, avec le Tunisien qui a la nationalité, enfin maintenant, qui était en situation régulière,
01:36puisqu'il s'était marié, qui a été abattu parce qu'il poignardait des gens dans la rue à Marseille, la Tunisie qualifie de meurtre injustifié, je dis bien de meurtre injustifié, la mort d'un de ses ressortissants.
01:51Et d'ailleurs, il y a un diplomate français qui est convoqué. Quelle est votre réaction ?
01:56Alors, si notre pays était bien tenu, je ne sais pas quel est le niveau de représentation de les Tunisiens aujourd'hui chez nous,
02:01mais on en débarquerait une petite dizaine en disant, un, mets les bouts de vos affaires, voilà, et deux, on ne nous cause pas comme ça.
02:10Mais moi, ce qui me matriste et me met dans une rage folle, c'est qu'en fait, tout le monde peut se permettre de parler à la France comme si on était absolument...
02:22C'est insupportable !
02:23Je veux dire, c'est insupportable.
02:26Je trouve vraiment, et pourtant il faut reconnaître d'ailleurs que sur un point, l'augmentation des budgets militaires,
02:34Emmanuel Macron, c'est le seul point que je lui accorderai là-dessus.
02:38Mais on ne respecte plus la France en rien.
02:43Voilà ce que je ressens.
02:44Moi, je ne vois pas du tout ça comme ça.
02:47On peut décider qu'on nous parle mal, mais enfin, tous les pays du monde se parlent mal entre eux.
02:51Donc ça, ce n'est pas du tout le sujet.
02:53Pour moi, ce n'est pas le sujet.
02:54Le sujet, c'est... Vous savez, on est maltraité par deux dictatures.
02:58C'est-à-dire que vous avez quand même la dictature algérienne sur l'affaire Boalem Sansal, ça c'est sûr.
03:03Il faut quand même regarder quels sont les régimes qui nous parlent comme ça.
03:06Kaïs Saïed, vous savez quand même qui est le président tunisien.
03:10Vous savez quand même que ce président tunisien organise quasiment la déportation des migrants africains
03:17qui veulent passer par celui dans le désert.
03:19Vous savez que cet homme est vraiment un islamiste acharné.
03:23Mais il a été élu.
03:24Non, mais il a été élu.
03:25Il y a eu des élections, ce soir.
03:27Mais alors, le président algérien, c'est pareil.
03:29Non, mais ce que je veux dire, mais évidemment...
03:30Mais en Algérie, c'est plus contestable pour certains.
03:32Mais Vladimir Poutine était élu aussi, Patrick.
03:34Donc écoutez, moi, je veux bien qu'on dise que c'est la faute de la France.
03:38Mais regardons d'abord qui est l'émetteur.
03:40On voit la position de l'émetteur.
03:42On voit le régime algérien et le régime tunisien.
03:45On ne s'occupe jamais du régime tunisien.
03:47Vous savez ce que vivent les Tunisiens quand même sur le plan démocratique.
03:50C'est sidérant, cette réaction.
03:54C'est-à-dire que, comme c'est des dictatures qui nous crachent à la gueule...
03:58Non, non, non !
03:58Non, écoutez, Françoise, des dictatures nous crachent à la gueule
04:02comme se permettent des choses qu'on ne se permettrait pas,
04:06si vous voulez, avec un pays qu'on respecte.
04:07On ne parle même pas l'Italie comme ça aujourd'hui.
04:10Je suis désolé de vous le dire.
04:11Je veux dire, c'est...
04:12Si vous voulez, avec les Français, c'est table ouverte.
04:16Mais évidemment, il n'y a pas eu, je veux dire, à part l'opération de léchage de pompe
04:22de Jean-Noël Barreau, je veux dire, avec les Algériens, si vous voulez.
04:28Qu'est-ce qui s'est passé depuis Boile M. Sansal ?
04:30Rien, de rien, de rien.
04:32J'inverse un instant, Elisabeth Françoise et puis les auditeurs,
04:35que j'invite d'ailleurs à réagir 0826 300 300, j'inverse les choses.
