David Van Hemelryck : Apéro #Destitution. Salon de Provence/France - 06 Septembre 2023

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Transcript
00:00 [Musique]
00:16 [Bruits de la foule]
00:45 - Ça va, il y a du monde !
00:47 - Si tout le monde avait un verre à la main, on aurait pu se moquer pour la destitution.
00:49 - Ah oui !
00:51 - Bonjour David. - Bonjour Franck.
00:55 - Merci de nous recevoir ici.
00:57 - Écoute, c'est un apéro, tout le monde est bienvenu.
00:59 - Je viens en porte-parole de Gilbert Vola.
01:03 Pour avoir un peu des éléments par rapport à ton action.
01:07 Tu peux nous dire d'où est venue cette idée de faire la bande de rôle de destitution et de la faire voler ?
01:14 - Alors il y a deux choses là-dedans.
01:16 Choisir la méthode opérationnelle, une bande de rôle, et ça on partirait dans une grande discussion, une bande de rôle aérienne.
01:22 Et il y a l'idée de dire que le peuple français a le droit de virer Macron.
01:26 Et on s'est dit comment, on a réfléchi, comment expliquer aux français que c'est le peuple, le boss, c'est le peuple souverain.
01:33 C'est marqué partout. Dans une république c'est le peuple souverain et Macron c'est l'employé.
01:37 Et donc le peuple a le droit de virer Macron, mais les gens ont perdu l'habitude.
01:40 Ils obéissent, ils se prennent des coups de matraque, limite ils croient que le gaz et les coups de matraque c'est normal, on est en république.
01:45 Non, le peuple a sa dignité, Macron c'est l'employé.
01:48 Si on veut lui donner un coup de pied au cul, c'est normal.
01:52 Et dans la constitution c'est l'article 68, ça s'appelle la destitution.
01:56 Et donc on s'est rendu compte que l'article 68 il n'est pas connu des français.
01:59 Et qu'on allait marteler ce mot-clé, qui est un mot dans la constitution, juste destitution.
02:05 C'est propre, c'est élégant, on ne lui dit pas "Macron t'as un cul" comme font certains artistes, etc.
02:11 Non, on lui dit juste destitution.
02:13 Par exemple, Macron il a volé l'élection.
02:15 Pourquoi est-ce qu'il a triché des votes ?
02:18 Non, ça je ne sais pas s'il y a eu de la triche au niveau des bulletins, peut-être.
02:22 Mais ce qu'on voit c'est que quand même le temps de parole par exemple des politiques est limité.
02:26 Alors que le temps de parole des journalistes, je mets des guillemets, au service de l'oligarchie,
02:32 au service de milliardaires qui contrôlent la parole publique, ce temps de parole il n'est pas du tout compté.
02:38 Donc au final le débat public est complètement faussé, le premier tour se gagne à 1%.
02:42 Mais qu'est-ce que c'est 1% quand on a BFM, c'est qui les autres...
02:46 Les médias je ne les regarde jamais, Canal+, le JDD, tout ça.
02:49 On appelle le mainstream.
02:51 Oui tu l'appelles le mainstream, moi j'appelle la presse de propagande.
02:55 Alors avec une presse de propagande on ne peut pas dire qu'on a des élections fair-play.
02:59 On n'a pas d'élections fair-play en France depuis, je ne sais pas, 20 ans peut-être.
03:03 Et les français se sont habitués.
03:05 La plupart des gens qui vivent dans une dictature n'ont pas l'impression de vivre en dictature
03:09 parce qu'ils peuvent avoir un business habituel.
03:11 C'est seulement quand tu dis "le président il doit partir" que tu mesures si tu es en dictature ou pas.
03:17 Moi quand je prends un t-shirt et que je vais courir à côté de l'Elysée, on m'arrête direct.
03:21 Un t-shirt, je ne sais pas, où il y a marqué "désistitution", voilà.
03:24 Et les français se sont pris un certain nombre de coups de matraque.
03:27 Ils ont perdu des yeux, ils ont perdu des mains.
03:29 Moi si j'étais, enfin je veux dire, un président normal, c'est quelqu'un qui prendrait soin de son peuple.
03:34 Ça devrait lui faire mal aux tripes Macron.
03:36 On voit qu'il est totalement cruel.
03:38 Lui il peut envoyer les CRS matraquer et perdre des yeux, ça fait d'hiver.
03:43 Donc la déstitution ça s'impose comme une évidence quand tous les français veulent virer Macron.
03:49 Il suffit juste finalement de faire une action de pédagogie.
03:51 Nous on a une stratégie créer, on s'organise en tant qu'équipe.
