- il y a 3 mois
A suivre sur notre antenne ce mardi Initiateur des réformes profondes comme l’introduction de la Taxe à la Valeur Ajoutée et les lois du travail, le Dr Vasant Kumar Bunwaree, ancien ministre des Finances sera l’invité de l’émission « Parleman Lepep entre 17h30 et 19h00 ce mardi. Vos questions sur le 213 7777, 213 7777. Emission live à suivre également sur notre application TOPFM TV et sur Parabole chaine 10
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00:02:38Tous les peps, bizarres en compte.
00:02:40Parlement les peps, bizarres x Madiñóik Kemal Osmani.
00:02:42Quellez Q Beniñók Kéb though.
00:02:45Anything canto de nous patent l'inربji à c horrific ?
00:02:48circular ich restrictions an income greni dervijarctri arttırd.
00:02:52Il y a un paquet d'affaires qui disent « bon ça, c'est pour faire ça, il n'est pas pour marcher ».
00:02:59Donc, il y a trouvé la voie. Alors, ce sera pour plus tard à prendre les autres amendements et les amener par la suite.
00:03:08Il y a encore des problèmes dans les lois du travail, mais c'est le gros du travail.
00:03:12Nous ne finis que ça l'ancien système, véritable rupture comme aiment dire les autres,
00:03:17nous ne faisons pas une transformation dans les lois du travail,
00:03:22peut-être dans le coup d'une mission qui a mentionné, il y a des choses qu'il ne fait.
00:03:26Et puis, comme ministre de l'Éducation aussi, il y a un gros problème, il ne peut causer beaucoup de choses,
00:03:30mais le son privé ne peut pas causer vraiment.
00:03:33C'est le mal du système, le son privé.
00:03:36Il y a aussi des agressifs, mais il y a aussi des problèmes qui ont un grand honneur de son privé,
00:03:44et qui croient là-dedans, mais comment je peux faire, je peux transformer nos sociétés.
00:03:48Donc, vous venez, comment vous connaissez, au Parlement, nous ne changez la loi,
00:03:53ou moi, moi, nous commencez.
00:03:54Il y a trois classes qui sont privées dans le primaire, quatrième, cinquième, sixième.
00:03:58Quatrième, vous commencez au quatrième, on arrêtez.
00:04:00C'est ce qu'il y a.
00:04:01Cinquième, sixième, vous avez dit, mais moi, tu l'as.
00:04:04Moi, tu annoncez quand vous faites un annual schooling, nous vous changez.
00:04:07Il y a un annual schooling, il ne fait pas de la façon dont le gouvernement travaille,
00:04:10si tu peux rouler les mines, mais comment l'autre gouvernement, universelment,
00:04:14parfois, occupe ces affaires de son privé-là, il y a un fléau jusqu'à l'heure.
00:04:18D'accord.
00:04:19Rémi Chaudi ?
00:04:20Donc, Jimmy Jean-Louis, Docteur Vincent de Bonne-Marie, c'est à 15h30, à Zaudi,
00:04:25qui, Premier ministre, il fait cette déclaration de la parole,
00:04:28et qui dit que le système-based retirement pension soit pension universelle,
00:04:32un bon arrêtement, qui ne les a explosés d'ailleurs.
00:04:36C'est une réforme qui est essentielle.
00:04:38C'est ce qui, Premier ministre, Docteur Amin Ramgoulam, il dit à la parole, à Zaudi,
00:04:41justement, nous écoutent.
00:04:43Merci.
00:04:44Monsieur le Président, le député du financement des générations financières
00:04:51de une société agingue est une affaire de la plupart des pays.
00:04:57Si la trajectoire de la trajectoire de Mauritie persiste,
00:05:02alors notre système de pension, va simplement sortir de l'argent.
00:05:07Let me be very candid. The BRP system is a time bomb. It is a time bomb that is far sticking away. However, it is unfortunate that many do not seem to really care or worry, as they will no longer be around when the bomb will explode.
00:05:22Worse, Madam Deputy Speaker, a highly respected professional actuary has stated that this time bomb has already exploded, that we now face the urgent and uphill cause of containing the damage.
00:05:37Consequently, pension reform is absolutely critical. It aims at enhancing financial sustainability and at the heart of this reform is the imperative to establish parity between what each generation pays and receives, thereby promoting fairness in intergenerational burden sharing. Thank you.
00:05:59Donc, Dr. Vassan Benoiré, outil ancien ministre des Finances, c'est une explication claire qu'il premier ministre Indonias a dit, nous payons aussi ce premier parti qui n'est pas écouté, donc nous payons en déficit, il explique un vieillissement de la population aussi, et combien de pensions universelles coûtaient. Donc, Dr. Benoiré.
00:06:18Oui, bon, c'est un problème qui, effectivement, ne pas que pas deny. Il y a un problème extrêmement important, surtout dans la conjoncture actuelle.
00:06:26Mais seulement, je me rappelle, moi, même depuis 1996-97, quand mon ministre des Finances, sous Dr. Amoulam comme premier ministre, d'ailleurs, et déjà, à l'époque, il y a une belle requête, pas seulement requête, mais une indication, y compris de FMI, surtout de FMI à l'époque, pour dire qu'il ne faut pas faire quelque chose, il y a une catastrophe, il n'est pas sustainable, etc.
00:06:53C'est un langage, nous n'habitons pas de dire, pas de dire qu'il n'est pas résolu, il est peut-être plus important, mais pas de dire le contraire.
00:06:59Moi, je parle pour dire non, c'est ce que le premier ministre peut dire, c'est vrai ce qu'il peut dire, tout ce qu'il dit est vrai.
00:07:03Mais seulement, nous faisons guérir nos populations, nous faisons guérir nos pays, nous faisons guérir nos systèmes.
