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  • 08/02/2024

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Transcription
00:00 Le mouvement de la réunion
00:03 Je rappelle quand même que le mouvement c'était bien sûr sur des revendications salariales,
00:08 mais aussi sur la crainte des salariés de ne pas être payés ou de perdre leur emploi
00:15 ou de ne pas être assurés de continuer à travailler dans les années qui viennent.
00:20 Bien entendu ce point a été évoqué lors de la négociation lors des réunions,
00:26 notamment il a été mis sur la table par le représentant du préfet qui reconnaît,
00:31 comme tout le monde d'ailleurs, que la Chambre des Réunions est en situation financière critique
00:36 et qu'il fallait que la Chambre trouve une certaine sérénité, une certaine façon de fonctionner.
00:44 Sauf que nous ce qu'on a dit c'est qu'il est hors de question que ce retour à l'équilibre
00:51 se fasse sur le dos des travailleurs, c'est-à-dire pas demain à nouveau une éventuelle baisse
00:57 de la valeur du point qui reste quand même encore dans l'heure collimateur,
01:04 mais surtout aussi une baisse d'effectifs parce qu'ils considèrent que...
01:10 Le représentant du préfet a parlé de plan de redressement,
01:14 qu'est-ce qu'il y a d'ailleurs sur ce plan de redressement ?
01:17 On saurait faire en 2004, il y avait déjà eu un plan de redressement à l'Assemblée agriculteure
01:22 qui s'est quand même aujourd'hui soldé par la suppression d'une cinquantaine de postes.
01:28 Donc nous et pour nos syndicats il est hors de question qu'on continue à supprimer les postes à l'Assemblée agriculteure.
01:35 Déjà qu'on estime qu'il manquerait justement d'éducationnels pour pouvoir faire notre travail correctement.
01:42 C'est plutôt des embauches qu'il faudrait au lieu de suppression de postes.
01:47 [Musique]

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