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  • il y a 3 jours
Retrouvez le replay de la chronique Pourquoi ? de l'Équipe de Greg du 10/12/2025.

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00bonsoir je crois que les jingles sont croqués par la machine le temps de
00:09deux trois secondes maintenant oui effectivement on va se plonger dans un club historique très
00:14vieux aussi et paris va vivre vraiment la culture va affronter une culture ce soir
00:18tout simplement c'est le pourquoi du jour pourquoi bilbao est l'exception du football
00:24mondial c'est magnifique parce que bilbao j'ai pas l'habitude mais c'est y'a pas de relance
00:29c'est très beau mais beaucoup de comment ça c'est vrai en revanche évidemment très peu ont la
00:57politique qu'à l'athlétique bilbao qui est très célèbre évidemment jérémy jardin gros il a
01:01rencontré des journalistes basques hier qu'il vous explique un petit peu comment ça se passe
01:05il y a un mercat mondial qui est ne l'appartiste en un parcours de l'espoir qui est le fait
01:09à la personne qui est en train de faire en un mercat mondial qui est en un mercat mondial
01:14en un mercat mondial en le que a pesar de de tanner ingresos económicos et de tanner
01:17d'un d'un d'un d'un d'un d'un ordre pour pouvoir fichar nous le invertit en créer
01:21nouveaux futbolistes en tout cas de la mercat mondial à accorder à ceux futbolistes est
01:25Si vous avez bien suivi, bien compris, c'est une règle ancestrale qui dit que pour jouer à l'Atlétique Bilbao, il faut être basque tout simplement.
01:50Alors on va revenir aux origines de cette règle, ça date de 1912, l'application de cette règle non écrite.
01:57Elle n'est pas écrite dans les statuts de ce club-là.
01:59En 1996, c'est élargi aux Pays Basques français et donc Michel Telizarazou est autorisé à signer dans ce club.
02:05Et puis en 2008, les critères sont élargis, les critères bien évidemment de signature quand on est basque ou non.
02:11Alors les critères aujourd'hui, c'est quoi ?
02:13Il faut être plus élargi évidemment parce qu'on doit s'adapter à la mondialisation.
02:16Formé dans un club basque, il faut avoir grandi dans un pays basque ou alors d'ascendant de basque par un grand-parent.
02:23Avant, par exemple, en les années 80, ce n'était pas possible.
02:25Mais c'est quelque chose qui rend vraiment très fiers les basques.
02:29Et du coup, il y a huit joueurs étrangers qui ont porté les couleurs de ce club.
02:54Le premier, c'est Bichente Elizarazou.
02:56Alors quand on dit étrangers, évidemment, tous ils ont des liens, voire des origines, voire ils sont nés au Pays Basque.
03:02Mais ils portent les couleurs d'une autre nation, chez les jeunes ou pas.
03:06Et donc, ils sont huit seulement.
03:07Iñaki Williams, Iñaki...
03:09Iñaki Williams, mais il a choisi la Coupe du Monde avec le Ghana.
03:13Bien sûr.
03:14Alors du coup, je ne sais pas, mais est-ce que sportivement, c'est un gros frein pour le club ?
03:18En tout cas, ça n'empêche pas le club d'être performant.
03:20La preuve, ils sont en Ligue des Champions face au Paris Saint-Germain.
03:23C'est surtout un club qui a été fondé en 1898, qui a eu des titres de champion d'Espagne.
03:26Huit, le dernier c'est en 84, qui a eu 24 Copa del Rey.
03:29Et surtout, ça c'est très important, qui n'a jamais été relégué.
03:33Il n'y a que le Barça et le Real qui n'ont pas été relégués.
03:36Et quelque part, c'est ça le grand défi de cette équipe.
03:38Comme l'explique le Français le plus apprécié peut-être de l'histoire de ce club,
03:41Louis-Sorlandaise, qui l'a entraîné entre 1996 et 2000.
03:43125 ans d'existence et quand ces joueurs, quand ils commencent une saison,
03:50n'ont qu'un seul objectif, ne pas être les premiers à descendre.
03:53C'est-à-dire que pour eux, l'importance c'est de se maintenir,
03:56c'est de rester et d'être le plus haut possible.
03:59S'ils n'arrivent pas à atteindre une qualification européenne, c'est pas grave.
04:03Alors si en plus, ils vont en Ligue des Champions, on est vraiment sur le village d'irréductible.
04:07Nous sommes comme Astérix, mais nous n'avons pas la poion mágique.
04:14Nous sommes un équipe qui joue avec des joueurs ici,
04:19qui nous donne beaucoup de choses.
04:22C'est vrai qu'il y a une renuncie en quant à ce que nous fichons d'autres joueurs,
04:29mais l'impulso que nous avons et l'identification que nous avons avec le groupe,
04:35c'est quelque chose que nous trouvons tous dedans.