00:07:11Mais, vous connaissez, après, vous écoutez, des gens de l'Alliance du Chambon dire, vous trouvez un paquet, comment dire, de problèmes sortis dans l'ancien gouvernement.
00:07:20Ça aussi est livré, le CSG, ce problème, etc.
00:07:24Mais, c'est bon, des gens, infini, prennent décision pour donner la responsabilité pour amener ce pays-là dans l'autre pot, dans l'autre système.
00:07:34Mais, moi, je crois qu'il est important qu'il n'est pas capable de ne pas avoir le boule, pas d'ailleurs, oublier ce tout.
00:07:41Gets au pays, gets au système, gets aux structures, gets quoi tu peux en venir à amener au pays, et puis, amener-les, faire tout ce qu'il faut, amener-les dans cette direction-là.
00:07:51Donc, là, ce qui s'est passé, puisque nous avons une cause de pension, et notamment les autres affaires, pas que bonnes affaires dans le budget, d'ailleurs,
00:07:57la pension, moi, je vais vous dire, mauvaise affaire, mais moi, premièrement, moi, d'accord avec tout le monde qui peut dire,
00:08:02pas que tu veux un imposer aux populations, comme ça, ça, dans le budget.
00:08:07Tu veux un énorme dialogue.
00:08:08Là, je peux faire un dialogue, là, je mets des comités du boute, d'accord,
00:08:12pour analyser certains aspects extrêmement importants, la base, c'est qu'il nous peut attendre.
00:08:18Mais, ce dialogue-là, tu es supposé nous le faire avant.
00:08:21On ne peut pas finir, venir, imposer, dire du monde comme ça, qui m'a fait, lui, comme ça, comme ça.
00:08:27Ça me dit, vous n'avez rien dit tout le long de ta vie.
00:08:29Docteur Manor, oui, quand même, un aspect dans l'intervention du Premier ministre,
00:08:34il dit qu'il faisait prendre une décision quand même impopulaire pour garantir une future génération de pension,
00:08:39mais il dit aussi qu'il rappelle, dès l'exemple, l'exemple de la France, qui vous connaît bien,
00:08:43et que l'Allemagne, la France, il a tout un débat pour amener la pension à 65 ans,
00:08:47tandis que l'Allemagne passe à 67 ans.
00:08:49Oui, mais l'Australie, en 65 ans,
00:08:54c'est celle-là en pension à 63 ans,
00:08:57la colise est plus que 60,
00:08:59il n'a pas besoin de faire,
00:09:01mais je ne sais pas comment il fait,
00:09:03les autres populations, comment...
00:09:04C'est une cause, l'exemple de l'Australie,
00:09:07l'Australie, l'Australie, le Canada, le Japon, le Corée,
00:09:10il a mis une thèse qu'il faut faire pour qu'il soit accessible.
00:09:13Ce que l'India, aussi dans cette intervention du Premier ministre,
00:09:16c'est qu'il y a dans beaucoup de pays, il y contribue très vite.
00:09:19Ici, il n'est pas contribue très vite,
00:09:20c'est-à-dire, pour contribuer ou pas contribuer, il n'est pas normal.
00:09:23Il dit qu'ici, il ne nous part faire attention,
00:09:25en 2045 ou 2046,
00:09:29mais les chiffres tout à l'heure,
00:09:31l'année exactement, nous faisons dépenser
00:09:32315 millions de milliards de dollars
00:09:35pour payer la pension.
00:09:36Oui, d'accord, mais ça a besoin de dépenser là.
00:09:41C'est ça, le gros, c'est ça,
00:09:42nous faisons déjà lire une société inévolée, etc.
00:09:44Mais on peut être la pension
00:09:46par rapport à ce que ça a un petit critère
00:09:49qui nous fait mentionner.
00:09:51Il y a un du monde qui n'est pas pour le travail,
00:09:53je ne suis fatigué,
00:09:55je n'ai pas fait contribuer, etc.
00:09:58On peut servir ça comme un argument
00:10:00pour dire qu'il y a un bel problème.
00:10:02Mais moi, en tant que ministre de l'Assemblée,
00:10:04on a beaucoup de difficultés comme ça.
00:10:06Que pour une petite chose,
00:10:07on peut dire,
00:10:08si on prend ce facteur qui entoure
00:10:11cet item-là pour régler le problème,
00:10:13on va dire au Premier ministre,
00:10:14excusez-moi, on va pour ici.
00:10:16On peut prendre en considération
00:10:18beaucoup les autres aspects
00:10:20de ce qui intéresse l'économie,
00:10:23et les finances du pays
00:10:25pour qu'elle parle,
00:10:26trouve their way out,
00:10:27comment dire,
00:10:27évidemment, impopulaire.
00:10:28Mais il est petit populaire
00:10:29pour mettre TVA dans ce pays-là,
00:10:31pour poser ta question,
00:10:32petit populaire,
00:10:33du monde, tu vous comptes,
00:10:35il faut lui passer,
00:10:36et il ne passe en douceur.
00:10:37Donc, on passe-t-il dans un moment,
00:10:39un an avant,
00:10:41Manu Benic gagnait un problème
00:10:42avec le budget,
00:10:44les rebondes,
00:10:45la CSTAC a disposé.
00:10:47Exactement,
00:10:48on connaît qui se fait,
00:10:48mais les bons,
00:10:49les bons,
00:10:49les bons ne connaissent pas,
00:10:50parce qu'ils ne connaissent pas,
00:10:51mais ils gagnent tout,
00:10:52l'information qu'ils visitaient,
00:10:54mais on se sent l'impression
00:10:54qu'il est trop technique,
00:10:55ce budget-là.
00:10:56Il y a beaucoup de bonnes choses dedans,
00:10:57il est trop technique.
