- 20/10/2023
Il fait partie des 6 nouvelles recrues des Girondins de Bordeaux : Gaetan Weissbeck est arrivé de Sochaux au mercato estival. Il évoque le début de saison et l'arrivée du nouveau coach.
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00:00 - Ça y est, Gaëtan Weisbeck est en studio, c'est dur de circuler à Bordeaux.
00:03 - Très compliqué, surtout à cette heure-ci.
00:05 - Surtout à cette heure-ci, voilà.
00:06 Mais merci d'abord d'avoir fait le début de l'émission en distanciel
00:10 et d'être maintenant dans le studio de France Bleu Gironde.
00:13 J'attendais que vous soyez avec nous Gaëtan pour reparler un peu plus des débuts de votre carrière
00:19 parce que si on parle de ne jamais rien lâcher, je pense que ça vous va bien
00:25 parce que les débuts de carrière professionnelle, ils sont loin d'être faciles pour vous.
00:29 Il y a cette formation à Strasbourg, mais après les portes se ferment.
00:33 - Oui, les portes se ferment. Malheureusement, ma dernière saison, je l'ai fait à Strasbourg en Ligue 2,
00:37 l'année de la montée en Ligue 1, mais un poste qui n'est pas du tout le mien
00:41 où j'ai été repositionné latéral droit tout au long de la saison, même en réserve.
00:45 Donc c'était compliqué pour briller à ce poste-là.
00:48 Et derrière, j'arrivais en fin de contrat à Stagiaire Pro et l'option du contrat pro n'est pas levée
00:54 par rapport à différentes choses, une histoire d'agent qui n'est pas superbe.
00:59 Ça ne s'est vraiment pas bien fini à Strasbourg malheureusement,
01:01 parce que ça reste mon club de cœur bien sûr, mais ça ne s'est pas bien fini à l'époque.
01:04 - Et vous auriez pu... Vous vous êtes dit à un moment "j'arrête la carrière de footballeur" ?
01:09 - À un moment donné, oui, on se pose plein de questions. On se dit "est-ce qu'on est fait pour ça ?
01:12 Est-ce qu'on a vraiment le niveau pour y arriver ?"
01:14 Et heureusement qu'à ce moment-là, j'étais bien entouré pour vraiment me rebondir.
01:19 Malheureusement, je n'ai pas rebondi tout de suite.
01:21 J'ai passé deux saisons en amateur à Guenaud dans mon club, en National 3 pour la première année.
01:26 On fait le titre de champion National 3, on monte en National 2.
01:29 À ce moment-là, je fais une grosse saison, je finis à 18 buts, on se passe décisif.
01:33 Je me dis "oui, je veux au moins signer en National finalement".
01:36 Je dois signer à Dunkerque, ça ne se fait pas non plus.
01:39 Et je reste encore une saison supplémentaire en National 2.
01:42 Et là, un match de Coupe de France contre Sochaux qui délivre tout.
01:45 Et c'est à ce moment-là vraiment que Sochaux me repère.
01:48 Il me suivait déjà, mais c'est vraiment le déclic de ma carrière.
01:51 On joue contre Sochaux avec mon club amateur en Coupe de France et où je brille ce jour-là.
01:56 Et derrière, quelques mois plus tard, je signe pro à Sochaux.
01:59 - Ça joue sur un match, quoi. - Ouais, on peut dire ça comme ça.
02:02 - Sur votre capacité à faire tout ça, à résister à tout ça,
02:06 à accepter de retourner "au niveau national" au club où vous étiez gamin en plus.
02:11 - Ouais, c'est ça, exactement.
02:13 - Et après, sur un match de Coupe de France, vous vous êtes repéré.
02:15 Parce que ce jour-là, il y avait du monde pour vous voir et vous vous êtes montré.
02:19 - C'est ça, exactement. C'est sûr qu'au final, ça s'est joué sur un match.
02:23 Et heureusement d'ailleurs, c'est un match que j'ai abordé avec beaucoup de simplicité,
02:27 plus comme une chance de pouvoir jouer à un club de Ligue 2 à ce moment-là.
02:30 Et donc, c'était vraiment comme ça que je l'ai abordé ce jour-là.