03:55 Ensuite, une fois qu'on est bien organisé, on va pouvoir expliquer à la nation cet article 68.
03:59 Ça va devenir complètement à la mode de parler de la déstitution de Macron
04:03 et complètement has-been de soutenir la dictature.
04:05 Après ce sera facile de passer à l'état de droit et de le virer.
04:09 On est quand même au tout début.
04:10 Moi pendant trois ans j'étais en Ukraine.
04:12 Je viens de rentrer en France et je viens de commencer quelque part.
04:15 Donc après une quarantaine de jours d'action, on a 4500 membres actifs.
04:22 On a 650 donateurs.
04:25 Une cagnotte qui arrive à 25 000 euros en gros.
04:28 Tout ça, je n'ai pas eu le temps de mettre des efforts derrière.
04:32 J'ai juste eu le temps de donner un mot-clé.
04:34 Et puis derrière, il y a des gens qui ont rejoint et au fur et à mesure des rencontres,
04:38 j'ai rencontré des gens exceptionnels et qui prennent au fur et à mesure les responsabilités.
04:43 Donc on est au début, on est au prologue du prélude de la phase numéro 1.
04:48 Je pense que les Français en ont marre de se lever pour juste manifester en pensant qu'à la fin, il y aura un échec.
04:54 Moi je veux orienter les Français vers un plan.
04:57 On peut peut-être améliorer le plan, mais il y a un plan.
04:59 Le plan c'est d'abord qu'on s'organise.
05:01 Ça ne marche pas quand on part tous dans tous les sens.
05:04 Et ça veut dire quoi s'organiser ?
05:05 Ça veut dire choisir un effort commun.
05:07 Donc la destitution.
05:08 Peut-être qu'il y en a qui veulent la destitution et puis un référendum.
05:11 Peut-être qu'il y en a qui veulent la destitution et puis je ne sais pas, une nouvelle constitution.
05:15 Mais Macron c'est le point de blocage, le représentant de l'oligarchie.
05:20 On fait sauter le point de blocage.
05:21 Ça veut dire que d'abord on définit l'objectif et l'organisation consiste ensuite à...
05:25 Aujourd'hui là il y a un apéro, on pourrait voir tous les gens qui viennent.
05:28 Ils sont peut-être, je ne sais pas moi, de différentes sensibilités.
05:31 Nous on est transpartisans, mais on organise.
05:34 C'est-à-dire que les gens peuvent venir de telle ou telle ou telle partie.
05:36 S'être battus contre telle ou telle ou telle loi injuste de Macron.
05:41 Des privations de liberté, des lois au 49-3.
05:45 Des raisons, il y en a 50.
05:46 Mais là, ils peuvent se retrouver avec ce projet commun de faire sauter ce point de blocage qui s'appelle Macron.
05:53 Cette verrue hideuse sur le corps de la République.
05:56 Lâchons quelques mots un peu forts.
05:59 Mais voilà, on en est à la phase de l'organisation.
06:01 Et le premier temps quand on veut s'organiser avant de créer, de dire toi tu es le chef,
06:05 toi tu fais la vidéo, toi tu fais la cuisine.
06:07 On se rencontre, on devient un peu plus copains.
06:10 Et ça c'est super de faire vivre un peu la République.
06:12 Donc on en est à la phase numéro, au début du 1.
06:14 On fait les apéros pour s'encontrer.
06:16 Et on se distribue les responsabilités.
06:18 D'accord, tu structures le mouvement.
06:20 Exactement.
06:21 Phase numéro 2 ?
06:22 Phase numéro 2, une fois qu'on a des sympathisants qui sont organisés, motivés.
06:27 C'est le moment de motiver toute la France ensuite.
06:30 Et que ce soit complètement has-been de soutenir Macron.
06:34 Pourquoi ? Parce que quand même, dans les faits, soutenir l'oligarchie,
06:38 il n'y a que les gens qui sont corrompus qui auront l'idée qu'il faut continuer à soutenir une oligarchie.
06:44 Et donc, quand les Français se rendent compte que c'est constitutionnel,
06:47 que c'est notre droit de virer Macron,
06:51 quand ils seront 30, 40 millions,
06:53 quand on aura peut-être 2 millions d'adhérents actifs dans nos mouvements,
06:58 on dira écoutez, on va signer la pétition en bloc.
07:02 Les députés verront un million de signatures le même jour,
07:06 arrivé sur le site de l'Assemblée.
07:08 Le même jour.
07:09 Ils diront "ouah, c'est quoi cette vague ?"
