- 21/07/2025
Tous les soirs et pendant tout l'été, les invités de #HDProsEte débattent des grands thèmes de l'actualité
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00:00Bonsoir à tous pour l'heure des pros, Sabirina, Medjeber, Georges Fenech, Gilles-William-Hongol, Nadel et Geoffroy Lejeune.
00:08Vous savez, il y a une émission qui s'appelle « On marche sur la tête ».
00:11Et l'information que je vais vous donner n'a évidemment pas été traitée médiatiquement,
00:15mais peut-être que les téléspectateurs vont se dire « On marche sur la tête ».
00:19Dans un tweet aujourd'hui, Sarah Knafo dénonce un projet d'expertise France.
00:24Le gouvernement, dit-elle, vous demande des sacrifices, mais veut financer des projets à l'étranger.
00:30Notre économie, elle est exsangue. La gestion de nos finances publiques est catastrophique.
00:34Mais on va proposer donc une aide pour gérer les finances publiques de l'autorité palestinienne
00:38en leur demandant, écoutez bien, d'intégrer les enjeux de genre, d'égalité de genre, dans les finances publiques.
00:45Expertise France vient de publier une offre d'emploi hallucinante, dit-elle encore une fois.
00:49Il cherche à recruter, dès ce mois d'août, une chef de projet, donc c'est en écriture à l'inclusive,
00:55je ne sais pas écrire en écriture à l'inclusive, mais je crois que c'est ça,
00:57pour aller aider l'autorité palestinienne à gérer ses finances publiques.
01:02Elle précise comme si nous étions en position de donner des leçons.
01:05Et puis ensuite, elle dit, l'affiche de poste précise que l'experte devra intégrer
01:10les enjeux d'égalité de genre dans les finances publiques palestiniennes.
01:13William Golnadel, je ne trahirai pas un secret, mais vous m'avez dit à l'antenne
01:19quand je vous ai donné cette information, on est foutus.
01:22Oui, écoutez, c'est un signe de la folie, de la démence du temps.
01:28Moi, je tiens que le mois d'août, je ne fais rien, je suis partant pour le poste.
01:31Écoutez, pourquoi voulez-vous, vous avez Mme Aurore Berger qui est prête,
01:41alors qu'on n'a plus un rond, à subventionner SES Racisme,
01:45qui est déjà subventionné pour trahir, pour aller dire du mal de gens sur le net.
01:53C'est le...
01:54Enfin là, ce n'est pas Aurore Berger, c'est l'aide publique au développement.
01:57D'ailleurs, ça représente, je crois, dans le budget, 14 milliards.
01:59Voilà, 14 à 16 milliards.
02:00Mais combien il donne pour...
02:02C'est un poste qui est grassement payé, parce que vous cherchez quelqu'un d'expérimenté,
02:06qui a 10, 15 ans d'expérience, vous pouvez facilement vous retrouver en coulisses,
02:10on me disait, 10 000 euros par mois pour un tel projet.
02:13On est de la Chine, des projets chinois.
02:15Oui, non mais là, vous vous rendez...
02:16Non mais c'est-à-dire qu'on est incapable de gérer nos finances publiques et nos dépenses publiques,
02:21et c'est nous, Français, qui allons dépenser de l'argent pour donner des leçons à d'autres pays.
02:27Là, il s'avère que c'est l'autorité palestinienne.
02:30Et en plus de demander d'intégrer l'égalité de genre.
02:33Mais le Qatar, il ne pourrait pas subventionner ?
02:35Ah bah ça, demandez-leur ! Moi, je n'ai pas les contacts du Qatar, William Golnadel.
02:38Moi, cette information m'inspire deux réflexions.
02:41La première, j'aimerais, puisqu'il faut être sensible aux questions de genre,
02:46j'aimerais assister au pot d'arrivée de la chef de projet WOC,
02:50avec les cheveux violets, vous savez, le t-shirt arc-en-ciel,
02:52qui va arriver à Gaza pour aller expliquer à l'autorité palestinienne
02:55comment faire attention aux questions de genre, etc.
02:57J'aimerais voir l'accueil qu'elle va recevoir.
02:59Parce que le sort réservé aux amis de la cause WOC,
03:02là-bas, en général, c'est qu'on les pousse du haut des tours
03:03et qu'on n'en entend plus jamais parler.
03:05Et la deuxième chose, c'est le problème de Sarah Knafo.
03:07C'est que vous avez le sentiment que dès qu'elle décide de soulever un couvercle,
03:11dès qu'elle décide d'aller commencer à fouiller dans des données
03:13qui sont toutes publiques, par ailleurs,
03:15et d'aller regarder ce qui se passe avec notre argent,
03:17à chaque fois, elle déterre des dingueries.
03:19C'est de la folie.
03:20Si vous suivez Sarah Knafo au quotidien,
03:22c'est absolument ahurissant ce qui est fait avec notre argent.
03:24Ça rentre un arrêt.
03:25L'Agence française de développement, justement,
03:27est scrutée de très près.
03:28Parce qu'effectivement, il y a un bras de fer depuis très longtemps.
03:31Je sais que dans le contre-projet de Sarah Knafo
03:33pour réduire les dépenses publiques de l'État,
03:37il y a, on règle d'un trait de plume,
03:40les aides publiques au développement,
03:42qui représentent entre 14 et Sarah Knafo disait,
03:46je crois que c'est 14,9 milliards d'euros,
03:50selon elle, et vous disiez, ça peut être d'Amé Géber,
03:5316 milliards, 16 milliards.
03:54On dirait qu'il y a des projets qui aident l'Algérie aussi.
03:57Ce tweet, enfin, cette dénonciation de Mme Knafo
04:01m'inspire deux choses.
04:03D'une part, sur le fond, l'égalité de genre.
04:06Pourquoi aller jusqu'en Palestine pour promouvoir l'égalité de genre,
04:09sachant que nous avons en France des zones interdites,
04:12des territoires largement islamisés,
04:15où il n'est absolument pas question du genre,
04:18ou de la dysphorie de genre,
04:19ou ne serait-ce que déjà du rapport de l'égalité homme-femme.
04:22Donc ça fait partie, encore une fois,
04:24de ce type de projet de gauche messianiste
04:26qui se veut universaliste sur les deniers des Français.
04:30Et secondo, je ne vois pas pourquoi
04:33est-ce que la Palestine, comme l'Afghanistan,
04:36comme l'Irak, comme tous ces pays
04:38où la charia fait la loi,
04:41on doit, nous, encore une fois, les Français,
04:42devoir payer des deniers
04:45qui n'aboutiront jamais, jamais à rien
04:47sur le plan anthropologique.
04:48J'ai demandé aux services politiques
04:49de voir un peu ce qui pouvait être décrit
04:52dans le projet ou le contexte.
04:53Le projet, donc, financé par l'Agence française de développement,
04:57sur fond d'expertise technique et d'échange d'expérience,
05:00a pour objectif de contribuer à appuyer
05:02le ministère des Finances de l'Autorité palestinienne,
05:05mettre en œuvre des réformes
05:07pour renforcer le secteur de la gestion des finances publiques.
05:09Nous, on est à terre, mais on va expliquer comment faire.
05:12Comment faire pour ne plus avoir d'argent ?
05:14On va vous l'expliquer, d'ailleurs.
05:15On va payer quelqu'un pour le faire.
05:18Et ensuite, effectivement, il y a bien cette idée
05:20d'aller, objectif spécifique 4, par exemple,
05:25intégration par le ministère des Finances
05:26des enjeux d'égalité de genre
05:28dans la mise en œuvre de son plan de transformation
05:31à la fois dans ses politiques publiques
05:33et son fonctionnement, administration et services.
05:36J'ajoute que ce n'est pas pour être mauvaise langue,
05:41mais l'autorité palestinienne
05:43n'est pas un modèle d'intégrité économique.
05:47Madame Veuve Arafat est riche à milliards
05:49et à bois basse, le président actuel,
05:53ne manque pas de fonds non plus.
05:56Dans l'actualité, vous l'avez bien compris,
05:58et là on est sur un fait de société,
05:59on revient en France,
06:01notre pays est en train de craquer.
06:02Le Jd News publié mercredi dernier en une
06:06l'été de tous les dangers,
06:08sécuritaire, financier et migratoire.
06:11On va avoir une liste non exhaustive de faits
06:14qui font vraiment froid dans le dos.
06:17Ça s'est passé à Compiègne, à Nîmes, à Béziers,
06:19mais avant cela, je voudrais qu'on parle de l'île Saint-Denis
06:21puisque des policiers ont été agressés à l'ammoniaque.
06:25C'est-à-dire que vous avez des policiers
06:26qui interviennent pour un conflit de voisinage
06:28et ils se retrouvent face à une femme
06:30qui va utiliser de l'ammoniaque
06:32qui va blesser un policier en service
06:35et ensuite, évidemment, dans leur grand courage,
06:38vont tenter de s'enfuir.
06:39Écoutez la déclaration de Walid Raar
06:41qui est le délégué Alliance Police Nationale.
06:44Une bouteille d'ammoniaque a été jetée
06:46par une mère de famille.
06:47Ils intervenaient tout simplement
06:49sur un différent de voisinage.
06:51Ces différents voisinages étaient générés.
06:53On a des fonctionnaires de police qui sont blessés,
06:54qui ont été blessés même sérieusement,
06:56dont un qui a été directement impacté
06:58au niveau de ses yeux.
06:59Ça peut entraîner une vraie infirmité.
07:04Ce n'est pas anodin ce qui leur est arrivé.
07:06En effet, il a 10 jours d'ITT.
07:07Donc c'est les premières ITT.
07:08Donc il se porte malgré tout assez bien.
07:12Mais il ne faut pas négliger le choc psychologique
07:13qui engendre une telle intervention.
07:17Et c'est vraiment...
07:18En fait, il n'y a plus de petites interventions.