02:33 - Et revenir en national dans ce club où vous étiez passé gamin,
02:37 parce que je crois que je suis en train de faire des calculs rapides,
02:39 mais vous étiez dans ce club à 9 ans.
02:41 - Ouais, c'est ça, exactement.
02:42 C'est là où j'ai commencé, après avoir quitté mon village.
02:45 J'ai continué là-bas avant de rejoindre le centre de formation de Strasbourg.
02:49 - Et vous êtes motivé un peu ? Il y a du monde là-bas qui vous pousse ?
02:52 - Ouais, bien sûr, on me suit toujours. J'ai encore de très bons contacts avec d'anciens joueurs,
02:55 le président du club, l'entraîneur aussi, qui m'avait beaucoup apporté à l'époque,
03:00 et qui est encore l'entraîneur actuellement.
03:01 - Vous avez bien fait suer lui au niveau de la préparation physique.
03:04 - C'est ça, exactement.
03:05 - On va le saluer. Cédric Debelle est avec nous,
03:08 parce que je pense que c'est de lui que vous vous parliez.
03:10 - C'est ça, exactement.
03:11 - Bonsoir Cédric Debelle.
03:12 - Bonsoir.
03:13 - Merci beaucoup d'être là et d'être avec Gaëtan Weisbeck.
03:17 On voulait avec vous revenir, j'imagine, dans son club formateur,
03:21 lui qui était passé par le centre pro de Strasbourg.
03:25 Est-ce que vous vous êtes aussi dit
03:27 "Ah, ça c'est quand même une belle opportunité pour notre club d'Aguenaut" ?
03:30 - C'était une trop bonne opportunité.
03:34 À ce moment-là, je n'étais pas entraîneur, mais j'avais tout fait pour qu'il vienne.
03:38 C'était plus intéressant pour lui de revenir chez lui,
03:41 plutôt que de partir, on ne sait où, comme le font certains,
03:44 dans les pays de l'Est, où après c'est très compliqué,
03:48 on n'est pas sûr de ce qui va se passer.
03:50 - Gaëtan, il vous a fait souffrir un peu en tant que préparateur physique ?
03:54 - Oui, beaucoup, énormément même.
03:57 Mais c'est ce qui m'a forgé aussi,
03:59 et il m'a vraiment aidé à passer ce cap là aussi,
04:02 parce qu'il savait exactement dans quel domaine on devait travailler
04:05 pour que je progresse et que je puisse vraiment passer ce palier.
04:07 Je le remercie d'ailleurs, il le sait qu'il a beaucoup compté pour moi
04:10 tout au long de mon début de carrière,
04:12 et jusqu'à aujourd'hui, c'est quelqu'un qui compte énormément pour moi.
04:15 - Parce que vous faisiez les séances de club,
04:17 et en plus du travail supplémentaire avec Cédric Debel.
04:20 - C'est ça, exactement.
04:21 Souvent, les séances les plus dures, c'était quand j'étais tout seul avec lui,
04:24 plutôt qu'à l'entraînement.
04:26 - Il a eu l'intention de se cacher.
04:28 - Voilà, c'est ça.
04:29 - Cédric Debel, c'était quel style de garçon
04:32 quand vous le voyez revenir en national, Gaëtan Weisbeck ?
04:36 - Fidèle à lui-même, il vient, il est travailleur, il sautait.
04:41 J'ai envie de dire que c'est l'homme qui m'a plus plu
04:45 plutôt que le footballeur.
04:47 Parce que l'homme, ça va continuer après, il y a le football.
04:50 Et si tous les jeunes que j'ai pouvaient s'inspirer
04:53 un peu de son comportement à lui qu'il a eu,
04:57 peut-être qu'il rebondirait aussi plus haut,
05:00 ou qu'il serait meilleur.
05:01 Parce que c'est vraiment la mentalité qui fait qu'on réussit.
05:05 Il y a une part de talent, mais c'est surtout le travail et la mentalité.
05:08 - Ça c'est un beau message dans les écoles de foot.