00:10:59Si vous écoutez,
00:10:59juste la technicité,
00:11:01mais non,
00:11:01les peps,
00:11:02c'est dans où qu'ils y croient,
00:11:03dans les politiciens,
00:11:05pas dans un expert
00:11:07qui vient autour de vous,
00:11:08qui dit FMI,
00:11:09qui dit le plan local aussi.
00:11:11Donc, ce qu'il me veut dire,
00:11:12c'est que pour faire
00:11:13une affaire impopulaire
00:11:14par ce système,
00:11:16on peut en oublier aussi
00:11:17qu'on peut présenter
00:11:21une mesure difficile,
00:11:23mais on peut mettre
00:11:25dans un pays,
00:11:26une mauvaise pilule
00:11:27pour faire passer.
00:11:28On peut mettre
00:11:28un pédicic,
00:11:29tout ça autour,
00:11:30même si moi,
00:11:30une corduologue,
00:11:31je ne suis pas trop content
00:11:31de vous servir d'ici.
00:11:32Je me rappelle
00:11:35qu'après le budget,
00:11:37le docteur Naveen Ramgoulam
00:11:38a même dit
00:11:38parce qu'il y a beaucoup
00:11:39de temps aussi,
00:11:41c'était
00:11:41un budget populaire
00:11:47parce qu'il a une vie
00:11:48propre au pouvoir.
00:11:50Non,
00:11:51le budget-là,
00:11:52il y a une vie
00:11:53impopulaire,
00:11:54surtout la cause
00:11:55de la pension.
00:11:57Parce qu'il y a des autres
00:11:58petites choses,
00:11:58c'est dans un système
00:12:00où il y a une vie
00:12:01qui ne comprend,
00:12:02etc.
00:12:02Mais surtout,
00:12:03il y a une des bandes
00:12:04des autres,
00:12:04des petites choses,
00:12:05comment l'autopédie augmente,
00:12:07une TVA,
00:12:07une baisse de 6 millions,
00:12:09enfin,
00:12:10une TVA à 3 millions,
00:12:11tout ça,
00:12:11un problème.
00:12:12Mais on va expliquer,
00:12:13comment ça boule la lit.
00:12:15Mais pension-là,
00:12:16il n'est pas périssé
00:12:17à valer ça.
00:12:18C'est vraiment difficile.
00:12:20Et moi,
00:12:21je me trouvais
00:12:21qu'une manière
00:12:22inférieure,
00:12:23on ne va pas
00:12:24pouvoir accepter ça.
00:12:25Ça,
00:12:25pour bien trouver
00:12:26une solution,
00:12:27pour bien effacer,
00:12:30référer,
00:12:30comment dire,
00:12:30mais référer bien,
00:12:32correctement.
00:12:33Il n'est pas acceptable
00:12:34parce qu'il y a tellement
00:12:35les autres facteurs
00:12:36là-dedans.
00:12:37Je me disais,
00:12:37moi,
00:12:38je ne vais pas
00:12:38avoir l'Australie,
00:12:41ni la France,
00:12:42etc.
00:12:42Je vais avoir
00:12:42le monde.
00:12:43les autres facteurs.
00:12:43Tu comprends?
00:12:44Il ne sentit
00:12:45qu'il contribue
00:12:47lui aussi.
00:12:48Ça,
00:12:48il travaille dans ce
00:12:50là-dedans.
00:12:51L'État,
00:12:51il y a 60 ans
00:12:52là.
00:12:53Mais quand il fait
00:12:54arrêter de travailler
00:12:55pendant 4-5 ans,
00:12:56il ne peut contribuer
00:12:57à ça,
00:12:58il n'est pas pour
00:12:58gagner sa pension.
00:12:59Il n'est pas correct.
00:13:00Il n'est pas correct.
00:13:01Il ne donne pas
00:13:01sa pension,
00:13:02quitte du mieux.
00:13:03Moi,
00:13:03c'est ce que je veux
00:13:04faire.
00:13:05Moi,
00:13:05il prend plus loin,
00:13:07moi,
00:13:07parce qu'il a une
00:13:08income taxe,
00:13:09et dans le pays taxe.
00:13:11Vous pouvez gagner
00:13:12une pension vieillesse.
00:13:13Il a ajouté
00:13:14ce que vous pouvez gagner.
00:13:16Même si vous avez
00:13:16une pension vieillesse,
00:13:18il a gagné le taux.
00:13:19Vous avez un billet,
00:13:20un billet,
00:13:21vous mettez dans la banque,
00:13:22vous mettez l'intérêt.
00:13:23Vous avez un premier
00:13:24là,
00:13:24il a gagné 60 millions.
00:13:26D'accord?
00:13:26Donc,
00:13:26ce revenu est augmenté.
00:13:28Mais si vous avez
00:13:29un billet comme ça,
00:13:29ce revenu est augmenté,
00:13:31vous pouvez dire
00:13:31que vous prenez
00:13:33un pays,
00:13:33dans cette façon-là,
00:13:34vous compensez
00:13:36l'autre ça.
00:13:37C'est ça
00:13:37que vous pouvez dire.
00:13:38Moi,
00:13:38je ne connais
00:13:38le premier ministre
00:13:39dans sa direction,
00:13:41quand il trouve
00:13:41une seule langue
00:13:43qui peut être.
00:13:44Peut-être une fière
00:13:45qui est dans sa langue-là
00:13:46parce qu'il y a tellement
00:13:47des autres travails
00:13:48qu'il n'y a pas
00:13:48à concentrer,
00:13:49d'après moi,
00:13:50tout l'aspect
00:13:51de sa système
00:13:54de pension
00:13:55qui nous demande
00:13:55la réforme
00:13:56qui est finie à mener.
