Parmi les voix qui se sont élevées depuis un an sur l'épidémie, celle de Yonathan Freund, professeur urgentiste à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, n'est guère passée inaperçue quand, au printemps dernier, dans un entretien paru dans nos colonnes, il formulait l'hypothèse qu'il n'y aurait peut-être pas de deuxième vague à la rentrée. Sous le feu des critiques, classé parfois à son corps défendant dans le camp des rassuristes, le mélomane Freund a mis la sourdine sur les réseaux sociaux et les plateaux télé durant l'hiver.