05:10 Même quand il y a des portes de clubs qui ferment, Gaëtan Weisbeck,
05:13 vous pouvez le dire aux jeunes aujourd'hui,
05:15 même si vous n'êtes pas bien âgés encore,
05:17 mais quand même, vous pouvez le dire aux jeunes,
05:19 il ne faut pas lâcher si on y croit.
05:20 - Exactement, il ne faut pas lâcher.
05:22 J'ai un parcours atypique.
05:24 Et souvent c'est aussi comme ça qu'on se construit, qu'on se forge.
05:27 Et mentalement, après, normalement,
05:29 on prend un passage comme ça qui peut nous atteindre.
05:31 - Il ne peut plus revenir à Agenau maintenant,
05:33 il n'est pas transférable pour l'instant, Gaëtan Weisbeck, Cédric Debel.
05:36 - Si, il peut revenir, mais d'une autre manière.
05:40 En passadeur, regarder les matchs de temps en temps.
05:44 C'est déjà pas mal.
05:45 Rien que son aura, il apporte énormément au club.
05:47 - Vous avez une question peut-être pour Gaëtan d'ailleurs ?
05:49 Je ne sais pas si vous le souhaitez, Cédric.
05:51 Merci d'avoir été là en plus.
05:53 - J'ai une question, mais j'ai déjà la réponse.
05:57 C'est quand est-ce qu'il m'invite à Bordeaux
05:59 pour que je puisse regarder comment ça fonctionne là-bas ?
06:01 - C'est quand tu veux, avec grand plaisir.
06:03 Tu sais que tu es le bienvenu à tout moment de la saison.
06:06 - Bon, ben voilà, c'est fait.
06:08 On vous attend avec plaisir ici en Gironde.
06:10 Et saluez le club d'Agenau,
06:12 comme on salue tous les clubs amateurs
06:14 qui sont tellement importants pour notre football.
06:15 Merci Cédric Debel d'être passé en 100% Gironde.
06:17 - Merci beaucoup. - Bonne soirée. Au revoir.
06:20 100% Gironde. Jusqu'à 19h sur France Bleu Gironde.
06:26 - Des questions qui sont arrivées sur les réseaux sociaux aussi, Gaëtan Weisbeck.
06:29 Alors il y a du charisme qui dit
06:32 "Pourquoi est-ce que tu vas mettre un quadruplet contre Angers ?"
06:35 Donc un certain optimisme manifestement.
06:39 Ça vous manque la réussite ?
06:43 On sent bien, on a vu notamment ce premier match contre Pau,
06:46 que tout le collectif n'était pas dans la réussite,
06:49 que ça ne voulait pas sourire, comme on dit.
06:51 Ça agace, ça ?
06:53 - Oui, ça agace. Mais on travaille pour ça aussi au quotidien.
06:56 On veut s'améliorer, on veut mieux faire.
06:58 Et on doit mieux faire dans ce domaine-là.
07:00 On sent vraiment qu'il y a eu une crise de confiance
07:02 au fur et à mesure des matchs.
07:04 On était bon avec le ballon,
07:06 mais que dans les 30 derniers mètres, il ne se passait pas grand-chose.
07:08 Et c'est là qu'on doit progresser.
07:10 Et qu'on va progresser, j'en suis persuadé.
07:12 Parce qu'aujourd'hui, la qualité de l'équipe est très bonne.
07:16 Et je sais qu'on va y arriver.
07:18 - Énormément de questions évidemment sur le changement de coach.
07:22 Quelles sont les différences avec la méthode Guillaume dit Maxence ?
07:26 C'est peut-être un peu précis et pas révélé,
07:28 mais est-ce que déjà, vous avez senti que vous aviez changé de meneur d'homme ?
07:34 - Oui, c'est sûr, c'est une méthode différente.
07:37 C'est un coach qui est jeune,
07:39 qui a arrêté le foot il n'y a pas trop longtemps,
07:41 qui est très très positif,
07:43 qui amène beaucoup d'ondes,
07:45 et positive depuis qu'il est arrivé.
07:47 Donc aujourd'hui, on est très heureux de l'avoir avec nous.
07:51 Il nous rassure beaucoup aussi,
07:53 il nous aide beaucoup,
07:54 il est très protecteur avec ses joueurs,
07:56 il nous donne beaucoup d'informations.