07:20Permettez-moi de sourire par rapport au précédent sujet
07:22parce que je pense aux téléspectateurs qui nous regardent
07:24et à quelqu'un qui m'envoie.
07:25C'est un job en or pour recaser Mme Castet.
07:31Mme Lucie Castet.
07:32Sous la houlette de Najat Vallaud-Belkacem.
07:34Donc des policiers qui sont agressés aujourd'hui
07:37à l'ammoniaque quand ils interviennent.
07:39Voilà la France dans laquelle nous sommes.
07:42Et la question qu'on se posait ce matin,
07:44c'est...
07:45Mais qu'ont-ils fait de notre pays ?
07:47Qu'ont-ils fait de la France ?
07:48Sabrina Medjeber.
07:49Ils ont fait beaucoup de mal à la France,
07:51vous savez, nos élites.
07:53Ce sont les...
07:53Ce sont les seuls responsables de cette décivilisation,
07:57de cette déliquescence au quotidien,
08:00de cette violence endémique.
08:04Les policiers agressés, malheureusement,
08:06c'est pas un phénomène...
08:07C'est même plus un phénomène de société.
08:09C'est une fresque quotidienne de décivilisation.
08:12Il n'y a plus du tout de sacré.
08:15L'autorité est disqualifiée partout.
08:17L'impunité règne partout.
08:19La violence devient de plus en plus endémique.
08:21Et puis, vous voyez, ça, c'est un exemple
08:23de la quotidienneté de ce que vivent nos forces de l'ordre.
08:26Et puis, lorsqu'ils seront interpellés,
08:27que l'enquête sera diligentée,
08:29on constatera encore une fois l'impunité
08:31qui règnera suite, encore une fois,
08:34à ce que va prononcer la justice comme peine, malheureusement.
08:37Et les modalités comme ça, l'ammoniaque,
08:39ça évoluera dans le temps.
08:40Vous savez, moi, j'ai des sources policières qui me disent
08:42que les prochaines, ce sont les voitures bêlées
08:44dans les commissariats.
08:45Et mes sources policières me disent
08:46qu'on en est encore aux prémices.
08:49On va parler justement de l'insécurité désormais en France,
08:53que ce soit à Béziers, à Limoges ou encore à Nîmes.
08:57Concernant Béziers, vous savez qu'aujourd'hui,
08:59on est obligé de mettre en place
09:01une sorte de confinement sécuritaire,
09:03à savoir un couvre-feu pour les mineurs de moins de 16 ans,
09:06entre 22h et 6h du matin.
09:08Je rappelle qu'à Béziers, 50 délinquants
09:10ont tendu un piège aux policiers et aux pompiers,
09:12accueillis par une pluie de mortiers d'artifice.
09:15Un immeuble a été touché.
09:16Bilan, 9 personnes ont été relogées d'urgence.
09:18Nos équipes sont sur le terrain.
09:19Maxime Leguay, qui nous explique un peu
09:21ce qu'il a vécu sur le terrain cet après-midi
09:23du côté de Béziers.
09:24Après le choc et la stupeur,
09:27l'heure est aux premières interrogations
09:29et aux questionnements, ici, dans les rues de Béziers.
09:32Comment avons-nous pu en arriver à une telle situation
09:35où des délinquants attirent sciemment des forces de l'ordre
09:39pour s'en prendre à eux dans un guet-apens
09:41d'une extrême violence ?
09:43Avec Florian Doré, on a posé la question aux Biterrois.
09:46Certains nous ont dit ne pas être surpris
09:49par de tels événements.
09:50D'autres nous ont confié leur écœurement.
09:52Je vous propose de les écouter.
09:54Oui, j'ai été très surpris par ce qui est arrivé.
09:56C'est vrai que quand j'ai vu ce qui s'est passé
09:58dans l'article, ça fait de plus en plus peur.
10:01On ne va pas dire que Béziers était une ville safe,
10:04mais je ne me suis jamais fait agresser
10:06à cette époque-là.
10:07Là, je ne dirais pas que c'est tous les jours,
10:10mais régulièrement,
10:11tu n'as pas un euro,
10:13et si tu dis non,
10:16tu te fais agresser.
10:18Et en centre-ville,
10:20je vous parle du centre-ville.
10:21Les forces de l'ordre et les paupiers
10:24sont là pour sauver des vies.
10:27On n'a pas à s'en prendre à eux.
10:29Ce n'est pas normal.
10:30Moi, je suis contre.
10:32Et vraiment écœurée
10:33que ça puisse se passer encore de nos jours.
10:36Je pense que nous soutenons ici,
10:38et surtout M. Ménard soutient vraiment à fond
10:40la police et les forces de l'ordre.
10:44Et je pense qu'il faut faire,
10:45il faut lutter contre l'insécurité.
10:47Malgré le renfort policier
10:49et le dispositif de sécurité
10:51qui a été mis en place
10:52pour la plupart des habitants,
10:54désormais réside une seule crainte
10:56que de tels événements
10:57se reproduisent dans les jours à venir.
11:00Avant de vous donner la parole,
11:01je voudrais juste rappeler ce chiffre.
11:02En 2017,
11:03270 000 Français victimes
11:06de violences physiques
11:07en une année.
11:08En 2024,
11:10450 000.
11:11C'est la cinquième ville de France.
11:13Il existe plus de victimes
11:14de violences physiques en 2024
11:16que d'habitants à Nice,
11:19Nantes,
11:19Strasbourg,
11:20Bordeaux
11:21ou encore Montpellier.
11:22Une fois que j'ai dit ça,
11:23qu'est-ce qu'on peut dire de plus,
11:24Georges Fenech ?
11:26Je profite de la présence
11:27de mon voisin,
11:29William Gonadel,
11:30pour rappeler qu'ensemble,
11:31nous avions créé,
11:32il y a déjà plus de quatre décennies,
11:34droit à la sécurité
11:35que j'avais rejoint.
11:37C'était quoi ?
11:38C'était un think tank ?
11:39C'était un think tank
11:40et on était taxé d'extrême droite.
11:42Mais rien que le mot
11:43droit à la sécurité,
11:44c'était criminel.
11:46Je ne fais en pas.
11:47Mais c'est un débat intéressant.
11:47Et encore,
11:48maintenant ce que vous dites,
11:49c'est-à-dire que...
11:50Non, mais vas-y.
11:51Moi, j'ai assisté
11:54en 1979,
11:56ce n'est pas d'aujourd'hui,
11:57au premier guet-apens.
12:00On a inventé le guet-apens.
12:02C'était à Vénitieux,
12:03ça s'appelait les manguettes
12:04pour ceux qui s'en souhaitent.
12:05Tout à fait.
12:05Voilà.
12:06On allumait des feux de poubelle,
12:07on faisait venir la police
12:08et on les attendait
12:09pour un caillassage.
12:0979 ?
12:10Oui, c'est le premier.
12:11C'est historique.
12:12Le premier rodéo,
12:13le premier guet-apens,
12:14c'était en 1979 à Vénitieux.
12:16Aujourd'hui,
12:17il y en a partout.
12:18Pourquoi ?
12:19Parce qu'on a tout misé
12:20avec beaucoup d'angélisme
12:22sur une politique de la ville.
12:23On va mettre de la ville,
12:25on va faire de la rénovation urbaine,
12:27on va construire des salles de sport,
12:29des salles de ceci, de cela.
12:30Ils les brûlent.
12:32Depuis 40 ans,
12:33on n'a pas appliqué la loi
12:34comme on aurait dû le faire.
12:36Voyez-vous ?
12:36Donc, ce résultat,
12:38nous, il ne nous étonne pas.
12:39William.
12:41Évidemment,
12:42on a tenté de faire quelque chose.
12:45Il y a un petit détail
12:46que tu oublies,
12:46mon cher Georges,
12:47c'est qu'en 40 ans,
12:49l'immigration,
12:50elle a progressé.
12:52Les migrants clandestins
12:54qui ne se caractérassent pas tous
12:56par un amour
12:57de la France particulier
12:58ou par le caractère pacifique
13:02et ça a explosé.
13:04En réalité,
13:05je ne veux pas être apocalyptique,
13:07mais nous sommes dans une guerre civile
13:10à sens unique
13:10ou une guerre civile à sens unique,
13:12comme vous voudrez.
13:13À sens unique.
13:14C'est-à-dire qu'ils attaquent,
13:17ils attaquent les braves gens,
13:20les Français,
13:21les policiers,
13:22tous les porteurs d'uniformes
13:24qui ressemblent à la France,
13:25sans parler évidemment
13:26du trafic de drogue.
13:28Et les Français
13:29sont non seulement impuissants,
13:32mais pardon de vous le dire,
13:33ils sont passifs.
13:34Je voudrais corriger
13:35une toute petite chose
13:37par rapport à Sabrina.
13:38Bien sûr que tu as raison,
13:40la trahison des élites,
13:41la faiblesse des élites,
13:43la stupidité des élites.
13:45Mais je rajouterais quand même,
13:46pour être juste,
13:47la passivité des Français.
13:49Et la complicité.
13:50Alors,
13:50ils ont beaucoup d'excuses,
13:52ils ont beaucoup d'excuses,
13:53les Français.
13:53Mais ça veut dire quoi,
13:54la passivité ?
13:55Qu'est-ce que vous voulez
13:55que les Français fassent ?
13:56Ah, moi, je rêverais.
13:57Pardonnez-moi,
13:58quand vous avez en bas de chez vous
13:59des gens avec des calages picoques.
14:00Comment se fait-il,
14:01M. Deval-Eliott ?
14:02Que nous,
14:03on est bien tranquille
14:04sur le plateau de Seigneault.
14:05Comment se fait-il
14:06que seule l'extrême-gauche
14:08est le monopole de la rue ?
14:10Comment se fait-il
14:11que jamais nous ayons l'idée
14:13d'aller manifester
14:15pour le droit à la sécurité,
14:16pour reprendre notre entienne ?