04:39Imaginons qu'un Français, en Tunisie, ait été abattu par la police.
04:45Alors, parce qu'il sortait, il était un peu cocaïne, etc.
04:50Est-ce qu'on demanderait, finalement, une enquête et des précisions à la police ?
04:55Bien sûr, mais évidemment que la France le demanderait.
04:57Oui, ah bon, ah donc ?
04:59Non, mais moi, je ne suis pas sur la position d'Elisabeth.
05:01Moi, je ne pense pas que je ne fais pas rentrer dans un grand tout
05:03le mépris de la France, etc., la dégradation de la France, etc.
05:07Je vous dis juste que c'est...
05:09Je pense que la réaction...
05:10Mais évidemment pas comme ça.
05:11Mais la réaction du président tunisien, elle est odieuse,
05:14parce qu'elle est liée à la position de l'émetteur.
05:16C'est ce que je vous dis, elle n'est pas liée à ce qu'est la France.
05:17Parce qu'il qualifie de meurtre injustifié, c'est ça.
05:20Mais écoutez, mais on peut...
05:21La France sera respectée quand on vivra dans un monde de bisounours.
05:23Non, pas du tout.
05:24D'ailleurs, les Américains nous respectent.
05:26Tout le monde nous respecte, c'est clair.
05:27Mais nous, c'est pareil.
05:28On est aussi très agressifs dans notre comportement diplomatique.
05:31Moi, je ne suis pas d'accord avec vous.
05:33Bon, je ne suis pas d'accord avec vous.
05:34Le ministère tunisien des affaires étrangères a annoncé dans un communiqué
05:38avoir convoqué le chargé d'affaires par intérim de l'ambassade de France à Tunis.
05:42Pour lui faire part de sa vive protestation.
05:44En fait, ce n'est pas pour lui demander des explications, c'est pour protester.
05:47Mais je pense que si on avait un ressortissant français,
05:49100% français qui était assassiné en Tunisie, ou au Maroc, ou en Algérie...
05:54Ah, assassiné, c'est pas la même chose.
05:55Non, non, ou meurtre, ou tué, tué.
05:57Ah oui, parce que ce n'est pas pareil.
05:58Non, non, pardon, pardon, pardon, excusez-moi.
06:00Vous n'allez pas me sauter dessus parce que j'ai...
06:02Donc, voilà, si on avait le cas similaire à l'inverse,
06:05je pense qu'évidemment, la France demanderait des comptes à la Tunisie.
06:08Mais pas dans ses termes.
06:10Mais pas dans ses termes.
06:11N'oserait jamais dire publiquement,
06:14et il y aurait des coups de fil, évidemment,
06:16mais jamais il n'oserait dire publiquement,
06:19il y a eu un meurtre, parce que je vous signale qu'au passage,
06:22il a déjà fait l'enquête, donc là-bas.
06:23Non, bien sûr.
06:24Ça va pas, non ?
06:24Bon, un mot sur l'aide médicale d'État.
06:28Donc, il y a une réforme, là, c'est quoi ?
06:31C'est une petite réforme.
06:33C'est symbolique, parce qu'avant le départ de Bajeroun,
06:38on va dire très vite, pour que Françoise puisse me répondre.
06:41Je pense qu'il fallait la réformer, c'était dans le rapport.
06:45Mais c'était une mesure, surtout symboliquement demandée par des Français,
06:49c'est vrai, qui se disent, même si c'est un peu folklorique,
06:52qu'on rembourse ceci ou cela,
06:54donc on ne rembourse pas les prothèses mammaires, je le précise.
06:57Mais c'est un système qui est pour les clandestins,
07:02donc, si vous voulez, il doit être minimal.
07:05C'est-à-dire, on ne doit pas encourager le séjour clandestin en France.
07:08Et d'ailleurs, on devrait dire que toute personne entrée clandestinement en France
07:12n'aura jamais de visa légal.
07:14Comme ça, je vous assure qu'on en aurait moins.
07:16Mais, évidemment, la ficelle politique est grosse,
07:20et sur ce, si vous voulez, le gars, il a depuis combien de temps votre Premier ministre ?
