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  • il y a 4 mois
C’est la mort dans l’âme que Martial et Sophie Champagne se voient contraints de baisser, d’ici un mois, le rideau de leur boulangerie, basé à Clérey, leur « bébé », qu’ils ont fait vivre 25 années durant. Trouver un repreneur leur apporterait un grand soulagement. Reportage : Anne-Claire Gross

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Transcription
00:00C'est la fin d'une belle aventure, en même temps c'est aussi un échec quand même parce que bon,
00:15être obligé de fermer quelque chose qui marche bien, c'est quand même un crève-cœur. J'approche
00:21la fin de carrière quoi et ayant des problèmes de santé pour me déplacer, je ne peux plus
00:28continuer. J'ai eu trop peur que ça s'aggrave encore et donc je préfère prendre le temps de me soigner.
00:33C'est mon nouveau bureau là-bas, c'est ma chaise à roulettes. Il y en a qui ont dit planches à roulettes,
00:41mais moi c'est ma chaise à roulettes. Par exemple, quand je suis au laminoir, je ne peux pas être
00:48dessus, ce n'est pas possible. Mais je vois le matin, je garnis la pâte à choux ou je fais ma pâte à choux,
00:54mais ça je peux arriver à faire.
01:00On se met dans grosso modo 180 pillons et puis le week-end on est à 200-230.
01:19On va essayer de rester avec tout le matériel dans l'espoir que se présente quand même un
01:24repreneur et puis après on verra, suivant la situation, s'il a besoin d'un petit coup de
01:30main ou qu'on le guide un peu pour redémarrer, on le fera gracieusement.
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