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Georges Fenech, ancien magistrat : «La bonne nouvelle pour les Grenoblois est qu'Eric Piolle à annoncer qu'il ne se représentait pas».

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Transcription
00:00On a l'impression en plus que c'est la survivance de la lutte des classes.
00:05– Oui.
00:05– Ces propos-là, gâteau des riches, on se demande s'ils ne vont pas arriver
00:10avec des fourches, avec, je ne sais pas, pour guillotiner,
00:12comme vous disiez tout à l'heure.
00:14Non, je crois que la bonne nouvelle, peut-être, peut-être,
00:16pour les grenoblois, c'est que M. Éric Piolle a annoncé
00:18qu'ils ne se représentaient pas.
00:21Maintenant, qu'est-ce que ça peut donner derrière,
00:23compte tenu de la sociologie nouvelle, maintenant, de cette ville,
00:26où, effectivement, on s'est évertué à conserver,
00:30comme l'a très bien dit Alain Carignan, une certaine clientèle électorale,
00:34en attirant, effectivement, par le biais des logements sociaux à outrance,
00:38on a fait une ville ouverte, très, très ouverte,
00:41à des classes sociales très défavorisées, en oubliant la mixité, d'ailleurs, finalement.
00:45Donc, voilà, et la sécurité, vous avez raison,
00:48c'est une des préoccupations premières.
00:50Ce que vous dites pour Grenoble, c'est vrai aussi pour Lyon,
00:53qui est une ville que je connais bien aussi,
00:55et qui est aussi administrée par une majorité écologiste
00:59et qui rencontre, finalement, le même genre de problème.
01:01Sous-titrage Société Radio-Canada
01:04C'est parti.

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