04:38On imagine que ça soude complètement les supporters derrière cette équipe.
04:41Supporters qui font partie intégrante de cette grande famille,
04:44puisque ce club-là fonctionne en socios.
04:46Comme trois autres clubs en Espagne, Barcelone, Le Real Madrid et Osasnois,
04:50ils sont 44 000 socios.
04:52C'est les supporters qui vont voter pour le président,
04:54qui doivent être tenus au courant tout avancé par le club.
04:57Les fans qui ont même le pouvoir, ça c'est vu au Barça,
04:59ils ont eu le pouvoir de destituer le président,
05:01mais ils sont propriétaires plus ou moins de ce club-là.
05:04Et ces socios qui se retrouvent ici, dans ce magnifique stade,
05:0653 000 places ultra-modernes,
05:08parce qu'il y a aussi de la modernité à Bilbao,
05:11et ça met une ambiance de dingue.
05:15Lesquels d'entre vous, c'est pour vous la première fois ?
05:18Moi c'est la première, Bruno, je pense pas.
05:20Pour une première fois, vous allez sentir ce que c'est San Mames,
05:23ce que c'est vraiment ce stade.
05:25Moi je l'ai côtoyé dans un passé,
05:28je m'en soumets encore,
05:29et je peux dire que c'était énorme,
05:30c'était fantastique,
05:31parce qu'ils aiment cette équipe,
05:33ils aiment leur club.
05:34Jérémy Jeannangro, qui a beaucoup bossé pour nous,
05:36il s'est un petit peu baladé dans la ville aujourd'hui,
05:39et il a certifié vraiment,
05:40il y a des drapeaux de partout dans ce club.
05:42Tous les joueurs parisiens d'ailleurs,
05:44qui ont été envoyés en conf,
05:45Luis Enrique, l'entraîneur,
05:46et Fabien Nrius,
05:47ils ont déjà levé là-bas,
05:48et ils en gardent un souvenir mythique.
05:49Et c'est l'identité basse qui donne une âme à cet endroit,
06:15et c'est exactement ce qu'a pu constater
06:18notre toujours excellent envoyé spécial Jérémy Jeannangro.
06:20Vous voyez un monton de banderas de Euskadi.
06:24La gran mayoría de cánticos que se hacen desde la grada
06:27son en euskera.
06:28Las vais a ver también escritas en euskera
06:30y en ese sentido,
06:31pues es una conexión directa entre grada y jugadores.
06:35Aquí no hay dos equipos,
06:37solo hay uno.
06:38Y aquí todo el mundo es de un equipo.
06:40Aquí en la ciudad es casi hasta raro
06:42ver niños con camisetas del Madrid,
06:44del Barcelona, del PSG, no.
06:46Es decir, aquí el 95% de los niños
06:49que ves con camisetas por la calle
06:50son de la verdad.
06:51Ça c'est beau, moi j'ai grandi à Nice,
06:54je suis supporter et fan de Nice
06:55et j'aurais bien aimé que les autres enfants de ma ville
06:57portent les couleurs de mon club.
06:59Bref, j'ai trouvé ça tellement beau
07:01que je n'ai pas pu m'empêcher de remettre une couche.
07:10Vous l'aurez compris, du coup,
07:11c'est une vraie culture, une vraie histoire
07:12qu'affronte le Paris Saint-Germain.
07:14Ce soir, ça va être magnifique.
07:15Voilà, pour ce pouvoir,
07:16Victor Coudron avec nous.
07:19Victor Coudron, Baptiste Vautier
07:21et surtout l'excellent Kevin Sanchez
07:22qui a aussi fait les traductions.
07:23On le remercie.
07:24Bravo.
07:25C'est vrai quand même,
07:27Olivier Rouillet,
07:29que des clubs comme ça,
07:30on a cherché à ce niveau-là.
07:33Même en Argentine, il n'y a pas ça ?
07:34Je fais ça en Europe.
07:35Je vous avoue, j'avais posé ma question en Europe.
07:36Là-bas, en Argentine,
07:37il y a quand même des choses un peu costaudes.
07:40Il y a des formés uniquement formés.
07:43Ils sont amoureux de leur club,
07:44vous avez 95% des supporters qui portent Malho,
07:46mais qui sont formés là-bas
07:48ou au pire, un papillon de Mamie.
07:50Il faut toujours en dire.
07:51Oui, mais moi, je suis fan absolu.
07:53Je trouve que cette façon d'être,
07:55cette façon de fonctionner
07:56depuis le temps qu'elle existe,
07:58moi, je suis à 100 millions de personnes.
07:59Mais résister surtout au foot business.