00:13:57Donc,
00:13:58avec Adjumé Jean-Louis,
00:13:59donc,
00:13:59Dr Vincent Benoirie,
00:14:01il met des communautés
00:14:02qui ne fit
00:14:02le métier à pied.
00:14:03Il ne résidait pas
00:14:04le premier ministre
00:14:04et ne pas le ministre
00:14:05de la sécurité sociale
00:14:06à Choc-Soubron.
00:14:07Oui.
00:14:08Donc,
00:14:09est-ce que
00:14:09ce comité-là
00:14:11pourrait réussir
00:14:11à résoudre
00:14:12et intiper
00:14:12ce problème-là ?
00:14:13Est-ce que
00:14:14comment vous dire
00:14:14à la population
00:14:14pour qu'elle n'avale
00:14:15ce problème-là ?
00:14:16Bon, écoutez,
00:14:17premièrement,
00:14:17étant que je n'ai
00:14:18une prise en clé,
00:14:19ça veut dire
00:14:19tout le monde
00:14:20peut dire là,
00:14:20et moi aussi
00:14:21le mot là-dedans,
00:14:22que ça veut dire
00:14:23que je n'ai pas
00:14:24dans aucun changement
00:14:25par ailleurs.
00:14:26Là,
00:14:27il peut dire
00:14:27qu'il y a des gens
00:14:29qui sont dans
00:14:30la difficulté,
00:14:31je peux venir
00:14:32donner une solution
00:14:33pour cette catégorie-là.
00:14:35Ça veut dire
00:14:35que je peux maintenir
00:14:36ce qu'il me fait dire.
00:14:38Ça veut dire
00:14:39que je pense que
00:14:3960 ans
00:14:40ou pas pour gagner
00:14:41ou pour atteindre 65 ans.
00:14:43Vous comprenez
00:14:43ce que je peux dire ?
00:14:44parce qu'il met un comité
00:14:46pour certaines catégories
00:14:48de personnes.
00:14:49M. Soubron,
00:14:50il peut y avoir
00:14:50des affaires médicaux
00:14:52de la santé.
00:14:53D'ailleurs,
00:14:54il a fait un potent ici
00:14:55qui a un technicien
00:14:58qui est autour
00:14:58du premier ministre
00:14:59et qui s'écoute bien.
00:15:00Vous connaissez
00:15:00quand on nous cause
00:15:01la santé.
00:15:03Là,
00:15:04on me connaît
00:15:04ce que je peux dire.
00:15:05Mais vous connaissez
00:15:07à partir de 60 ans,
00:15:09même jusqu'à 75,
00:15:1165,
00:15:1270 ans
00:15:12et le premier ministre
00:15:13est un médecin
00:15:14de comprendre ça
00:15:14au moins
00:15:15de ce qu'il me peut dire.
00:15:16Vous connaissez
00:15:17combien de problèmes
00:15:18de santé,
00:15:18surtout dans le domaine
00:15:19cardiovasculaire,
00:15:20thiodissant.
00:15:22Beaucoup
00:15:22ont diminué
00:15:23la thiodissant
00:15:24dans cette école.
00:15:24Ça a un thiodissant
00:15:25et il a un dépôt
00:15:27et une thrombose
00:15:27par-ci,
00:15:28par-là.
00:15:29Il a diminué
00:15:30cette capacité
00:15:31pour fonctionner
00:15:33qu'il est physiquement,
00:15:34qu'il est mentalement,
00:15:36qu'il est spirituellement,
00:15:37qu'il est
00:15:37en général.
00:15:41D'accord ?
00:15:41Mais vous pouvez
00:15:42dire comment
00:15:42comme ça,
00:15:43ça dit
00:15:44le monde là,
00:15:44il n'est pas
00:15:45payé une pension
00:15:45parce qu'il n'est pas
00:15:46payé une pension
00:15:46et qu'il n'est pas
00:15:47payé une pension.
00:15:48Il n'est pas payé
00:15:48un certificat.
00:15:51Il n'est pas passé
00:15:52malgré ça.
00:15:53Je vois la sécurité
00:15:54sociale,
00:15:55il n'est pas payé
00:15:55qu'il n'est pas payé une pension.
00:15:58Invalide,
00:15:59pension,
00:15:59mais bon,
00:16:00il n'est pas payé.
00:16:00On refuse la pension.
00:16:02Quand il est rentré dans
00:16:03le bureau massé,
00:16:04il n'est pas 65%.
00:16:06Si tu es aveugle,
00:16:07si tu n'es pas
00:16:08tu es capable massé,
00:16:09tu te guètes.
00:16:10mais c'est une mauvaise manière de gérer.
00:16:12Un d'une est capable de rentrer dans le bureau bien,
00:16:14c'est moi si vous mettez un panel
00:16:16de cardiologues, examinez-les, pour dire
00:16:18où ça d'une est-elle-là, il a une espérance de vie
00:16:20bien, tu vas rester d'une est-elle-là.
00:16:22Il mérite de pension, il fait beaucoup plus
00:16:24qu'il bannent les autres, mais il va pour gagner.
00:16:26Mais de la même façon,
00:16:28sa catégorie d'âge après 60 ans-là,
00:16:30d'une est-elle fragile,
00:16:32tu comprends ?
00:16:34La maladie ronde-eux.
00:16:36Mais on ne peut pas
00:16:38qu'il n'y a pas d'une espérance de vie
00:16:40et qu'il n'y a pas d'une est-elle
00:16:42qualité de la vie.
00:16:44Dans la case, on dit
00:16:46qu'il n'y a pas d'une chose que j'ai envie de faire,
00:16:48ce n'est pas capable de faire.
00:16:50Mais ce n'est pas malade aussi.
00:16:52Mais il faut prendre tout ça en considération.
00:16:54Il y a une médecine,
00:16:56malgré tout ce qu'il faut faire,
00:16:58il n'y a pas d'une problème.
