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Immersion au cœur du porte-avions Charles de Gaulle : la reporter Clémence Dibout raconte sa mission
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il y a 7 mois
Notre reporter BFMTV, Clémence Dibout, a passé quatre jours à bord du porte-avions Charles de Gaulle pour une mission et des exercices internationaux en Asie. Elle raconte les coulisses du bâtiment majeur de la marine nationale.
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00:00
Bonsoir à toutes et à tous, bienvenue sur BFM2.
00:02
On va prendre la direction du Charles de Gaulle qui était en mission en Asie.
00:06
Clémence Dibout a plus assisté aux exercices sur le Charles de Gaulle.
00:12
Première question, pourquoi l'Asie a été choisie comme lieu de mission ?
00:18
C'est dans l'exercice global de l'exercice Clémenceau 25, donc 25 comme 2025.
00:23
Et en fait, c'était une très longue mission jusqu'en Asie,
00:28
jusqu'à des contrées jamais explorées encore par le Charles de Gaulle, jusqu'au Japon par exemple.
00:33
Et tout le long de cette mission, il y a eu des collaborations avec beaucoup de pays,
00:37
les Philippines par exemple, ou encore avec l'Inde.
00:40
Et c'est l'exercice Varuna qu'on a spécifiquement couvert.
00:44
C'était un exercice de coordination avec la marine indienne.
00:47
Marine indienne qui a un porte-aéronef et non pas un porte-avion.
00:51
Et c'est pour ça que c'était très important pour les deux marines de s'exercer ensemble.
00:54
Donc si on comprend bien, le porte-avion, le Charles de Gaulle est parti de France,
00:58
il allait jusqu'en Asie et sur son chemin, il faisait des exercices avec les pays qui étaient à proximité pour s'entraîner.
01:07
Il y a eu plein d'exercices communs, notamment un très grand exercice avec,
01:11
notamment entre autres les Etats-Unis ou l'Australie, au large de Taïwan, au large de la mer de Chine.
01:15
Donc c'était très important dans le contexte géopolitique international.
01:18
Et c'est aussi bien sûr une opération également, peut-être pas de communication,
01:23
mais en tout cas de montrer une démonstration de force.
01:25
On montre les muscles aussi jusqu'en Asie pour montrer la force de la marine française.
01:30
Justement, quels sont les enjeux sécuritaires, les principaux enjeux sécuritaires aujourd'hui pour la marine française ?
01:36
C'est la dissuasion nucléaire.
01:38
C'est-à-dire qu'il ne s'agit pas demain de dire que le porte-avion va être positionné quelque part pour faire la guerre.
01:42
Mais le porte-avion français peut montrer qu'il est disponible partout et qu'il peut répondre en temps réel
01:48
et qu'il travaille aussi, c'est un mot très important pour la marine, pour l'armée en général,
01:53
qu'il travaille son interopérabilité avec les marines du monde entier.
01:57
Ça se fait beaucoup avec l'OTAN, avec les armées de l'OTAN,
02:00
mais aussi avec des armées plus lointaines comme par exemple l'Inde,
02:04
où on n'a pas forcément les mêmes façons de faire.
02:06
Et donc on s'entraîne à plusieurs exercices en commun.
02:08
Alors, de temps en temps, pardon pour le mot trivial, mais ce sont les Français qui jouent les méchants
02:12
et les Indiens jouaient les gentils.
02:13
Et inversement, et ce qui permettait avec des rétex, c'est-à-dire de retour d'expérience,
02:17
aux militaires de mieux se comprendre et de mieux coordonner leurs actions,
02:21
s'ils devaient avoir une action commune.
02:23
Vous avez passé quatre jours sur place.
02:26
On va assister là à un exercice.
02:30
Quel était cet exercice-là qu'on va voir dans le reportage qui suivra ?
02:33
Il y a eu pas mal d'exercices effectivement.
02:34
Et là, en fait, on s'est spécifiquement intéressé avec Domiti Bertho,
02:38
qui est à la caméra, la Géry, qui filme ces images,
02:42
à le vol d'un Hawkeye.
02:44
Un Hawkeye, c'est un avion de reconnaissance, un avion radar,
02:47
qui a des dimensions assez importantes pour un porte-avions.
02:50
Et donc, du coup, il y a ses ailes qui se déploient.