07:26Mais ce n'est pas de mien !
07:27Bah si, c'est aussi le mien !
07:29Depuis quelques mois, depuis décembre, il est là.
07:31Ce n'est pas son Premier ministre.
07:34Depuis décembre, en janvier, Bruno Retailleau l'a demandé,
07:38ils avaient tout à fait le temps de faire ça,
07:39ils avaient le temps de dissoudre...
07:40Oui, mais ils se sont fait retoquer.
07:41L'IESH, ils avaient le temps de faire des tas trucs.
07:46Donc, je me demande, on a ça, et maintenant, qu'est-ce que...
07:48Françoise, dites-moi ce que nous allons voir comme mesure d'ici lundi.
07:52Déjà, l'AME, je pense que vous savez,
07:54les deux jours fériés par François Bayrou ont été annoncés
07:57pour pouvoir les retirer et dire, regardez le grand négociateur que je suis.
08:00L'AME, c'est encore une minute de plus, M. Le Bourreau,
08:04c'est-à-dire le grand clin d'œil à Marine Le Pen,
08:05en pensant que ça, ça va faire bouger les lignes,
08:08ça ne peut pas faire bouger les lignes sur le vote de confiance, évidemment.
08:12Sur l'AME, je ne suis évidemment pas d'accord avec vous
08:14parce que je pense que c'est une mesure d'hygiène.
08:17Toutes les études montrent que ce n'est pas une pompe aspirante,
08:20que ce n'est pas un appel à migrer.
08:22Il y a à peine 9,5% ou 10% de migrants
08:25qui considèrent qu'ils viennent aussi à cause de l'AME.
08:27L'AME, c'est un dispositif qui n'a pas le même nom...
08:29Combien vous avez dit ?
08:31L'AME, c'est un dispositif qui existe partout en Europe
08:34et qui n'a pas le même nom.
08:35En Italie, par exemple, le planier de soins est beaucoup plus large.
08:38En revanche, il est interdit aux Européens.
08:41Vous allez en Espagne, en Espagne, l'AME existe.
08:44Donc, ce n'est pas une spécificité française.
08:46C'est quelque chose qui considère que c'est nécessaire pour la santé publique.
08:50En Italie, Françoise, vous avez raison, ça existe,
08:53mais c'est uniquement pour des soins urgents,
08:56extrêmement urgents et essentiels.
08:57Non, ce n'est pas vrai.
08:58Le planier...
08:59Écoutez, soyez sympa, mais moi, je...
09:02Alors, allez-y, en Italie, c'est un planier beaucoup plus large.
09:05Est-ce qu'il est un planier ?
09:06Est-ce qu'il est un planier ?
09:07Non, c'est un planier beaucoup plus large, je vous le dis.
09:10Je l'ai, en fait, sous les yeux, mais vous le...
09:13C'est un planier beaucoup plus large,
09:14mais qui est interdit aux Européens en Italie.
09:17C'est génial.
09:18Alors, ça, si vous voulez...
09:19Non, mais, Françoise, l'immigration,
09:21ce n'est pas seulement un sujet technique.
09:23Et je suis d'accord, l'AME,
09:25ça rend simplement plus facile le séjour
09:27une fois que vous êtes là.
09:29On ne vient pas pour ça,
09:30mais finalement, un pays où on est soigné,
09:32et puis on peut dire à sa cousine...
09:34Ah ben oui, donc, ce n'est pas la question.
09:36La question est que, que vous le vouliez ou pas,
09:39que ça vous plaise ou pas,
09:40vous avez, dans toute l'Europe et en France,
09:42un mouvement qui vous dit
09:43nous ne voulons plus de cette immigration
09:45qui, tous les jours, se traduit
09:47par des choses épouvantables
09:49et qui, par ailleurs, fait changer
09:51les mœurs majoritaires dans notre pays.