00:17:00Il n'y a pas d'une
00:17:02comité,
00:17:04je suis content d'une déposée,
00:17:06c'est un cas flagrant
00:17:08qui mérite une pension
00:17:10plus qu'il n'y a pas d'une
00:17:12qui a trouvé un valide devant vous,
00:17:14mais qui a gagné.
00:17:16Donc, il y a un autre aspect
00:17:18qu'il faut fouiller,
00:17:20chercher pour trouver la vraie souffrance
00:17:22qu'il y a été.
00:17:24Il n'y a pas d'une catégorie,
00:17:26il n'y a pas d'une catégorie.
00:17:28Il n'y a pas d'une maçon,
00:17:30d'une femme de maison,
00:17:32d'une femme qui travaille, etc.
00:17:34Ça veut dire qu'il y a une réalisée
00:17:36qu'il y a une innocence pour les autres.
00:17:38Mais c'est malade pour faire ça.
00:17:40Il faut faire deux cas, deux mesures.
00:17:42Pour les autres du monde,
00:17:44dans le domaine médical.
00:17:46Ici aussi, il y a une catégorie
00:17:48et il n'y a pas d'autre.
00:17:50On peut penser que c'est correct.
00:17:52Donc, je pense que
00:17:54le premier ministre,
00:17:56il a dit qu'il y a une commission
00:17:58qu'il y a une commission
00:18:00et qu'il y a une commission
00:18:02et qu'il y a une commission
00:18:04et qu'il y a une commission
00:18:06pour tirer par le premier ministre
00:18:08et qu'il y a aussi pour tirer
00:18:10les mêmes affaires.
00:18:12Tout le monde peut crier.
00:18:14Il n'y a pas de qualifier.
00:18:16C'est terrible, surtout chez les Mauriciens.
00:18:18Il y a des fragiles.
00:18:20Alors, il y a une tendière
00:18:22qui est de telle catégorie du monde.
00:18:24Il n'y a pas de pension depuis 60 ans.
00:18:26Il y a une partie du monde
00:18:28dans le gouvernement.
00:18:30Il n'y a pas de parole
00:18:32qu'il y a une tendière
00:18:34dans le gouvernement.
00:18:36Parce qu'il veut faire face
00:18:38avec l'électorat.
00:18:40Il n'y a pas d'expliquer.
00:18:42Il ne veut dire qu'il va faire comme ça.
00:18:44Il veut faire comme ça.
00:18:46Mais où, comme un ancien parlementaire
00:18:48avec un ancien ministre des Finances
00:18:50ils ont dit débat.
00:18:52Jimmy Jean-Louis, il a commencé le débat.
00:18:54Est-ce qu'il est capable de reculer
00:18:56sans le mesure pour un amendement ?
00:19:00C'est tout à fait possible.
00:19:02Mais il a besoin de reculer
00:19:04pour mieux sauter premièrement.
00:19:06Il a besoin de reculer sans baisser la tête.
00:19:08Il ne veut pas le dire
00:19:10faire le gouvernement craquer.
00:19:12Il ne veut pas sa craquer.
00:19:14Il a besoin de comprendre
00:19:16qu'il y a un problème.
00:19:18Il a besoin de discuter avec la population.
00:19:20Il y a des syndicats
00:19:22avec autant d'envergures, etc.
00:19:24Il n'y a pas d'exemple.
00:19:26Il n'y a pas d'exemple.
00:19:28Il n'y a pas d'exemple.
00:19:30Il n'y a pas d'exemple.
00:19:32En 1996,
00:19:36M. Binic était le ministre des Finances.
00:19:38Il était pour la première fois
00:19:40ministre des Finances.
00:19:42Il a gagné l'élection en décembre.
00:19:44Le gouvernement est formé en janvier.
00:19:46En juin présent,
00:19:48le premier budget
00:19:50était un gouvernement travaillé.
00:19:52Il s'est même.
00:19:5460-0 même.
00:19:56Il n'y a pas d'exemple.
00:19:58Il n'y a pas d'exemple.
00:20:00Il n'y a pas d'exemple.
00:20:02Ce qu'il me voulait dire,
00:20:04c'est que le gouvernement
00:20:06fait ce travail.
00:20:08Il a fait une consultation pré-budgetaire
00:20:10comme un arbitre.
00:20:12Il a fait un budget.
00:20:14Il finit en premier ministre.
00:20:16Il est d'un cabinet.
00:20:18Il est de l'influents.
00:20:20Il est d'un entisant.
00:20:22C'est un entisant de victoire de 60-0.
00:20:24Il y a une raison.
00:20:26Il est d'une taxe qui existait avant.
00:20:30Il nous cause TVA.
00:20:32C'est moi qui amène cela
00:20:34pour une raison extrêmement valable.
00:20:36L'importance de ce qui expliquait
00:20:38avant.
00:20:40Il y a une taxe qui s'appelle
00:20:42sales taxe.
00:20:44Mais sinon, c'est une taxe de Béranger, ça.
00:20:46En 82.
00:20:48L'autre jour, on trouve Paul Béranger,
00:20:50notre ami, qui
00:20:51dans une conférence de presse,
00:20:54il peut causer ce qu'il y a de TVA pour amener.
00:20:56Un mot après, j'appelle moi, j'amène ça.
00:20:58J'amène ça, mais j'amène TVA en 98, ça.
00:21:00Ça, c'est mes finances, de façon
00:21:01Benoît Rie, ça. Mais peut-être un lapsus
00:21:04ou bien un...
00:21:06Il peut faire référence à CELSA.
00:21:08Il peut faire référence à CELSA.
00:21:10C'est un petit mot d'effet où on comprend.