02:52
Et une fois en l'air, en fait, il a un radar super puissant
02:55
qui permet d'être les yeux et les oreilles du porte-avions Charles de Gaulle.
02:59
Et il est souvent accompagné des rafales.
03:01
Eux, les rafales, c'est les avions qui peuvent frapper en cas d'attaque.
03:04
Pourquoi c'est très important ?
03:05
Eh bien, parce que dans la mondialisation et dans la globalisation des armées,
03:09
la menace, elle va être de plus en plus lointaine.
03:10
Et donc, il faut avoir des moyens de détection de plus en plus loin
03:13
pour voir des missiles, par exemple, qui pourraient arriver,
03:16
ou même des drones, mais ça, c'est moins pour le Hawkeye.
03:19
Et donc, c'est pour ça qu'il faut avoir l'avion de reconnaissance
03:22
le plus important possible.
03:23
Et c'est ce qui crée une sorte de bulle de protection
03:25
dans les airs, mais aussi dans la mer,
03:27
autour du Charles de Gaulle.
03:28
Et c'est pour ça que ce Hawkeye, il est très important
03:30
et qu'il y a peu d'armées dans le monde qui en ont.
03:32
On va découvrir ce reportage
03:34
et puis après, on en reparlera aussi pour les coulisses,
03:36
voir un peu comment vous avez pu tourner ça pendant 4 jours.
03:39
Avec plaisir.
03:41
Le lieutenant de vaisseau Alexandre
03:43
vient de recevoir les consignes
03:44
pour un vol de reconnaissance au large des côtes indiennes.
03:48
Il doit enfiler sa tenue de vol
03:49
pas moins de 20 kilos d'équipement.
03:52
Petite bouteille d'oxygène
03:53
à vérifier au cas où si on doit terminer à l'eau,
03:55
la partie brassière de sécurité,
03:57
si on doit s'éjecter, passer sous parachute en l'air.
03:59
Dernier briefing.
04:01
Un verre à droite de sortie.
04:03
Parfait.
04:03
Puis direction le fond d'envol et ce Hawkeye.
04:06
Un avion radar aux immenses délices,
04:09
24 mètres d'envergure
04:11
et des ailes déployées au dernier moment
04:13
pour emprunter une piste à peine deux fois plus large que lui.
04:17
Son catapultage est un moment délicat.
04:20
Un choc encaissé par Alexandre et ses coéquipiers.
04:24
Une fois en l'air, son radar détecte la moindre menace
04:28
à plusieurs centaines de kilomètres à la ronde.
04:31
Des données transmises en temps réel par ses trois opérateurs à l'arrière
04:34
au centre à l'opération du Charles de Gaulle.
04:39
Mission accomplie.
04:40
Le Hawkeye vient de détecter une menace.
04:43
Un exercice calqué sur des menaces bien rayées.
04:50
On vient de détecter et d'abattre un drone.
04:53
La menace actuelle, ça peut être de la menace drone de surface,
04:56
drone suicide ou embarcation suicide
04:58
qui viendrait se faire sauter contre la coque du bateau.
05:03
Exemple mer rouge.
05:04
Et c'est pour ça qu'on se prépare à toute éventualité.
05:08
Retour sur le Charles de Gaulle pour les pilotes.
05:10
Un exercice mené avec la marine indienne
05:13
quelques semaines avant justement le passage-retour en mer rouge
05:17
exposé au missile outil
05:19
avant de rejoindre les côtes françaises.
05:23
Voilà pour ce reportage tourné avec Domiti Berthaud sur le Charles de Gaulle.
05:28
Première question, est-ce que c'était ta première fois sur le Charles de Gaulle ou pas ?
05:32
Alors c'était ma première fois en 2025.
05:35
Non, c'était ma troisième fois.
05:36
C'est la première fois que je reste aussi longtemps à bord.
05:38
On est resté quatre jours.
05:40
Et c'est vrai que d'être très longtemps à bord,
05:42
ça permet de vraiment sentir le rythme de ces marins
05:45
qui sont mobilisables et mobilisés H24.
05:48
Ça permet de vivre avec eux et donc de mieux raconter un peu ce qu'ils vivent au quotidien.
05:52
Qu'est-ce qui te marque à chaque fois que tu peux aller sur le Charles de Gaulle ?
05:55
En fait, le Charles de Gaulle, c'est surtout des impressions auditives très fortes.
