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  • il y a 2 jours

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Transcription
00:00Europe 1
00:0316h, 18h, Pascal Pro et vous
00:06On est avec Sarah Salmane-Richard Millier, Georges Suenek, Votier Le Brett, Olivier Guenek
00:09et on va être avec Emmanuel Ducrot que vous entendez
00:12Je vais vous aller dire Macron
00:12Pardon ?
00:14Je vais vous aller dire on va être avec Emmanuel Macron
00:15Ah mais j'aimerais bien, ça serait formidable
00:18Vous l'avez déjà invité ?
00:19Mais vous avez une manière singulière de lancer les invitations
00:22Pourquoi vous dites ça ?
00:23Parce que parfois vous faites des éditos où vous chargez les gens
00:25et après vous dites mais il est le bienvenu sur Convénier en débat
00:27Oui c'est vrai, c'est vrai
00:28Je charge, c'est pas moi qui charge
00:32Et là c'est la réalité
00:33Il charge tout le monde en plus
00:34Mais c'est d'abord vous charger, peu importe qui
00:37et ensuite vous lancer l'invitation
00:38Écoutez, Emmanuel Macron, d'abord souvent j'ai dit
00:41je n'ai pas vocation à dire du mal du président de la République
00:46Vous aimeriez en dire du bien même
00:47Voilà, parce que je pense que ça reste la clé de doute de nos institutions
00:52et t'as pas envie de critiquer le président
00:54Hélas, au bout de 8 ans, force est de reconnaître que
00:58le bilan est globalement négatif
01:00Est-ce que vous en êtes d'accord ou pas ?
01:01Ah oui, bien sûr
01:02Bon, alors bien sûr c'est très dur
01:04et c'est d'autant plus dur
01:05que un, comment dire, un espoir est né
01:09Moi je fais partie des gens qui ont cru en Emmanuel Macron
01:13Je trouvais qu'il incarnait quelque chose de nouveau
01:15une volonté de réforme
01:17la fameuse réforme de l'État
01:19que c'est pas une affaire de droite et de gauche
01:21et qu'elle n'a pas été faite
01:22Il était jeune, il avait une incarnation qui nous plaisait à ce moment-là
01:26ou qui plaisait en l'occurrence au plus grand nombre
01:29puisqu'il a été élu président de la République
01:31et je suis d'autant plus déçu
01:33déçu
01:33et si vous voulez mon sentiment
01:35je préférais que la France soit gouvernée
01:37j'allais dire plutôt au centre au fond
01:41C'est Giscard qui disait
01:44deux Français sur trois
01:45Je n'ai pas, comment dire, envie
01:50de me diriger vers des pouvoirs radicaux ou extrémistes
01:55Je pense que tout le monde aimerait
01:56que deux Français sur trois se reconnaissent dans une même politique
02:00Bon, hélas, aujourd'hui ça paraît plus compliqué
02:02Sur le fait qu'il y ait des éditos qui soient à charge
02:06c'est la liberté de l'économiste
02:08Ah non mais c'était pas une critique
02:09Au contraire
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