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00:00Et on part, Eliott, ce quart d'heure d'émission en direction de Lyon,
00:03où la fête des Lumières a été teintée de haine hier,
00:06des messages tels que la police tue projetés sur les murs.
00:09Des slogans honteux, anti-police, c'est la question qu'on se pose,
00:14mais qui déteste la police aujourd'hui ?
00:16Ces slogans ont été projetés samedi soir pendant la fête des Lumières,
00:19un incident fermement condamné par le préfet, par le maire de la ville,
00:24ainsi que les syndicats de police, notamment le syndicat Alliance.
00:27Écoutez le résumé des faits avec Anaïs Bauchet.
00:32Non à l'état policier. La police blesse et tue. La violence policière est partout.
00:37Ces slogans anti-police et anti-RN ont été diffusés hier soir sur un bâtiment lyonnais,
00:41alors que la fête des Lumières battait son plein.
00:44Des projections fermement condamnées par le syndicat Alliance Police Nationale.
00:47Accuser la police de tuer pendant que nous protégeons des milliers de personnes,
00:51c'est diffamer et attiser la haine contre ceux qui assurent votre sécurité.
00:54Les forces de l'ordre sont particulièrement mobilisées durant la fête des Lumières
00:57qui se déroule du 5 au 8 décembre.
01:00750 policiers et gendarmes sont chargés de veiller sur les 2 millions de participants.
01:04Face à ces slogans, la préfecture a assuré son soutien aux forces de l'ordre
01:07et a promis une réponse ferme.
01:09C'est un moment festif.
01:12Et pour les policiers, c'est un engagement très fort.
01:15Et ces messages sont condamnés.
01:16Et je peux vous assurer que nous allons exploiter les caméras,
01:20tout ce qui est en place pour interpeller les auteurs.
01:23Nous ne laisserons pas ce délit impuni.
01:26C'est absolument scandaleux que ces images aient pu être projetées.
01:30Un soutien à la police, réitéré par le maire de Lyon, Grégory Doucet,
01:33dans un message posté sur ses réseaux sociaux.
01:35Il a également qualifié ces prises à partie publique de déplorables.
01:38Et je vous propose d'écouter, tiens, Éric Coquerel,
01:42l'un des bras droits de Jean-Luc Mélenchon.
01:45Jean-Luc Mélenchon qui hier appelait à faire baisser un peu la température.
01:49Il faut quand même avoir un climat apaisant maintenant.
01:51Lui qui avait terrorisé le tout-conflictualisé.
01:54Jean-Luc Mélenchon, 2012.
01:56Le bruit et la fureur.
01:57Le bruit et la fureur.
01:58Éric Coquerel, est-ce qu'il condamne ?
02:00La police tue.
02:01C'est assez vieux que, comme le monde, j'allais dire,
02:04ou en tout cas comme la démocratie,
02:05qu'à certains moments des banderoles soient apposées dans des lieux publics
02:08pour exprimer une opinion.
02:09C'est une opinion, la police tue ?
02:11Oui, c'est une opinion.
02:11On peut ne pas être d'accord, mais c'est une opinion.
02:14Généraliser ?
02:14Dire la police tue, c'est une opinion ?
02:15La question, vous me demandez est-ce que c'est une opinion ?
02:18Je ne me demandais pas si je suis d'accord ou pas avec.
02:20C'est une opinion de dire que la police tue, la police blesse.
02:22Je ne vais pas les condamner.
02:23Non, je ne vais pas les condamner.
02:24Je pense que peut-être qu'on peut estimer que ce n'est pas lieu.
02:28Peut-être qu'on peut estimer,
02:29les organisateurs peuvent estimer que la fête des Lumières est ainsi instrumentalisée.
02:33Ça, c'est autre chose.
02:33Mais sur le fond, moi, je n'écrirais pas la police tue.
02:37Je dirais que certains policiers tuent de manière...
02:39Ah, mais c'est très différent.
02:40Non, mais je vais vous expliquer.
02:42Parce que le fait que la police tue, c'est un fait.
02:44La police peut tuer.
02:44La question, c'est de savoir à quel moment, on va dire,
02:47elle le fait de manière légitime.
02:50C'est incroyable, cette déclaration d'Éric Coquerel.
02:54Mais il y a tout dans cette déclaration.
02:56Et si vous avez un doute avec ça, je vous propose d'écouter, monsieur,
02:59de Logu, ce n'était pas sur Lyon,
03:01ou c'était à Marseille, sur la police tue.