00:21:12CELSA, c'est une taxe que M. Béranger
00:21:14mettait en 1982
00:21:16comment il gagnait un pouvoir pour la première fois
00:21:18les villes ministres des Finances.
00:21:20Et sinon, pour examiner le budget,
00:21:23il peut venir un autre débat.
00:21:24Je ne sais pas, vous laissez nous dans sa direction
00:21:26aujourd'hui. Mais premièrement,
00:21:28on connaît ce qu'on appelle
00:21:30nous travailler si on compte l'in,
00:21:32à l'époque. Nous y pâtions ensemble.
00:21:35Travailler si on met
00:21:36de pression parce que
00:21:38Paul Béranger, il tire
00:21:40taxe de sortie sur le sucre.
00:21:42D'accord ? Et qui c'est un grand bénéficiaire ?
00:21:44C'est l'indice du sucre.
00:21:45Le patron, 57 millions,
00:21:47tu peux dire,
00:21:48t'as deux et une de l'indice du sucre.
00:21:50Je rappelle peut-être
00:21:51Dr Amoulam,
00:21:52ils vont gagner un peu brin de l'histoire aussi.
00:21:54D'accord ?
00:21:55Ça, c'était Béranger en 1982.
00:21:57Alors, l'État,
00:21:58ce système gouverner,
00:22:01la politique
00:22:02qui l'inamène,
00:22:03tient l'autre.
00:22:05Travaillissent
00:22:05pour accepter ça.
00:22:06D'accord ?
00:22:07Bon, l'État dit,
00:22:07il ne fait ça.
00:22:09Mais il manque à gagner aussi
00:22:10pour l'État maintenant.
00:22:1157 millions.
00:22:13Il met un nouveau taxe
00:22:15qu'il appelle
00:22:15sales taxe.
00:22:17Quand il met
00:22:17sa sales taxe,
00:22:18il pénalise
00:22:20tout du monde.
00:22:22Bon, même Richard aussi,
00:22:23grand du monde,
00:22:24puis un pays
00:22:24sales taxe.
00:22:25Mais tout du monde,
00:22:26pas de chier
00:22:27non-taxe là avant.
00:22:285%
00:22:29et un seul coup
00:22:30de toutes les affaires flambées.
00:22:31Mais il ne manque
00:22:32du monde là,
00:22:33il est sécréé,
00:22:33il comprends ?
00:22:34Mais il n'y a pas
00:22:34trop longtemps
00:22:35parce qu'il veut
00:22:36en aller le casser.
00:22:37Après,
00:22:37il n'y a
00:22:38dans la poubelle
00:22:39de l'histoire,
00:22:40mais il n'y a
00:22:41quand même
00:22:42dans l'opposition.
00:22:43Ils ne vont pas
00:22:43l'accepter.
00:22:45Mais il met ça,
00:22:46il est là,
00:22:47on peut prendre
00:22:47sa sales taxe là,
00:22:49il reste 5%,
00:22:505%,
00:22:51mais il y a
00:22:52même la monnaie
00:22:53pour le quitter
00:22:54de l'État.
00:22:55Dans le budget,
00:22:56on peut gagner,
00:22:56on connaît
00:22:565% de taxes.
00:22:58C'est toi à l'époque,
00:22:59il fait beaucoup ça,
00:23:00par centaines de millions.
00:23:03L'État arrive
00:23:03en 96,
00:23:07unique ministre de la finance,
00:23:08mais il y a aussi
00:23:11le plus en gros
00:23:11de la monnaie.
00:23:13Et nous,
00:23:14dans l'opposition,
00:23:15on dit que ça va
00:23:15venir dans le gouvernement
00:23:16là.
00:23:16L'opposition travaille
00:23:18sur MMM
00:23:19contre MSM
00:23:20et que l'on ne connaît
00:23:21que ça n'a encore.
00:23:21RMM.
00:23:22RMM,
00:23:23d'accord ?
00:23:23NABAP,
00:23:24Signe,
00:23:24etc.
00:23:25Mais nous,
00:23:26on peut,
00:23:26pile le gouvernement
00:23:27de l'époque,
00:23:27on est dans l'opposition
00:23:28en décembre 95,
00:23:30on peut faire campagne,
00:23:31on peut dire
00:23:31qu'il n'est pas possible
00:23:32l'économie
00:23:35d'une catastrophe
00:23:37dans les mêmes affaires
00:23:39qui sont dans le gouvernement
00:23:40india pour l'autre.
00:23:41C'est un peu habituel ça.
00:23:43Mais ça,
00:23:44c'était vrai.
00:23:46L'économie
00:23:47était dans
00:23:47une difficulté terrible.
00:23:49Mais quand il est
00:23:49venu,
00:23:49il a besoin d'un cas
00:23:50pour faire
00:23:51une politique
00:23:52qui est en vie.
00:23:53Il a besoin,
00:23:54le gros de revenus aussi.
00:23:55Il a trouvé
00:23:56plus simple,
00:23:57plus facile ça.
00:23:58Pour un taxe là,
00:23:59on augmente plus.
00:24:00Il fait 5%,
00:24:01il a 10%.
00:24:0210% !
00:24:04Doublé !
00:24:05Elle a crié partout.
00:24:07Ce que vous pétendez là,
00:24:08c'est peut-être
00:24:09non,
00:24:09il n'y a dit tout ça
00:24:09à l'époque-là.
00:24:10Partout du monde,
00:24:12l'État nous gagne ça.
00:24:13Nous aussi,
00:24:14nous secouer.
00:24:16Bon,
00:24:16on passe rapidement
00:24:17l'eau là,
00:24:18résultat,
00:24:19une bise,
00:24:20mais il n'y a pas
00:24:21de mauvais martyrs.
00:24:22Et l'eau là,
00:24:23dans l'alliance,
00:24:24départ n'est,
00:24:25on connaît une raison.