06:00
Quand on est sur le pont d'envol et qu'il y a des rafales qui sont catapultées
06:05
ou en appontage, c'est-à-dire que quand ils arrivent,
06:09
voilà par exemple ces images-là, le bruit est vraiment impressionnant, assourdissant.
06:14
D'ailleurs, ils ont des casques et c'est ça souvent qu'on remarque.
06:17
Et puis c'est en continu en fait.
06:19
Il y a en général trois, ce qu'on appelle, pontées par jour.
06:21
La même chose de nuit, donc c'est un bâtiment qui ne dort jamais.
06:27
Quelles sont les conditions de tournage que vous avez pu avoir ?
06:32
Tu le disais, c'était pendant quatre jours avec eux, mais vous vivez à leur rythme.
06:38
Est-ce que c'est du 24-24 ? Est-ce que le bateau vit tout le temps ?
06:42
Est-ce qu'il y a des moments où il se repose et les marins aussi ?
06:46
Comment ça se passe ?
06:47
Déjà, c'est un travail de longue haleine parce que ce n'est pas forcément simple
06:51
d'avoir des autorisations de tournage sur le Charles de Gaulle.
06:54
Bien sûr qu'il y en a, la preuve, on y est.
06:55
Et puis, ce n'est pas la première fois que des journalistes montent à bord, ce n'est pas ça.
06:58
Mais c'est beaucoup de travail en plus pour les marins d'avoir des civils à bord.
07:01
Donc forcément, ça se prépare, ça s'anticipe.
07:04
Il faut pouvoir trouver l'escale où on va pouvoir venir.
07:06
Parce qu'évidemment, si on part plusieurs semaines, ça va commencer à être compliqué.
07:09
Donc, il faut trouver le créneau.
07:11
Et puis ensuite, une fois à bord, par exemple, il y a des choses à savoir.
07:14
On doit couper nos téléphones portables, on doit enlever les puces SIM, parfois les cartes SIM.
07:17
De toute façon, il n'y a pas de réseau à bord.
07:20
Il faut s'engager à, si jamais on filme des choses qui sont secrets défense,
07:24
ne pas les diffuser ou bien à les flouter.
07:27
Et puis, on vit complètement, évidemment, en vase clos à bord.
07:32
Donc, ça passe par les sanitaires communs.
07:34
Par exemple, la cantine commune, le restaurant commun.
07:37
Ou, par exemple, nous, on a dû constituer une équipe 100% féminine, avec Dominique Iberto.
07:42
Donc, parce que les cabines ne sont pas mixtes.
07:44
Et que, du coup, il fallait solliciter une seule cabine, parce qu'il n'y a pas énormément de place à bord.
07:47
C'est des petits détails comme ça.
07:48
La vie à bord, sans téléphone portable.
07:50
Et c'est vrai que, parfois, c'est compliqué.
07:51
On vient de revoir ce reportage d'une minute quarante.
07:55
Vous avez filmé beaucoup plus.
07:57
Est-ce qu'il y a des choses que vous n'avez pas pu mettre dedans au montage
08:00
et qui étaient toutes aussi intéressantes ?
08:02
Mais voilà, il faut faire des choix.
08:03
Et voilà, qu'est-ce qui t'a marqué sur cette mission-là, spécialement ?
08:08
Il y a eu, effectivement, les états-majors indiens qui sont venus à bord.
08:13
On n'a pas vraiment pu le montrer, mais il y avait une volonté de coopérer.
08:18
On a pu assister, on le voit un petit peu à la fin avec les images de Dominique Iberto,
08:22
mais on a pu assister à un faux texte.
08:24
Et c'est très, très rare.
08:25
Alors, qu'est-ce que c'est un faux texte ?
08:26
En fait, c'est à la fin de l'exercice, c'est tout le GAN, le groupe aéronaval français,
08:31
le porte-avions, les frégates, le sous-marin,
08:36
qui se mettent à côté du Varuna, le porte-aéronef indien.
08:41
Et donc, ils naviguent côte à côte.
08:43
Et il y a un hélicoptère, tout spécialement, qui décolle
08:45
pour faire ces images impressionnantes de cet exercice.
08:50
Alors, bien sûr, évidemment, c'est une portée de communication.
