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Transcription
00:00Les vrais voix sud radio.
00:02Bonsoir Félix.
00:03Bonsoir Judith, bonsoir tout le monde.
00:04Bonsoir Félix.
00:05Vos trois mots du jour, puissance, tsunami et restitution.
00:08L'Europe n'a pas été assez crainte, elle ne se vit pas comme une puissance.
00:11Première réaction d'Emmanuel Macron ce matin au Conseil des ministres.
00:14A cet accord commercial Europe-USA, nous n'en resterons pas là, assure le chef de l'État.
00:19Alerte au tsunami rétrogradé, voire levé dans plusieurs pays du Pacifique.
00:24Un puissant séisme à l'est de la Russie a déclenché d'énormes vagues de l'Asie
00:28jusqu'aux côtes américaines en passant par la Polynésie française.
00:31Et puis le gouvernement présente un projet de loi pour accélérer la restitution des biens pillés
00:35à l'époque coloniale, restitution à leur pays d'origine.
00:39Je partage une forme de déception.
00:41Alors on va l'entendre ça dans un instant.
00:43On va l'entendre dans un instant le président du MEDEF.
00:46Mais d'abord ses propos du chef de l'État Emmanuel Macron.
00:50Pour être libre, il faut être craint.
00:53Nous n'avons pas été assez craint.
00:55L'Europe ne se vit pas encore suffisamment comme une puissance.
00:58Ses propos ce sont ceux donc du chef de l'État ce matin au Conseil des ministres.
01:02Propos rapportés par des participants.
01:05Et c'est la première réaction du président de la République à cet accord entre Donald Trump
01:08et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
01:1215% de droits de douane non réciproques sur les marchandises européennes qui arrivent aux États-Unis.
01:18Nous n'en resterons pas là sur le chef de l'État.
01:20C'est effectivement un deal déséquilibré, ajoute comme en écho le patron des patrons.
01:25Donc Patrick Martin, le président du MEDEF.
01:27Je partage une forme de déception en tout cas à l'égard de ce qui se dessine.
01:32J'insiste sur ce point, ça n'est pas encore complètement et en détail arrêté.
01:37Donc oui, on aurait préféré que l'Europe, en se coordonnant mieux,
01:41et puis en amont, en se musclant, je dirais, sur le plan économique,
01:45établisse un rapport de force plus équilibré avec les États-Unis.
01:48Voilà, le président du MEDEF, Patrick Martin,
01:51c'était en arrivant à une réunion au ministère de l'Économie tout à l'heure.
01:53Michael Sherman, le moins qu'on puisse dire,
01:55c'est que Ursula von der Leyen ne fait pas l'unanimité côté français.
01:59Alors il y a les élites et il y a le peuple.
02:02Elle fait peut-être l'unanimité du côté des élites.
02:04Les élites disent non, puisque le président dit la combat
02:08et le Premier ministre a dit qu'on était faible.
02:10Donc il désavoue, le président de la République et le Premier ministre,
02:14désavoue Ursula von der Leyen.
02:16Et la semaine d'avant, il se faisait des amabilités, des politesses.
02:19Ça, c'est de la diplomatie, c'est autre chose.
02:21Ou de l'hypocrisie, je ne sais pas.
02:22Vous n'êtes pas qu'il se dispute quand même ?
02:24Tout dépend, mais en fait, on a l'impression aujourd'hui
02:26qu'il y a une incohérence totale.
02:28Une semaine, il s'entend, la semaine d'après, il ne s'entend plus.
02:30Pour le peuple et les travailleurs, ils n'y comprennent rien.
02:33Aujourd'hui, nous ne savons pas...
02:34Même les patrons, d'ailleurs, on entend Patrick Martin,
02:36il n'y comprend rien non plus.
02:37Les premiers patrons qui payent des charges
02:40et qui permettent aussi, et qui participent à l'économie du pays.
02:42Mais aujourd'hui, le problème, c'est que le discours
02:44du président de la République, par l'hypercommunication présidentielle,
02:47en tant que simple citoyen, c'est incompréhensible.
02:49Il faut comprendre que nos citoyens ne comprennent plus
02:51les messages du président de la République.
02:52Oui, mais ce n'est pas la question, là, c'est sur l'Europe.
02:54Mais sur l'Europe, ou même sur la politique intérieure.
02:57Je veux dire, c'est toujours le même sentiment des Français.
02:59On ne comprend plus le président de la République.
03:01A chaque prise de parole, on ne sait pas à qui il parle
03:03et pour qui il parle.
03:04Mais vous avez compris Ursula von der Leyen ?
03:06Mais on ne comprend pas non plus ce que l'air de rien.
03:08Ça me rassure.
03:09Mais je veux dire que c'est pareil.