14:18Donc, si vous voulez,
14:19non,
14:20il y a dans cette passivité
14:21dont je ne peux pas expliquer
14:24tout à fait,
14:26une part de responsabilité.
14:27Vous pouvez parler du climat
14:28peut-être médiatique.
14:29C'est-à-dire que...
14:30Alors, alors, alors.
14:31Vous imaginez aujourd'hui...
14:32Alors.
14:33Parce que, par exemple,
14:34là, ça fait deux jours
14:34que les médias se réveillent
14:35sur les questions de sécurité.
14:37Mais c'était parler de sécurité,
14:39c'est brainwasher
14:40sur les faits divers.
14:41C'est d'être d'extrême-droite
14:42que de lier l'immigration,
14:44une partie de l'immigration
14:45et de la délinquance.
14:48Ah, ils ont dit...
14:48Je vous rappelle
14:49qu'il y en a un
14:49qui a été condamné par l'ARCOM
14:51parce qu'il a osé parler de ça.
14:53Exactement.
14:53Mais peut-être que...
14:54Alors, c'est la chaîne
14:54qui a été condamnée.
14:55Oui, ben...
14:56Merci.
14:56Je suis d'accord avec...
14:57Je le sais,
14:58j'ai vu mon 13e mois.
15:00Merci, Geoffrey Lom.
15:00Vous vous rendez compte,
15:01d'ailleurs, c'est énorme
15:02et c'est intéressant
15:02parce que, en fait,
15:04pour répondre à la question
15:05de William Teller,
15:06Georges a dit,
15:06pour commencer,
15:07déjà, il y a 40 ans,
15:08on était taxé d'extrême-droite.
15:09Je pense que le nœud,
15:10le verrou, sincèrement...
15:11Alors, peut-être que c'est
15:11parce que je suis déformé
15:12parce que c'est mon métier,
15:13mais je pense que le nœud,
15:14il est médiatique.
15:15C'est-à-dire qu'il y a
15:16un tribunal médiatique
15:18qui donne des sanctions,
15:20des condamnations
15:21qui ont une vraie incidence
15:22dans la vie.
15:23C'est-à-dire que
15:23vous pouvez être condamné,
15:30mais bien sûr,
15:32vous avez quand même
15:33réussi à rebondir.
15:34Tout le monde n'a pas
15:34réussi à rebondir.
15:35Il y a des gens
15:35qui sont restés sur le carreau
15:36parce qu'ils ont dérapé
15:37à un moment donné
15:38aux yeux d'un tribunal médiatique
15:39qui ne voulait pas
15:40qu'on dise ça.
15:40Pour moi, le verrou,
15:41il est là et aujourd'hui,
15:42ce qui est inquiétant,
15:42c'est que ce verrou
15:43est en train de s'étendre
15:44aux institutions.
15:45L'ARCOM, par exemple,
15:46aujourd'hui,
15:46c'est une excroissance
15:48de l'État
15:49qui a la possibilité
15:50de sanctionner des choses
15:51qui ne sont pas sanctionnées
15:52par les tribunaux.
15:53C'est une folie pure
15:54dans notre système.
15:55Et la vérité,
15:55c'est que c'est une intimidation
15:56incroyable.
15:57Donc, il ne faut pas étonner.
15:58Je retire le mot intimidation,
16:00j'ai trop peur de l'ARCOM.
16:02Il ne faut pas s'étonner
16:02que les Français
16:03aient été...
16:04Il y a aujourd'hui
16:04un autre espace médiatique
16:05qui est arrivé.
16:07Mais oui,
16:07c'est la nouveauté.
16:08Mais pendant 40 ans,
16:09les Français...
16:09Plus la fâcheuse sphère.
16:11Qui a d'ailleurs fait
16:12beaucoup de bien
16:12par rapport à ça.
16:13Mais ce qui est intéressant,
16:14c'est que les Français,
16:14en fait, les pauvres
16:15ont été orwellisés,
16:17domestiqués.
16:17Absolument.
16:18Alors, je vous propose
16:19d'écouter le maire de Limoges.
16:20Parce que ce qui se passe
16:21à Béziers,
16:22c'est passé à Compiègne,
16:23c'est passé à Limoges,
16:25c'est passé...
16:26Se passe un peu partout
16:27en France,
16:28dans des villes
16:28dites sans histoire.
16:31Maintenant,
16:32ces villes ont une histoire
16:34avec la délinquance,
16:35la criminalité
16:35ou le trafic de stupéfiants.
16:37Bien sûr.
16:38Je vous propose
16:38d'écouter le maire
16:39qui lève un tabou,
16:40celui de la question migratoire.
16:43J'ai vu monter
16:44les communautarismes
16:46des différentes communautés
16:48de lieux d'immigration
16:50qui s'opposaient
16:50les unes aux autres.
16:52Mais comme elles ont
16:52un noyau musulman
16:53et comme elles sont
16:54dans la difficulté,
16:55elles se liguent
16:56pour lutter
16:57et revendiquer
16:59contre la République.
17:01En plus,
17:01vous y mettez
17:02la drogue
17:03qui est devenue
17:03maintenant
17:04le vecteur minimum
17:06de survie
17:07chez des gens
17:08qui sont dans
17:09une grande pauvreté.
17:10Vous y mettez
17:11l'effet porté
17:12de la sous-culture
17:13dans laquelle
17:14on les a laissés.
17:16Il y a des enfants
17:17qui ne parlent
17:17même pas
17:18les Français
17:18qui sont scolarisés.
17:20Quand je demande
17:214 ou 5 classes
17:22supplémentaires
17:23allophones,
17:24on me répond
17:24mais vous avez
17:25ce qu'il faut
17:25circuler,
17:26il n'y a rien à voir
17:27comme dirait Coluche.
17:29Là-dessus,
17:30dit Émile Roger
17:31Lomberti,
17:32vous avez l'antrisme
17:32intégriste des musulmans
17:34et la propagande
17:35de désobéissance citoyenne
17:36qui vient se greffer
17:37en plus avec les campagnes
17:38électorales et les fiches
17:39de la gauche.
17:40On va avoir des enfants
17:40soldats dans nos cités,
17:42dit Émile Roger Lomberti.
17:44Il y a toute une organisation
17:45qui se fait
17:46et on a une société
17:48à côté de la société.
17:50Des enfants soldats.
17:51Sabrina Medjeber.
17:52C'est-à-dire qu'en fait,
17:53le communautarisme
17:54se base,
17:55se fonde sur quoi ?
17:56Sur une immigration
17:57dont la démographie
17:59est extrêmement dynamique.
18:03Cette immigration
18:04forme des contre-sociétés.
18:06Ces contre-sociétés
18:06sont concentrées
18:07dans les quartiers,
18:08les fameux quartiers politiques
18:09de la ville
18:10qui sont à la fois
18:11des clusters
18:12ethnico-religieux
18:14et à la fois
18:14des bastions idéologiques
18:15à travers lesquels
18:16les indigénistes,
18:17les délinquants,
18:18les islamistes
18:18s'y infiltrent
18:19avec la passivité
18:20et les énervies
18:21de la politique
18:21parce qu'il faudrait
18:22aussi parler de ça
18:22un jour,
18:23la complicité des élus
18:24de la politique
18:25de la ville.
18:25Mais ça,
18:26c'est un autre débat.
18:27Donc,
18:27ce qu'on voit aujourd'hui,
18:28c'est quoi ?
18:28C'est cette contre-société
18:30criminalisée
18:31qui domestique,
18:33mais ça ne date pas
18:33d'aujourd'hui.
18:34Ça fait 40 ans
18:34que c'est comme ça.
18:35Ça fait 40 ans
18:36qu'on cultive
18:36le capital guerrier
18:37des petits gamins
18:38en leur apprenant
18:39à voler des T-Max,
18:40en leur apprenant
18:40à voler dans les magasins,
18:42en leur apprenant
18:42à mépriser les lois,
18:43en leur apprenant
18:44à dire nique la France
18:45parce que c'est un slogan,
18:46ça aussi,
18:46en leur apprenant
18:47tout un tas de choses
18:48qui jouent contre nous
18:49avec en plus
18:50un discours sous-jacent
18:51de la France
18:52a humilié vos ancêtres
18:53et l'Occident
18:53est décadent et immoral.
18:55Donc,
18:55on aboutit aujourd'hui
18:56à une manne financière
18:57très importante
18:57dans les quartiers,
18:58un islamisme
18:59très prégnant
19:00dans les quartiers
19:00et quand Gilles William
19:01parle de guerre civile,
19:03larvée, etc.,
19:04moi,
19:04je crois plutôt
19:05que la prochaine guerre
19:06en France
19:06se fera entre le califat
19:08et le caïda
19:08qui pour l'instant
19:09se toise
19:10mais on risque un jour
19:11d'avoir un Al-Françalous
19:12pour dédier ce magnifiquement
19:13à mon avis,
19:14David Duquesne.
19:14On parle dans un instant
19:16et on continue de parler
19:17de ce sujet-là
19:17parce qu'il est essentiel.
19:18Vous allez voir
19:19que tous les médias,
19:20évidemment,
19:20toute la semaine,
19:21il va être question
19:21de trafic de stupéfiants
19:22mais qui osera aller
19:25en profondeur ?
19:27Tous les médias
19:28et je le dis aux téléspectateurs,
19:29je prends les téléspectateurs
19:30à témoin,
19:31tous les médias
19:31des services police-justice
19:32ont reçu un document
19:33qui s'appelle
19:33le rapport
19:34délinquance-criminalité 2024.
19:37Ça fait 188 pages.
19:39Il y a tout
19:39et dans ce document,
19:41il y a un éléphant
19:41au milieu de la pièce,
19:42c'est la question migratoire.
19:44Juste après la publicité,
19:46je vais donner
19:46les chiffres
19:48de la surreprésentation
19:49de l'immigration
19:50dans le trafic de stupéfiants.