03:03Est-ce qu'on peut écouter, monsieur Delogu ?
03:06Le combat qu'elle mène,
03:08ça doit être celui de toutes et tous ici, dans cette salle.
03:11Parce que oui, c'est vrai,
03:14ça les fait criser quand on dit que la police tue.
03:17Mais la police, elle a tué son frère.
03:19Vous les entendez, hein ?
03:21Ils viennent et nous disent que ce que nous disons,
03:24ce n'est pas la bonne chose, que ce n'est pas vrai.
03:26Mais vous n'avez pas à nous faire de leçons.
03:27Nous, on réclame une police qui nous protège, pas qui nous tue.
03:31Une police, et il interpelle Assa Traoré,
03:35qui était dans la salle à Marseille pendant son meeting,
03:38monsieur Delogu, qui explique que la police tue,
03:40alors que les Marseillais sont en attente de plus de police,
03:43qu'ils soutiennent les forces de l'ordre,
03:44qui se battent nuit et jour pour protéger une ville
03:47qui est touchée par le narcotrafic.
03:49Et la justice a considéré, dans l'affaire Traoré,
03:53que la police n'avait pas tué le frère d'Assa Traoré.
03:56Donc Éric Coquerel, monsieur Delogu,
03:59sont finalement pas très loin de ce qui est inscrit,
04:03ces slogans de la honte à Lyon pendant les Fêtes des Lumières,
04:06la police tue.
04:07Mathieu Hock ?
04:07Tout à fait, ils ne sont pas loin, au contraire,
04:09ils sont dans cette...
04:10même pour Sébastien Delogu, le revendique,
04:13pour lui, la police tue.
04:15Et pour moi, c'est mettre une cible dans le dos des policiers.
04:18C'est aujourd'hui contribuer à leur mal-être d'une certaine façon.
04:21Pourquoi ?
04:22Parce qu'aujourd'hui, l'un des véritables sujets,
04:24c'est que les policiers, lorsqu'ils interviennent,
04:27ils font face à de plus en plus de violences
04:28et ils s'auto-censurent face au refus d'obtempérer,
04:32face au narcotrafic, etc.
04:34Pourquoi cela ?
04:35Parce que vous avez des discours dans le débat politique
04:37qui disent « la police tue »
04:39et qui, du coup, font en sorte qu'aujourd'hui,
04:42les policiers sont les agents de la fonction publique
04:45les plus contrôlés de notre État.
04:47C'est-à-dire qu'il y a tous les jours,
04:49il y a trois enquêtes de l'IGPN,
04:50donc la police des polices,
04:52sur un policier.
04:54Et c'est ça, aujourd'hui, le véritable problème.
04:56Et deuxième sujet, moi, qui me marque aussi,
04:58c'est que tous ces gens-là sont complètement
04:59en décalage avec les Français.
05:00Vous posiez la question à Elliot,
05:02qui déteste la police ?
05:03Vraisemblablement, pas les Français.
05:05Puisque quand vous regardez les enquêtes d'opinion,
05:06le baromètre Selypov pour Sciences Po,
05:08qui analyse dans le temps long, on va dire,
05:11le degré de confiance des Français
05:12à l'égard des institutions de la République,
05:14la police, c'est toujours en moyenne 80%
05:17des Français qui font confiance à leur police.
05:20À titre de comparaison,
05:22la justice, c'est moins de 40%.
05:23Voilà, donc c'est aujourd'hui ça,
05:25le climat dans lequel on est.
05:27Les Français ont confiance en leur police
05:29et une partie restreinte des politiques
05:31disent que la police tue
05:33et alimente le degré de violence
05:35à l'encontre de la police.
05:37On est en direct avec Didier.
05:38Si comme Didier, vous souhaitez réagir
05:40sur notre thématique,
05:41est-ce que la police tue ?
05:43Ce n'est pas la question qu'on pose,
05:44c'est surtout qui déteste la police aujourd'hui ?
05:46Qui déteste la police, Didier ?
05:49La LFI.
05:52Bonjour déjà.
05:53Bonjour cher Didier, pardonnez-moi.
05:55Non, non, mais c'est...
05:56En fait, tout à l'heure,
05:57je voulais intervenir sur Mélenchon.
05:59Et donc là, on est encore
06:00avec Mélenchon, avec la LFI.
