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Charte des droits et devoirs des élèves, réunions parents-profs... Les nouvelles propositions d'Elisabeth Borne seront-elles suffisantes pour endiguer la violence scolaire ?
Europe 1
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il y a 3 mois
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00:00
Europe 1, la suite sur Europe 1. Vous écoutez Clélie Mathias et aujourd'hui avec vous Clélie pour Décrypte l'actualité,
00:05
le journaliste politique au journal du dimanche, Jules Torres, et le chef du service politique chez Valeurs Actuelles, Sébastien Lumier.
00:11
C'est la rentrée des classes lundi, ça y est, pour vous aussi, bonne rentrée à vous tous les deux.
00:17
Évidemment, il y a toujours des polémiques en cette rentrée des classes, 2025 bien sûr aussi,
00:23
Elisabeth Borne a pris la parole à la fois dans une interview aux Parisiens et dans une interview à Brut.
00:29
Elle fait différentes annonces, j'aimerais qu'on revienne dessus. Vous en souriez d'avance, Jules Torres.
00:36
On a beaucoup parlé, on en parle, c'est un sujet hautement préoccupant, de la violence à l'intérieur de l'école
00:41
et aussi également aux abords des établissements scolaires. Alors Elisabeth Borne a proposé des solutions,
00:48
elle souhaite mettre en place une réunion. Écoutez-la.
00:52
Dans chaque école, dans chaque collège, dans chaque lycée, il faut absolument qu'il y ait une réunion de rentrée avec les parents
00:57
où on puisse aborder les objectifs qu'on doit porter ensemble.
01:01
La lutte contre la violence, la lutte contre la circulation des armes blanches chez les jeunes,
01:06
c'est quelque chose qu'on doit porter ensemble.
01:08
Donc je pense que c'est indispensable qu'on puisse travailler la main dans la main avec les parents
01:12
et c'est pour ça que j'ai souhaité et qu'on va mettre en place dans chaque école, dans chaque collège, dans chaque lycée,
01:19
une charte des relations école-parents pour que précisément on fixe bien les obligations,
01:26
les droits et devoirs de chacun pour accompagner au mieux les élèves.
01:30
Une charte, une réunion parents-profes. Ça y est, vous tremblez déjà ?
01:34
Je vous pose la question, je vous laisse répondre. Est-ce suffisant ?
01:38
Le problème dans ce pays, c'est qu'on a la charte facile.
01:42
C'est-à-dire qu'il y a un problème, on a un problème de République, on fait signer une charte républicaine.
01:46
On a un problème de laïcité, on fait signer une charte de la laïcité.
01:49
On a des problèmes à l'école, on fait signer une charte.
01:52
La charte, elle existe déjà, ça s'appelle le règlement intérieur.
01:54
Je pense que dans le règlement intérieur, c'est marqué qu'on ne va pas tuer une surveillante,
01:59
agresser des professeurs et qu'on respecte les autres.
02:01
Ça, ça me paraît être le bon sens. Je ne suis pas tout à fait sûr,
02:05
mais je comprends bien qu'Elisabeth Borne est dans une situation qui est extrêmement difficile.
02:09
D'abord, parce qu'on a une incertitude politique, elle n'est même pas sûre d'être là.
02:13
C'est sa première rentrée des classes.
02:14
Et peut-être la dernière.
02:15
Et peut-être la dernière, peut-être même qu'elle n'interviendra pas,
02:18
parce que la rentrée des classes, c'est quand même surtout le mois de septembre.
02:20
On a eu une année 2024 qui a été catastrophique sur le plan de l'éducation nationale,
02:25
puisqu'on a eu, je vous rappelle, cinq ministres en une seule année.
02:28
Donc, Elisabeth Borne est attendue au tournant par les syndicats,
02:32
qui lui demandent beaucoup de choses.
02:33
Et donc, elle est un petit peu obligée de faire des mesures un petit peu symboliques à droite, à gauche.
02:37
On est évidemment extrêmement marqués.
02:38
Oui, mais est-ce que les Français attendent du symbole concernant la violence à l'école ?
02:41
Non, moi je ne pense pas.
02:42
Les Français, ils veulent juste, quand on envoie leurs enfants à l'école, qu'ils s'instruisent.
02:45
Et là, peu importe d'ailleurs l'instabilité politique.