08:00 C'est très important pour nous.
08:01 Il sait exactement comment il veut jouer,
08:03 comment on doit jouer.
08:05 Et je trouve que c'est très important aujourd'hui
08:07 de vraiment nous redonner confiance
08:10 et de nous ramener beaucoup de sérénité
08:12 comme il le fait actuellement.
08:14 - Justement, une petite question là-dessus,
08:16 comme le dit Gaëtan, c'est surtout une crise de confiance,
08:18 plus qu'un problème technique ou tactique,
08:21 aujourd'hui, je pense, au Girondins de Bordeaux.
08:23 Il en est l'illustration.
08:25 Comment on essaye de switcher,
08:27 mentalement, d'un match à un autre,
08:30 ou même au quotidien,
08:32 pour essayer justement de retrouver cette confiance ?
08:34 Alors là, il y a eu un changement de coach,
08:36 donc c'est assez radical, on va dire ça comme ça,
08:38 personnellement, chez soi,
08:40 tous les jours, au quotidien.
08:42 On a eu Clément Michelin il y a quelques semaines,
08:44 ici en studio, il a expliqué qu'il avait fini
08:46 par s'appuyer sur un coach mental,
08:48 ce genre de choses.
08:50 Comment on fait un petit peu, et comment on gère ça au quotidien ?
08:52 Parce que c'est pareil,
08:54 on en a beaucoup parlé ces dernières semaines,
08:56 ces derniers jours, avec Aliu Badji,
08:58 ce qui s'est passé tout autour d'Aliu et tout ça.
09:00 Mais il y a aussi d'autres joueurs qui sont un peu
09:02 dans la difficulté au niveau de la crise de confiance.
09:05 Psychologiquement, comment on fait un peu pour gérer ça au quotidien ?
09:07 Justement, on reste des êtres humains,
09:09 on n'est pas des robots, donc forcément,
09:11 ces dernières semaines, c'était très dur
09:13 quotidiennement, c'était vraiment pas facile.
09:16 On veut mieux faire,
09:18 et c'est frustrant en fait,
09:20 de ne pas y arriver,
09:22 comme on l'a fait sur ces dernières semaines,
09:24 sur ces derniers matchs.
09:26 Donc il faut se remettre en question, au quotidien,
09:28 mais pas que ça nous mange
09:30 non plus le cerveau,
09:32 plus que ça, parce qu'on sait que
09:34 au bout d'un moment, ça va tourner,
09:36 avec la qualité de l'équipe qu'on a,
09:38 ça va forcément tourner, c'est sûr.
09:40 Mais il faut vraiment rester positif,
09:42 essayer de rester positif un maximum,
09:44 même si c'est pas facile tous les jours,
09:46 mais ça passe que par le travail.
09:48 Ça passe que par le travail,
09:50 que ce soit mental ou physique à l'entraînement,
09:52 il faut rester concentré
09:54 et focus sur l'objectif.
09:56 Et l'importance de l'entourage,
09:58 c'est vrai que moi j'ai vu une coupe du monde
10:00 de foot des robots une fois,
10:02 c'est chiant, c'est bien que vous ne soyez pas des robots.
10:04 À quel poste êtes-vous le plus à l'aise,
10:06 en 8 ou en 10,
10:08 demande Bocard sur nos réseaux sociaux.
10:10 J'ai envie de dire que tout dépend des matchs.
10:12 Il y a des matchs où c'est plus facile de jouer...
10:14 Ça, ça va plaire à Albert Hirad,
10:16 après ce que j'ai cru comprendre, on change tout le temps.
10:18 Non mais c'est vrai que ça dépend des matchs,
10:20 il y a des matchs où on a beaucoup le ballon,
10:22 où il y a de la place dans les intervalles,
10:24 où les équipes ne ferment pas forcément l'intérieur,
10:26 mais bon, ça arrive très rarement.
10:28 Mais quand c'est le cas,
10:30 j'aime bien jouer 10,
10:32 après si les équipes adverses
10:34 ferment beaucoup l'intérieur,
10:36 c'est sûr, être 8, c'est un poste qui me correspond
10:38 parfaitement aussi, parce que je peux me déplacer,
10:40 je peux dézonner, je peux aider l'équipe.
