Xi Jinping entame ce lundi une visite d'Etat de deux jours en France, où il assure vouloir «œuvrer» avec son homologue français Emmanuel Macron à «résoudre la crise» en Ukraine et continuer à investir dans l'Hexagone. Et selon le chroniqueur Jean-Claude Dassier, «on est bien obligé de lui parler si on veut sauver le Cognac».
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00 Il n'y avait pas M.Scholz, qui quelque part est peut-être encore plus dérangeant.
00:05 Mais c'est vrai que la présence de Von der Leyen à l'Elysée pose quand même un certain nombre de questions.
00:13 C'est la candidate de M.Macron. C'est elle qui veut voir reconduit à la tête de la Commission.
00:24 En même temps, son bilan, Mme von der Leyen, est quand même loin d'être totalement satisfaisant. L'Europe telle qu'elle est est fortement critiquée un peu dans tous les pays d'Europe.
00:34 On va voir ce qui va se passer. Maintenant, pour revenir à votre question, est-ce que le président de la République a eu raison de recevoir sur le mode amical le patron chinois ?
00:44 C'est une dictature. C'est une évidence. On voit même qu'il a mené la Chine dans une voie qui n'est pas la bonne. L'enfant unique est un désastre.
00:52 L'économie chinoise va très mal. C'est plus la Chine d'il y a 15 ans. Donc son bilan, à lui, Xi Jinping, n'est pas non plus exceptionnel.
01:01 Néanmoins, il a mis la main sur le pays et personne ne moufte. On est bien obligés de lui parler si on veut sauver le cognac, ce qui semble avoir fonctionné assez bien.
01:12 – Non mais la critique qu'a fait Luczman, la critique, c'est est-ce qu'il était obligé de l'emmener là où sa grand-mère l'a élevé, etc.
01:16 – Non, je suis d'accord avec toi. Le mode amical est peut-être de trop.
01:19 [Musique]
01:23 [SILENCE]