02:47
Oui, je suis d'accord avec vous.
02:49
Moi, je veux que l'école soit un endroit où on apprenne à lire,
02:53
où on apprenne à compter, où on apprenne le par cœur à réciter des choses,
02:59
mais pas qu'on signe des chartes, qu'on perde du temps avec des réunions
03:04
qui, objectivement, ne serviront à rien.
03:06
Je pense que si on veut que nos élèves soient ensuite de très bons adultes,
03:10
si on veut que nos élèves ne soient pas des personnes violentes,
03:13
je pense que ça commence par là, et on parlera de l'IA tout à l'heure.
03:17
Il y a beaucoup de sujets à l'intérieur de ça,
03:18
mais le problème, c'est qu'on ne voit pas, et on parlait de cap tout à l'heure,
03:20
quel est le cap d'Elisabeth Borne ?
03:22
La vision, vous voulez dire, pour l'école ?
03:23
Oui, il n'y a pas de vision en réalité.
03:25
Et moi, c'est ce que j'attends d'un ministre de l'Éducation nationale,
03:27
c'est qu'il y ait une grande vision.
03:28
Pour le coup, Gabriel Attal en avait un,
03:30
avec ce choc des savoirs que d'ailleurs, Mme Borne va détricoter au fur et à mesure.
03:35
Mais il y avait un cap, on voyait qu'il avait une vision pour l'école.
03:38
Là, je n'en vois pas, je vois des petites mesurettes à droite, à gauche,
03:41
donc on peut en discuter sur le fait qu'elles sont bien ou non.
03:43
En revanche, je ne vois pas de cap, et malheureusement,
03:46
je pense que s'il y a un des sujets brûlants de la rentrée,
03:49
c'est cette éducation, parce qu'on voit que nos élèves ne savent plus lire,
03:52
ne savent plus compter, et sont de plus en plus violents.
03:53
Sébastien Ligné.
03:55
Le problème, c'est qu'en réalité, vous n'allez pas régler le problème de la violence dans l'école
03:58
sans vous attaquer à la violence d'une manière générale.
04:00
De la société, en général.
04:01
Évidemment, elle commence avant le portique de l'établissement,
04:03
parfois elle se renforce dans l'établissement,
04:06
mais quand vous quittez l'école le soir,
04:08
la violence, elle est toujours avec vous, si vous voulez.
04:09
Donc le problème, c'est que c'est un problème bien plus global,
04:11
et il n'y a aucune recette miracle.
04:13
On a beaucoup entendu cette idée de faire des fouilles systématiques des sacs,
04:16
ou de mettre des portiques de sécurité à chaque entrée d'établissement,
04:19
ce qui, sur le principe, pourrait avoir des bienfaits.
04:21
C'était bien, mec, sur une surveillante, il y a quand même les élèves.
04:24
Mais déjà, les Etats-Unis montrent,
04:26
l'exemple américain vous montre que vous pouvez mettre des portiques partout,
04:29
vous pourrez toujours avoir des armes qui rentrent,
04:30
en plus, ça pose une question sociétale et philosophique,
04:33
de savoir est-ce qu'il faut vraiment rentrer dans une société de contrôle permanent
04:35
où les enfants de 6 ans sont contrôlés pour savoir s'ils ont des couteaux.
04:39
Donc de toute manière, il n'y a pas de solution miracle,
04:41
elle le sait, là où je rejoins Jules Torres,
04:42
c'est qu'au moins, essayer de dresser un cap.
04:45
Alors évidemment, quand vous êtes ministre tous les 3 mois,
04:47
c'est difficile d'imposer un cap, ça c'est clair.
04:49
Mais on a un problème de réunionnite aiguë en France,
04:52
dans tous les sujets, de toute manière.
04:54
Donc on a un problème de charte, on a un problème de réunionnite, ça fait 2...
04:57
Évidemment, mais même dans le privé.
04:59
Et le problème, c'est qu'il y a la sanction.
05:00
C'est-à-dire qu'aujourd'hui, pour virer un élève d'un établissement public,
05:04
je peux vous dire qu'il faut y aller.
05:05
C'est-à-dire que là, il faut qu'il y ait du couteau, il faut qu'il y ait de l'agression.
