En 1962, le spéléologue Michel Siffre s’installe dans un gouffre deux mois, seul et sans montre. Afin d’observer les effets de la perte de repère temporel sur son propre rythme, il est relié par téléphone avec une équipe basée en surface. Il a pour compagnie son tourne-disque, un appareil photo, des livres, son journal de bord... et une petite araignée blanche.