Décrire une action qui a eu lieu et qui s'est achevée dans le passé est le principe d'emploi du passé simple. « Vibra » montre la déflagration qui a eu lieu et qui s'est achevée dans le passé de Sthyk Balossa, une histoire qui n'eut rien de simple. Le Congo-Brazzaville vibra, la guerre vibra puis une autre et encore une. Son enfance vibra, puis sa peur puis son corps... « Vibra » c'est l'onde de ces chocs portée sur l'infinitif d'une scène par Sthyk et ses compagnons de danse. « Vibra » c'est une vibration et un vibrato, une apocope de l'effroi pour une possibilité de vie, être au présent, tout simplement. Naly Razakandraïbé
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