Les vieilles joueuses d'imzad se font de plus en plus rares. Quand un homme meurt c'est une bibliothèque qui brûle. L'association "sauver l'imzad" multiplie ses efforts mais elle a besoin de l'implication de tous car autrement cette culture va dsiparaître à jamais. E me rappelant les paroles de mon ami Feu Haj Moussa Akhamok qui me disait "'imzad est au touareg ce que l'âme est au corps" j'ai mal et j'ai peur!
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