05:08
Et donc le problème, c'est que les élèves du public ne sont jamais sanctionnés durement.
05:12
C'est-à-dire qu'on va avoir les semaines de permanence,
05:16
on va avoir peut-être une semaine d'exclusion,
05:17
peut-être deux en cas de vraiment incident majeur.
05:21
Mais aujourd'hui, le problème, c'est qu'on refuse de sortir certains élèves dangereux
05:24
de l'établissement public, en tout cas en masse.
05:27
Et c'est la grande différence avec le privé.
05:28
Le privé, si vous n'êtes pas bon, si vous créez du désordre,
05:31
dehors, le public ne peut pas se permettre ce choix-là,
05:33
puisque évidemment, l'école publique accueille tout le monde.
05:35
Donc, de fait, ça crée un trouble de base.
05:38
C'est-à-dire que comment vous sortez un élève problématique,
05:41
parce que quand à 6, 7, 8 ans, vous avez même l'idée d'avoir un couteau dans votre sac,
05:46
pardonnez-moi, j'ai peur que certains cas soient irattrapables.
05:48
Donc comment vous faites avec un enfant de 6 ans qui ramène un couteau ?
05:52
Est-ce que sincèrement, une semaine de permanence et un contrôle continu
05:55
va rattraper les dégâts ? Je ne suis pas certain.
05:57
En fait, le vrai problème, pour revenir sur votre observation sur les chartes et la réunionnite,
06:04
c'est qu'on a le sentiment que ce sont des mesures qui sont portées pour justifier ensuite un bilan.
06:10
C'est-à-dire que quand Mme Borne, on lui posera la question,
06:12
mais qu'est-ce que vous avez fait en un an à l'éducation nationale ?
06:14
Eh bien, elle pourra dire, j'ai fait une charte, j'ai organisé la réunion.
06:18
Mais est-ce que fondamentalement, le niveau des élèves s'est amélioré ?
06:22
Est-ce que dans les classements PISA, où la France aura des pâquerettes, on est remonté ?
06:26
La réponse est non.
06:27
Vous avez vu ce qu'il dit, l'enseignant et auteur Joachim Leflocimade,
06:31
il appelle l'État à un sursaut dans l'éducation nationale.
06:34
En mathématiques, le niveau des écoliers français se situe entre celui du Kazakhstan et du Monténégro.
06:38
On n'a rien, évidemment, contre ces deux pays.
06:40
Non, on les aime beaucoup.
06:40
En français, un collégien sur deux n'a pas les compétences de base.
06:45
Et on pourrait, la liste est longue après.
06:47
Vous avez quand même 30% des élèves en sixième qui ne maîtrisent pas le français.
06:50
30% !
06:51
C'est quand même la base de l'éducation du primaire, c'est de savoir compter, écrire et lire.
06:56
Vous avez 30% des élèves qui ne savent pas lire correctement
06:58
et ne savent pas écrire correctement en français quand ils rentrent en sixième.
07:01
Si là, ce n'est pas un signe alarmiste, je ne sais pas ce qu'il vous faut plus.
07:04
Alors, est-ce que l'intelligence artificielle pourrait nous aider dans tout cela ?
07:08
Autre proposition de la part d'Elisabeth Borne.
07:10
Elle a annoncé que l'IA, donc l'intelligence artificielle, serait plus présente pour aider déjà.
07:15
Alors, il y aura des enseignements pour les élèves.
07:19
Mais déjà, pour les professeurs.
07:21
On va proposer aux professeurs une intelligence artificielle pour les accompagner dans leur métier
07:27
et notamment qui peut à la fois leur permettre de préparer les cours.
07:31
Évidemment, à la fin, c'est le professeur qui doit finaliser son cours,
07:36
mais lui débroussailler le travail, si je peux dire.
07:38
Et puis aussi, permettre de mieux comprendre ce qu'un élève a compris
07:43
et ce qu'il n'a pas compris et ce que sont ses blocages.
07:46
Après, il faut que chacun soit conscient que c'est un peu comme un cerveau auxiliaire.
07:50
Ça ne dispense pas de faire marcher son cerveau.
07:52
Ça ne dispense pas d'apprendre à raisonner, d'apprendre à réfléchir.
07:57
Et pour ça, il faut aussi avoir des connaissances.