06:02Et l'objectif de la LFI,
06:05en fait, c'est de détruire
06:06toutes les institutions.
06:08Donc c'est très vicieux,
06:10c'est très pernicieux.
06:11Et en fait, en parlant,
06:13en disant que la police tue...
06:14Alors, si, je ne sais pas,
06:16j'ai vu sur les réseaux une vidéo
06:17qui présentait sur cette fête des Lumières,
06:21je ne sais pas si c'est vrai,
06:22parce que parfois avec les IA,
06:23on ne sait pas,
06:24mais la fête du couscous à Lyon.
06:27Si c'est vrai...
06:28Bon, je n'ai pas vérifié,
06:30donc je ne veux pas dire que c'est vrai.
06:31Alors, comme vous n'avez pas vérifié,
06:33mieux vaut pas les dire à l'antenne.
06:35Mais moi, ce qui nous intéresse,
06:36restons sur la police tue,
06:37parce que là, pour le coup,
06:38c'est vérifié, c'est condamné,
06:39du moins, c'est condamné pas par tout le monde,
06:41puisque...
06:41En fait, quand on est coquerelle...
06:42Monsieur Coquerelle...
06:43Monsieur Coquerelle...
06:44Ne condamne pas.
06:45Ne condamne pas.
06:46C'est ça qui est intéressant.
06:47Monsieur Coquerelle,
06:48député de la France Insoumise.
06:49C'est comme Mélenchon,
06:51comme Coquerelle,
06:52comme je ne sais plus
06:53quel autre cul d'huître
06:54qui est passé à l'antenne,
06:56et qui est sur Marseille
06:58et qui...
06:58Bastien Delogu.
06:59Monsieur Delogu,
07:00vous avez dit quoi, l'autre quoi ?
07:01Je n'ai pas entendu.
07:02Ah, QI-Duit.
07:04Ah non.
07:05Pardonnez-moi,
07:06je n'ai pas entendu.
07:07Vous avez dit quoi ?
07:08Ah, QI-Duit.
07:09Ah, QI-Duit.
07:11D'accord.
07:11Bon, on va éviter
07:12les noms d'oiseaux.
07:16Mais ce que je veux dire,
07:16c'est que si vous voulez,
07:17dans leur logique à eux,
07:18c'est anti-police.
07:20Pourquoi ?
07:20Parce qu'en fait,
07:21la police fait son travail
07:22et elle le fait bien.
07:25Et qu'effectivement,
07:26moi, pour avoir rencontré
07:27des policiers,
07:29ils me disent
07:29le vrai problème aujourd'hui,
07:30c'est qu'on n'a pas de suite.
07:33Donc la justice,
07:34elle,
07:34se permet effectivement
07:36de fracasser
07:38le travail des policiers.
07:40Et donc à partir de là,
07:41si vous voulez,
07:41il y a un jeu sans fin.
07:43C'est-à-dire,
07:43on dit que la police tue.
07:44De toute façon,
07:45on s'en fout.
07:46Parce que ça ne portera pas
07:48préjudice
07:49à ses paroles.
07:51Et on n'y arrivera jamais.
07:53Donc aujourd'hui,
07:54la plupart des Français,
07:55moi, quand je parle autour de moi,
07:56tous les Français
07:56sont effectivement
07:57avec la police,
07:58ne veulent pas
08:00d'une anarchie.
08:04Et donc aujourd'hui,
08:05les seuls
08:06qui reprennent ces propos,
08:08vous l'avez démontré
08:09dans les messages,
08:10c'est bien la LFI.
08:11Donc à un moment donné,
08:12c'est peut-être
08:13de se dire,
08:14bon bah,
08:14et c'est ça le problème
08:15aujourd'hui,
08:15c'est que 2027 arrive.
08:17La plupart des gens,
08:17quand ils réfléchissent,
08:18ils disent,
08:18bon, 2027,
08:20il faut que je vote utile
08:20parce que là,
08:21en fait,
08:22plus personne ne bouge,
08:24quoi.
08:24Plus personne ne fait rien
08:25et on laisse ce discours
08:26passer comme crème
08:28et on se dit,
08:29bah, c'est fini,
08:30ça y est,
08:31la police tue,
08:31ah oui,
08:32et puis...