09:53Donc, il faut, à la fin des fins,
09:57si vous ne voulez pas,
09:58à la fin des fins,
09:59si vous ne voulez pas,
10:00et je ne le veux pas,
10:01qu'il se passe qu'il y ait des réactions
10:03aussi éruptives et affreuses
10:06qu'en Angleterre,
10:07où il s'est passé des choses affreuses
10:08après les mensonges gouvernementaux,
10:10il faut maintenant entendre
10:12le peuple qui demande cela.
10:15Écoutez, moi, je pense que tout
10:16ne peut pas être dans un grand tout.
10:17Je pense que l'AME,
10:18c'est un dispositif.
10:19Mais non, mais vous mélangez absolument tout.
10:22Je pense que l'AME,
10:23c'est un dispositif essentiel
10:24sur le plan médical.
10:25Si on la supprime,
10:26on la réduit,
10:27ça coûtera beaucoup plus cher
10:28parce qu'on ne prendra pas
10:28les maladies en amont.
10:30Tout le monde le dit
10:30de la gauche à la droite.
10:32Je pense qu'en revanche,
10:33là, peut-être,
10:33vous êtes d'accord,
10:34c'est qu'il faudrait mieux
10:35la contrôler.
10:37Voilà.
10:37Et pourquoi elle est contrôlée ?
10:38Elle est dans l'électrique.
10:40Je donne un exemple.
10:42Attendez, juste d'un mot.
10:44Vous allez y revenir, en fait,
10:45dans un instant.
10:46Non, mais je voudrais saluer
10:47l'honnête d'Elisabeth.
10:48Moi, je vous dis,
10:49ça a été mis en place
10:49par la droite
10:50à l'époque de Pasquois.
10:52C'était en 1993.
10:53Il y avait un ticket modérateur
10:56de 30 euros par an.
10:59Il y avait une cotisation.
11:00C'est François Hollande
11:00qui l'a supprimée en 2012.
11:02Allez, dans un instant,
11:03nous reviendrons sur la politique.
11:04Et donc, ça veut dire quoi ?
11:04Non, mais il y avait...
11:05Le Grand Matin Sud Radio,
11:107h10, Patrick Roger.
11:12Le Grand Débrief
11:13qui continue avant la vérité
11:15en face tout à l'heure
11:15où vous allez pouvoir continuer
11:17de réagir à tous les sujets,
11:18évidemment,
11:19que Jean-François Akili.
11:19On va en parler dans un instant.
11:21Avant, on en parle.
11:22Petite précision,
11:23Elisabeth Lémy.
11:24C'est un droit de suite
11:25à votre chronique.
11:27Hier, je reviens.
11:28Vous avez parlé
11:29de la disparition progressiste
11:31des livres,
11:32notamment dans les lycées
11:33en Ile-de-France,
11:35parce que tout serait
11:37sur informatique,
11:38aujourd'hui,
11:39sur ordinateur.
11:40Alors, j'ai parlé
11:40d'une expérience.
11:42En fait, je suis parti
11:42d'une pétition
11:43contre, si vous voulez,
11:45cette expérimentation
11:46qui, pour des lycéens,
11:48vous savez que c'est la région
11:49qui fournit les livres,
11:50et il y a une expérimentation
11:52où, apparemment,
11:53il n'y aurait plus de livres.
11:54En tous les cas,
11:54c'est ce que disait la pétition.
11:56Je vous avoue
11:56que je n'ai pas appelé
11:57le ministère
11:58ni personne pour vérifier.
12:00Comme il y avait
12:00beaucoup de papiers,
12:01je me suis dit
12:02que pardon,
12:03je le reconnais.
12:04Donc, Valérie Pécresse
12:05me dit que je suis désinformée.
12:07Elle me rappelle
12:08que 250 000 lycéens
12:10auront des livres.
12:11Bon, je ne suis pas sûr
12:12que l'expérience
12:13dont j'ai parlé
12:14n'existe pas,
12:15mais il est possible aussi
12:16que les éditeurs
12:17qui ont besoin
12:18des sous des livres
12:19scolaires
12:20crient avant d'avoir mal.
12:22Enfin, en tous les cas,
12:23je voulais dire
12:23que Mme Pécresse...
