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  • 31/10/2023
L'essayiste, chargée de mission politique de la ville Naïma M'faddel : «On a environ un peu plus de 5.000 personnes radicalisées, dont la moitié sont des personnes étrangères».

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Transcription
00:00 C'est ça le problème. À un moment, il faut peut-être sortir de l'état de droit pour recouvrir des droits,
00:04 et notamment la sécurité et la protection. C'est ça la question aujourd'hui.
00:08 Sinon, on va continuer à égrener les attentats et les morts.
00:13 Je voudrais juste aussi rappeler qu'aujourd'hui, on a environ, je crois, un peu plus de 5000 personnes
00:18 qui sont radicalisées, à peu près. La moitié sont des personnes étrangères, qu'aujourd'hui, on héberge,
00:25 qu'on nourrit, qu'on entretient, etc., en ayant peur qu'ils passent aux actes. C'est ça le drame de notre pays.
00:31 Quand vous voyez, par exemple, les derniers attentats qu'il y a eu, notamment les de Tchétchène,
00:36 qui étaient justement des demandeurs d'asile, et vous en avez énormément aujourd'hui de Tchétchène
00:40 qui sont des demandeurs d'asile et qui vivent sur notre sol et qui sont radicalisés. Qu'est-ce qu'on fait ?
00:46 Le problème, c'est qu'on nous demande d'être vigilants. Et je me rappelle que Valls nous avait dit…
00:49 Est-ce que c'est à nous ?
00:50 Non, mais Emmanuel Valls, après les attentats qu'on a eus, je me souviens de ça, il avait dit
00:56 « il faudra se résigner ». Mais c'est terrible. Ça veut dire que notre pays n'est plus en capacité
01:02 de nous protéger et d'assurer notre sécurité. Ça veut dire que notre État de droit crée les conditions
01:09 de notre insécurité. Et il nourrit l'islamisme.
01:13 [Musique]
01:16 [SILENCE]

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