08:00Mais c'est extraordinaire,
08:01parce que justement,
08:02si cette équipe, elle n'est pas reléguée,
08:04c'est juste qu'elle n'a jamais été reléguée,
08:06c'est certainement dû à cet état d'esprit
08:08que tu dois avoir.
08:09Comme dit Louis,
08:10tu rentres au début de la saison,
08:12tu ne veux surtout pas être le premier.
08:14Donc ça t'implique,
08:15ça t'oblige à rentrer.
08:17Ça te motive,
08:18c'est un état d'esprit extraordinaire.
08:20Non mais bon,
08:21moi, j'ai eu la chance d'y aller comme ça
08:22une fois en vacances,
08:25mais il n'y avait pas de match.
08:26Mais tu es devant le stade,
08:27oh maman !
08:28Non mais tu es un truc,
08:30tu sens les vibrations.
08:34Il n'y a pas besoin qu'il y ait du monde
08:35dans le stade
08:36et il n'y a pas besoin
08:37d'être le stade
08:38pour comprendre
08:39ce que ça représente.
08:40Et bien quand tu es devant,
08:41tu prends une sacrée claque.
08:43Moi je l'ai fait il y a deux ans
08:44pour la finale
08:45de la Ligue des Champions féminines,
08:46c'était incroyable.
08:48J'avais des frissons
08:48mais du début à la fin,
08:50les sols qui tremblent,
08:51c'est vraiment,
08:51c'est très très particulier
08:52et les alentours aussi.
08:54Donc tu arrives,
08:54tu as le poids vraiment
08:55de l'histoire en fait,
08:56en un stade,
08:57en une ville
08:57et ça qui est assez fou
08:58et qui résiste dans le football d'aujourd'hui.
09:00Je trouve ça juste hallucinant
09:02et c'est respect
09:04mais ultime quoi.
09:05Et alors évidemment,
09:05malgré les yeux,
09:06nous on a des supporters,
09:08il y a les COP
09:09et des spectateurs.
09:10Ah c'est tout le monde.
09:11Et eux ils n'ont que des supporters.
09:13Oui c'est ça.
09:13Ils n'ont que des supporters
09:14partout,
09:15ils se lèvent partout,
09:16il n'y a pas de tribune particulière.
09:18C'est comme ils le disent,
09:20c'est une seule équipe.
09:21L'Anne, Saint-Etienne,
09:22c'est comme ça.
09:22Ils font un,
09:24c'est une nation en fait
09:24parce qu'on savait qu'en Espagne
09:26il y a évidemment
09:27des revendications
09:28d'indépendance plus marquées,
09:30plus encore en Catalogne
09:32qu'aux Pays-Bas.
09:32Ils ne sont pas seuls.
09:33C'est là où c'est encore plus fort.
09:35Ils sont autonomes.
09:36Oui, non,
09:37ils n'ont pas,
09:37ils ont un statut
09:38autonome.
09:40Ils n'ont pas l'autonomie
09:41que certains rêvent.
09:42Vraiment c'est encore plus fort
09:43parce qu'ils ne sont pas seuls.
09:44Mais oui,
09:44mais c'est très bien.
09:45Il y a la Sociedad à côté.
09:46Il prend des joueurs basques
09:48parce qu'ils n'ont pas
09:49100% basse.
09:50Mais ils ont des joueurs basques.
09:51Et juste un petit exemple,
09:52par exemple,
09:53là tu nous dis
09:53il y a 44 000 socios.
09:55C'est quand même
09:55le truc extraordinaire.
09:57À Nancy,
09:57on a commencé à mettre,
09:59il y a les socios
09:59qui sont meilleurs.
10:00J'en fais partie.
10:01On est 400.
10:02Ça fait deux ans.
10:03Tu vois un peu.
10:03Et je suis sûr que là-bas
10:04en deux ans,
10:05ils ont pris peut-être
10:06une quantité dix mille personnes.
10:08Pourtant,
10:08vous avez les mêmes couleurs.
10:10Rouge et blanc.
10:11Et en 2021,
10:12ils avaient des petits problèmes financiers.
10:14Ils ont demandé aux socios
10:15de mettre leur participation.
10:16Et les socios sont suivis.
10:17C'est ça qui est fabuleux.
10:20Giovanni,
10:21vous êtes dans la boutique musée
10:23pour appuyer encore
10:25ce pourquoi d'Adrien Courrouble.
10:27Et répondez à la question.
10:29Est-ce que vous n'avez vu
10:30tout au long de la journée
10:31que des supporters
10:32avec le maillot
10:33de l'athlétique ?
10:35Rebonsoir.
10:39Non,
10:39pour le coup,
10:40les maillots
10:40pas trop en ville
10:41aujourd'hui.
10:42Je suis pas mal sorti
10:43entre ma course à pied,
10:44etc.
10:45Le café.