08:33Bah non,
08:33puisqu'on en parle ce midi,
08:35justement,
08:36et que c'est en décalage,
08:37si vous voulez,
08:37ce discours avec les Français
08:39puisque plus de 8 Français
08:41sur 10 ont confiance
08:42dans la police,
08:43c'est l'un des corps
08:44auxquels les Français
08:45ont le plus confiance.
08:46Sondage CSA pour CNews
08:48qui date de 2022,
08:50je serais curieux,
08:51trois ans plus tard,
08:52qu'on fasse le même sondage
08:53pour voir 84% des Français
08:56ont confiance en la police,
08:58seulement 16%
08:59n'ont pas confiance
09:00et là,
09:01encore une fois,
09:01ces transpartisans
09:03puisque à gauche,
09:04vous aviez 72%
09:06des sympathisants de gauche
09:08qui ont confiance en la police
09:10et même 54%
09:12du côté de la France Insoumise.
09:13Donc,
09:13vous avez une majorité
09:14de sympathisants LFI
09:15qui ne sont pas d'accord
09:16avec Éric Coquerel
09:20ou encore Sébastien Delogu.
09:22Olivier Vial,
09:23merci beaucoup Didier,
09:24on ira voir Marie-Françoise
09:26dans un instant.
09:27Effectivement,
09:27c'est extrêmement minoritaire
09:28mais c'est extrêmement puissant.
09:30Aujourd'hui,
09:31entretenir la haine de la police,
09:33on se rappelle des slogans
09:34à câble,
09:35c'est un marqueur idéologique
09:36et c'est un moyen de recruter,
09:38notamment dans certaines générations.
09:40Ce qui est intéressant,
09:41il y a un sondage
09:41qui a été...
09:41Et je rappelle que vous êtes
09:42spécialiste des radicalités,
09:44donc vous savez,
09:44vous êtes au cœur de ce sujet,
09:45vous le connaissez par cœur.
09:46Il y a un sondage
09:46qui est très intéressant
09:47qui a été fait il y a quatre ans
09:49sur la question
09:50du racisme systémique
09:51de la police.
09:52Ce qui est intéressant,
09:53c'est que ceux qui jugent
09:54que la police
09:56est comptable
09:58de ce racisme systémique,
09:59ce sont les plus diplômés.
10:01Ça veut dire
10:02que c'est quelque chose
10:02qu'on a enseigné,
10:03ce n'est pas ceux
10:03qui ont affaire à la police,
10:05ce n'est pas les jeunes
10:05des quartiers
10:06qui considèrent
10:06que la police est raciste.
10:08D'ailleurs,
10:08dans les quartiers,
10:09on s'aperçoit que
10:09quand on leur demande,
10:11ils veulent plus de police.
10:12Mais c'est effectivement
10:13ceux qui ont été enseignés
10:15ou on leur a appris
10:15à haïr la police.
10:17Et ça,
10:17ça devient de plus en plus important
10:18et dans les milieux antifa
10:20dont Raphaël Arnaud
10:23est un des leaders
10:24et qui est aujourd'hui
10:25un des membres de LFI,
10:27c'est devenu un moyen
10:28de recruter
10:29et c'est quelque chose
10:29qu'on retrouve beaucoup
10:30dans tous les mouvements activistes.
10:3201, 80, 20, 39, 21
10:35si vous souhaitez réagir
10:36en direct.
10:37Il est midi 42,
10:39Eliott de Valais-Vous,
10:40on est ensemble
10:40jusqu'à 13h
10:42et on salue Marie-Françoise
10:43qui nous appelle de Lyon.
10:45C'est intéressant
10:45de vous avoir Marie-Françoise.
10:47Cher Marie-François,
10:48vous étiez
10:48aux Fêtes des Lumières hier ?
10:51Non,
10:51je n'y étais pas hier.
10:52J'y étais le vendredi soir
10:54parce que voilà.
10:55Et moi,
10:56je voulais témoigner
10:57en me disant
10:57que la Fête des Lumières,
10:59au départ,
11:01c'était quand même
11:01en l'honneur
11:02de l'Immaculée Conception.
11:04Il y avait
11:05toute une tradition lyonnaise
11:06que depuis
11:07ces dernières années,
11:09ça devient
11:09un petit peu
11:10du tout
11:11et n'importe quoi.
11:12Et je trouve
11:13que cette année,
11:13le summum a été atteint
11:15parce que sur la façade
11:16des Beaux-Arts,
11:17voir afficher
11:17le premier tableau,
11:19lundi,
11:19c'est ravioli,
11:21mardi,
11:21c'est saucisse.