08:53
Mais donc, nous, en tant que journalistes, ça montre aussi à quel point la France
08:56
et l'Inde aussi veulent montrer les muscles dans cette région du monde.
08:59
Donc, tout ça est très intéressant.
09:01
Il y a des images à bord du Hawkeye.
09:04
On a réussi à mettre une GoPro.
09:05
Ah, c'est ces images-là.
09:07
Exactement.
09:07
C'est notre GoPro que le pilote Alexandre a pu mettre à bord,
09:12
qui font des images impressionnantes, pas souvent vues.
09:15
On n'a mis qu'une partie, on n'a pas pu les mettre, par exemple.
09:17
Mais c'est vrai que ce qui a été très intéressant sur cette mission, assez longue,
09:21
c'est que vraiment, on peut comprendre de A à Z le début d'un exercice,
09:25
la fin d'un exercice et puis surtout le rythme de vie.
09:27
Et concernant cette mission-là, on a vu, il y avait le Charles de Gaulle,
09:30
mais il y avait, entre les hélicoptères, est-ce qu'il y avait des sous-marins ?
09:34
Comment ça se passait autour du Charles de Gaulle ?
09:37
Oui, c'est ce qu'on appelle le GAN, le groupe aéronaval.
09:40
Donc, il y a des sous-marins qu'en général, on ne voit jamais.
09:43
Là, ils sont remontés.
09:44
Enfin, il y a un sous-marin qui est remonté à bord, justement, pour ce FOTEX,
09:47
ce qu'on appelle le FOTEX.
09:48
Il y a aussi des frégates, notamment, on a passé une journée à bord d'une FREM,
09:54
une frégate multimission, qui est l'objet d'un autre reportage
09:58
qu'on pourra voir le 14 juillet sur BFM TV.
10:03
Et donc, c'est tout ce qui entoure le Charles de Gaulle
10:06
qui ne pourra pas fonctionner tout seul.
10:07
Il y a aussi un ravitailleur pour pouvoir le ravitailler en pleine mer.
10:11
Et tout ça, c'est la force du groupe aéronaval français.
10:15
Et concernant cette mission-là, l'objectif était de contrer des nouvelles menaces.
10:24
Est-ce qu'il y a des nouvelles menaces aujourd'hui sur la marine française,
10:28
sur certaines opérations ?
10:29
Est-ce qu'il y a des nouvelles choses à gérer ?
10:31
Et c'est pour ça que ces exercices existent.
10:33
Mais quelles sont ces nouvelles menaces ?
10:35
C'est aussi pour ça qu'on a choisi ce reportage sur le Hawkeye,
10:38
parce que dans le centre opération qui gère l'opération de reconnaissance
10:43
qui est en train de faire le Hawkeye, le porte-avion,
10:46
l'avion, pardon, le Hawkeye, il y a le Pacha.
10:49
Le Pacha, c'est le commandant du Charles de Gaulle
10:51
qui nous explique qu'en fait, l'intérêt, c'est de détecter la menace
10:55
le plus en amont possible.
10:57
Et par exemple, de détecter la menace d'un missile balistique.
11:00
Or, ça, ce n'est pas du tout une vue de l'esprit.
11:03
Ça ramène à la mer Rouge, au Yémen, à la menace des Houthis.
11:06
Et pour aller en Asie, par où passe le Charles de Gaulle ?
11:09
Eh bien, par la mer Rouge.
11:10
Et donc, ça fait très longtemps que le porte-avions français
11:14
n'a pas été à portée de tir potentiel
11:17
quand il est passé dans cette mer Rouge.
11:19
Et donc ça, ce sont les principales menaces, si on veut, en ce moment.
11:25
D'ailleurs, pour la petite histoire, cette fois-ci, c'était l'année dernière.
11:30
On a pu assister, justement, à une mission de reconnaissance
11:33
de la marine française, enfin, pas de reconnaissance,
11:37
qui était en opération, justement, pour essayer d'intercepter
11:40
des missiles balistiques qui auraient pu toucher des navires de commerce.
11:44
Et c'était une opération de régulation dans la mer Rouge.
11:48
Merci, Clémence, de nous avoir partagé les coulisses
11:51
de ce reportage tourné avec Domiti Berthaud,
11:53
à bord du Charles de Gaulle, un reportage que vous pourrez revoir
11:57
sur BFM2 prochainement.
11:59
Merci, Clémence.
12:00
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