10:45Donc non,
10:45je n'ai pas trop croisé
10:46de supporters.
10:47Ce qui est sûr,
10:48c'est qu'aux alentours
10:49du stade,
10:50ce qu'évoquait Séverine,
10:51en fait,
10:51il y a beaucoup d'appartements
10:52autour de cette grande place
10:53là où il y a Sandemamès.
10:54On n'est pas loin
10:55du centre-ville.
10:56Là, on est à 7-8 minutes
10:57à pied.
10:58Il y a pas mal de drapeaux
10:59en haut.
11:00On a pu le constater.
11:02Voilà.
11:03Mais moi,
11:03ce qui m'a frappé surtout,
11:04Greg,
11:05c'est pour le coup,
11:05hier,
11:06après les conférences de presse
11:07et les entraînements
11:08du Paris Saint-Germain
11:09et de l'athlétique Bilbao,
11:10le club avait organisé
11:12pour les journalistes français
11:13une rencontre
11:13avec certaines têtes pensantes
11:16de l'athlétique Bilbao.
11:18Pas seulement le président du club
11:20ou le sportif,
11:21il faut aussi expliquer
11:21l'organisation,
11:22nous expliquer
11:22comment ils travaillent
11:24sur le local,
11:25sur le Pays-Bas,
11:25parce qu'ils ont plus
11:26de 100 clubs partenaires.
11:27Vous le savez,
11:28je suppose qu'Adrien
11:29l'a rappelé,
11:30les conditions pour jouer
11:30à l'athlétique Bilbao
11:31sont très strictes.
11:34Donc,
11:35ils nous ont expliqué
11:35toute cette formation-là,
11:37leur volonté aussi
11:38de garder leur meilleur joueur
11:39comme ils avaient fait
11:39il y a quelques années
11:40avec Iñaki Williams,
11:41également avec Nico Williams
11:42qui s'est engagé
11:43sur un très très long contrat
11:45et on sent que la formation
11:46et ce lien
11:47en termes d'identité,
11:48c'est essentiel.
11:50On a passé une heure et demie
11:50avec eux hier
11:51et c'était très inspirant
11:53dans un monde
11:53où évidemment
11:54l'argent régit tout
11:55dans le monde du foot.
11:56Merci Giovanni,
11:57en revanche,
11:58on me signale dans l'oreillette
11:59que tout le monde
12:00continue de s'en fiche
12:01de vos courses à pieds,
12:02mon Dieu.
12:03Vraiment,
12:03je suis désolé,
12:04vous essayez vraiment
12:05à chaque fois,
12:07mais là vraiment,
12:08c'est...
12:09Mais pas du tout !
12:09Mais vraiment,
12:10je vous assure...
12:11Mais si,
12:12mais si.
12:13Greg,
12:13Greg,
12:14je me suis baladé
12:16pour aller voir
12:16les images des supporters,
12:18les maillots.
12:19Par contre,
12:19je suis inquiet pour Olivier
12:20s'il passe des vacances
12:21à Bilbao,
12:22il ferait mieux
12:22d'aller à Saint-Sébastien,
12:23c'est un peu plus...
12:23Oui,
12:24alors là,
12:25j'allais vous rejoindre...
12:26C'est pas sage !
12:27Oui,
12:27j'allais vous rejoindre
12:28pour le bordelais que je suis,
12:30le Pays Basque,
12:30autant vous dire
12:31que c'était un terrain de jeu.
12:32Et oui,
12:33je préfère Saint-Sébastien
12:34à Bilbao.
12:35C'est honteux de dire ça,
12:36quand tu aimes le foot,
12:37tu vas partout !
12:38Non,
12:38je vous parlais du patiné gras.
12:39Je vous parlais du jambon,
12:41du jambon,
12:42je vous parlais de la vie.
12:45Vous n'avez pas le droit
12:46de remettre en cause
12:47mes vacances,
12:47s'il vous plaît.
12:48Oui,
12:48c'est vrai.
12:49C'est une agression,
12:50c'est une agression.
12:51Nous vivons deux moments
12:52très gênants
12:53en moins d'une minute
12:54et vous les vivez
12:55en direct dans l'EDG
12:56et tout cela est dû
12:57à la perfidie
12:58de Giovanni Castaldi,
13:00je tiens à préciser.
13:01Évidemment,
13:02en tous les cas,
13:02c'est un stade unique,
13:03c'est un club mythique.
13:05Merci Adrien
13:05de nous l'avoir présenté.
13:07Dans un instant,
13:08la compo du Paris Saint-Germain
13:10et de l'athlétique Bilbao,
13:12comment le PSG
13:13compte élu de flamber
13:14sans Dembélé
13:15et puis le foutoir
13:16et l'avant-match
13:16de ce PSG.
13:18Bilbao,
13:18à tout de suite.
13:18Merci.
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