19:52Vous allez donner
19:52la surreprésentation
19:53des étrangers ?
19:53Des étrangers.
19:54Pas des immigrés.
19:55Pardonnez-moi,
19:55des étrangers.
19:56Non mais vous avez raison.
19:58C'est une donnée
19:59qu'on n'a pas.
20:00Oui, c'est vrai.
20:00Pardonnez-moi,
20:01c'est des étrangers
20:02mais il y a une surreprésentation
20:04des étrangers
20:05dans le trafic
20:07de stupéfiants
20:07en 2024.
20:08La publicité,
20:09on revient dans un instant.
20:10On continue de parler
20:16de cette délinquance
20:17qui explose en France
20:19dans plusieurs villes
20:21et on l'a vu ce week-end,
20:23Limoges, Nîmes,
20:26on l'a vu à Béziers
20:27et également à Compiègne.
20:29Et je disais,
20:30dans la Manche bien sûr,
20:31il y a un éléphant
20:32au milieu de la pièce
20:33que les médias
20:34ne veulent pas présenter
20:35aux téléspectateurs
20:36et aux Français
20:36qui nous regardent.
20:38la question du nombre
20:40d'étrangers
20:41et de la proportion
20:42d'étrangers
20:43dans les mises en cause
20:44sur le trafic
20:45de stupéfiants
20:46en France par exemple
20:47puisqu'il est question
20:48de trafic de stupéfiants
20:49en 2024.
20:50Tous les médias,
20:51toutes les grandes chaînes
20:51d'information
20:52ont ce document
20:53qui a été publié
20:54je crois le 10 juillet dernier
20:55par le ministère
20:56de l'Intérieur.
20:57Vous avez par exemple
20:58dans le trafic
20:59de stupéfiants
21:0015%
21:01d'étrangers africains.
21:03Hors France
21:04dans l'Union Européenne
21:05c'est 3%,
21:06l'Asie 2%,
21:07Europe hors UE
21:09c'est 1%
21:10et l'Amérique 1%.
21:11Ce qui fait donc
21:1122%
21:13d'étrangers
21:14mis en cause
21:15dans le trafic
21:16de stupéfiants.
21:18Alors que les étrangers
21:18sont 8% en France.
21:20Exactement.
21:20Merci de le préciser.
21:22Donc c'est une surreprésentation.
21:24Et quand vous voyez
21:24le taux de mise en cause
21:25des étrangers africains
21:27par exemple
21:27qui représente quand même
21:2818%
21:3015%
21:31pardonnez-moi
21:31le taux
21:32je parle du taux
21:33de mise en cause
21:34africain
21:34par rapport à celui
21:35des français
21:36il est 5 fois supérieur.
21:38Et vous ne comptez pas
21:39parce que vous n'avez pas
21:40le droit de les compter
21:41les français
21:43issus de l'immigration.
21:45Et j'ai la faiblesse
21:46de penser
21:46qu'il y en a quelques-uns.
21:47Autre chiffre essentiel.
21:49Moi je l'ai fait.
21:50Autre chiffre.
21:50Même si c'est interdit
21:51je l'ai fait.
21:52Oui alors vu que c'est interdit
21:53on ne va pas
21:53vous allez publier
21:54un livre là-dessus
21:55s'il vous plaît.
21:56N'ayez pas peur.
21:56Ah non mais je n'ai pas peur.
21:57Je n'ai pas peur.
21:58Je tiens à mon 13ème mois.
22:00Vous êtes gentil.
22:01Il n'a pas peur
22:02mais il est un peu crainti.
22:03C'est très intéressant
22:04parce que
22:04c'est quoi la méthode ?
22:05Comment vous faites ?
22:07Comment vous faites ?
22:08Je dis l'après.
22:09Mais non parce que je sais
22:09comment vous faites
22:10puisque vous êtes allé
22:10dans les prisons.
22:11Bien sûr.
22:12Voilà.
22:13Mais je suis allé
22:13et je les mettais en prison.
22:15Donc je sais très bien
22:16qui il y avait en prison.
22:17Et tout cela a été confirmé
22:18par effectivement
22:19Parade-Crosse-Roccovar
22:20qui a travaillé sur les prisons
22:21absolument.
22:22de qui fait Ramadan
22:24qui mange ceci
22:25qui fait le culte
22:26etc.
22:28Et en gros
22:28on est autour de 70%
22:30dans les prisons françaises.
22:31Et on peut citer aussi
22:32Hugues Lagrange
22:32qui n'est pas un sociologue
22:34d'extrême droite.
22:34Entre ceux qui sont étrangers
22:3525%
22:36plus ceux qui sont issus
22:38directement d'immigration
22:39et qui ont acquis
22:40la nationalité
22:41vous avez un total
22:42de 70%
22:43dans nos prisons.
22:44Et c'est les chiffres
22:45que vous présentez.
22:47Je ne suis pas le style
22:49d'avoir peur
22:50de parler d'un sujet.
22:51La France est peut-être
22:51le seul pays
22:52maintenant en Europe
22:53avec quelques-uns
22:54et dans le monde
22:55à interdire
22:56les statistiques ethniques.
22:58Je n'ai ni peur
22:58ni sur...
22:59Mais pourquoi
22:59quand vous étiez
23:00aux affaires
23:01vous ne l'avez pas sorti ?
23:02Il a éditionné.
23:04Je l'ai fait encore
23:04dans un de mes derniers livres.
23:05Non mais moi
23:06je ne vous parle pas...
23:06Pardonnez-moi
23:07quand vous étiez aux affaires
23:08vous avez été député
23:09Georges ?
23:09Mais Jean, on le disait.
23:10Ah vous le disiez ?
23:11Ok.
23:11La question qui...
23:12Il l'avait éditionné
23:14par un gros progrès.
23:15Pourquoi vous n'avez pas
23:16déposé un projet de loi ?
23:17Pour faire quoi ?
23:19Pour faire quoi ?
23:21Pour ne plus que les statistiques ethniques
23:26soient prohibées.
23:27Bah oui ?
23:27Vous étiez député monsieur ?
23:29On avait peur de la presse.
23:30Ah donc vous
23:31vous aviez peur ?
23:31Mais oui
23:32on avait peur de la presse.
23:33L'inversion accusatoire.
23:36Mais oui
23:37j'engageais un groupe politique.
23:38Geoffroy Lejeune.
23:39Mais il faut...
23:40Les gens comprennent
23:41ce qui s'est passé
23:42sur ce sujet.
23:43Moi je me souviens
23:43quand Georges était...
23:45Alors Georges avait été
23:45plusieurs fois député
23:46mais sous le quinquennat
23:47de Nicolas Sarkozy
23:48il y a eu une cabane
23:48notamment menée par Le Monde
23:49parce que la réflexion existait
23:51au sein du groupe UMP
23:52pour empêcher que ce débat
23:53ait lieu sur les statistiques ethniques.
23:55Maintenant il faut imaginer
23:55si vous voulez avoir
23:57un aperçu statistique
23:58de ce que représentent
23:59les gens français
24:00issus de l'immigration
24:01dans la délinquance
24:02il faut être parlementaire
24:03parce que vous avez accès aux prisons
24:04ce qui n'est pas le cas
24:05des citoyens normaux.
24:06Et vous pouvez regarder
24:07moi j'ai fait ça beaucoup
24:08vous pouvez chercher
24:09toutes les statistiques
24:10publiées en France
24:10vous n'avez pas
24:11la possibilité de le dire.
24:13Donc si vous dites
24:14la phrase suivante
24:15les français issus
24:16d'immigration
24:16sont davantage délinquants
24:17que les français
24:18non issus d'immigration
24:19vous êtes condamné
24:20par la justice
24:20automatiquement
24:21on vous dit
24:21vous ne pouvez pas le prouver
24:22et c'est vrai.