12:24Non, mais si vous ne parlez pas
12:25dans le micro,
12:26on vous entend en parler.
12:26Je voulais dire
12:27que Mme Pécresse
12:28n'était pas d'accord.
12:30Bon, je pense,
12:31honnêtement,
12:32je pense qu'il y a
12:33véritablement
12:34une expérimentation.
12:35Maintenant,
12:36ça n'est pas,
12:36il faut bien le dire,
12:37elle, personnellement,
12:38ce n'est pas l'incarnation
12:40de la détestation
12:41du livre
12:42et de la culture.
12:43Disons-le,
12:44je ne crois pas
12:45que ce soit sali.
12:46Allez,
12:46nous poursuivons,
12:47on va revenir à la politique.
12:49Hashtag,
12:49on en parle,
12:50Benjamin Gleis,
12:51à quelques jours
12:51du vote de confiance
12:52de François Bayrou,
12:53il y a un député
12:54qui a lancé
12:55un sondage en ligne
12:56pour demander
12:57l'avis des électeurs.
12:59Ben oui,
12:59on parlait d'expérimentation,
13:00c'en est un peu une ici.
13:02C'est peut-être
13:02une nouvelle façon
13:03qui s'est de concevoir
13:04la démocratie.
13:05Cette initiative,
13:05on la doit
13:06au député Lyot
13:08Christophe Neige-Hélène,
13:09avant-hier,
13:09il a publié un message
13:10sur Facebook,
13:11il raconte dedans
13:12qu'il est encore partagé
13:13sur l'attitude
13:14qu'il prévoit d'adopter
13:15le 8 septembre prochain
13:16et c'est pourquoi
13:16il demande leur avis
13:17aux internautes.
13:18Un sondage avec une question simple,
13:20quelle position adopteriez-vous
13:22sur ce vote de confiance
13:23au gouvernement ?
13:24L'internaute peut choisir
13:25entre trois réponses
13:26pour,
13:27contre ou abstention.
13:28Le vote est purement consultatif
13:30mais le député
13:31s'engage tout de même
13:31à en tenir compte
13:32au moment de voter
13:33le 8 septembre prochain.
13:34L'idée est de toucher
13:35un public
13:36qui n'a pas l'habitude
13:37de croiser sur le terrain.
13:38Il s'en est expliqué
13:38sur France Bleu Sud Lorraine.
13:40Je trouvais que c'était
13:41une manière de le faire
13:42de manière encore plus large
13:43pour avoir un avis
13:44un peu plus complet
13:45et global
13:46que celui que je peux avoir
13:48ou que celui
13:49que les gens
13:50m'ont donné en direct.
13:51Voilà,
13:51c'était aussi un peu
13:52une idée novatrice.
13:54Alors ça ne peut pas être fait
13:55sur tous les textes
13:56parce qu'il y a des textes
13:57qui sont beaucoup trop compliqués
13:59donc qui ne peuvent pas
14:00être résumés
14:01en dix phrases
14:02sur les réseaux.
14:03Mais néanmoins,
14:04moi je pense le refaire
14:06même sur d'autres projets
14:07de loi
14:07ou d'autres propositions
14:08de loi ultérieurement.
14:09Il ne compte pas s'arrêter
14:11là le député Eliott
14:11des Vosges
14:12pour ce qui est
14:13de son premier sondage
14:13sur le 8 septembre.
14:15Je ne peux pas vous donner
14:15de résultat.
14:16Les votes sont privés.
14:17En tout cas,
14:18vous pouvez toujours voter.
14:19Non mais honnêtement,
14:21sérieusement,
14:22c'est du délire.
14:24Il est élu
14:25pour avoir
14:25un point de vue.
14:26Donc il est élu
14:27pour être le représentant
14:28des électeurs
14:30de sa circonscription
14:30et être capable
14:31de conceptualiser.
14:33Puis par ailleurs,
14:33sur Facebook,
14:34qui vote ?
14:35Comment on fait de l'identité ?
14:37Moi je vais prendre
14:3814 de pseudo
14:38et je vais dire
14:39vas-y vote contre
14:40parce que ça m'intéresse
14:40que Bayrou dégage.