07:59
Donc, c'est simplement un outil qu'on doit savoir bien utiliser.
08:02
Un outil qu'on doit savoir bien utiliser, Sébastien Ligné, vous êtes favorable à cette aide.
08:08
Je ne pense pas qu'on puisse aller contre le progrès technologique.
08:11
C'est-à-dire que si on reprend les débats qu'on avait eus, quand je dis 11 plutôt,
08:15
mes parents, à la fin des années 90, quand la démocratisation d'Internet et des ordinateurs était arrivée,
08:21
on disait pareil.
08:21
Est-ce que vraiment, il faut intégrer les ordinateurs et Internet dans les écoles ?
08:25
On ne pourra pas arrêter le mouvement.
08:26
L'IA va prendre une place dans nos vies et ça peut jouer un rôle de facilitateur,
08:30
notamment pour les professeurs.
08:31
Je pense que la question de l'IA avec les élèves est plus problématique dans leur apprentissage.
08:35
Mais évidemment que si les professeurs qui ont un travail colossal chez eux,
08:39
qui n'est pas payé, qui ne rentrent pas dans les heures de travail effectifs,
08:42
ce travail de correction, de préparation, s'il pouvait être aménagé un petit peu, réduit,
08:46
et qu'ils puissent avoir plus de temps pour travailler en classe,
08:49
je ne vois pas en quoi ça ne va pas dans le bon sens.
08:51
Le problème c'est que les professeurs aujourd'hui sont mal payés,
08:54
ils travaillent trop.
08:55
Je sais que ça peut être vu bizarrement parce qu'on a toujours cette image
08:58
que les professeurs ne travaillent pas et qu'ils ont un jour dans la semaine de repos.
09:01
Non, le problème c'est qu'il y a le travail effectif en classe
09:03
et il y a la charge énorme de travail quand ils rentrent chez eux de correction, de préparation.
09:07
L'IA justement, il peut aider là-dedans, les soulager.
09:10
Je pense que ça va dans le bon sens et de toute manière, l'IA va arriver.
09:13
Donc ça ne sert à rien de lutter, l'IA est déjà là, vous pouvez faire ce que vous voulez.
09:16
Jules Torres va nous dire qu'il faut faire des réglementations,
09:18
que l'IA va détruire nos vies, que les robots vont rentrer dans les classes.
09:21
Ne faites pas sa réponse, on va l'entendre, il est là.
09:23
Elle va surtout vous remplacer Sébastien Ligné.
09:26
Non, vous avez vu juste une petite parenthèse qu'au Danemark,
09:28
vous parliez de l'IA pour les élèves.
09:29
Au Danemark, certains lycéens vont pouvoir utiliser l'intelligence artificielle
09:32
à partir de 2026, l'an prochain,
09:35
pendant l'épreuve orale d'anglais du bac.
09:37
Bon là, c'est plus problématique.
09:38
Alors, Jules Torres, votre réponse, vous êtes l'IA pour les profs défavorables ?
09:43
Non, moi ça ne me dérange pas, en effet, je ne suis pas contre le progrès,
09:46
comme le dit Sébastien Ligné, mais j'ai malheureusement le sentiment
09:49
que ce genre de mesures, comme les mesures qu'on a données tout à l'heure,
09:53
sont là pour masquer l'impuissance de notre politique éducationnelle depuis 40 ans.
09:59
C'est-à-dire que le sujet des professeurs,
10:01
vous appelez un seul professeur, j'en connais beaucoup,
10:04
et vous leur dites, est-ce que ça va régler vos problèmes de mettre l'IA ?
10:07
Il n'y en a pas un seul qui va vous dire que oui.
10:09
Donc, évidemment, ça peut être une bonne chose,
10:11
mais le problème, c'est que les vrais sujets sont masqués.
10:16
Le sujet, c'est aujourd'hui qu'on forme de moins en moins bien nos professeurs,
10:20
qu'en effet, qu'ils sont mal payés, qu'ils font beaucoup trop d'heures.
10:23
Alors oui, si l'IA va permettre de soulager un petit peu les professeurs,
10:26
moi, je suis très favorable,
10:27
mais j'ai un petit peu l'impression qu'on masque tous les problèmes
10:29
avec des mesures extrêmement superfétatoires, superficielles et artificielles.
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