00:24:27Là même,
00:24:28c'est où aller là,
00:24:28on peut trouver
00:24:28un peu contre l'autre là.
00:24:30Parce que,
00:24:30bon,
00:24:32ça n'est pas une propose
00:24:32comme ça,
00:24:33l'État pas trop d'accord
00:24:34parce qu'il n'y a pas
00:24:34pas à faire face
00:24:35avec celui de l'État.
00:24:36Alors,
00:24:36il y a une méthode
00:24:37qui prend ça
00:24:38comme un argument.
00:24:39Donc,
00:24:40alors qu'il n'y a pas
00:24:40de mauvaises
00:24:41dans le gouvernement,
00:24:42ils travaillent,
00:24:44et ils se sont
00:24:44un peu plus libérés
00:24:45parce qu'il n'y a pas
00:24:46de mauvaises
00:24:46qui n'y a pas
00:24:48à faire face.
00:24:50Ils,
00:24:51pendant le cours
00:24:51du budget même,
00:24:53ils ont mis
00:24:53à mon budget
00:24:54qui est 10%,
00:24:56ils ont mis
00:24:568%.
00:24:58Comprends ?
00:24:59Donc,
00:24:59les temps
00:25:00ils lient à ce discours,
00:25:01ils peuvent dire
00:25:0110%
00:25:02ils sont liés.
00:25:03Mais les temps
00:25:03vous connaissent
00:25:04ce que je vais faire
00:25:05là,
00:25:05vous ne faites pas
00:25:06un discours
00:25:06parlementaire
00:25:07pour poser.
00:25:08C'est le débat
00:25:09parlementaire
00:25:10autour du budget.
00:25:11Le bill,
00:25:12c'est l'appropriation bill.
00:25:14C'est second reading
00:25:14là.
00:25:15Second reading
00:25:16où vous faites
00:25:16un point pour,
00:25:17contre,
00:25:18et après,
00:25:19vous avez besoin
00:25:19de faire third reading
00:25:20et vous votez.
00:25:22Quand vous votez,
00:25:23il est là
00:25:23pour passer
00:25:24dans le committee stage.
00:25:24Mais avant
00:25:25qu'il y a un committee stage,
00:25:27vous gagnez le droit
00:25:27de faire amendement.
00:25:29Comprends ?
00:25:30Mais il a sa possibilité
00:25:31là.
00:25:31Puisque nous nous
00:25:32nous avons des taxes,
00:25:33encore,
00:25:33laissez-moi finir
00:25:33cette histoire-là
00:25:34pour que je vous
00:25:35comprends bien.
00:25:36Parce que tu es capable
00:25:37d'augmenter les taxes
00:25:38là.
00:25:38Je ne vous donnez un peu
00:25:39de paire
00:25:39parce que quand nous
00:25:40les faisons,
00:25:40je préfère
00:25:41alloquer
00:25:42de son pension
00:25:42parce qu'elle ne fait
00:25:43pas des taxes
00:25:44aux autres.
00:25:44Elle fait des
00:25:45parce qu'une anomalie
00:25:46qui peut vivre
00:25:47de la cause
00:25:47de la pension,
00:25:48etc.
00:25:48Mais en 2008,
00:25:56il y a une élection,
00:25:57c'est 10 000
00:25:58comme ça,
00:25:58en 2005.
00:26:002005.
00:26:01En 2005,
00:26:03ou plutôt 2000,
00:26:04en 2000.
00:26:05C'est en 2000.
00:26:06On ne fait finances
00:26:07jusqu'à l'an 2000.
00:26:08En 2000,
00:26:09nous perdions l'élection
00:26:10parce qu'il finit
00:26:12dans Cassieu,
00:26:13Béranger,
00:26:14MMM,
00:26:14il est avec MSM,
00:26:15ça coule,
00:26:16je gagne majorité,
00:26:17je devine de l'avant.
00:26:18Mais toi,
00:26:19je devine de l'avant.
00:26:20Qui ça ne vit
00:26:20le ministre de la Finances ?
00:26:22C'est Béranger.
00:26:23Paul Béranger.
00:26:23Paul Béranger
00:26:24est le ministre de la Finances
00:26:25en 2001.
00:26:26Comment il vit le ministre de la Finances ?
00:26:27Qui dit ne fait
00:26:28plus de bonnes mesures
00:26:28dans ce budget ?
00:26:30Il fait TVA,
00:26:31qui m'a tu finit
00:26:31m'a tu m'a tu m'a dit
00:26:33à 10 %.
00:26:33Il tient 12 %.
00:26:36C'est plus simple,
00:26:37facile, ça.
00:26:39Moi, je fais le rouler
00:26:40tous les jours avec 10 %.
00:26:41Il n'y a aucun problème.
00:26:42TVA, 10 %.
00:26:43Il n'est pas pareil
00:26:44que moi,
00:26:44c'est le stack 10 %.
00:26:45Ça, je vais vous faire reconnaître.
00:26:47Il y a une autre
00:26:48qualité de mécanisme,
00:26:49là-dedans.
00:26:50Si vous voulez faire
00:26:50une équivalence,
00:26:51il y a une TVA 10 %,
00:26:53il y a une c'est le stack
00:26:547-8 %.
00:26:56Pas plus que ça.
00:26:57Donc,
00:26:58ça te marche bien.
00:26:59Mais les visins,
00:26:59les trouves au moyen
00:27:00pour faire développement.
00:27:01Les visins cassent.
00:27:02Alors, il fait TVA,
00:27:0312 %.
00:27:05Et puis,
00:27:08l'année après,
00:27:09il se tient dit
00:27:10le 12,
00:27:10il met le 15 %.
00:27:11Il y a 15 %.
00:27:15C'est Béranger qui fait
00:27:1910-20-12.