14:42N'importe la voix.
14:42Est-ce que d'ailleurs
14:43le trou sourit...
14:45C'est pire que ça
14:45si je peux dire un mot.
14:46Vas-y, vas-y.
14:47C'est pire que ça.
14:48C'est vraiment
14:49la destitution
14:51de la politique.
14:53La représentation.
14:53Il y a quand même
14:54quelque chose
14:55dans l'idée
14:55qu'on va remplacer
14:56le vote
14:57par un sondage.
14:58parce que oui,
14:59c'est normal
14:59de se demander
15:00ou en tous les cas
15:01ça ne veut pas dire
15:01qu'il faut toujours
15:02aller au-devant
15:02de leur désir
15:03mais se demander
15:04ce que veulent
15:04les électeurs
15:05ça n'est pas
15:05en soi absurde.
15:07C'est d'ailleurs pour ça
15:07que les politiques
15:08commandent des sondages
15:09mais cette idée
15:11de dire
15:12je vais consulter
15:13comme ça
15:14de cette façon
15:15vous savez
15:15c'est comme les sondages
15:16qu'on fait dans les télés
15:17où on appelle
15:19nos auditeurs
15:20et puis on dit
15:21voilà il y a
15:21tant de pourcents
15:22de nos auditeurs
15:23qui ont dit ça.
15:23C'est impossible
15:23de tenir compte de ça.
15:25En plus c'est impossible.
15:26Que voulez-vous attendre
15:28de cette assemblée
15:29de toute façon
15:30qui est chaque jour ?
15:32Écoutez,
15:32il y a quand même
15:33des parlementaires
15:33moi je trouve
15:34qu'il y a quand même
15:34des députés
15:35de très grande valeur
15:36parce que moi
15:36il y en a énormément
15:38en plus ça
15:39le groupe Liot
15:40il est très connu
15:40en plus ça
15:41pour être un groupe
15:42qui bosse beaucoup
15:42à l'assemblée
15:43en commission etc.
15:44Ça m'étonne
15:45que ça vienne de Liot
15:46en plus je vous le dis
15:47tout de suite.
15:47Est-ce que les jeux
15:48sont faits ou pas ?
15:49Oui bien sûr
15:50les jeux sont faits.
15:51Je ne pense pas
15:51que vous l'avez dit
15:52sur Bayon.
15:54Sur Bayon.
15:54Sauf si
15:56je ne sais pas
15:57à moins qu'ils détiennent
15:58les enfants de Marine Le Pen
15:59dans une cab
16:00je ne vois vraiment pas
16:02ce qui serait changé d'avis
16:03à partir du moment
16:05où tout le monde
16:06l'a dit
16:06Urbi et Torbi
16:08Il y en a deux
16:09qui devaient se prononcer
16:11et je ne sais pas
16:11qu'est-ce qu'on ne comprend pas
16:12dans les mots
16:12quand Olivier Faure dit
16:13c'est irrévocable
16:14il l'a encore redit ce matin
16:15pourquoi vous continuez
16:16à me poser la raison
16:17c'est irrévocable ?
16:18Ne me tentez pas
16:19Non mais je sais
16:20vous ne l'aimez pas
16:21Mais ce n'est pas la question
16:22c'est qu'il a dit
16:22qu'il n'y aurait plus d'alliance
16:24avec LFI
16:25sauf quand c'est l'extrême droite
16:27Qu'est-ce qu'on ne comprend pas
16:28dans ce que dit Marine Le Pen ?
16:29Je ne comprends pas
16:30on maintient une espèce d'illusion
16:32comme ça
16:32qui n'a aucun sens
16:34Bon d'accord
16:35Bon d'accord
16:35Bon donc voilà
16:36La suite
16:37Non mais si jamais
16:38il ne passe pas son vote
16:40de confiance
16:40Moi je crois que
16:42François Bayrou
16:43croit encore
16:44à son destin
16:45Mais oui
16:46méfiez-vous
16:46on fera les comptes
16:48lundi soir
16:49Oui j'ai un peu peur
16:50On va en parler
16:51dans un instant
16:52avec Jean-François
16:52qui dit
16:53Merci Elisabeth
16:54et Françoise
16:55Le jeu
16:56Alors
16:57qui
16:58j'espère que ce n'est pas
16:59Françoise Degoy
17:00et Elisabeth Lévy
17:01qui ont gagné
17:02en envoyant un petit SMS
17:03c'est le mot sud
17:03au 728
17:05et bien non
17:06c'est Eric
17:07de Forge-les-Bains
17:08Bonjour Eric
17:09Bonjour Eric
17:12Ah
17:13Petit souci
17:15John
17:16Technicien
17:17Eric
17:17Bonjour
17:18Ah bah non
17:20mais il y a un petit
17:20Ah bah si
17:21Non
17:22Oui
17:22Non
17:23Il est là
17:23Il est en ligne
17:24Bon en tout cas
17:24c'est Eric
17:25de Forge-les-Bains
17:26qui a gagné
17:27C'est séjour
17:28d'une semaine
17:29dans des résidences
17:293-4 étoiles
17:30à la montagne
17:31à la mer
17:31ou à la campagne
17:32Bravo
17:33Il a envoyé sud
17:34sur le 7-20-18
17:37mais bon
17:38je le rassure
17:39comme je rassure
17:40les auditeurs
17:40il est bien enregistré
17:43Ça n'est pas Françoise
17:44Non non non
17:45Non non
17:45Ils ont peut-être
17:46essayé de torpiller
17:47tout ça
17:48Jean-François Akili
17:50beaucoup de sujets
17:51sur la table
17:52votre sujet principal
17:53tout à l'heure
17:54dans le débat
17:54la vérité en face
17:55Ce ne sera pas
17:56le trou de fourmi
17:57que vous évoquiez
17:58c'est le Mercosur
17:59première étape
18:00les commissaires européens
18:01ont dit oui
18:02mais nos éleveurs
18:03nos cultivateurs
18:04sont très inquiets
18:05parce que les clauses
18:07de sauvegarde
18:07pour notre agriculture
18:08quand vont débouler
18:09vous savez
18:10les tonnes et les tonnes
18:11de viande bovine
18:13de volaille
18:14de riz
18:15venu d'Amérique du Sud
18:16qu'est-ce qui va se passer ?
18:18Les fonctionnaires
18:18à Bruxelles
18:19vont dire
18:19non non
18:19on arrête
18:20il n'y a pas les mêmes noms
18:21C'est votre débat
18:22tout à l'heure
18:23vous pouvez réagir
18:240 826 300 300
18:26les auditeurs
18:27vous pouvez réagir
18:28aussi sur d'autres
18:29sujets d'actualité
18:30bien sûr
18:30il y a c'est quoi le problème
18:32par exemple
18:32tout à l'heure
18:33avec Félix Mathieu
18:34qui va évoquer
18:35la taxation
18:37les milliardaires
18:37les milliardaires
18:38sont moins taxés
18:40en proportion
18:41que vous et moi
18:42les salariés
18:43qu'en pensez-vous ?
18:440 826 300 300
18:45est-ce que ça vous choque ?
18:47La Tunisie
18:47qualifie de meurtre
18:49injustifié
18:50la mort d'un de ses ressortissants
18:52l'assaillant tunisien
18:54avant-hier
18:54à Marseille
18:55cocaïnomane
18:56violent
18:56repéré par les services
18:57de police
18:58et bien la Tunisie
18:59qualifie de meurtre
19:00injustifié
19:00elle convoque aussi
19:01un diplomate
19:02qu'en pensez-vous ?
19:03vous voulez réagir
19:04sur ce sujet
19:04comme sur tous
19:05les autres sujets
19:06le standard vous est ouvert
19:070 826 300 300
19:10Jean-François Akili
19:11est avec vous
19:12jusqu'à 10h
19:13avant de retrouver
19:14tout à l'heure
19:14Valérie Expert
19:15et puis à midi
19:16André Bercoff
19:17Sous-titrage Société Radio-Canada
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