10:42 Et moi je suis un joueur, j'ai besoin de courir,
10:44 j'ai besoin de toucher le ballon,
10:46 pour me mettre en confiance, pour me mettre dans le jeu.
10:48 Après, comme je l'ai dit,
10:50 tout dépend des matchs,
10:52 c'est deux postes où je peux jouer sans problème.
10:54 David, mais je pense qu'on n'a pas le temps,
10:56 ou alors on va essayer d'aller très très vite.
10:58 Bonsoir David, il nous reste vraiment une minute 15,
11:00 posez très rapidement s'il vous plaît votre question
11:02 à Gaëtan Weisbeck.
11:04 - Alors Gaëtan, bonsoir.
11:06 - Bonsoir.
11:08 - J'aimerais savoir, est-ce qu'il est réel
11:10 que vous trouviez que
11:12 David Guillaume
11:14 ne comprenait pas
11:16 ce qu'il vous demandait sur le terrain
11:18 d'effectuer ?
11:20 - Est-ce qu'il y avait cette difficulté
11:22 d'appréhension des consignes
11:24 du coach, Gaëtan ?
11:26 - Non, disons que c'était une manière différente
11:28 de jouer.
11:30 Dans la compréhension, on avait compris
11:32 la manière dont le coach voulait jouer,
11:34 il n'y a pas de débat.
11:36 Après, c'était vraiment différent par rapport
11:38 à la manière dont se jouait
11:40 à Sochaux, mais au niveau
11:42 de la compréhension, on savait également
11:44 comment on devait jouer.
11:46 - Vous avez votre réponse David, et merci à tous les deux d'avoir été
11:48 concis, vous êtes parfaits.
11:50 David qui est fidèle des Girondins de Bordeaux,
11:52 et vous avez pu dialoguer directement avec Gaëtan
11:54 grâce aux Girondins de Bordeaux
11:56 et à France Bleu Gironde.
11:58 Vous avez eu le temps de visiter un peu,
12:00 vous connaissiez la Gironde avant de
12:02 venir ou pas du tout ? - Non, je ne connaissais pas du tout.
12:04 - Même pas les vacances ?
12:06 Non, à la cano, tout ça ?
12:08 - Non, mais j'ai eu le temps de visiter,
12:10 on va dire qu'on m'a bien intégré,
12:12 donc forcément c'était plus facile
12:14 pour arriver à...
12:16 - Ah, ça nous intéresse alors, qui vous a amené où ?
12:18 Non mais ouais,
12:20 c'est vrai que c'est les coéquipiers qui vous ont fait découvrir ?
12:22 - Oui, bien sûr, vraiment c'est
12:24 un bon groupe, c'est pour ça aussi que c'était
12:26 facile pour moi de m'intégrer à ce niveau-là,
12:28 parce que des joueurs comme Vital,
12:30 comme Yoann Barbet,
12:32 Clément Michelin, ils m'ont tout de suite intégré
12:34 dès le début, et ça m'a
12:36 beaucoup aidé et facilité la tâche
12:38 pour la suite. - Et il y a déjà
12:40 un endroit de Gironde qui vous a particulièrement
12:42 plu ?
12:44 - Ben...
12:46 pas plus que ça, disons qu'il y a
12:48 beaucoup de beaux endroits, et tout ce que
12:50 j'ai vu c'était vraiment bien, c'était beau,
12:52 et il y a la mer et l'océan pas loin,
12:54 c'est vrai qu'on avait pas ça à Sochaux.
12:56 - Et vous arrivez à prendre une chocolatine le matin,
12:58 ou pas encore ? Vous faites encore pas
13:00 de chocolat, ou c'est à la chocolatine ? - À ce niveau-là,
13:02 j'ai encore un peu de mal. - Ah, ça va venir,
13:04 il va durer !
13:06 - Merci beaucoup Gaëtan Weisbeck d'être dans
13:08 100% Girondins ce soir, on vous souhaite
13:10 plein de bonnes choses pour le déplacement à Angers
13:12 samedi 19h chez nos confrères de l'équipe,
13:14 et puis après le match des 142 ans
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