00:27:21Après,
00:27:21l'année après,
00:27:22il fait 12-20-15 %.
00:27:24D'accord ?
00:27:24Donc,
00:27:25il est facile pour faire
00:27:26sa qualité politique,
00:27:27là.
00:27:27Mais seulement,
00:27:28qui n'arrive,
00:27:28ce que je t'ai pris.
00:27:29Chaque fois,
00:27:29il est en train de trouver.
00:27:30Il prend sa qualité
00:27:31de mesure, là.
00:27:32Mais les pètes qui souffrent,
00:27:33les pètes qui crient,
00:27:34et les pètes qui n'ont
00:27:35tout le temps raison.
00:27:36Docteur Benary,
00:27:38certainement,
00:27:38m'a donné une écoute
00:27:39de l'idée de l'opposition
00:27:41sur l'intervention.
00:27:43Nous prenais une location.
00:27:44Écoute-les juste après
00:27:45la pause.
00:27:46Juste avant,
00:27:47je trouvais qu'il peut
00:27:48mettre l'accent maintenant
00:27:49sur le ciblage.
00:27:50Le ciblage,
00:27:51il y a une mal nécessaire.
00:27:52Pecos Mintes,
00:27:53est-ce qu'il y a une risque
00:27:55politique comme en 2004-2005,
00:27:57Badat-Cébine avec ciblage
00:27:58en 2004-2005,
00:27:59avant qu'il y aurait
00:28:00tout le gouvernement
00:28:01en 2005,
00:28:03mais le gouvernement
00:28:05a même une paye
00:28:07une loupée pour ceux-là.
00:28:09Qui cibler,
00:28:10comment cibler,
00:28:11qui fine line
00:28:11pour garder dans le système
00:28:12et surtout quand il y a
00:28:14un système qui,
00:28:15Amaurice connaît
00:28:16ou même y affecté
00:28:17par la lodeur administrative.
00:28:18Mais bon,
00:28:21le fait que déjà
00:28:22au même,
00:28:22le gouvernement MSM
00:28:23et MMM,
00:28:24ils ne souffèrent pas ça.
00:28:26Mais qui faire ?
00:28:27Qu'est-ce qu'il y a dans
00:28:27l'opposition là ?
00:28:28Oui,
00:28:28juste avant,
00:28:29peut-être nous moquons
00:28:30une pause pub,
00:28:31après,
00:28:31là nous continuons
00:28:32avec les dévisions.
00:28:32Mais c'était
00:28:33travaillé jusqu'à l'opposition.
00:28:34Alors ça a des mois
00:28:35expliqué où qu'il n'y a eu.
00:28:38Paul Mont-Lépé,
00:28:38Bizarre rencontre.
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00:29:04on this stage,
00:29:05Robin Sharma
00:29:06will be here
00:29:07along with
00:29:08Dr. Sanjay Mahalingam
00:29:10and myself
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00:29:43Talol.
00:29:44You made paste
00:29:45from Talod.
00:29:46Khaman,
00:29:47Handwa,
00:29:47Khichdi,
00:29:48Gulaab,
00:29:48Jamun,
00:29:49Chhat-PAT-PAKAYA.
00:29:52Talod Hud
00:29:53Vous avez dit, nous avons créé.
00:30:53Presenting Girnar Detox Desi Kawa
00:30:56Tea with a twist
00:30:57Sip it along with the rising sun
00:30:59Or savor it after a long run
00:31:02Your respite during a hectic day
00:31:04Or when you're in the mountains far away
00:31:07Finest of green teas, herbs and spices
00:31:10Gives a flavor that's twice as nice
00:31:13Detoxing now made easy
00:31:15Just dip and sip
00:31:17No wonder they say
00:31:19Girnar, my chai, my time
00:31:23Sip it along with the rising sun
00:31:25Sip it along with the rising sun
00:31:26Sip it along with the rising sun
00:31:27Sip it along with the rising sun
00:31:28Sip it along with the rising sun
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00:31:42Sip it along with the rising sun
00:31:43Sip it along with the rising sun
00:31:44Sip it along with the rising sun
00:31:45Sip it along with the rising sun
01:28:06mettez l'eau là. Ça n'est pas là. Non, ça, moi,
01:28:08pas les mettez l'eau là. Parce qu'il y a des gens
01:28:10qui servent ça beaucoup. Il y a des gens qui
01:28:13pour les taxes,
01:28:14il y a des difficultés pour les moyens.
01:28:17Mais vous connaissez ça. Ça, ça
01:28:19travaille là. Dans l'espace, une semaine,
01:28:21nous sommes capables de finir tous ces
01:28:23items qui servent dans le pays. Et nous
01:28:25disons, nous tirez vers 15%, nous mettons
01:28:27à 8% le tel produit. Et nous
01:28:29sommes payés dans 3, 4, 5 taux aussi.
01:28:31C'est un peu plus tôt.
01:28:33D'après ce qui est un produit qui
01:28:35est acheté par certaines
01:28:37catégories de la population. Donc,
01:28:39un bon ministre des Finances, c'est ça qui est capable de faire
01:28:41sa gymnastique-là et dans
01:28:43le bien de la population.
01:28:45Dr. Bonnari, merci beaucoup pour toutes ces
01:28:47précisions que vous avez amenées cet après-midi
01:28:49sur le budget 2025-2026
01:28:51et c'est toujours un plaisir de
01:28:53vous accueillir sur l'antenne de
01:28:55Top FM. Merci à Manichadjuti, ma collègue
01:28:57aussi qui finit avec nous durant
01:28:59l'émission. Merci, Duvin, et bonsoir.
01:29:01Bonsoir.
01:29:02Paul Bonlepip
01:29:05Bisaazioni
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01:29:07Rangondes
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