24:23Il faudrait inviter
24:24Jean Séville à cette semaine
24:25le terrorisme intellectuel
24:26vous me faites
24:27quand je vous écoute
24:28et Georges et Geoffroy
24:29on va inviter cette semaine
24:31Jean Séville à
24:31le terrorisme intellectuel
24:33j'ai une pensée aussi
24:34pour Georges Bensoussan
24:35les territoires perdus
24:36de la République
24:362002
24:37j'ai une pensée
24:38pour Laurent Oberton
24:392013
24:40la France Orange Mécanique
24:41l'autre chiffre
24:42document de 188 pages
24:43tous les médias
24:44ont ce document
24:46à disposition
24:47les chiffres de 2024
24:48il y a un chiffre
24:49qui est essentiel
24:50sur le trafic
24:50encore une fois
24:51de stupéfiants
24:52quand vous voyez
24:53par exemple
24:53le nombre de mises en cause
24:55et le pourcentage
24:5613 à 17 ans
24:58les délinquants
24:59âgés de 13 à 17 ans
25:01ils représentent
25:0219%
25:03des mises en cause
25:05dans le trafic
25:06de stupéfiants
25:061 sur 5
25:07vous imaginez
25:081 sur 5
25:1013 à 17 ans
25:11écoutez Henri Guenot
25:12il parlait de la délinquance
25:13des jeunes
25:13là on est sur le trafic
25:15de stupéfiants
25:16je vous dis
25:16toutes les délinquances
25:17confondues
25:17à mineurs
25:18c'est 1 sur 5
25:19mais vous vous rendez compte
25:2013 à 17 ans
25:21écoutons Henri Guenot
25:23c'est pas un nouveau phénomène
25:25c'est la suite du reste
25:26sur lequel
25:28qu'on n'a pas traité
25:29avec sérieux
25:29depuis 20 ans
25:30ou 30 ans
25:31et quand on disait
25:32faites attention
25:33cette violence
25:35notamment la violence physique
25:36passage à l'acte
25:37est en train
25:37de tout dévorer
25:39et un jour
25:39elle va finir
25:41par dévorer tout le monde
25:42parce que là
25:43il y a effectivement
25:43l'organisation
25:44qui petit à petit
25:45ils se sont organisés
25:47ça s'est solidifié
25:48et puis il y a
25:48la force d'entraînement
25:49de la violence collective
25:50dans les émeutes de 2023
25:52il n'y avait pas
25:53que les gens organisés
25:53il y avait des gens
25:54qui n'avaient jamais été
25:55violents de leur vie
25:55qui n'avaient rien à voir
25:56avec ça
25:57mais qui se sont laissés
25:57aspirer par cette violence
25:58collective
25:59c'est ce phénomène là
26:01qui est terrible
26:01et qu'il faut absolument
26:02casser
26:03toute cette violence
26:03collective
26:04elle demande à la fois
26:06qu'on soigne les causes
26:07bien sûr
26:07notamment l'éducation
26:08et aussi qu'on arrête
26:10qu'on essaie d'enrayer
26:12ce mouvement
26:13cet engrenage
26:14vers une violence
26:15qui va encore une fois
26:16tout dévorer
26:17C'est bien aussi de parler
26:18de la question migratoire
26:19le rapport confidentiel
26:21de l'OFAST
26:21vient d'être publié
26:23par nos confrères
26:23de Valeurs Actuelles
26:24je vous lis
26:25une des citations
26:26en 2025
26:26à l'exception notable
26:28des groupes criminels
26:28organisés corse
26:29et de certains clans
26:30criminalisés
26:30des gens du voyage
26:31il ne reste plus
26:32de trafiquants issus
26:33du haut du spectre
26:34traditionnel
26:35les acteurs français
26:36de stupéfiants
26:37qui menacent le plus
26:38la sécurité nationale
26:39sont tous issus
26:41du processus
26:42de structuration criminelle
26:43des trafiquants
26:44de cannabis marocains
26:45originaires des cités
26:46eux-mêmes
26:47ou leurs familles
26:48en grande partie
26:49issues de l'immigration
26:49en provenance d'Afrique du Nord
26:51et dans une moindre mesure
26:52d'Afrique subsaharienne
26:54c'est l'OFAST
26:55qui le dit
26:56dans un rapport confidentiel
26:58C'est là-dessus
26:58que ça nous a été condamné
26:59à cause de moi
27:00C'est précisément là-dessus
27:02Bah envoyez ça
27:02monsieur
27:03comment il s'appelle
27:04figurez-vous
27:05alors il n'était pas là
27:05Roque-Olivier Mestre
27:06c'est plus lui maintenant
27:07Bah je sais
27:08il est à la Cour des Comptes
27:0870 ans
27:10il est à la Cour des Comptes
27:10Donc saluons d'ailleurs
27:12monsieur Roque-Olivier Mestre
27:14Il faut en plus
27:15ajouter
27:17que le milieu
27:19n'est plus ce qu'il était
27:20ou plutôt
27:21il n'y a plus de milieu
27:22Là vous parliez
27:23de clans
27:23d'origine française
27:25de tradition
27:26le propre maintenant
27:28de ces clans étrangers
27:30c'est de ne plus rien respecter
27:33c'est-à-dire
27:33ils tirent sur les avocats
27:34ils tirent sur les flics
27:35et ils se tirent sur eux-mêmes
27:37c'est-à-dire
27:38on est dans un système
27:43totalement sans loi
27:45même à l'intérieur
27:46de ces clans
27:46donc ils sont capables
27:48de tout
27:48ils sont capables
27:50de tout
27:51et ils peuvent frapper
27:52partout
27:52avant c'était
27:53dans certains quartiers
27:55de grandes villes
27:55aujourd'hui
27:56ça peut être
27:57dans des villes moyennes
27:58ce qui s'est passé
27:59à Nîmes
27:59la semaine dernière
28:00est une scène
28:01digne d'un acte terroriste
28:03quand vous ligotez
28:04un individu
28:04que vous le brûlez
28:06après lui avoir mis
28:08trois balles dans la tête
28:09tout en filmant la scène
28:10et la diffusant
28:11sur les réseaux sociaux
28:12on n'est pas à Bogota
28:13on est dans un quartier
28:15dans un quartier de Nîmes
28:16Georges Fenner
28:17alors on va voir
28:17ce que va donner
28:19cette loi
28:19d'initiative sénatoriale
28:21sur la lutte
28:22contre le narcotrafic
28:24avec notamment
28:25la création
28:25d'un parquet national
28:26anti-drogue
28:27en quelque sorte
28:28et des moyens nouveaux
28:29avec des dispositifs nouveaux
28:31il était temps
28:32on a perdu
28:32beaucoup de temps
28:33car le risque
28:35on parle souvent
28:35d'une mexicanisation
28:37nous y sommes pratiquement
28:38entre les règlements de comptes
28:40entre les menaces
28:41contre l'ordre public
28:42contre les pénitentiaires
28:43contre la corruption
28:44etc.
28:45on y est
28:46à petite échelle
28:47par rapport au Mexique
28:48mais si on ne fait rien
28:49on pourrait un jour y arriver
28:50dans l'actualité
28:52également
28:53en ce moment
28:54et là on passe
28:55à un tout autre sujet
28:56on va parler
28:56de la loi Duplomb
28:58et je vois
28:59qu'il y a quand même
29:00un réveil
29:00du côté
29:01d'élus
29:02renaissance
29:03de responsables
29:04de droite
29:05que ce soit
29:06de Marine Le Pen
29:07ou encore Laurent Wauquiez
29:08il va peut-être
29:10falloir arrêter
29:11de prendre les gens
29:12pour des imbéciles
29:13par rapport à une loi
29:14qui a été votée
29:15au Sénat
29:16à l'Assemblée Nationale
29:17avec un pesticide
29:20qui est accepté
29:21dans 26
29:22des 27 pays
29:23de l'Union Européenne
29:24avec des agriculteurs
29:26qui sont favorables
29:26à l'utilisation
29:27et qui connaissent
29:28un tout petit peu
29:28leur terre
29:29sauf qu'il y a
29:30un immense coup
29:31de communication
29:32de la gauche radicale
29:34et les médias
29:35foncent
29:36droit devant
29:36donc je vous propose
29:38de voir le sujet
29:38de Charlotte Diry
29:39et j'ai hâte
29:40d'avoir votre analyse
29:41sur ce sujet
29:42Ils ne sont pas
29:44à l'origine
29:44de cette pétition
29:45Pourtant
29:46la gauche
29:47et les écologistes
29:47en profitent
29:48pour crier au scandale
29:49Leur but
29:50diaboliser ce pesticide
29:52utilisé partout en Europe
29:53sauf en France
29:54depuis 2018
29:55Pour Laurent Duplomb
29:56sénateur LR
29:57à l'origine de la loi
29:58cette pétition
30:00n'est qu'un prétexte
30:00pour mettre la pression
30:01sur le Conseil constitutionnel
30:03Je ne suis pas sûr
30:04que si elle
30:05n'avait pas été
30:06instrumentalisée
30:07par l'extrême gauche
30:08et par les écologistes
30:09les Français
30:10se seraient saisis
30:11de cette pétition
30:11de façon spontanée
30:13et auraient autant signé
30:15Du côté de la droite
30:16qui a largement voté
30:17en faveur de cette loi
30:18la porte reste ouverte
30:20à un éventuel débat
30:21parlementaire
30:21sans pour autant
30:23donner raison à la gauche
30:24Nous refusons
30:25que la propagande
30:26des gauches
30:27puisse laisser imaginer
30:28à nos compatriotes
30:29que cette loi
30:29menace leur santé
30:30et notre environnement
30:31La ministre de l'Agriculture
30:33Annie Gennevard
30:34a assuré
30:34que le gouvernement
30:35était pleinement disponible
30:36dans la perspective
30:37d'un débat parlementaire
30:38sur la pétition
30:39Yaël Braun-Bivet
30:41elle
30:41se dit favorable
30:42à un débat
30:43à l'Assemblée nationale
30:44mais affirme
30:45qu'il ne pourra
30:45revenir sur la loi votée
30:47La gauche
30:48quant à elle
30:48promet de se mobiliser
30:49au Parlement
30:50à l'automne prochain
30:51Geoffroy Lejeune
30:53vous connaissez un peu
30:55les coulisses
30:55et ensuite
30:56on ira vraiment
30:56vers le député
30:57expérimenté bien sûr
