Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 3 heures
Emmanuel Macron a donné, ce jeudi, en Isère, les grandes lignes d'un nouveau service militaire. Il concernera plusieurs milliers de jeunes Français dès l'été 2026, date de son lancement, avant de «monter en puissance». Selon Éric Naulleau, journaliste, «il y a des gamins qui ont besoin d’être redressés et ça peut être une manière de les remettre dans le droit chemin».  

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00civique, que
00:01en plus, comme c'est optionnel, ce n'est pas
00:04obligatoire, donc ceux qui ne veulent pas le faire
00:06ne le feront pas, que c'est limité
00:08en termes de volume
00:10ces 3000, et que
00:11d'une certaine façon, dans l'air
00:13ambiant de demande d'autorité
00:15et de fermeté, ça
00:17répond à une aspiration
00:20qui est diffuse quand même et
00:21assez marquée même dans l'opinion publique.
00:24Donc politiquement, c'est, j'allais dire,
00:25sans risque pour Emmanuel Macron.
00:27Après l'efficacité, bon, l'efficacité
00:29là, je parle sous le contrôle d'un militaire,
00:32j'ai, bon, on reste à voir.
00:34Pourquoi la
00:36mise au pas n'est pas entendue aussi dans
00:37son sens figuré ? Cette
00:39fois-ci, sur la base de l'obligation,
00:41il y a des gamins qui ont besoin d'être redressés
00:43et ça peut être une très bonne manière
00:45de ne pas tous les sauver, mais je pense que ça peut
00:47en remettre quelques-uns dans le droit chemin.
00:50Est-ce que ça coûte très cher ?
00:512 millions, 2 milliards !
00:532 millions, 1 milli opiat,
00:55surtout la SAID,
01:04buonne le sleeper.
01:05À la preuve,
01:07on reste à l'obligation,
01:10on reste à solutions.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations