Les Vraies Voix Responsables - Émission du 03 septembre - Vidéo Dailymotion

Sud Radio

Les Vraies Voix responsables avec Yanis Baala, CEO de We Do Good ; Anaïs Bouchet, CPTO de WE DO GOOD ;Jean-Paul Mignard, CEO et fondateur d'Axsol ; Thomas Pieters - Mobilim. --- Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry   ———————————————————————  ▶️ Suivez le direct : https://dai.ly/x8jqxru  🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/   ———————————————————————  🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴  ▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel   ▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/  ▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio  ▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr   ##LES_VRAIES_VOIX_RESPONSABLES-2025-09-03##

Transcript

00:00Sud Radio, les vraies voix qui font bouger la France, les vraies voix responsables.

00:05Les vraies voix qui font bouger la France et surtout les entrepreneurs qui font bouger la France.

00:09Nous, on n'y est pas pour grand chose avec Philippe David, puisque c'est aujourd'hui le lancement de la nouvelle formule de la plateforme de financement partage de revenus.

00:17Oui, do, good. Attendez, oui, do, good. Vous avez bien compris.

00:22What a superb English accent. On va en parler avec nos invités qui est avec nous.

00:31Où sont nos invités, Philippe ? Ils sont là. On a Yannis Bala, le Chairman Executive Officer, c'est bien ça ?

00:37Oui, c'est ça. C'est bon, c'est bon, c'est bon.

00:39The we do good. Et Anaïs Boucher, qui est CPO. Bonsoir, merci d'avoir accepté notre invitation.

00:45Alors déjà, on a envie de savoir ce qu'est cette plateforme incroyable.

00:49On sait un peu un we do good qui renaît, si je puis dire, entre vos mains.

00:56Et c'est une plateforme plutôt très intéressante.

00:58Et quand on parle beaucoup d'entreprises aujourd'hui, puisque nous avons fait une émission hier sur les entreprises défaillantes,

01:04parce qu'elles n'ont pas pu lever de fond, parce qu'elles n'ont pas pu être aidées.

01:08C'est le moment peut-être d'en parler, parce que je pense que ça peut intéresser nos auditeurs.

01:13Oui, en effet, merci beaucoup tout d'abord pour l'invitation.

01:15Donc, we do good, pour recentrer, c'est une plateforme de financement pour les startups et PME.

01:22Donc ce qu'on dit, les entreprises non cotées, qui n'ont pas coté en bourse en France.

01:26Et qui propose un modèle innovant, qui est de les financer non pas en actions,

01:30donc sans céder de capital pour les entrepreneurs, ni en dette, donc sans s'endetter de manière supplémentaire,

01:36mais en partage de revenus.

01:37C'est-à-dire en reversant un pourcentage de leur chiffre d'affaires de manière trimestrielle aux investisseurs qui leur font confiance.

01:44Et donc, à date, nous, we do good, c'est une plateforme qui a une petite dizaine d'années,

01:48qui a accompagné plus de 270 entreprises depuis sa création dans leur financement.

01:54Aujourd'hui, on propose une nouvelle version, une nouvelle formule qui sera diffusée demain matin,

02:00et donc accessible à la fois aux personnes qui veulent soutenir des entreprises à partir de 100 euros,

02:04et à la fois à des entrepreneurs qui souhaitent se financer autrement.

02:08Alors, en quoi consiste une plateforme de financement en partage de revenus ?

02:12On connaissait le timeshare pour les vacances, le partage de temps, le partage de revenus,

02:17comme on dit en Occitan, terre d'origine de Sud Radio, qu'est-à-cours ?

02:21Merci aussi de l'invitation.

02:23Vous n'êtes pas obligé de répondre en Occitan.

02:26Je vous remercie.

02:27Une plateforme de financement en partage de revenus, ça ressemble à quoi ?

02:31C'est un endroit, sur Internet, vous pouvez vous connecter,

02:34où tout le monde peut venir investir, choisir un projet avec une présentation détaillée,

02:38une modélisation financière étayée,

02:40et une grosse pédagogie qu'on a essayé de mettre en place

02:45pour laisser la chance à tout le monde de venir investir et de comprendre les modèles financiers ?

02:49Ça veut dire que si vous êtes néophyte, que vous n'avez jamais investi dans une entreprise,

02:53vous les accompagnez dans cette plateforme où tout est expliqué

02:57pour aller flécher des personnes, en tout cas des entreprises, qui pourraient leur plaire.

03:01On modélise, on projette les risques, les revenus, les rendements qu'elles pourraient obtenir

03:06suite à tel ou tel investissement, et également les risques.

03:10Une fois cela, un projet choisi pour un investisseur,

03:12il peut y investir de 100 euros, très accessible, jusqu'à 100 000 euros.

03:18On a étudié qu'ils grandissent de plus en plus dans un projet.

03:21Et puis une fois l'investissement réalisé, il a son espace dédié sur lequel il peut suivre son investissement.

03:27Et le modèle de partage de revenus implique que tous les trimestres,

03:30à partir du démarrage du contrat, le porteur de projet va venir lui verser

03:33une partie de ses revenus comme contractualisé.

03:36Il va donc toucher ces redevances-là, tous les trimestres,

03:39pendant une durée déterminée entre 3 et 5 ans.

03:43On sait pourquoi ces entreprises, on explique pourquoi ces entreprises ont besoin d'argent, de soutien.

03:47C'est quoi ? C'est du développement ? C'est de la relance ?

03:50C'est l'internationalisation ? C'est quoi ?

03:53Alors on a deux cas de figure, nous, qu'on accompagne beaucoup.

03:56À la fois des entreprises qui se lancent.

03:59Donc en fait, une entreprise qui démarre, elle va avoir besoin de fonds propres

04:02pour recruter, pour commencer à se commercialiser,

04:05parfois pour continuer de faire ce qu'on appelle de la R&D,

04:07donc du développement de ces solutions.

04:08et on va avoir des entreprises qui sont plus matures,

04:11ce qu'on appelle parfois des PME,

04:13on ne va pas jusqu'à l'ETI, mais ça pourrait,

04:16et qui, elles, vont avoir besoin d'argent.

04:18Alors pour ceux qui ne connaissent pas, l'ETI commence à 250 salariés,

04:21c'est ça, jusqu'à 3 999, je crois.

04:25Exactement.

04:25Voilà, c'est ça.

04:26Et donc, nous, on va être plutôt sur le scope PME,

04:29qui sont des entreprises qui font souvent quelques millions d'euros de chiffre d'affaires.

04:33Et elles, elles vont en avoir besoin pour plusieurs raisons.

04:35Parfois, elles lancent une nouvelle offre,

04:37parfois, elles se développent sur un nouveau territoire,

04:39elles ont besoin de recruter,

04:40elles ont besoin de ce qu'on appelle du besoin de fonds de roulement.

04:42C'est-à-dire que, souvent, quand on vend un produit,

04:44on est obligé de le construire avant, avant de le vendre.

04:46Et donc, du coup, on va avoir plusieurs mois de décalage de trésorerie.

04:49Et aujourd'hui, c'est un mode de financement qui parle beaucoup,

04:52parce qu'il n'augmente pas le niveau d'endettement de la société,

04:55parce que les entreprises remboursent en pourcentage leur chiffre d'affaires.

04:58Et ça leur permet aussi de passer des parts de capital.

05:01Et donc, c'est assez complémentaire des modes de financement plus traditionnels

05:04que vont être la banque ou les fonds d'investissement.

05:06Et on est dans une période, un peu malheureusement,

05:08vous avez sans doute parlé des faillances hier,

05:10où il y a beaucoup d'incertitudes,

05:12même sur les mécanismes de soutien étatique,

05:14dont les entreprises bénéficient.

05:16Et donc, aujourd'hui, il y a vraiment un fort besoin de financement

05:19de ces entreprises-là,

05:21qui représentent une grosse partie aussi de l'emploi en France.

05:23Quel secteur est le plus porteur aujourd'hui ?

05:26Alors, dans les secteurs d'activité,

05:27nous, ce qu'on voit, il y a toujours évidemment la tech,

05:30qui va accaparer beaucoup des investisseurs.

05:32Donc, on parle beaucoup de l'IA en ce moment.

05:34Nous, on essaye d'avoir un positionnement

05:36qui est aussi très tourné sur ce qu'on appelle l'économie réelle,

05:38qui ne peut pas dire grand-chose en tant que telle,

05:40mais qui, en fait, sont les entreprises de terrain,

05:43de la restauration, de l'hôtellerie, du quotidien,

05:47qui sont celles souvent qui souffrent le plus

05:49quand on a des périodes de difficultés économiques apparaissent,

05:53et qui, pourtant, sont des entreprises

05:54qui font souvent du chiffre d'affaires de manière assez régulière.

05:58Et donc, en fait, les financer en partage des revenus

05:59fait assez sens.

06:00Par exemple, je prends un restaurant qui va avoir déjà deux enseignes

06:03et qui en ouvre une troisième.

06:04Il y a beaucoup plus de prédictabilité de ses revenus

06:08qu'une boîte très tech

06:10où on va avoir un peu moins de prise sur sa capacité à croître.

06:14Si vous voulez un testeur de restaurant,

06:15j'ai quelques mots à vous donner.

06:16Non, surtout pas.

06:17Il va déposer le bilan.

06:20Il se bouchait.

06:21Vous êtes la première plateforme française

06:23qui a été certifiée B Corp.

06:25C'est en anglais.

06:26En quoi est-ce que ça consiste ?

06:28Le label B Corp, ça récompense, ça labellise,

06:33ça certifie notre engagement environnemental et social,

06:37pour progresser dans la voie de la transition écologique et sociale.

06:41Pour nous, ça a été une vraie reconnaissance.

06:43Depuis 2019, on est labellisés.

06:44Ça démontre vraiment notre ambition

06:48de financer des projets

06:50qui ont un vrai impact environnemental ou social,

06:52mais vraiment de terrain.

06:54Et ça va très bien avec ce modèle de partage de revenus

06:56puisqu'on partage des revenus d'une activité tangible,

06:59physique, qu'on peut mesurer,

07:01qu'on peut suivre et dont on peut suivre son impact.

07:03Et c'est ça qui fait qu'aujourd'hui,

07:05notre modèle financier va très bien avec cette ambition

07:08et poursuivre des projets d'impact environnemental ou social

07:12de nos territoires.

07:15À côté de chez nous, c'est aussi ceux-là de l'économie réelle.

07:17C'est ceux qu'on voit souvent à côté de chez nous.

07:19Et c'est la dynamique des centres-villes, par exemple.

07:22Exactement.

07:22Et c'est ça qui est bien.

07:23Pour les petits porteurs,

07:24c'est-à-dire que moi, demain,

07:25je mets 100 euros sur une entreprise.

07:28Qu'est-ce que ça va me coûter ?

07:29Est-ce que je vais être taxée ?

07:30Et c'est intéressant de savoir combien ils vont...

07:32Parce que forcément,

07:33si vous touchez quelque part des petits bénéfices,

07:37M. l'État va venir de vous voir en me disant

07:39« Tiens, tu as trouvé une bonne idée ? Je vais t'aider. »

07:42Oh non, les impôts, ce n'est pas du tout élevé en France.

07:46Alors aujourd'hui,

07:47on est sur un modèle de financement,

07:49donc le partage de revenus,

07:51jusqu'à remboursement de ce que vous avez investi.

07:54C'est-à-dire, j'investis dans une entreprise,

07:57disons une entreprise A,

07:58elle me rembourse pendant 5 ans.

07:59Souvent, on a des contrats de 5 ans.

08:01Si je suis remboursé de ma somme

08:02au bout de 2 ans et demi, 3 ans,

08:04il n'y a pas d'imposition.

08:05L'imposition commence à partir du moment

08:06où je suis en plus-value.

08:08Et là, nous, on est établissement payeur,

08:10donc on s'occupe de tout pour le porteur.

08:12Et donc, on va automatiquement prélever la plus-value.

08:15Donc, c'est la flat tax qui s'applique

08:16pour les profils classiques.

08:17À 30% aujourd'hui.

08:19Prélèvements sociaux et impôts.

08:21Prélèvements sociaux et impôts.

08:22Donc, si vous ne payez pas de prélèvements sociaux en France,

08:23vous pouvez être dispensé.

08:25Mais pour la majorité des gens,

08:27c'est 30% sur la plus-value.

08:30Et ce qui peut être intéressant,

08:31je pense aussi à des gens,

08:32comme le disait Anaïs,

08:32on fait beaucoup de pédagogie aussi sur la plateforme.

08:35Évidemment, investir dans des entreprises en direct,

08:36ça comporte du risque.

08:38Nous, l'idée en fait aussi

08:39de faire du partage de revenus,

08:40c'est que contrairement à l'investissement

08:41peut-être en capital,

08:43où c'est beaucoup plus incertain

08:44à quel moment les parts vont pouvoir être vendues.

08:46Donc, on a moins de prix

08:47sur ce qu'on appelle la liquidité.

08:48Quand est-ce que je vais pouvoir

08:49avoir du papier,

08:50mais de l'argent concret ?

08:52Là, on a des rendements qui tombent

08:53si le projet fonctionne bien

08:54tous les trimestres.

08:55Et donc, ce qui donne plus de liquidité

08:57et de visibilité pour des porteurs.

09:01Ça, pardon Philippe,

09:01ça veut dire que certaines entreprises,

09:03et 250 personnes,

09:0470 personnes que vous avez accompagnées,

09:07certaines aujourd'hui,

09:08sans vous,

09:09auraient périclité, certainement ?

09:12Alors, ce sera peut-être à eux de le dire,

09:14mais en effet,

09:16il y a des entreprises qui déjà,

09:17pour démarrer,

09:18ont besoin d'un soutien.

09:20Et aujourd'hui,

09:22notamment avec la suite à la post-Covid,

09:24PGENCO,

09:25ça va être de plus en plus compliqué

09:26au niveau du bancaire.

09:27Donc, on a des entreprises

09:28qui ont besoin pour démarrer.

09:30Je pense qu'on a aujourd'hui besoin,

09:32c'est un avis personnel,

09:34mais d'entrepreneurs,

09:35de gens qui ont envie de se lancer,

09:36de créer de l'activité en France.

09:38Et donc,

09:38on a souvent qu'ils manquent de financement

09:40et donc ça peut être une solution pour eux.

09:42Et ensuite,

09:42sur certaines boîtes

09:43qui avaient besoin d'un soutien

09:44à un moment donné,

09:45on est une des solutions

09:46qui peut leur permettre

09:47de se développer

09:48et d'avancer plus sereinement.

09:49Et comment se passent

09:50les levées de fonds ?

09:51Une entreprise,

09:52dis-moi,

09:52il me faut 10 000 euros,

09:53100 000 euros,

09:53comment ça fonctionne ?

09:55Et comment on évalue ça surtout ?

09:56Oui, voilà.

09:57Exactement.

09:58Et bien,

09:58si vous êtes entrepreneur

09:59et que vous voulez rejoindre

10:00la communauté des 270 projets financés,

10:02très simple,

10:03quatre étapes.

10:04La première,

10:05une phase de sélection,

10:05vous soumettez votre dossier

10:06et là,

10:07notre équipe d'analyse

10:07s'occupe de travailler

10:10votre business plan,

10:11de modéliser financièrement

10:12ce que ça va donner.

10:13Ah oui,

10:13il travaille même le business plan.

10:15Ah oui,

10:15il y a un vrai travail

10:15du business plan

10:16sur les investissements

10:18qu'on va ensuite proposer

10:18sur la plateforme,

10:19évidemment.

10:21Ensuite,

10:21une phase de préparation.

10:22On a une équipe d'accompagnement

10:23qui vous aide

10:24à mettre en place

10:24votre levée de fonds,

10:25à définir plusieurs paramètres

10:26contractuels,

10:27à présenter votre projet aussi,

10:28à vous aider à le pitcher,

10:29à le présenter

10:30de la plus belle des manières.

10:32Et puis,

10:33une phase d'investissement.

10:34Les investisseurs

10:36souscrivent

10:36à la levée de fonds,

10:38donc sont devenus souscripteurs

10:39et investissent dans votre projet.

10:40Vous récupérez vos fonds

10:41en tant qu'entrepreneurs

10:42et ensuite,

10:43pendant la durée du contrat,

10:44comme on le disait.

10:45Tous les trimestres,

10:46on s'occupe du suivi

10:48de votre projet.

10:49On vient vous voir,

10:50vous avez sur la plateforme

10:52un endroit pour venir

10:52déclarer votre revenu

10:53et partager, évidemment,

10:55ce chiffre d'affaires

10:55comme le modèle l'implique.

10:58Mais aussi,

10:59partager des nouvelles

11:00pour que les investisseurs

11:01aient vraiment

11:01un suivi complet

11:02de comment va votre entreprise,

11:04comment ça se passe,

11:04est-ce que vous avez besoin d'aide

11:05parce que souvent,

11:06dans les communautés d'investisseurs,

11:07il y a aussi des gens

11:08qui auront des relations,

11:08surtout si les projets sont locaux

11:10et des investisseurs locaux

11:11s'ils sont joints.

11:11C'est sympa.

11:12On essaie de vraiment

11:13créer cette dynamique

11:14ainsi qu'un suivi aussi

11:15de l'impact, justement,

11:16sur le terrain

11:16de ce qui s'est passé.

11:17Justement, on va y aller

11:18sur le terrain

11:19dans quelques instants.

11:20On fait une petite pause

11:21et on va aller voir

11:22deux entreprises

11:23qui ont été soutenues

11:24par cette belle plateforme

11:26qui s'appelle

11:26We Do Good.

11:28Vous voulez des informations,

11:30c'est facile.

11:30Vous allez sur le site internet

11:31We Do Good.

11:33De toute façon,

11:33on mettra ça

11:34sur nos réseaux sociaux

11:34et on revient dans un instant.

11:36A tout de suite.

11:37Sud Radio.

11:38Sud Radio.

11:38Parlons vrai.

11:39Parlons vrai.

11:40Sud Radio.

11:40Parlons vrai.

11:41Sud Radio.

11:42Les vraies voix qui font bouger

11:43la France.

11:44Les vraies voix responsables.

11:46Il y a des gens

11:47qui entreprennent,

11:48qui, très courageusement,

11:50qui montent des entreprises

11:51et puis d'autres

11:52qui se disent

11:53je ne vais peut-être pas

11:54pouvoir monter une entreprise

11:56mais je vais pouvoir les aider.

11:58Voilà.

11:58Donc, c'est ce qu'on appelle

11:59du circulaire.

12:00C'est-à-dire que tout le monde

12:00aide tout le monde.

12:01On va en parler de nouveau

12:03avec Yanis Baala

12:04qui est avec nous,

12:05CEO.

12:05Et Anaïs Bouchet

12:07qui est le CPO

12:09de cette belle plateforme.

12:10Ça s'appelle

12:10We Do Good.

12:12Et nous voulions avoir

12:13quelques informations

12:14et nous avons décidé,

12:16on leur a dit,

12:17mais allez,

12:17montrez-nous,

12:18faites parler des entreprises

12:20qui ont été soutenues

12:21par cette jolie plateforme

12:23et Philippe,

12:24nos invités sont là ce soir.

12:25Nous avons à l'envahir

12:26du côté des Yvides

12:27et du côté de la Loire-Atlantique

12:29deux belles parties de la France.

12:31Bonsoir Jean-Paul Mignard.

12:32Vous êtes le fondateur

12:34d'une entreprise

12:34qui s'appelle Axol

12:36A-X-S-O-L

12:37et qui offre des solutions

12:39de mobilité

12:40pour personnes

12:40à mobilité réduite.

12:42Bonsoir.

12:43Bonsoir.

12:43Merci d'avoir accepté

12:44notre invitation

12:45et Thomas Peters

12:46qui est avec nous

12:47de Mobilim.

12:48Bonsoir,

12:49merci d'être avec nous.

12:51Bonsoir à toutes et à tous.

12:52Merci pour votre invitation.

12:53Avec plaisir.

12:54Jean-Paul Mignard,

12:55vous,

12:56vous travaillez

12:56dans un secteur d'activité

12:57des solutions de mobilité

12:58pour personnes

12:59à mobilité réduite.

13:00D'abord,

13:01on comprenne un petit peu

13:01le secteur d'activité.

13:03C'est un secteur

13:04qui est extrêmement prometteur.

13:07J'ai regardé les chiffres,

13:08j'ai halluciné

13:09sur le marché

13:09de ce secteur d'activité.

13:13Qu'est-ce qui était compliqué

13:14pour vous

13:15lorsque vous avez fait

13:16cette démarche

13:17d'interpeller

13:18en tout cas

13:18ou de travailler

13:19ou mettre votre entreprise

13:21sur We Do Good ?

13:24En fait,

13:24moi,

13:24c'est une entreprise

13:25que j'ai créée

13:26il y a 15 ans maintenant

13:27et développée

13:28de façon extrêmement régulière

13:30sur le marché

13:30de l'accessibilité

13:32de la mobilité

13:32pour les personnes

13:33de mobilité réduite.

13:34Et au début du Covid,

13:36j'ai intégré

13:37en fait

13:37un de mes fournisseurs anglais

13:39qui avait déposé le bilan

13:40et qui fabriquait

13:40des rampes d'accès

13:42handicapés

13:43en fibre de verre

13:43que j'ai rapatrié

13:44en France

13:45et pour produire

13:45en France.

13:48Et suite à la période

13:49de Covid,

13:50j'ai trouvé

13:51qu'on avait

13:52un axe de développement

13:53extrêmement important

13:54qui était la fabrication

13:55de produits sur mesure

13:56pour les particuliers

13:59à l'intérieur du logement

14:01pour les accès

14:01à des balcons

14:02et terrasses

14:02par exemple

14:03pour les accès

14:03ou les accès

14:05aux immeubles

14:05dans lesquels

14:05vous avez 2-3 marges

14:06avant les cadres

14:08d'ascenseurs

14:09et les personnes

14:09confinées chez elles.

14:11Et donc l'idée

14:12c'était à la fois

14:13d'accélérer

14:14et de développer

14:15la partie industrielle

14:17et la digitalisation

14:18de ce process.

14:19Je me suis retourné

14:20vers des fonds d'investissement

14:21il y a environ

14:22un an et demi

14:23classique

14:23et mon projet

14:25j'étais plus une start-up

14:27puisque ça faisait 15 ans

14:28que j'avais créé l'entreprise

14:28même si c'était

14:29une activité innovante

14:30et j'étais à la fois

14:32ou trop petit

14:33ou trop grand

14:34pour rentrer

14:34dans ces critères.

14:37Et donc

14:37la recherche d'investissement

14:39dont j'avais besoin

14:40s'est calée

14:41sur deux choses.

14:41La première

14:42c'était de trouver

14:42localement

14:44des investisseurs

14:45qui m'ont accompagné

14:46des business angels

14:47qui sont en fait

14:47pour beaucoup

14:48des entrepreneurs

14:49ou des particuliers

14:50et ceci

14:51je l'ai complété

14:53effectivement

14:53avec WeDoGood

14:54et donc

14:55avec des financements

14:57participatiques.

14:58Thomas Peters

14:59vous êtes à Nantes

14:59vous avez lancé

15:00un nouveau concept

15:01d'agence immobilière

15:03alors expliquez-nous

15:04ce concept

15:04et comment

15:05être allé

15:06rencontrer les gens

15:07de WeDoGood

15:07qui sont avec nous

15:08d'ailleurs.

15:09Alors

15:10je vous dirais

15:11pour commencer

15:11que Mobilim

15:12c'est une entreprise

15:13de l'économie sociale

15:14et solidaire

15:15qui souhaite

15:16réconcilier les gens

15:17avec les professionnels

15:19de l'immobilier.

15:20La problématique

15:21si vous voulez

15:22c'est que c'est une profession

15:23qui est assez décriée

15:24une large majorité

15:25de Françaises

15:26et de Français

15:26ont une mauvaise image

15:28ne font pas confiance

15:29aux professionnels

15:30immobiliers

15:31et les juges

15:31notamment trop chers.

15:33Donc il y a un résultat

15:34qui est très marquant

15:34à propos de tout ça

15:36c'est que 70%

15:37des propriétaires

15:37en France

15:38cherchent à vendre

15:39leurs biens immobiliers

15:39seuls.

15:40Donc la mission

15:42de Mobilim

15:43c'est d'éradiquer

15:44globalement

15:44l'ensemble

15:45des abus

15:46qui génèrent

15:46cette défiance.

15:47Donc on va mettre fin

15:48par exemple

15:48aux démarches intrusives

15:49qui sont exercées

15:50en multicanal

15:51et aux boniments

15:53les scripts commerciaux

15:53qui sont associés à ça.

15:54On va avoir

15:55une politique tarifaire

15:56au forfait

15:57et plafonnée

15:58qu'on maîtrise

15:59parce qu'on a

16:00un modèle d'affaires hybride

16:01avec des revenus

16:01générés hors immobilier

16:03qui nous permettent

16:03à la fois de maîtriser

16:04ces tarifs

16:05et puis d'un autre côté

16:06de financer

16:07notre structure de coût

16:08d'entreprise sociale

16:08et solidaire.

16:10Et donc si vous voulez

16:10aujourd'hui

16:10quand on lance

16:11une entreprise

16:12le sujet du financement

16:13est très complexe

16:15pour un porteur de projet

16:16et d'autant plus

16:17j'ai envie de dire

16:18quand on parle d'impact

16:19parce que comme le soulignait

16:20très justement

16:21tout à l'heure

16:21Yanis Bala

16:22la majorité

16:23des investissements

16:24aujourd'hui

16:24sont dirigés

16:26vers des entreprises

16:27qui ont un certain

16:27stade de maturité

16:28et vers

16:29l'intelligence artificielle.

16:31Donc c'est un peu

16:32double peine

16:33quand on est

16:33porteur de projet

16:34qui veut initier

16:36apporter une nouvelle idée

16:37sur son marché

16:38et sur l'impact

16:39et en fait

16:39We Do Good

16:40c'est vraiment

16:40la solution privilégiée

16:41qu'on avait identifiée

16:42dès le départ

16:43parce que c'est

16:44la seule plateforme

16:45d'investissement participatif

16:47qui ouvre l'accès

16:48à des porteuses

16:49et à des porteurs

16:50de projet

16:50parce qu'en général

16:51il faut être une entreprise

16:52avec on va dire

16:53un ou deux bilans

16:53comptables validés

16:54pour pouvoir accéder

16:56à ce mode de financement

16:57et donc ça nous a permis

16:58d'aller à la rencontre

16:59de femmes et d'hommes

17:01qui avaient envie

17:01d'investir dans ce type

17:03de projet

17:03qui ont été

17:04quelques dizaines

17:05à nous soutenir

17:05ce qui nous a permis

17:07par la suite

17:07de boucler notre financement

17:08avec l'arrivée

17:09de partenaires bancaires

17:09et donc

17:11sans l'existence

17:12de We Do Good

17:12il n'y a pas de naissance

17:13de Mobilim

17:14tout simplement.

17:15Mais c'est le parcours

17:15du combattant

17:16justement

17:16avant de les rencontrer

17:19vous avez sollicité

17:21des banques

17:21vous avez déjà

17:22ou ça a été immédiat

17:23sur cette plateforme ?

17:26Alors

17:26le contact

17:27très facile

17:28alors nous on cherchait

17:29un acteur local

17:30on est à Nantes

17:30We Do Good

17:31et c'est originellement

17:33fondé à Nantes

17:34donc non

17:35le contact

17:36est simple

17:36après

17:37comme le soulignait

17:38également

17:38tout à l'heure

17:39Yanis

17:40il y a une sélectivité

17:41qui est très très forte

17:42et qui nous

17:42nous attirait

17:43c'est à dire que

17:44Non mais je disais

17:45avant d'être allé voir

17:46We Do Good

17:48vous avez déjà

17:48vous aviez fait des démarches

17:50auprès des banques

17:50ou d'autres

17:52je ne sais pas

17:53est-ce que ça

17:53ou vous êtes directement

17:54allé chez eux ?

17:56Non non

17:56on est directement

17:57allé chez eux

17:57parce que la volonté

17:59si vous voulez

17:59quand vous voulez

18:00avoir des partenaires

18:02bancaires à bord

18:02vous investissez vous-même

18:04en tant que porteur de projet

18:05porteuse de projet

18:06et ensuite

18:07vous essayez d'avoir

18:08des investissements

18:09de la part

18:10notamment

18:11permis par la plateforme

18:12We Do Good

18:13et puis ensuite

18:13les banques interviennent

18:14pour le bouclage

18:15du financement

18:16rassurés par

18:17les investissements

18:18précédents

18:18ce sont souvent

18:19les derniers

18:20qui viennent compléter

18:21si vous voulez

18:22Yanis Bala

18:23ou Anaïs

18:24pour parler

18:25de ces deux projets

18:26comment ça s'est fait

18:27avec vous ?

18:29alors du coup

18:30c'est hyper intéressant

18:31et merci Thomas

18:32et Jean-Paul

18:33pour votre témoignage

18:34on est sur deux projets

18:36avec un stade

18:37de maturité différent

18:38totalement différent

18:39Thomas qui lance

18:40l'activité

18:41Jean-Paul

18:41qui le disait

18:42qui était 15 ans

18:43de boîte

18:43et au service

18:45de la mobilité

18:46et donc en fait

18:47ces deux projets

18:49qui sont arrivés

18:52chez nous

18:53avec qui on a pu

18:54travailler

18:54à la fois

18:55sur la partie

18:56business plan

18:56qu'est-ce qu'on va

18:57en fait proposer

18:57aux investisseurs

18:58c'est-à-dire

18:58en termes de rendement

19:00en termes de durée

19:02de contrat

19:02etc

19:02et ensuite

19:03une fois qu'ils sont

19:04sélectionnés

19:05et bien en fait

19:05ils ont bossé avec nous

19:06donc durant toute la campagne

19:08c'est un peu

19:08un format un peu partenarial

19:10on travaille avec le projet

19:12pour lui permettre

19:13de faire sa campagne

19:13de communication

19:14auprès

19:15d'investisseurs

19:16et ensuite

19:17une fois que la campagne

19:18est bouclée

19:18et du coup

19:19c'est le cas

19:20avec succès

19:20pour ces deux entreprises

19:22de pouvoir faire le suivi

19:23auprès de ces mêmes investisseurs

19:24sur le développement

19:26de l'entreprise

19:27Jean-Paul Mignard

19:28est-ce que ça a changé

19:28un peu

19:29votre façon de travailler

19:30cet accompagnement

19:32est-ce que finalement

19:33ça vous remet en question

19:34sur beaucoup de choses ?