03:10C'est qu'en fait, il faut se mettre à la place des Français aujourd'hui
03:13qui se lèvent le matin.
03:14Ils vont travailler, ils payent des charges sociales,
03:17ils payent des impôts.
03:18Ils ne comprennent pas où ça va,
03:19ils ne comprennent pas pourquoi ces décideurs prennent la parole
03:21et pour qui et quels intérêts sont défendus.
03:24Et pour en revenir un petit peu à ces 15% de douanes
03:28qui sont non réciproques, en fait.
03:30C'est-à-dire que nous, on va investir à fond.
03:33On va payer 15% de douanes sur nos exportations.
03:37Puis en échange, les Etats-Unis, c'est pratiquement zéro
03:40à part sur le secteur de l'aéronautique et quelques petits secteurs.
03:42On est quand même assez faibles logiquement, comparativement,
03:45effectivement, aux Etats-Unis et Mili-Perry.
03:47Mais en réalité, moi, ce que je vois dans cet accord,
03:49c'est que la Commission européenne a acheté la paix.
03:54Ils ont acheté la stabilité, ils ont acheté le fait
03:57que les enchères sur les droits de douane allaient justement arrêter.
04:01Ils ont un petit peu fixé les choses avec un interlocuteur
04:03qui est essentiellement axé sur le protectionnisme de son pays.
04:07Mais c'est vrai qu'il y a un déséquilibre.
04:10Alors, moi, ça me fait plus penser à un rapport de force
04:12entre la tête exécutive de l'Union européenne
04:15qui va se réunir très bientôt, parce que cet accord,
04:17il ne va pas s'appliquer comme ça.
04:18Ursula von der Leyen, ce n'est pas la seule signataire.
04:22Il faut que les 27 valident, rappelons-le.
04:23Exactement.
04:24Et il faut pour cela qu'il y ait aussi des luttes d'influence
04:28au niveau des instances européennes.
04:29Et c'est comme ça que ça fonctionne.
04:31Il va y avoir un débat, il va y avoir nécessairement
04:34des points de vue qui seront donnés.
04:35Et il va aussi y avoir des positions qui peuvent être fermes.
04:39Et ça, je l'espère.
04:40Alors, on oublie dans les histoires de taxes,
04:42dans les histoires de droits de douane,
04:45la question des surtaxes.
04:47Parce qu'on n'a pas que les 15%.
04:48Il y a aussi d'autres taxes sur les matières,
04:50notamment l'acier et autres,
04:53qui doivent être payées par les entreprises qui exportent.
04:56Alors, le grand regret de certains industriels,
04:59ce serait que les vins espiritueux
05:01ne sont pas pris en compte, en fait,
05:02dans ce cadre-là.
05:04Oui, ils ne sont pas encore fixés, c'est très stressant.
05:06Et c'est encore de l'instabilité
05:07qui paralyse l'investissement.
05:08Félix, votre deuxième mot de tsunami
05:11avec cette alerte dans tout le Pacifique.
05:13Oui, tout est parti d'un séisme
05:15de magnitude 8,8 à l'extrême-orient russe.
05:22Ça, c'est l'intérieur d'une maison
05:23à l'est de la Russie.
05:25De là, c'est déclenché un tsunami
05:26qui a mis tout le Pacifique en alerte.
05:30Ici, les sirènes à Hawaï
05:32où des fils de voitures se sont alignés
05:33pour fuir, notamment les zones côtières
05:35ou les zones trop basses,
05:37des processions comparables au Japon
05:38pour fuir vers des zones plus en hauteur.
05:42Alertes au tsunami au Pérou,
05:44en Colombie, au Mexique, en Équateur.
05:46Mais finalement, les alertes ont été levées,
05:48notamment en Russie, rétrogradées au Japon.
05:50Et même des évacuations annulées
05:51du côté de Hawaï.
05:52Hawaï, où le gouverneur Josh Green
05:54s'est finalement voulu rassurer
05:56en ces dernières heures.
05:56Écoutez, tout va bien pour le moment.
06:03Nous n'avons pas vu de grosses vagues,
06:05mais quand l'eau s'est retirée à Alewa,
06:07nous avons vu des bateaux échouer
06:08sur des rochers et sur le sable.
06:10Ça nous a fait nous interroger.
06:11Ce genre de phénomène,
06:12ça ne se produit pas sans raison.
06:14Quand l'eau se retire comme ça,
06:16ça signifie qu'il y a de l'activité
06:17dans l'océan.
06:18Nous croisons donc les doigts
06:20pour ne pas subir un gros tsunami.
06:22Encore une fois, les gens ont été
06:24très prévenants, très prudents.
06:25Nous leur en sommes reconnaissants.
06:28Voilà pour le gouverneur de Hawaï.
06:29Un séisme et un tsunami
06:30qui a fait des blessés
06:31à l'est de la Russie,
06:32mais aucun pays ne rapporte
06:34de mort à l'heure qu'il est.
06:36Prudence de mise en Polynésie française
06:38où des vagues pouvant aller
06:39jusqu'à 4 mètres étaient redoutées,
06:41notamment sur les îles marquises.
06:43La Polynésie française
06:44qui se réveille en ce moment même
06:45après une nuit qu'on imagine
06:46agitée, forcément.
06:48Votre troisième mot, restitution.
06:50Le gouvernement présente
06:50un projet de loi
06:51pour restituer les bien-pillés
06:54à l'époque de la colonisation.
06:56Le texte va faciliter
06:58le départ de ces biens
06:59des collections nationales françaises
07:01vers leur pays d'origine,
07:02comme l'a indiqué
07:02la porte-parole du gouvernement
07:04Sophie Prima ce matin
07:05lors de son compte-rendu
07:06du Conseil des ministres.
07:07La ministre de la Culture,
07:09Rachida Dati,
07:10a également présenté
07:10un projet de loi relatif
07:11à la restitution
07:12de biens culturels
07:13provenant d'États
07:14qui, du fait d'une appropriation
07:16illicite,
07:17en ont été privées.
07:19Il crée dans le Code
07:20du patrimoine
07:20une dérogation
07:22au principe
07:22d'inaliénabilité
07:24pour les œuvres
07:25qui ont fait l'objet
07:26d'une appropriation
07:27illicite
07:28entre 1815
07:29et 1972.
07:31De portée géographique
07:32universelle,
07:33il doit aussi permettre
07:34de renouveler
07:35les relations de la France
07:36avec ses partenaires africains.
07:38Ce texte contribue ainsi
07:39à la reconnaissance
07:40et à l'apaisement
07:41des mémoires
07:42voulues par le chef
07:43de l'État
07:44depuis 2017.
07:45La porte-parole
07:46du gouvernement,
07:47Sophie Prima.
07:48Et la fameuse
07:48inaliénabilité.
07:51Inaliénabilité.
07:52Eh oui, eh oui.
07:53Dites-le trois fois très vite,
07:54c'est difficile.
07:55Émilie Perrier,
07:57ça fait partie des choses
07:58qui semblent évidentes
07:59de nos jours ?
08:00Alors, évident,
08:02oui et non,
08:03je ne sais pas.
08:04C'est vrai que
08:04c'est une problématique
08:06assez importante
08:07et en réalité,
08:09il y a
08:09toute une procédure
08:11qui se met en place
08:12lorsqu'un pays revendique
08:13des biens
08:14qui auraient été pillés
08:15pendant la période indiquée.
08:17il y a des enquêteurs
08:18spécialisés
08:19auprès du ministère
08:20de la Culture
08:20qui justement
08:21retracent l'itinéraire
08:22de ces biens
08:23et par la suite,
08:26il peut y avoir aussi
08:27des, entre guillemets,
08:28levées de boucliers
08:29de musées
08:30qui, eux,
08:31ont pu acquérir
08:32des collections
08:33qui sont positionnées
08:34pour acheter des biens
08:36et qui se disent
08:37pourquoi est-ce que
08:38ces pays-là
08:38ne feraient pas
08:39la même chose ?
08:39On entend bien
08:39l'avocate
08:40qui pèse le pour
08:41et le contre.
08:42Là, c'est important.
08:43Exactement.
08:43C'est important
08:44d'être néancer.
08:45Oui, c'est important.
08:46Voilà.
08:47Mickaël Sherman,
08:48vous êtes pour la nuance aussi ?
08:50On est toujours
08:50pour la nuance
08:51en politique
08:52parce qu'on veut
08:53faire attention
08:53à ne pas vexer
08:54nos administrés.
08:56Après,
08:56dans le cadre
08:57de la réparation
08:58des mémoires,
08:59c'est normal,
08:59c'est des chantiers
09:00culturels
09:01et de différents ministères
09:02et d'ailleurs,
09:02c'est des travaux
09:03interministériels.
09:04On l'a dit depuis 2017,
09:05donc Sophie Primas
09:06s'efforce de dire
09:08inéliabilité.
09:09Inaliena ?
09:10Inaliena ?
09:10Vous aussi,
09:11vous n'y arrivez pas.
09:11Mais c'est pour ça
09:12que vous êtes deux.
09:13Je n'utilise pas
09:14ce mot.
09:16PPG,
09:16je ne sais pas.
09:17Ne souhaitez pas
09:18de malheur comme ça.
09:19C'est bien,
09:20c'est un beau métier.
09:21C'est du marketing.