07:11 En fait, un député, en ce moment, il ne représente pas trop forcément les intérêts du peuple.
07:15 Et il a besoin d'avoir les chocottes et de savoir qui est le boss.
07:19 Voilà.
07:20 Quand il verra un tsunami organisé de Français qui disent "on le vire",
07:25 il n'y a pas besoin de manifester.
07:27 Il y a besoin qu'ils sachent qu'ils ont l'armée du peuple en face.
07:29 L'armée citoyenne.
07:30 En fait, la phase numéro 3 dépend du succès de la phase numéro 2.
07:33 Quant à 30, 40 millions de Français qui expriment le désir de virer Macron,
07:38 il suffit juste de donner le mode d'emploi aux députés.
07:40 Voilà, les raisons de virer, vous allez invoquer telle ou telle.
07:43 On n'a pas besoin maintenant d'y réfléchir, mais ce sera telle ou telle raison.
07:46 Mais de toute manière, vous avez un mandat populaire,
07:49 parce que l'immense majorité des Français veut virer Macron.
07:51 Voilà.
07:52 La phase 3, c'est l'exécution.
07:54 Mais il faut déjà avoir gagné, en fait.
07:56 Et pour gagner, il faut avoir une équipe.
07:58 Vous n'allez pas jouer au foot avec des gens pas entraînés.
08:01 Voilà, c'est pareil.
08:02 Donc on s'entraîne, et après on va gagner le match.
08:04 Une organisation, elle a un objectif.
08:07 Moi, après, je peux vous parler à titre personnel
08:09 que quand j'étais petit, j'étais vraiment fan de l'Europe.
08:12 Maintenant, je suis un peu plus désillusionné, on va dire.
08:14 Ce que tu as dit, je ne peux pas dire le contraire.
08:17 Mais il faut qu'on respecte les volontés du peuple.
08:21 Si on a déjà viré Macron, on verra ce qui vient.
08:25 Si on ne l'a pas encore viré, on utilisera les élections européennes,
08:27 on les piratera pour faire, peut-être, je ne sais pas,
08:30 une liste de tous les gens qui veulent la déstitution.
08:32 Ou alors on dira quelles sont parmi les différentes listes
08:36 ceux qui veulent bien la destitution.
08:37 Et puis on mesurera, peut-être qu'on piratera l'élection
08:41 pour en faire de facto un référendum anti-Macron.
08:43 On verra bien.
08:44 Pour l'instant, on est à la phase 1 et la phase 2.
08:46 Ça va, il y a du monde.
08:48 Si on avait un verre à la main, on aurait pu trinquer pour la destitution.
08:50 Ah oui, oui, oui.
08:56 Bon alors je repose, il y a Pierre, il est chaud, il est chaud pour un clapping.
08:59 Alors voilà, on va voir si on réussit à faire du son.
09:01 Destitution !
09:05 Destitution !
09:23 Alors bonsoir, on est là parce qu'on veut la destitution de Macron.
09:28 Voilà.
09:29 Pour sa gestion du Covid et sa gestion de façon générale du pays.
09:37 Voilà, on n'en veut plus.
09:39 Voilà.
09:40 Et bien depuis que, ça fait un petit moment.
09:44 Trois ans.
09:45 Oui, trois ans.
09:46 Oui, ça fait trois ans.
09:48 Ça fait trois ans.
09:49 Je ne pensais pas au temps, ça va tellement vite que…
09:51 Trois ans.
09:52 Ben, il est solaire, il a d'énergie, il est…
09:58 Entraînant.
10:00 Entraînant.
10:01 Après je ne l'ai pas rencontré personnellement, voilà, pas encore du moins.
10:05 Mais voilà, il donne de la motivation, c'est très bien.
10:09 Oui, il motive l'air trop.
10:10 Oui, il motive tout le monde.
10:11 Oui, il fait partie des moteurs, tout à fait.
10:13 Ah oui, il manque des moteurs.
10:15 C'est un moteur, absolument.
10:17 On n'a pas moteur encore.
10:18 On n'a pas encore commencé.
10:21 Nos verres sont vides.
10:23 Bon, on va les boire alors ?
10:24 Oui, exactement.
10:25 Je vous laisse aller boire.
10:26 Merci.
10:27 Et vous, vous ne voulez pas un verre ?
10:28 Je me suis abonné.
10:30 C'est le livre de l'année dernière.
10:32 Je ne sais pas qui il est.
10:33 Et…
10:34 Oh, ok.
10:35 Alors…
10:37 Si vous voulez en savoir plus, il y a des vidéos et des lectures.