19:37ça a changé

19:38notre façon d'aborder

19:39peut-être aussi

19:40également la partie

19:40financière

19:41parce qu'il est vrai

19:42il y a deux choses

19:43qui étaient extrêmement importantes

19:44la première

19:46c'est que vous parliez

19:47de parcours du combattant

19:48c'était un petit peu

19:48le cas pour nous

19:49sur ces recherches

19:50de financement

19:50à la fois

19:51sur l'après-covid

19:52et puis je dirais

19:53depuis un an

19:54depuis la dissolution

19:55les partenaires financiers

19:57sont extrêmement

19:58frileux

19:59traditionnels

19:59il y a eu une

20:01des solutions

20:02je ne me souviens pas

20:03peut-être une première

20:06ce qui était important

20:12avec Woody Wood

20:12c'était deux choses

20:13la première

20:14c'est que

20:14nous on a transformé

20:16notre société

20:16pour devenir

20:17une société à mission

20:18sur l'activité

20:18sur laquelle nous étions

20:19et c'est un partenaire

20:22qui est vraiment

20:22un partenaire à l'impact

20:23et pour nous

20:23ça a beaucoup de sens

20:24sur notre activité

20:26puisque

20:26les investisseurs

20:28qui sont aujourd'hui

20:29des particuliers

20:30qui ont été mettre

20:30entre 100 euros

20:32et certains

20:33jusqu'à 10 000 euros

20:34ce sont

20:35des particuliers

20:36mais on a des clients

20:37qui nous ont suivis

20:38il y a des clients

20:39qui peuvent être

20:40des professionnels

20:41distributeurs

20:41mais également

20:42des clients

20:42qui étaient des particuliers

20:43qui nous ont acheté

20:44des matériels

20:44il y a 5 ans

20:44ou 10 ans

20:45et qui au-delà

20:46de l'investissement

20:47financier

20:47pour eux

20:48c'est une démarche

20:50sociale et sociétale

20:51qui a un sens

20:52c'est-à-dire

20:52qu'accompagner

20:53le maintien à domicile

20:54pour eux

20:54ça veut dire quelque chose

20:55et c'est une façon

20:57aussi citoyenne

20:58de s'engager

20:59auprès d'entreprises

20:59qui sont engagées

21:01dans ces démarches-là

21:02donc nous

21:03ça va renforcer

21:04si vous voulez

21:04deux choses

21:05le premier

21:06c'est effectivement

21:08de renforcer

21:09notre rôle

21:10de mission

21:11et surtout

21:11je pense

21:13d'intégrer

21:14et de mettre

21:15aussi à bord

21:16justement

21:17ces investisseurs

21:19en disant

21:19oui vous faites aussi

21:20partie de l'aventure

21:20avec nous

21:21et de renforcer

21:23sur la façon

21:23de communiquer

21:23sur nos succès

21:26et nos difficultés

21:27Est-ce que c'est compliqué

21:28Yanis par exemple

21:31quand on est jeune

21:33de se dire

21:34de monter une société

21:36ça a un impact

21:39chez vous

21:39de se dire

21:40c'est un jeune entrepreneur

21:41il n'a jamais entrepris

21:42je ne sais pas

21:44ce que vous faisiez

21:44avant

21:46de faire de l'immobilier

21:47mais

21:48est-ce que ça joue

21:49quand même

21:49pour les investisseurs

21:51la jeunesse

21:52ou quelqu'un d'à côté

21:53qui a pour le coup

21:54une grosse expérience

21:55en fait

21:56je ne sais pas

21:57si je dirais

21:58que la jeunesse

21:59est le critère premier

22:00et on ne discrimine pas

22:01en fonction de l'âge

22:02je trouve qu'en fait

22:02à n'importe quel âge

22:03de la vie

22:04c'est quand même

22:05une sacrée aventure

22:06d'entreprendre

22:07et voilà

22:08ils ont évoqué

22:09les difficultés

22:09qu'on peut avoir

22:10sur le financement

22:10mais c'est une parmi d'autres

22:12quand on fait du management

22:14du recrutement

22:15vendre sa solution

22:16etc

22:16et donc

22:18je pense que

22:18la sensibilité

22:19que nous on trouve

22:20en tout cas

22:21chez les investisseurs

22:22c'est plutôt

22:23sur cette capacité

22:25en fait

22:25à créer de l'activité

22:26à faire vivre

22:27du monde autour

22:28à faire vivre

22:29en fait

22:29une idée

22:30une ambition

22:30et je trouve que

22:32Thomas et Jean-Paul

22:33vraiment le représentent

22:34très bien

22:34dans deux segments

22:36différents

22:36et ça

22:37il y a une vraie sensibilité

22:38dessus

22:39et ensuite

22:39après

22:40quand les investisseurs

22:41creusent

22:41ils peuvent avoir

22:42une sensibilité

22:43plus forte

22:43je pense par exemple

22:44j'ai un de nos investisseurs

22:45qui avait mis

22:46dans le projet

22:47de Jean-Paul

22:47qui avait eu

22:48une sensibilité personnelle

22:49sur les personnes

22:50à mobilité réduite

22:50et donc forcément

22:51ça joue

22:51ou alors

22:53une sensibilité

22:53sur la dimension

22:54plus financière

22:55du placement

22:55voilà

22:56j'ai assez confiance

22:58dans cette entreprise

22:59ou dans cet entrepreneur

23:01par rapport à son parcours

23:02ou à ce qu'il propose

23:03comme vision

23:04et justement

23:05qui sont les porteurs

23:05pardon

23:06qui sont ceux

23:08qui financent

23:09est-ce que ce sont

23:10plus des particuliers

23:12est-ce que c'est

23:12plus masculin

23:13plus féminin

23:14est-ce qu'on a un peu

23:14la typologie

23:15de la tranche d'âge

23:17que ce sont des gens

23:18qui veulent investir

23:18est-ce que c'est de la conviction

23:19c'est quoi

23:20ou un peu de tout

23:21clairement

23:22la grande majorité

23:24de nos investisseurs

23:25sont des particuliers

23:27qui ont investi

23:27100 euros

23:29on a la chance

23:31et on est très fiers

23:32de ça

23:32d'avoir quasiment

23:34une parité

23:34dans nos investisseurs

23:35et ça

23:36c'est un grand pas

23:38parce que

23:39pour comparer

23:39à plein d'autres

23:40méthodes d'investissement

23:42etc

23:42c'est assez rare

23:43donc je suis très fière

23:45de pouvoir le dire

23:45peut-être l'impact

23:47qui génère

23:48un peu

23:49une cohésion

23:49citoyenne

23:50et donc paritaire

23:51autour des projets

23:53ils sont âgés

23:54souvent entre 40

23:56et 60 ans

23:57mais c'est très étendu

23:58dès la majorité

23:59certains investissent

24:00jusqu'à évidemment

24:01qu'ils ne le puissent plus

24:03voilà

24:04c'est pas de 7 à 77 ans

24:07non

24:07ça s'appelle

24:08We Do Good

24:10Yanis Bala

24:11merci beaucoup

24:12d'avoir accepté

24:12notre invitation

24:13et Anaïs Boucher

24:14et puis beaucoup de succès

24:15pour vous

24:16Jean-Paul Mignard

24:17ça s'appelle

24:18Axol

24:18et puis

24:19il n'était pas tout seul

24:21parce que

24:21Thomas Peters

24:22Mobilim

24:23on vous souhaite aussi

24:24énormément de succès

24:25merci d'avoir accepté

24:25notre invitation

24:26dans un instant

24:27notre Magali Berda

24:29nationale

24:29elle est avec vous

24:30jusqu'à 20h

24:32venez Magali

24:32venez vite vite vite

24:33venez nous rappeler

24:35quels sont les invités

24:36là vous avez un micro

24:37mon petit chat

24:38vous allez faire un bisou

24:40on fera des bisous

24:41tout à l'heure

24:41j'adore faire des bisous

24:42à Cécile

24:43donc Clémentine Autain

24:44ce soir

24:45Clémentine Autain

24:45et Julia Paredes

24:47deux mondes qui s'opposent

24:48vraiment je pense

24:49que

24:49elle ne se connaissait pas

24:51jusqu'à maintenant

24:52peut-être seront-elles

24:53les meilleures amies du monde

24:54en tout cas

24:55on vous souhaite

24:56une très bonne soirée

24:57avec Magali Berda

24:58on ne vit pas

25:00dans la même France

25:02pardon je vais y arriver

25:030826 300 300

25:05si vous voulez réagir

25:06c'est jusqu'à 20h

25:0721h pardon

25:08à tout de suite

25:08c'est décidément

25:09Sud Radio

25:10Parlons Vrai

25:10Sud Radio

25:11Parlons Vrai

25:12Parlons Vrai

Les Vraies Voix Responsables - Émission du 03 septembre

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