30:58mais le journaliste
31:00le traitement médiatique
31:01qui en est fait
31:02Oui c'est ça
31:02surtout qui m'intéresse
31:03Oui
31:04Non mais parce que
31:04sur la loi
31:05moi je suis intéressé
31:06aussi par le débat
31:07même si je suis plutôt favorable
31:07parce que je suis du côté
31:08des agriculteurs
31:09mais qu'il y ait des débats
31:10ça ne me dérange pas
31:10moi c'est sur
31:11l'utilisation des pétitions
31:12en fait ça on considère
31:13qu'une pétition
31:14vaut quelque chose
31:14en démocratie
31:15et à ce moment là
31:16on va s'amuser
31:16moi j'ai plein d'idées
31:17de pétitions
31:18il y en a eu une
31:18qui a fait plusieurs centaines
31:19de milliers de signatures
31:20l'année dernière
31:20contre la fermeture de C8
31:21demain on lance
31:23une grande pétition
31:23mais c'est ça
31:24il y en a eu une
31:25en 2013
31:26il y a eu 700 000 signatures
31:28contre le manège pour tous
31:28c'était envoyé devant le CESE
31:30le CESE normalement
31:31est censé se saisir
31:32des pétitions
31:32à partir d'un certain seuil
31:34le seuil était dépassé
31:35le CESE l'a envoyé
31:36à la poubelle
31:36si demain on s'amuse
31:38nous là juste
31:39tous les cinq
31:39à lancer une grande pétition
31:40nationale contre l'immigration
31:41on n'aura plus
31:42d'un million de signatures
31:43croyez moi
31:43et à ce moment là
31:44si la pétition a une valeur
31:45démocratique
31:46et qu'elle engage un débat
31:47etc
31:47mais moi je suis votre homme
31:48il n'y a pas de problème
31:49et si par contre
31:50on la piétine
31:51quand ça ne nous arrange pas
31:52et bien piétinons cette pétition
31:53on s'en fiche royalement
31:54mais vous remarquerez
31:55que les médias s'intéressent
31:56à un seul type de pétition
31:58et attendez
31:58qui a parlé de la pétition
31:59sur C8
32:00et la fermeture de C8
32:01vous avez tellement raison
32:02Geoffroy Lejeune
32:02de le préciser
32:04j'avais déjà oublié
32:05cette pétition
32:06qui a pris un million et demi
32:07de signataires
32:09et je pense
32:11que les téléspectateurs
32:11sont d'accord avec vous
32:12c'est-à-dire qu'on reste
32:13très prudent
32:14sur cette utilisation
32:17d'un pesticide
32:18mais on ne peut que constater
32:19que sur les 27 pays
32:21de l'Union Européenne
32:22la France est le seul
32:23et qu'il n'y a pas
32:23de scientifiques européens
32:24qui ont alerté
32:25un témoignage
32:26allez-y
32:27un témoignage
32:28sur France Inter
32:30ça ne va pas vous détonner
32:31sur France Inter
32:32j'ai vu
32:33je m'inquiétais
32:34vous n'aviez pas prononcé
32:35France Inter
32:35depuis le début de l'émission
32:36je veux vous dire
32:37c'est clair
32:38c'est le client
32:40de France Inter
32:40qui parle
32:41j'ai vu
32:42progresser
32:44la pétition
32:45à coups de 10 000
32:4720 000
32:4830 000
32:48ils annonçaient
32:49sur un air enjoué
32:50ça y est
32:51on en a 200 000
32:52300 000
32:53400 000
32:53500 000
32:54et je jure également
32:56que tous les scientifiques
32:59qui ont été
33:00que j'ai entendu
33:02sur les antennes publiques
33:05toutes
33:05alors même qu'on sait
33:07qu'il y a un débat
33:08entre scientifiques
33:09que je suis incapable
33:10de trancher
33:10personnellement
33:11entre ceux
33:12qui considèrent
33:13que le produit
33:15est nocif
33:15et ceux
33:16qui considèrent
33:16qu'il ne l'est pas
33:17tous
33:18aller dans le même sens
33:20il est nocif
33:21donc
33:21bon
33:22écoutez
33:23c'est quelque chose
33:24qui a été effectivement
33:25monté médiatiquement
33:26mais monté médiatiquement
33:28par le duit
33:29on devient
33:30il y a un climat
33:31qui confine
33:32véritablement
33:33parfois
33:34à l'irrationnel
33:35vous avez des parlementaires
33:36qui sont visés
33:37par des menaces
33:38ou des dégradations
33:39de leur permanence
33:40et Gérald Darmanin
33:42a dénoncé
33:42ce lundi matin
33:43des menaces inacceptables
33:45et va ainsi demander
33:46une grande fermeté
33:47au procureur de la république
33:49pour une loi
33:50qui a été votée
33:50au parlement
33:51justement
33:51on va être bientôt
33:53devant une vérité démocratique
33:55est-ce que
33:55le président de la république
33:57va promulguer la loi ?
34:00la loi est toujours pas promulguée
34:01donc elle ne s'applique pas
34:02et si on se souvient
34:04François Mitterrand
34:05des fois
34:06il ne promulguait pas
34:07une loi qui ne lui plaisait pas
34:08donc là
34:09on a vraiment
34:10un moment de vérité
34:11et ce que pourrait faire
34:12le président
34:12vous le savez
34:13s'il ne promulguait
34:14il peut demander
34:14une deuxième vote
34:15à l'Assemblée nationale
34:16voyez-vous
34:17donc moi je suis pour
34:19qu'on applique la loi
34:20qui a été votée
34:21qu'il y ait des pétitions
34:22qu'il y ait un débat
34:23pourquoi pas
34:23mais il faut appliquer la loi
34:25Laurent Wauquiez
34:26stop à l'hypocrisie
34:27de ceux qui défendent
34:28l'environnement
34:29en tuant l'agriculture française
34:31et en ne trouvant
34:32rien à redire
34:32à tous les produits
34:34catastrophiques
34:35que l'on importe
34:35de l'étranger
34:36la seule ambition
34:37de la loi
34:38Laurent Duplomb
34:39qui est en plus
34:40un exploitant agricole
34:41c'est de défendre
34:43l'agriculture française
34:44qui est une des plus
34:45respectueuses
34:46au monde
34:46de l'environnement
34:47ils n'en ont rien à péter
34:51des paysans
34:53françouillards
34:54et bien
34:54tiens vous me faites
34:55la transition
34:56Jean-Michel transition
34:57merci beaucoup
34:58rien à péter
34:58une semaine après
35:00sa déclaration
35:00Sandrine Rousseau
35:02tiens
35:02Sandrine Rousseau
35:03une semaine après
35:03sa déclaration
35:04rien à péter
35:05de la rentabilité
35:06des agriculteurs
35:07à propos de l'histoire
35:08de l'affaire
35:09et de la loi Duplomb
35:11est-ce que Sandrine Rousseau
35:12a présenté ses excuses
35:14ce matin
35:15sur France Info
35:16j'avais dit
35:17dans mon édito
35:18la semaine dernière
35:18une semaine jour pour jour
35:19elle aura toujours
35:21son rond de serviette
35:22dans les grands médias
35:23Sandrine Rousseau
35:23même si elle s'attaque
35:25de cette manière là
35:26aux agriculteurs
35:27une semaine plus tard
35:28Madame Rousseau
35:30sur France Info
35:31au contraire
35:32dans le cadre de la politique
35:34les agriculteurs
35:34ne veulent plus se sentir
35:35insultée
35:36on parle aussi
35:36d'argent sale
35:37ça va très loin
35:38oui quand on fait
35:39de la rentabilité
35:41pour de l'agro-industrie
35:43et qu'on le fait
35:44au détriment
35:45de la santé
35:46des personnes
35:47parce que
35:48l'acétamipride
35:49ça pénètre
35:51l'eau
35:51enfin c'est présent
35:53dans l'eau
35:53c'est même présent
35:54dans l'eau de pluie
35:54dans les nuages
35:55c'est-à-dire qu'on en a retrouvé
35:57dans l'eau qui tombait
35:58du ciel
35:58de l'acétamipride
35:59donc quand on fait
36:01quand on joue
36:02avec la santé des gens
36:03comme ça
36:03et quand on fait
36:04de la rentabilité
36:05au mépris
36:06de la santé des gens
36:07alors oui
36:07c'est de l'argent sale
36:08elle continue
36:09elle persiste
36:10et Elcine
36:11oui c'est de l'argent sale
36:12rien à péter
36:13elle ne présentera
36:14jamais ses excuses
36:15Geoffroy Lejeun
36:16vous avez remarqué
36:16la gauche
36:17est le seul camp
36:18autorisé
36:18à ne jamais présenter
36:19d'excuses
36:20la notion de dérapage
36:21n'existe pas à gauche
36:22vous dérapez jamais
36:23vous dites quelque chose
36:24peut-être de manière
36:25un peu excessive
36:26etc
36:26et vous n'êtes jamais
36:27abandonné par les vôtres
36:28y compris quand vous dérapez
36:29vous avez passé
36:30parce que je vous ai pas mal
36:31regardé ces derniers jours
36:31Elliot
36:31j'avais passé un extrait
36:33d'un député écologiste
36:35qui a interrogé
36:35à ce sujet là
36:36qui dit oui mais
36:37j'ai pas vraiment entendu
36:38ce qu'elle a dit
36:39peut-être qu'elle l'a dit
36:40de manière un peu excessive
36:41Benjamin Lucas
36:42vous voulez qu'on l'écoute
36:43Benjamin Lucas
36:44c'était ce matin
36:45c'est très drôle
36:46on le réécoute justement
36:47moi je ne dis pas cela
36:50moi j'entends
36:52j'ai pas la phrase exacte
36:54et la totalité du propos
36:56de Sandrine sous les yeux
36:57donc je vais pas alimenter ici
36:59avec elle une polémique
37:00ce que je dis
37:01c'est que nous sommes
37:01l'ensemble des députés
37:02du groupe écologiste et social
37:04attachés aux conditions de vie
37:06aux conditions de travail
37:07de nos agricultrices
37:08et nos agriculteurs
37:09ils nous nourrissent
37:09ils sont essentiels
37:10la France est une grande
37:12nation agricole
37:12elle doit le rester
37:13donc il faut un vrai soutien
37:14à nos agriculteurs
37:15ce n'est pas ce que fait
37:16la loi du plomb