11:22Alors mercredi,
11:23on a eu de la chance,
11:23c'était des merionnaises.
11:25Parfait.
11:25Jeudi,
11:26le couscous,
11:27vendredi,
11:28je ne sais plus
11:28ce que c'était
11:28et puis après,
11:29moi je suis partie
11:30parce que ça ne correspond
11:31plus à rien.
11:32Ça ne correspond plus à rien.
11:33Donc,
11:34qu'il y ait des gens
11:34qui dévoient tout ça,
11:37à la limite,
11:37c'est dans la vie.
11:38– Oui,
11:38mais c'est des lumières
11:39qui sont mises
11:40entre guillemets sauvages.
11:41– Non,
11:42non,
11:42là,
11:42ça fait partie
11:43de la scénographie officielle.
11:46– Ah,
11:46d'accord.
11:46– La scénographie officielle,
11:47c'était ça.
11:49Ravioli le lundi,
11:50etc.,
11:51etc.
11:51– D'accord,
11:52je ne savais pas.
11:53– Voilà,
11:54moi je vous confirme
11:55que je l'ai vue
11:56de mes yeux.
11:56– C'est vous la lyonnaise,
11:57je vous fais une confiance aveugle
11:59Marie-Françoise.
12:00– Voilà,
12:00voilà,
12:01voilà,
12:01voilà.
12:02– Non,
12:03non.
12:03– J'entends votre mari
12:05qui vous parle,
12:06c'est ça ?
12:07– Qui dit non,
12:07pas une confiance aveugle.
12:08– Pourquoi pas ?
12:10– J'ai vue de mes yeux vus.
12:11– Il s'appelle comment
12:14votre mari
12:15qui nous écoute ?
12:17– Il s'appelle
12:17Jean-Claude.
12:18– Jean-Claude,
12:19prenez le téléphone
12:19qu'on vous salue quand même
12:20plutôt que d'écouter
12:21la radio.
12:23– Bonjour Eliott.
12:24– Ah,
12:25Jean-Claude.
12:25– Je vous entends
12:26parce que nous vous suivons
12:28depuis pas mal de temps
12:30ainsi que le vendredi soir
12:33avec notre cher
12:35Philippe de Ville.
12:36Donc je suis ravi
12:37de vous entendre.
12:38– Eh bien,
12:38le plaisir est partagé.
12:39En revanche,
12:40cher Jean-Claude,
12:41je ne sais pas
12:41ce que vous avez fait
12:42avec le téléphone
12:43puisqu'avec Marie-Françoise,
12:44on entendait parfaitement bien.
12:46Vous prenez le téléphone,
12:48ça coupe un peu.
12:49Donc s'il y a des problèmes
12:50de connexion à Lyon,
12:52tapez à la porte du maire.
12:53Il y a une crèche
12:54dans la mairie de Lyon
12:54ou pas ?
12:55Parce que je ne sais pas
12:56si vous avez une autre soin.
12:56– Non, vous vous en faites.
12:57– Oh Dieu !
12:58Oh là !
12:58Oh là !
12:59Grand Dieu !
12:59Attendez,
13:00ça ne va pas une crèche ?
13:01Une crèche chez M. Doucet ?
13:04Alors peut-être que demain,
13:05il peut y avoir
13:06une piste cyclable
13:07dans la mairie de Lyon,
13:08mais c'est plus probable
13:09la piste cyclable
13:10qu'une crèche
13:11dans la mairie de Lyon.
13:12Midi 45,
13:14merci beaucoup !
13:14– Non mais vous savez,
13:15on appelle la douceur,
13:18mais lui c'est un imparfait,
13:19c'est doucet.
13:20– Ah bah écoutez,
13:21voilà pour la petite blague
13:22du dimanche.
13:23Midi 45,
13:24sur Europe 1,
13:25on revient dans un instant.
13:26Merci Marie-Françoise
13:27et merci Jean-Claude.
13:28– Et si comme Marie-Françoise
13:30vous souhaitez réagir
13:31en direct à l'émission,
13:32vous le savez,
13:32c'est possible.
13:33Eliott,
13:33devalez-vous,
13:34on vous donne la parole
13:35dans cette émission.
13:36C'est un appel non surtaxé,
13:3701 80 20 39 21.
13:39On revient après
13:40une courte pause,
13:40à tout de suite.
13:41– Sous-titrage Société Radio-Canada
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