Omar: Acceptez-vous mon handicap ?
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Omar Koussih aura bientôt 19 ans. Il pense et – grâce à une souris spéciale qui lui permet d’actionner les lettres sur l’écran de son ordinateur – écrit. Admirablement. Des poèmes, des lettres ou des emails par lesquels il tente d’attirer l’attention sur son propre sort et sur celui de millions d’handicapés.
Depuis sa naissance à Rabat au Maroc, il a vu dégénérer la maladie musculaire qui le frappait : l’amyotrophie spinale. Au point que ses parents ont cru un moment que faute de traitements appropriés et disponibles, Omar n’allait pas passer le cap de l’adolescence.
Afin qu’il bénéficie d’une éducation scolaire, Faouzia, sa mère, a quitté il y a 15 ans son poste de fonctionnaire, pour créer une école primaire. C’était la seule manière de faire en sorte qu’Omar soit accepté dans une école…
Plus tard, après le primaire c’est devenu plus compliqué. Pour Omar, ce fût l’enseignement à distance, le CNED, et toujours sa mère qui passait des heures à ses côtés.
Omar Koussih aura bientôt 19 ans. Il pense et – grâce à une souris spéciale qui lui permet d’actionner les lettres sur l’écran de son ordinateur – écrit. Admirablement. Des poèmes, des lettres ou des emails par lesquels il tente d’attirer l’attention sur son propre sort et sur celui de millions d’handicapés.
Depuis sa naissance à Rabat au Maroc, il a vu dégénérer la maladie musculaire qui le frappait : l’amyotrophie spinale. Au point que ses parents ont cru un moment que faute de traitements appropriés et disponibles, Omar n’allait pas passer le cap de l’adolescence.
Afin qu’il bénéficie d’une éducation scolaire, Faouzia, sa mère, a quitté il y a 15 ans son poste de fonctionnaire, pour créer une école primaire. C’était la seule manière de faire en sorte qu’Omar soit accepté dans une école…
Plus tard, après le primaire c’est devenu plus compliqué. Pour Omar, ce fût l’enseignement à distance, le CNED, et toujours sa mère qui passait des heures à ses côtés.
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