37:17la loi du plomb
37:17elle est une loi de soutien
37:19au poison
37:19à l'agrochimie
37:20elle n'est pas une loi
37:21de soutien au pouvoir d'achat
37:22et aux conditions de travail
37:23des agriculteurs
37:24vous vous souvenez
37:25des OGM
37:26quand on ne parle plus
37:27des OGM
37:28on ne parle plus
37:29des OGM
37:30c'est fini
37:31ils nous font le même coup
37:32si ça se trouve avec ça
37:33je voulais juste terminer
37:34sur cette comparaison
37:35pardon William
37:35quand vous dérapez à gauche
37:38il n'y a aucune pression médiatique
37:39tout le monde peut
37:41gentiment dire
37:42que vous êtes allé
37:43un peu loin
37:43quand vous dérapez à droite
37:44la pression médiatique est telle
37:45je vais vous raconter
37:46une anecdote
37:46moi j'étais en plateau
37:48avec Nadine Morano
37:48le jour où elle avait cité
37:49le général de Gaulle
37:50sur la France
37:52pays de race blanche
37:53j'ai assisté dans les jours
37:54qui avaient suivi
37:55au lâchage généralisé
37:57il n'y a pas un homme politique
37:58de droite
37:59qui l'avait défendu
38:00on était 4 ou 5
38:01à dire qu'elle citait
38:03le général de Gaulle
38:04qu'elle avait le droit
38:04de le penser
38:04elle s'est fait lâcher
38:06par tout son camp
38:07et même par les autres
38:08parties de droite
38:08parce que la pression médiatique
38:09était tellement violente
38:11la peur
38:11on revient à la peur
38:13répéter l'insistance
38:15vous étiez un homme politique
38:15de droite pendant une semaine
38:16si vous alliez sur un plateau
38:17on vous disait
38:17Nadine Morano
38:18est-ce que vous lâchez
38:19est-ce que vous l'avez lâché
38:20et il fallait dire oui
38:21sinon vous étiez avec elle
38:22dans la fosse au lion
38:23ce climat
38:24c'est tellement vrai
38:24ce que vous dites
38:25les choses ont quand même
38:27un peu évolué
38:27un peu
38:28légèrement
38:30légèrement
38:31en tous les cas
38:32revenons sur ce climat
38:33en France
38:34où on bascule
38:35dans la haine
38:36dans l'irrationnel
38:37je ne sais pas
38:38si vous avez vu
38:39ce qui s'est passé
38:39à l'aéroport Roissy
38:40Charles de Gaulle
38:41une hôtesse de sécurité
38:43c'est un autre sujet
38:45mais ça correspond là aussi
38:46l'antisémitisme décomplexé
38:48l'antisionisme
38:49teinté d'antisémitisme
38:50en train de dire
38:52Free Palestine
38:52a un groupe
38:53c'est des garçons
38:54c'est des enfants
38:54à qui elle dit ça
38:56auquel elle restituait
38:58leur passeport
38:59et ils ont été bloqués
39:00pendant un temps
39:01justement
39:02c'est une scène
39:03qui a été beaucoup choquée
39:04sur les réseaux sociaux
39:05ADP a affirmé
39:07qu'un tel agissement
39:08ne correspondait pas
39:09aux valeurs de l'aéroport
39:10faisons le point
39:11avec Alice Sommerer
39:12sur ces images
39:17un groupe de jeunes patients
39:18pour embarquer
39:19ils attendent
39:20que cette agente
39:21ici en uniforme
39:23leur rende
39:23leur papier d'identité
39:24ce qu'elle fait
39:25avant de leur déclarer
39:27tour à tour
39:28Free Palestine
39:28les témoins ont rapporté
39:36que ces adolescents
39:37possédaient
39:38des passeports israéliens
39:39et que l'agente
39:40les aurait gardés
39:40plus longtemps
39:41que la normale
39:42sans justification
39:43un contrôle régulier
39:44selon l'aéroport de Paris
39:46qui contacté
39:47par nos confrères
39:47du Figaro
39:48a assuré
39:48qu'il est d'usage
39:49d'effectuer
39:50des vérifications
39:51plus poussées
39:51lorsqu'il s'agit
39:52de vols sensibles
39:53l'aéroport a cependant
39:54indiqué sur X
39:55que cet incident
39:56ne serait pas laissé
39:57sans suite
39:58une enquête est en cours
39:59pour confirmer
40:00que cet incident
40:00s'est bien passé
40:01sur un aéroport parisien
40:03si ce devait être le cas
40:04l'attitude de cet employé
40:06qui appartient
40:06ni au groupe ADP
40:07ni à un de ses prestataires
40:09à ce niveau
40:09du parcours passager
40:10serait bien sûr
40:11inacceptable
40:12la scène a été
40:13largement relayée
40:14sur les réseaux sociaux
40:16et a suscité
40:16l'indignation
40:17des internautes
40:18contacté par notre rédaction
40:20le groupe des aéroports
40:21de Paris
40:22n'a pas souhaité
40:22apporter plus de précisions
40:24sur la suite
40:24de cet incident
40:25s'il y a de tels agissements
40:27c'est aussi parce qu'il y a
40:28je le rappelle
40:29un climat
40:30et parfois un climat
40:31qui est relayé
40:32dans les médias
40:33je suis tombé de ma chaise
40:34quand j'ai vu cet article
40:35du Monde
40:36publié
40:37si je ne dis pas de bêtises
40:39la semaine dernière
40:41ou ce week-end
40:45des Israéliens
40:46au spectacle de l'enfer
40:48de Gaza
40:50le titre
40:51près de Jderot
40:52un promontoire
40:53transformé
40:53en mémorial
40:54du 7 octobre
40:55surplombe
40:56l'enclave bombardée
40:58et en fait
40:59ils expliquent
41:00que des gens
41:01viennent prendre des bières
41:02pour assister
41:03à la guerre en face
41:03cette photo par exemple
41:05elle a été relayée
41:07et reprise
41:07par la France Insoumise
41:08et notamment
41:09par Émeric Caron
41:10et que dit Émeric Caron
41:11les Israéliens
41:13vont boire un verre
41:14en contemplant
41:14le génocide en cours
41:15à Gaza
41:16le meilleur spectacle
41:18en ville
41:18entre guillemets
41:19et après
41:20il ne faudrait pas
41:21comparer cela
41:21aux nazis
41:22comment voulez-vous
41:23qu'après dans la société
41:25avec de tels discours
41:26vous ne vous retrouviez pas
41:28avec des situations
41:28et encore
41:29ce qui s'est passé
41:30à l'aéroport
41:31c'est le degré
41:32quasiment zéro
41:34de ce qu'on peut vivre
41:35sur le sol français
41:36depuis le 7 octobre
41:37pardon
41:37c'est le climat
41:38le climat
41:39vous savez
41:40quand vous avez
41:40oui c'est l'antisémitisme
41:41d'atmosphère
41:41quand vous avez
41:42deux partis politiques
41:44d'extrême gauche
41:45qui se réjouissent
41:46parce qu'un terroriste
41:48est décrit
41:49comme un détenu politique
41:51alors que c'est un tour de juif
41:53est mis en liberté
41:55vous avez compris
41:56que depuis
41:57la fin de la deuxième guerre mondiale
42:00jamais il n'y avait eu
42:03aussi peu
42:04de garde-fous
42:05contre l'antisémitisme
42:07devenu fou
42:07ça c'est clair
42:08d'autre part
42:09il faut bien comprendre
42:10qu'Israël a totalement
42:12perdu la guerre médiatique
42:13sur fond
42:14de mensonges
42:15je n'ai pas le temps
42:16de développer
42:16mais sachez-le
42:17vous parlez du monde
42:19vous parlez du monde
42:20je vous donne
42:22qu'un seul détail
42:23les druzes
42:26sont massacrés
42:27depuis une semaine
42:29il n'y a eu
42:30qu'un seul éditorial
42:32du monde
42:32sur le sujet
42:34pour quoi faire
42:35pour critiquer
42:36Israël
42:37d'être intervenu
42:38pas un seul éditorial
42:40pour plaindre
42:42les massacres
42:44de druzes
42:44les gens qu'on jette
42:45qu'on force
42:46à se jeter
42:47par-dessus les fenêtres
42:49donc dans ce cadre-là
42:51dans ce cadre-là
42:52je vais prendre
42:53une formule
42:54que vous connaissez bien
42:55votre étonnement m'étonne
42:56vous parlez du monde
42:58c'est ce même journal
43:00qui publiait
43:01un portrait
43:02de monsieur Nasrallah
43:03avec limite
43:04une larme à l'oeil
43:05une fois que vous l'aviez lu
43:07bien sûr
43:08le grand Nasrallah
43:09qui avait fait l'objet
43:11d'une très belle enquête
43:11d'Eugénie Bastier
43:12qui avait appelé
43:13le mur de Gaza
43:13souvenez-vous
43:14ah bravo de le rappeler
43:15vous avez raison
43:16Sabrina Medjibur
43:17il nous reste quelques minutes
43:19et ce que je vous propose
43:19c'est qu'on continue
43:20de parler du monde
43:21avec Yoann Uzaï
43:22qui est le signataire
43:25de cette pétition
43:26de la Superheadgate
43:27dans le 6ème arrondissement
43:29Yoann Uzaï
43:30a les moyens
43:31évidemment
43:31de se prendre
43:33un petit appartement
43:34à 20 à 30 000 euros
43:35du mètre carré
43:37ça vous va très bien
43:38c'est pas notre monde
43:39et Yoann était colère
43:41parce que cette Superhead
43:42c'est le combat de sa vie
43:43et comme la gauche caviar
43:45il s'est mobilisé
43:46alors attention
43:47parce que
43:47j'étais prudent hier
43:48il y en avait un
43:49qui ne l'était pas
43:50et il est autour de ce plateau
43:51je ne vise personne
43:52suivez mon regard
43:52je ne pointe pas
43:53mais quoi
43:54je ne vous ai pas cité
43:55mais aussi vous vous sentez visé
43:56je ne sais pas vous
43:57vous me regardez
43:57parce que
43:58les noms qui sont cités
43:59dans le papier du monde
44:00il y avait
44:01en fait il y a deux sujets
44:02dans le sujet
44:02il y a la gauche caviar
44:04mais il y a aussi
44:05ce journalisme
44:07de la gauche radicale
44:08le stylo rouge
44:09qui avait envie
44:11de se farcir
44:11pardon et moi de l'expression