10:40 Vous pouvez aller le bouffer, vous ne pouvez pas le manger.
10:43 C'est un peu comme ça.
10:44 C'est un peu comme ça.
10:45 C'est un peu comme ça.
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11:41 C'est un peu comme ça.
11:42 C'est un peu comme ça.
11:43 C'est un peu comme ça.
11:44 C'est un peu comme ça.
11:46 Tous les acquis sociaux pour lesquels nos ancêtres se sont battus pendant des années.
11:51 Notre objectif aujourd'hui, c'est de pouvoir retrouver cette souveraineté.
11:56 Et donc, le meilleur moyen, c'est de venir soutenir toutes les manifestations qui vont dans ce sens-là.
12:06 Que ce soit avec les patriotes, que ce soit avec l'UPR, que ce soit avec cette organisation de destitution.
12:16 Aujourd'hui, l'objectif, c'est de permettre aux Français de retrouver leur fierté et leurs droits.
12:23 Et c'est surtout ça.
12:26 Parce que quand on voit que l'énergie, on la produit à 42 euros et qu'on la rachète à 280,
12:31 alors qu'il suffirait d'une volonté politique dès demain matin de sortir du traité de l'énergie.
12:37 Quand on voit nos hôpitaux, ça coûte 240 millions de faire un hôpital,
12:42 on met des milliards dans la guerre en Ukraine sans vote au Parlement.
12:45 C'est scandaleux.
12:46 Normalement, on en a marre d'être trahis au quotidien.
12:50 Aujourd'hui, on est là, on manifeste notre désaccord.
12:55 Et on espère le faire savoir le plus large possible
12:57 pour que tous les Français prennent conscience qu'aujourd'hui, ils sont abusés.
13:01 Et qu'il y en a marre d'être abusés.
13:03 Donc on pourrait en parler toute la nuit.
13:06 Et d'ailleurs, vous êtes bienvenus. Merci.
13:10 Oui, les gens savent ce que c'est.
13:12 Bonjour.
13:13 Bonjour.
13:14 C'est ça, le printemps 2023 ?
13:15 Oui.
13:16 En gros, c'est Macron.
13:19 C'est Macron, on l'a dit.
13:21 C'est le printemps 2023.
13:23 Mais on m'a dit que le maire était Macroniste.
13:27 Non, on ne savait pas.
13:28 On aurait probablement pas dit le maire est Macroniste.
13:30 C'est un sympathique.
13:31 On n'est pas Macron.
13:33 On n'est pas Macron.
13:36 Alors il y en a un même, je l'avais l'air bien bon.
13:38 La personne, elle aura bien dit.
13:40 Non, non.
13:41 On ne lui a pas têté.
13:43 C'était un long délice.
13:45 Un long délice.
13:46 Bien touché.
13:47 Là, il n'y a pas d'arrêté pour les gens qui sont touchés.
13:49 On a touché.
13:50 Non, nous, on est là.
13:51 On est dessus.
13:52 Tout le monde est dessus.
13:55 Tout le monde est dessus.
13:56 Donc on ramasse les bouteilles, c'est ça que vous voulez dire ?
14:00 Exactement.
14:01 Ils appellent comment le maire dans le salon ?
14:02 C'est le maire.
14:03 C'est le maire.
14:04 C'est ça.
14:05 Ça va.
14:06 On va faire un petit clapping là.
14:08 Un petit clapping.
14:09 Les amis, en l'honneur de nos amis policiers qui ont décidé d'être indulgents cette fois-ci
14:16 parce que tout le monde savait qu'évidemment on n'avait pas le droit de prendre d'alcool
14:19 par arrêté municipal du 21 avril 2023 de la ville de Salon de Provence.
14:22 C'est fort David, c'est fort.
14:23 Non, je disais juste que les policiers nous informent gentiment que monsieur le maire de Salon de Provence
14:28 a interdit la consommation d'alcool sur la voie publique.
14:31 Voilà.
14:32 Donc comme tous les Français sont censés connaître évidemment les lois spécifiques
14:35 à Salon de Provence, vous tous qui venez de France et de Navarre pour prendre un petit
14:40 verre ensemble dans l'Aljoie pour fêter la déstitution prochaine de monsieur Macron,
14:44 eh bien je vous demande gentiment de ranger vos bouteilles et de continuer la fête tous
14:49 ensemble sans alcool car la fête est…
14:51 Fête !
14:52 Ouais, enfin voilà, vous m'avez compris, c'est pas tout à fait vrai mais…
14:55 Alors, c'est quoi le thème de la journée si déjà ?
14:57 C'est…
14:58 DESTITUTION !
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