09:22Le marketing est un art aussi.
09:24Il faut pouvoir
09:25faire du marketing.
09:25On salue Sophie Primas
09:26qui le fait très bien.
09:29Mais non,
09:29mais voilà,
09:30c'est important.
09:31On a une histoire,
09:32je pense,
09:32qu'il faut assumer.
09:33Si ça peut réparer
09:34des cœurs
09:35et aujourd'hui,
09:36favoriser le dialogue
09:37entre nos pays alliés
09:39et notamment
09:39dans les accords
09:40sud-nord,
09:41sud-sud,
09:41etc.,
09:42il n'y a pas de problème,
09:43il n'y a pas de débat.
09:44Émilie Perrier,
09:44à l'époque de la cancel culture
09:46où finalement,
09:47notre histoire,
09:48on a tendance
09:48à la mettre dans un tiroir
09:49pour pouvoir recommencer
09:50certaines exactions
09:51ou autres.
09:52On en entend beaucoup
09:53parler en ce moment.
09:54C'est quand même
09:55un projet
09:55qui marque le coup
09:56de l'importance
09:57de l'histoire.
09:58Bien sûr,
09:59et puis en particulier
10:00de l'histoire culturelle.
10:01On a vu
10:01qu'il y a eu
10:02énormément de ruptures
10:03entre la France
10:04et ses anciennes colonies,
10:07initiées par les questions
10:08géopolitiques
10:09qui ont vraiment
10:11tendu les relations
10:12et je pense
10:13que ça peut être
10:13un motif aussi
10:15de réconciliation,
10:16de reprendre justement
10:18une histoire
10:19qui est commune
10:19en réalité.
10:21Et il faut que
10:22aussi ces biens
10:24puissent être
10:25mis en lumière
10:27auprès
10:27d'enfants français
10:29parce que
10:30malheureusement,
10:31la colonisation
10:31n'est pas assez
10:32enseignée encore
10:33aujourd'hui.
10:34Et je précise
10:35que la statue
10:35de la liberté
10:36à Paris
10:36est un cadeau
10:37donc on ne la rendra pas.
10:40Michael Sherman,
10:41pour axer justement
10:41sur l'éducation
10:42et ce qu'on transmet
10:43à nos jeunes,
10:44c'est aussi
10:45effectivement une bonne manière
10:46de leur donner à voir
10:47et de leur donner à apprendre
10:48ce qui s'est passé
10:49dans notre histoire
10:49et pourquoi c'est important
10:51de restituer
10:51certains biens
10:52effectivement,
10:53en l'occurrence.
10:53Je pense que ça participe
10:56à l'effort éducatif
10:58évidemment d'enseigner
10:59l'histoire
10:59parce qu'en fait
11:00on connaît très peu
11:01notre histoire.
11:02Il y a de nombreux sondages
11:03qui sont publiés
11:04chaque année
11:04où les enfants
11:06ne savent pas
11:06ce qu'est l'esclavage
11:07ou la Shoah
11:07ou d'autres thèmes
11:08comme ça
11:08et je pense que c'est important
11:09dans ce qu'on appelle
11:10la conjugaison des mémoires.
11:13Il y a énormément
11:13d'oppositions aujourd'hui
11:14où il y a une concurrence
11:15mémorielle.
11:16Moi dans le cadre associatif
11:17notamment avec l'association
11:18on a été reçu
11:19plusieurs fois l'Elysée
11:19dans le cadre
11:20de projets mémoriels
11:21avec Bruno Roger Petit
11:22le conseil mémoire de l'Elysée
11:23et c'est vrai qu'il y a toujours
11:24cette concurrence mémorielle
11:25où à chaque fois
11:26qu'on veut parler d'un sujet
11:27vous comprenez
11:28si on parle de ce sujet
11:29on va demander
11:30de parler de ce sujet-là
11:31et voilà
11:31je pense que le terme
11:32de conjugaison des mémoires
11:33aujourd'hui
11:34c'est un effort
11:34quel que soit
11:35les partis politiques
11:35qui est important
11:36pour justement
11:37se rappeler d'où on vient
11:38pour mieux construire l'avenir.
11:40Vous avez un doute
11:41entre QL plus vieux
11:42entre Louis XIV et Louis XVI
11:43il y a un moyen
11:43mnémotechnique simple
11:45c'est que le XVI
11:46est après le XIV.
11:46C'est ça, bravo, merci.
11:48C'est déjà l'info de Frédéric Grandel
11:50Mais si vous voulez marquer
11:51des points au bac !
11:53Sinon pour 1789
11:54il y a 789 aussi.
11:56C'est vrai aussi ?
11:56Ouais, bien !
11:58Allez, merci beaucoup
11:59Félix Mathieu !
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