44:12la gauche caviar
44:13du sixième arrondissement
44:14bien sûr
44:15donc en fait
44:15ce sujet est une pépite
44:17Routel Kriyev
44:18a contesté
44:18les dires du monde
44:19vous avez
44:20Denis Oliven
44:21qui a dû publier
44:22des messages
44:23l'entretien
44:24avec la journaliste du monde
44:25pour prouver
44:26qu'elle avait voulu
44:27juste prendre
44:27un petit mot
44:28dans cet échange
44:31et l'acteur
44:32Pierre Richard
44:33a même fait une vidéo
44:35en disant
44:35vous êtes des fous
44:36j'habite même pas là
44:37qu'est-ce qu'il vous prend
44:38regardez Pierre Richard
44:39j'adore
44:40bonjour
44:42je viens d'apprendre
44:43que le monde
44:44a cité mon nom
44:46parmi tous ceux
44:46qui auraient signé
44:47une pétition
44:48pour Carrefour City
44:49je sais même pas
44:50ce que c'est que Carrefour City
44:51après j'ai appris
44:52qu'il s'agit d'un magasin
44:54j'avais même pas
44:54dans le sixième
44:55qu'est-ce que j'irais faire
44:56à signer des pétitions
44:57pour un magasin
44:58d'un génial
44:59ou quand
44:59bref
45:00alors je tiens à dire
45:01c'est une fausse nouvelle
45:03que je tiens à signaler
45:05Pierre Richard
45:07moi
45:07n'ai jamais signé
45:08de pétition
45:09pour Carrefour City
45:10je me permets de préciser
45:12vous avez vu marquer
45:13une manipulation
45:14de la fachosphère
45:16pour en interrogation
45:16parce que
45:17dans un instant
45:17je vous donnerai
45:18les explications
45:19de Céline Hervieux
45:20députée socialiste
45:21qui nous expliquait
45:22que dans le sixième
45:23on est différent
45:24mais Geoffroy Lejeune
45:26vous auriez fait le dixième
45:27avec le JDD
45:28là vous allez voir
45:29je peux vous dire
45:29que l'Arcom
45:30il est arrivé
45:30c'est une armada
45:31de l'Arcom
45:32je vais vous donner
45:33un exemple
45:34fracassé
45:35mais souvenez-vous
45:36la pétition de soutien
45:37à Gérard Depardieu
45:38c'était il y a un an et demi
45:39mais évidemment
45:40des gens ont dit
45:41des gens voyant
45:42la polémique enflée
45:43ont dit
45:43oui j'aurais pas dû
45:44la signer etc
45:45et ils ont attaqué
45:47billet en tête
45:47pendant dix jours
45:48décrédibilisé
45:49les pétitionnaires
45:50ils les ont harcelés
45:51etc
45:51et le Figaro
45:52est passé pour un journal
45:53pas sérieux
45:54à ce moment là
45:54donc en fait
45:55ils se permettent
45:56de faire des trucs
45:57que nous on se permettra
45:58oui mais enfin là
45:58c'est quand même exceptionnel
45:59Pierre Richard il dit
46:00c'est même pas moi
46:00et en fait
46:01ils ont confondu
46:01avec un homonyme
46:02Pierre Richard
46:03qui est administrateur
46:05au monde
46:05je vous jure
46:08je vous jure
46:10vous savez que
46:10moi j'ai arrêté
46:11de leur répondre
46:11il y a presque deux ans
46:12parce qu'ils font ça
46:13systématiquement
46:14ils prennent ce qui
46:15les intéresse
46:15dans votre réponse
46:16ils le tordent
46:18pour justifier
46:18c'est un enfer
46:19alors Céline Hervieux
46:21elle était vraiment
46:21dans l'oeil du cycle
46:22c'est maintenant
46:22un méchant
46:24du monde
46:25ça m'empêche pas
46:27de non
46:27Céline Hervieux
46:28qui était citée
46:30dans le monde
46:30député socialiste
46:31de cet arrondissement
46:32cette phrase est magnifique
46:33dans le sixième
46:33elle parle de l'uniformisation
46:35des commerces
46:36dans le sixième
46:36on est différent
46:37on a envie de garder
46:38nos spécificités
46:39l'aspect culturel
46:40de Montparnasse
46:40l'accès au beau
46:41une qualité de vie
46:42ne pas être
46:42dans cette marche forcée
46:44et vraiment
46:44voilà
46:45elle a été pendant
46:4624 heures
46:4748 heures
46:47attaquée
46:49politiquement
46:50même
46:50la ministre
46:51Aurore Berger
46:51qui l'a reprise
46:52qu'est-ce qu'elle dit
46:54aujourd'hui
46:55communiquer
46:56de Céline Hervieux
46:57mes propos ont été
46:58sortis de leur contexte
46:59mais sur le fond
47:00je suis et reste opposé
47:01à l'ouverture
47:02de ce nouveau supermarché
47:02dans un quartier
47:03qui en comprend déjà
47:045 dans les 200 mètres
47:05alentour
47:06ce qui est plutôt
47:06compréhensible
47:07ce qui s'entend
47:08qu'on soit du sixième
47:09ou d'ailleurs
47:10on a le droit
47:11de vouloir préserver
47:12un tissu économique
47:13de proximité
47:13des immeubles
47:15spécifiques
47:15et leur urbanisme
47:16j'aurais pu dire
47:17la même chose
47:17de n'importe quelle ville
47:18ou village de France
47:19elle aurait pu le dire
47:20mais factuellement
47:21elle ne l'a pas dit
47:21donc pardonnez-moi
47:23c'est pour ça
47:23que ça surprend
47:24je précise
47:26que ce sont des extraits
47:28de ce long communiqué
47:30non mais je précise
47:30pourquoi je dois préciser
47:32parce que
47:33elle considère
47:34dans ce communiqué
47:35que l'extrême droite
47:37et la fachosphère
47:39ont manipulé
47:40ces propos
47:41bah évidemment
47:42évidemment
47:43c'est de la faute
47:43de l'extrême droite
47:44et de la fachosphère
47:45concernant l'article du monde
47:47ce que je regrette
47:47c'est surtout
47:47d'être associé
47:48aux autres verbatimes
47:49horribles de l'article
47:50que je condamne fermement
47:52et qui ne reflète en rien
47:53la pensée des initiateurs
47:54à cette pétition
47:55et mobilisation
47:55cet article est manifestement
47:56à charge
47:57et tombe complètement
47:58à côté de la réalité
47:59de notre démarche
48:00contre l'installation
48:00de ce carrefour
48:01l'extrême droite
48:03et la fachosphère
48:04ont manipulé ces propos
48:05et alors là
48:06vous savez quoi
48:07bah si c'est l'extrême droite
48:08et la fachosphère
48:09et bien il faut défendre
48:11la députée
48:12Céline Hervieux
48:12bien sûr
48:13elle le mérite
48:13mais ce que je veux dire
48:14si Céline Hervieux
48:16considérait
48:18que le combat
48:20des gens
48:21peut-être de Limoges
48:22ou des gens
48:23de Nantes
48:24pour justement
48:25continuer à reconnaître
48:27la ville
48:28de leur enfance
48:29qu'ils ne reconnaissent
48:31plus en raison
48:32notamment
48:33de certains changements
48:34démographiques
48:35je le comprendrais
48:36j'arriverais
48:37à comprendre
48:38qu'elle veuille
48:38défendre son quartier
48:39sauf que ces gens là
48:41sont partis
48:43les abominent
48:43d'injures
48:44c'est ça
48:45la gauche caviar
48:46c'est comme on se sent
48:47supérieur
48:48moralement
48:50aux autres
48:50qu'on s'octroie
48:51des droits
48:52qu'on ne donne pas
48:54à la baltaille
48:54c'est pire que ça
48:56c'est-à-dire qu'ils votent
48:58pour des choix politiques
48:59qu'ils refusent
49:00d'assumer personnellement
49:01ce sont les premiers
49:03à pratiquer
49:03l'apartheid
49:04ce sont les premiers
49:05à ne pas se mélanger
49:06dans les quartiers
49:07ce sont les premiers
49:08à ne pas envoyer
49:08leurs enfants
49:09dans les écoles
49:11des quartiers
49:12islamisés
49:13et délinquantiels
49:14ce sont les premiers
49:15à refuser
49:16la carte scolaire
49:17ce sont les premiers
49:17encore une fois
49:18à refuser
49:19de cohabiter
49:20c'est-à-dire qu'ils veulent
49:21une immigration
49:21du Uber
49:22du Deliveroo
49:23de la femme de ménage
49:24des esclaves
49:26pour leurs enclaves
49:26pardonnez-moi
49:27l'extrême droite
49:28et la fachosphère
49:29ça doit être
49:30le journal Le Monde
49:31qui va mal le prendre
49:32puisque qui a manipulé
49:33ces propos
49:34c'est bien la journaliste
49:35qui a échangé
49:36avec Céline Ervieux
49:37et qui a retranscrit
49:38une partie de l'entretien
49:39donc aujourd'hui
49:42peut-être qu'il faut
49:42classer Le Monde
49:43non pas à l'extrême gauche
49:45mais à l'extrême droite
49:47Yohann Uzaï
49:48quel est le programme
49:49de 100% politique
49:50désolé d'abîmer
49:52votre pétition
49:52cher Yohann
49:53et je sais que vous êtes
49:54très mobilisé
49:55pour cette superbe
49:55je suis très concerné
49:56mais la bataille
49:57ne fait que commencer
49:58nous allons persévérer
49:59il faut compter sur nous
50:00non à 21h
50:01nous allons revenir
50:02sur cette nouvelle
50:03humiliation de l'Algérie
50:04information du JDD
50:06puisque figurez-vous
50:07que la France
50:07a voulu expulser
50:09un islamiste radicalisé
50:10considéré comme très dangereux
50:12Alger a dit non
50:13il est en centre de rétention
50:14administratif
50:15donc dans 90 jours
50:16il est dehors
50:17dans la nature
50:17et bien écoutez
50:18on écoutera attentivement
50:20votre émission
50:21dans un instant
50:22merci à tous les 5
50:24merci à toutes les équipes
50:25en régie
50:26Maxime Lavandier
50:28Carla Bouvier
50:29Desno
50:30qui ont préparé
50:31cette émission
50:32Yohann Uzaï
50:33dans un instant
50:33sur CNews
50:34et nous on se retrouve
50:34demain matin
50:35à demain
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